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La pluie était fine ; de celle qui vous pénètre et humidifie votre sang et vos vêtements. Dégoulinantes, vous imprégnant de cette eau par trop abondantes. C'était toujours le moment ou vous ne trouviez pas la bonne clé et quand il là trouva il ouvris la portière et s'engouffra dans l'habitacle de sa voiture.
Il y faisait froid comme à l'extérieur. Pareil à une habitation qui n'aurait pas était chauffée depuis des semaines. Il lui restait plusieurs clients à démarcher, essayant de fourguer ses breloques d'été en plein mois de novembre, la prévente, moins chère mais pas plus attractives qu'en plein mois d’aoûts. Des colifichets, des gadgets, des souvenirs qu'y ne semblaient attirer que le dernier des touristes ou des étrangers pensants que c'était à la mode dans nos contrées.
Il mit le contact et le chauffage, puis regarda son carnet afin de décider de la marche a suivre. En fait rien qui ne pouvais être remis au lendemain . Il choisit de se faire un bout de côte, non pas qu'il ne connaissent pas l'endroit mais histoire de voir ou revoir celle- ci, sauvage et sans touristes – vous parlez en plein mois de novembre ,il ne prenait guère de risques-. En roulant ainsi il se remémorait les lieux mais il aimait les voir sous ces nuages gris et cette pluie incessante. Comme une punition. Il fit ainsi plusieurs kilomètres et le soir tombant il se dirigea vers sont hôtel. Il ne versait pas dans le grand luxe préférant économiser sur les notes de frais. Il montât à sa chambre st sortit de son sac un sandwich emballé d'alu. Par contre il sorti du même sac une bouteille de vin de qualité qu'il ouvrit et se servit, faute de mieux, dans le gobelet de la salle de bains. Il chantonnait tout en mangeant et quand tout fut achevé il s'assied sur le bout du lit. Il but la dernière gorgé en faisant le tour des images punaisées aux murs et resta quelques minutes, comme en introspection. Il pleuvait toujours et il faisait toujours froids dans cette chambre. Il fixa un point imaginaires droit devant lui et souffla un grand coup, puis il regarda sa mais droite – il était droitier – et la levant il fit prendre à ses doigts la forme d'un pistolet, comme on le fait dans l'enfance. Il pointa ses doigts sur sa tempe et plia l'auriculaire. Il n'y eu pas de son et pourtant il s’écroulât sur le lit. Un filet de sang imprégna les draps blancs, comme un p'tit coquelicot mon âme.
Il y faisait froid comme à l'extérieur. Pareil à une habitation qui n'aurait pas était chauffée depuis des semaines. Il lui restait plusieurs clients à démarcher, essayant de fourguer ses breloques d'été en plein mois de novembre, la prévente, moins chère mais pas plus attractives qu'en plein mois d’aoûts. Des colifichets, des gadgets, des souvenirs qu'y ne semblaient attirer que le dernier des touristes ou des étrangers pensants que c'était à la mode dans nos contrées.
Il mit le contact et le chauffage, puis regarda son carnet afin de décider de la marche a suivre. En fait rien qui ne pouvais être remis au lendemain . Il choisit de se faire un bout de côte, non pas qu'il ne connaissent pas l'endroit mais histoire de voir ou revoir celle- ci, sauvage et sans touristes – vous parlez en plein mois de novembre ,il ne prenait guère de risques-. En roulant ainsi il se remémorait les lieux mais il aimait les voir sous ces nuages gris et cette pluie incessante. Comme une punition. Il fit ainsi plusieurs kilomètres et le soir tombant il se dirigea vers sont hôtel. Il ne versait pas dans le grand luxe préférant économiser sur les notes de frais. Il montât à sa chambre st sortit de son sac un sandwich emballé d'alu. Par contre il sorti du même sac une bouteille de vin de qualité qu'il ouvrit et se servit, faute de mieux, dans le gobelet de la salle de bains. Il chantonnait tout en mangeant et quand tout fut achevé il s'assied sur le bout du lit. Il but la dernière gorgé en faisant le tour des images punaisées aux murs et resta quelques minutes, comme en introspection. Il pleuvait toujours et il faisait toujours froids dans cette chambre. Il fixa un point imaginaires droit devant lui et souffla un grand coup, puis il regarda sa mais droite – il était droitier – et la levant il fit prendre à ses doigts la forme d'un pistolet, comme on le fait dans l'enfance. Il pointa ses doigts sur sa tempe et plia l'auriculaire. Il n'y eu pas de son et pourtant il s’écroulât sur le lit. Un filet de sang imprégna les draps blancs, comme un p'tit coquelicot mon âme.
Merci à vous lecteurs et lectrices de me dire si ce que je fais baisse, monte, manque ce çi de ça, trop cours trop longs. J'ai des doutes et vous seules pouvaient m'aider à savoir ou j'en suis. Des mots simples, même pas une critique sur les sujets ( a moins que vous le vouliez ) C'est vraiment un appel du coeur que je vous lance. Merci d'avance.
Alain
Alain
Tiens un challenge pour les lecteurs, donnez moi un sujet et votre pseudo et j'ecris un texte dessus ( bien ou mal, nobody is perfect ) avec peut être un détournement )
@Spirit : j'ai lu et aimé ta courte nouvelle, parce que je n'ai pas senti venir la fin et que cette fin est forte, à la fois jolie et triste, magique et tragique. On a le sentiment que cet homme, au terme d'une vie terne et solitaire, n'a retrouvé que dans la mort - et grâce à la mort - la fantaisie perdue de l'enfance...
C’est bien écrit, c’est bien amené avec une belle description du triste paysage et une ambiance de désespoir qui annonce la fin.
Mais que c’est triste, mon Dieu que c’est triste une vie sans espoir, sans but précis, sans bonheur possible, sans perspective…
Mais ça existe et ce texte l’a bien exprimé.
Mais que c’est triste, mon Dieu que c’est triste une vie sans espoir, sans but précis, sans bonheur possible, sans perspective…
Mais ça existe et ce texte l’a bien exprimé.
Spirit oui c'est parfaitement rendu et bien observé. La derniere phrase est belle ,incroyable de fausse vérité ,et surtout cette évocation de la si belle chanson de Mouloudji que j'adore :
"Le myosotis et puis la rose"
Comme un ptit coquelicot mon âme
Comme un ptit coquelicot....
J'aime toujours ces petits mots ou phrases évocatrices qui apportent "un supplément d'âme" comme il est dit....
"Le myosotis et puis la rose"
Comme un ptit coquelicot mon âme
Comme un ptit coquelicot....
J'aime toujours ces petits mots ou phrases évocatrices qui apportent "un supplément d'âme" comme il est dit....
Merci à toutes et tous
Pour piéro et parce cette chanson me fait monter les larmes au coeur:
https://www.youtube.com/watch?v=gJqIzH36e6E
https://www.youtube.com/watch?v=gJqIzH36e6E
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