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J'avais choisis de faire le tour de la terre. Sans arrêts, sans villégiatures, sans souvenirs ni colifichets, non, simplement le tour de la terre en avion, d'aéroports en aéroports pour voir ; une espèce de challenge ou je ne comptais ni prendre de notes pour un journal futur, ni noter les escales les changements de vols ; partir d'un point et arriver à ce même point afin de pouvoir dire, de pouvoir se dire que je venais de faire le tour du monde, même pas en moins de quatre vingts jours.
Je pris l'avion effectuant la plus longue distance en une seule fois et refusant de m'encombrer de bagages, je n'avais avec moi que mon bagage à main. Je dormais la plupart du temps anesthésié par les cachets et par l'alcool ( curieux cocktail s'il en est ) et ne levais les yeux que sur l' hôtesse qui me proposait les différents services affairant à ma classe « VIP ».
Je dormais, mangeais et me lavais succinctement dans les aéroports, mon but n'étant pas le tourisme. Je faisais du survol dans le simple but de faire le tour de la terre, comme d'autres avant moi par d'autres moyens. J'avais, il est vrai, une carte bancaire consecente et les frais itinérant au voyage ne me portait pas préjudice ; ce n'était qu'une passade dans mon monde de riche, un privilège du a ma famille qui se souciait autant de moi que moi d'elle.
J'allais ainsi de gros porteur en de simple coucou, vibrations sur vibrations .
Je suivais tout de même une carte, traçant tant bien que mal mon parcourt et il en fut ainsi jusqu'à la fin. Fin qui me mit devant une énigme dés plus singulière. Un temps l'avion s’arrêtât et nous dûmes débarquer afin de prendre un ascenseur qui nous fit descendre de plusieurs mètres l'espace ou nous avions atterrit. Les hôtesses nous orientèrent vers des allés qui nous menèrent à d'autres avion qui décollèrent, une fois plein, vers les cieux. Au bout d'un temps et après milles questions je fis un topo de mon périple et après constatations de divers anomalies je pries le temps de réflechirs et de calculer, je du bien me rendre à l’évidence d'un fait étrange et vue notre parcours il était évident que selon toutes les données scientifiques de l’humanité, et bien que cela remettait en cause bien des connaissance de notre civilisation la terre était plate. Et l'on nous l'avait caché.
Je pris l'avion effectuant la plus longue distance en une seule fois et refusant de m'encombrer de bagages, je n'avais avec moi que mon bagage à main. Je dormais la plupart du temps anesthésié par les cachets et par l'alcool ( curieux cocktail s'il en est ) et ne levais les yeux que sur l' hôtesse qui me proposait les différents services affairant à ma classe « VIP ».
Je dormais, mangeais et me lavais succinctement dans les aéroports, mon but n'étant pas le tourisme. Je faisais du survol dans le simple but de faire le tour de la terre, comme d'autres avant moi par d'autres moyens. J'avais, il est vrai, une carte bancaire consecente et les frais itinérant au voyage ne me portait pas préjudice ; ce n'était qu'une passade dans mon monde de riche, un privilège du a ma famille qui se souciait autant de moi que moi d'elle.
J'allais ainsi de gros porteur en de simple coucou, vibrations sur vibrations .
Je suivais tout de même une carte, traçant tant bien que mal mon parcourt et il en fut ainsi jusqu'à la fin. Fin qui me mit devant une énigme dés plus singulière. Un temps l'avion s’arrêtât et nous dûmes débarquer afin de prendre un ascenseur qui nous fit descendre de plusieurs mètres l'espace ou nous avions atterrit. Les hôtesses nous orientèrent vers des allés qui nous menèrent à d'autres avion qui décollèrent, une fois plein, vers les cieux. Au bout d'un temps et après milles questions je fis un topo de mon périple et après constatations de divers anomalies je pries le temps de réflechirs et de calculer, je du bien me rendre à l’évidence d'un fait étrange et vue notre parcours il était évident que selon toutes les données scientifiques de l’humanité, et bien que cela remettait en cause bien des connaissance de notre civilisation la terre était plate. Et l'on nous l'avait caché.
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