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Il se trouvait bien,là, assis sur sa chaise devant son miroir paré de chaque cotés de trois puissantes ampoules. C'était l'heure du maquillage, la plus belle heure de la journée, celle qu'il n'échangerait pour rien au monde, et comment le faire.
Il se mit d'abord du fond de teins, indispensable, pour donner à sa peau cette couleur si particulière, l'étalant bien jusqu'aux oreilles pour que l'on en vois pas la jointure. Puis il s'attaqua aux lèvres, il fallait en mettre, mais pas trop, juste ce qu'il faut pour paraître. Ensuite la perruque, qu'il ajustât pour qu'elle paraisse émaner de lui et pour couronner le tout le nez que tous le monde ne pouvais que voir et qui le symbolisais en quelques sortes.
Restais la veste et la mallette, ah ! Les clefs, ne pas oublier les clefs. Et le voilà qui descendais les escaliers et mettait un pied dans la ville, faisant un tour sur lui même pour s'impregnier de la rue. Les gens déambulaient de partout : hommes échasses, femmes à barbe, messieurs muscles. Tout était comme à l'habitude. Pour finir il se regarda dans le miroir extérieur de la boutique de vêtement jouxtant son immeuble : chapeau de feutre gris, le nez (un peu long à cause du nez rouge ) le costume sombre et les chaussures sombres et brillantes, bien que d'une pointure un peu petite. Et le voilà fin prés pour gagner le chapiteau sur lequel tronnait une grande pancarte : » le cirque de l'homme du 20eme siècle ».
Il se mit d'abord du fond de teins, indispensable, pour donner à sa peau cette couleur si particulière, l'étalant bien jusqu'aux oreilles pour que l'on en vois pas la jointure. Puis il s'attaqua aux lèvres, il fallait en mettre, mais pas trop, juste ce qu'il faut pour paraître. Ensuite la perruque, qu'il ajustât pour qu'elle paraisse émaner de lui et pour couronner le tout le nez que tous le monde ne pouvais que voir et qui le symbolisais en quelques sortes.
Restais la veste et la mallette, ah ! Les clefs, ne pas oublier les clefs. Et le voilà qui descendais les escaliers et mettait un pied dans la ville, faisant un tour sur lui même pour s'impregnier de la rue. Les gens déambulaient de partout : hommes échasses, femmes à barbe, messieurs muscles. Tout était comme à l'habitude. Pour finir il se regarda dans le miroir extérieur de la boutique de vêtement jouxtant son immeuble : chapeau de feutre gris, le nez (un peu long à cause du nez rouge ) le costume sombre et les chaussures sombres et brillantes, bien que d'une pointure un peu petite. Et le voilà fin prés pour gagner le chapiteau sur lequel tronnait une grande pancarte : » le cirque de l'homme du 20eme siècle ».
Voici un clown sympathique, qui prend le temps de peaufiner son maquillage pour être impeccable !
Un peu satyrique tout de même, ton texte, "le cirque de l'homme du 20ème siècle" m'a fait sourire et m'a menée à une interprétation sur le "paraître".
Merci Spirit pour cette touche de couleur !
Un peu satyrique tout de même, ton texte, "le cirque de l'homme du 20ème siècle" m'a fait sourire et m'a menée à une interprétation sur le "paraître".
Merci Spirit pour cette touche de couleur !
Guignol du monde moderne ?
J'hallucine à constater que le complet-cravate est toujours d'actualité en France pour ceux qui veulent "faire sérieux". C'est pathétique ...
J'hallucine à constater que le complet-cravate est toujours d'actualité en France pour ceux qui veulent "faire sérieux". C'est pathétique ...
Je trouve que tu as été indulgent.... le cirque du XXe siécle est rempli de fauves et de monstres !
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