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L'eclaireur
Oyez ! bonnes gens
Ce cri déchrirant
Qui traverse les étangs
Rien ne vous sera épargné
La mort a choisi de roder
Aux abords de vos contrées
Elle vous prendra tout comme moi
Des plaines au plus profond des bois
Et cela malgré votre sainte foi
Vous l'avez appelée en me pendant ce jour
La camarde ne daigne faire qu'un seul tour
Et vous prendra à vos récoltes et labours
Pleurer ne pourrait être que vain
Tout comme noyer la peur dans votre vin
Il n'est plus temps de changer le destin
Mais soyez heureux je vous ouvre la route
Laissez là vos tous derniers doutes
Inutile qu'aux miens vos plaintes s'ajoutent
Je parts le premier et laisse le plaisir
De vous voir pâlir à l'instant de mourir
Mais qu'importe maintenant puisse que je sens ma vie partir.
Oyez ! bonnes gens
Ce cri déchrirant
Qui traverse les étangs
Rien ne vous sera épargné
La mort a choisi de roder
Aux abords de vos contrées
Elle vous prendra tout comme moi
Des plaines au plus profond des bois
Et cela malgré votre sainte foi
Vous l'avez appelée en me pendant ce jour
La camarde ne daigne faire qu'un seul tour
Et vous prendra à vos récoltes et labours
Pleurer ne pourrait être que vain
Tout comme noyer la peur dans votre vin
Il n'est plus temps de changer le destin
Mais soyez heureux je vous ouvre la route
Laissez là vos tous derniers doutes
Inutile qu'aux miens vos plaintes s'ajoutent
Je parts le premier et laisse le plaisir
De vous voir pâlir à l'instant de mourir
Mais qu'importe maintenant puisse que je sens ma vie partir.
Pour ceux qui ne connaissent pas "la saga du pendu" il y en à neuf dans les archives et d'autres à venir, ne vous inquietez pas ils n'y en aurat que quelques uns. ( clin d'oeil à Tistou )
J'aime bien cette ballade du pendu, ça m'a amusé...
C'est un peu dans la tonalité des nouvelles fantastico-morbides de l'Argentine Mariana Enriquez, "Les dangers de fumer au lit" que je suis en train de lire avec délectation, tout en me remettant de l'opération que je viens de subir.
C'est un peu dans la tonalité des nouvelles fantastico-morbides de l'Argentine Mariana Enriquez, "Les dangers de fumer au lit" que je suis en train de lire avec délectation, tout en me remettant de l'opération que je viens de subir.
J'aime bien cette ballade du pendu, ça m'a amusé...
C'est un peu dans la tonalité des nouvelles fantastico-morbides de l'Argentine Mariana Enriquez, "Les dangers de fumer au lit" que je suis en train de lire avec délectation, tout en me remettant de l'opération que je viens de subir.
J'espére que tu vas mieux, c'est toujours un sale moment les opérations.
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