Erika 24
avatar 17/09/2004 @ 14:04:25
Ah ! Le TITANIC ! Elle le regarde, il est si majestueux qu’elle a l’impression de n’être qu’une enfant à ses pieds. Aujourd’hui Eva s’en va définitivement de chez elle. Elle quitte cette vie qui n’était plus la sienne, pour en commencer une autre qui lui ressemblera beaucoup plus. Elle part loin de sa souffrance, son mari est parti rejoindre ses ancêtres après une lutte acharnée contre une maladie dont les médecins ignoraient tout. Son mari c’était sa vie, le seul être qui l’ait réellement aimée. Ils se sont mariés contre l’avis général. Ils ont vaincu et se sont unis mais le destin a joué contre eux. Ils ont cru, un temps, qu’on leur avait jeté un mauvais sort. Ils ont perdu leur premier enfant, un petit garçon nommé Bastien. Leur maison a brûlé et ils n’ont rien pu sauver. Et ensuite cette maladie qui s’est déclaré… Ils n’ont eu du répit qu’à la naissance de Lise, quel grand bonheur se fût. A présent elle était seule à élever son enfant et tous les visages se tournaient vers elle avec de la pitié plein les yeux. Le plus éprouvant ce fût le passage chez le notaire, ce testament qui n’en finissait plus et ces larmes qui ne s’arrêtaient plus. Il lui laissait tout à elle et à leur fille. De toute façon il n’avait personne d’autre à incorporer dans son testament puisque tout le monde lui avait tourné le dos. Elle signa en bas des papiers que lui tendait le Notaire, en dessous de la phrase « Pour servir et valoir ce que de droit ». Tous ces documents en double, en triple, en quadruple exemplaires. Elle voulait sortir de ce bureau, elle étouffait soudainement. Il lui avait laissé un petit mot pour elle sous enveloppe cachetée. Elle avait hâte de lire ses dernières confidences à son égard, elle avait hâte de voir encore son écriture. Une fois dehors elle avait pressé le pas pour rentrer chez elle et, rendue dans sa maison, elle s’était réfugiée dans sa chambre pour lire son précieux message :

« Mon amour,
Puisque tes yeux se posent sur ce papier, alors je ne suis plus auprès de toi. Je ne suis peut-être plus là physiquement mais je veille toujours sur Lise et sur toi. Et pour votre bonheur à toutes les deux, tu sais qu’il te faut partir et continuer ta vie ailleurs. New-York t’a toujours attirée, les croisières aussi. Tu as donc un billet d’embarquement qui t’attend dans mon coffre fort, tu vas partir sur le Titanic. Toi qui en rêvait et alimentait nos conversations avec lui, tu vas pouvoir découvrir si les cabines sont telles que tu les imaginais. La réalité va rejoindre tes rêves. N’oublie jamais que je t’aime. Pars vers tes souhaits les plus chers, pars et ne regrette rien. Sois heureuse mon amour.

Je t’aime,

Stéphane. »

Alors il l’avait fait, il lui avait offert son rêve. Elle allait partir sur « L’INSUBMERSIBLE ». Elle n’y croyait pas, la joie et la tristesse se confondaient dans son cœur.

Et aujourd’hui le Titanic est là, devant ses yeux ébahis. Il est immense, comme elle l’avait imaginé.
-Maman, maman chérie, on monte sur le gros bateau.
-Attends Lise, regarde comme il est beau.
-J’ai vu maman, ça y est !
-D’accord, on y va mais tu ne lâches pas ma main. Promis ?
-Promis.
Lise qui a, aujourd’hui même, quatre ans, piaille d’impatience et lui tire sur le bras.

Lise a un vilain défaut, ou peut-être est-ce une qualité, elle est très curieuse et à tendance à partir à l’aventure. Combien de fois elle l’a perdue et retrouvée un peu plus loin en grande admiration devant un papillon venant de se poser délicatement sur une jolie fleur ! Lise est une ravissante petite fille : des grands yeux verts avec des cils longs et noirs ébène, un petit bout de nez en trompette, des boucles brunes lui encadrent le visage alors que le reste de sa chevelure est plutôt raide. Elle a des mains toutes fines et des doigts d’une extrême longueur, ‘des doigts de pianiste’ parait-il ! Elle n’est pas ni très grande, ni trop épaisse pour son âge mais elle est si jolie qu’on ne se rend pas compte de sa taille minuscule. Le plus extraordinaire c’est lorsqu’elle sourit ! Elle ferait craquer la terre entière à cet instant magique où deux fossettes viennent creuser ses petites joues en même temps que sa bouche découvre des petites dents blanches et alignées et que ses yeux se remplissent de milliards d’étoiles. D’ailleurs son père craquait complètement et, à la moindre bêtise, elle lui faisait un sourire et passait à côté de la punition promise.
Eva qui s’inquiétait tout de même d’entendre sans cesse que son enfant avait un souci de croissance, avait consulté des médecins. Ils avaient été formels :

« -Cet enfant sera comme vous et moi. Elle grandit à son rythme et son rythme est lent. Seulement elle va rattraper son retard un peu plus tard et elle poussera comme une fleur qui aura été soigneusement réchauffée par le soleil et arrosée par quelques gouttes de pluie ! Ne vous souciez pas, madame, votre enfant est normal. »

Alors Eva ne se soucie pas (du moins elle essaie) et Lise, avec sa petite robe bleue ciel aux broderies anglaises blanches, ses cheveux remontés et ses pommettes roses, ressemble à une magnifique poupée en Porcelaine. Eva aime sa fille de tout l’amour d’une maman et comme elle n’a pas reçu beaucoup d’amour dans son enfance, elle veut que sa tendre princesse soit la plus heureuse et la plus comblée en amour.
-Maman tu avances.
-Ah oui, pardon Lise. J’étais perdue dans mes pensées.
-Et tu as retrouvé ton chemin ?
-Pardon ?
-Maman, si tu étais perdue dans tes pensées, j’espère que tu as retrouvé ton chemin !
Les enfants et leurs répliques, Eva sourit devant l’insouciance de sa fille. Elle lui serre bien la main et commence à monter sur la passerelle afin d’atteindre le pont où attendent les hommes d’équipage indiquant les n° et lieux des cabines.

« -Bienvenue à bord Madame, votre nom je vous prie.
-Mme ROBERTY, Eva ROBERTY.
-Mme ROBERTY vous êtes dans la cabine numéro B-46 sur le pont B. Nous allons vous diriger vers vos quartiers.
-Merci. »

Elle n’en revient toujours pas, elle n’ose y croire. Tout est magnifique, son imagination ne lui avait pas menti. C’est immense, grandiose. Et la cabine, ah ! la cabine : Un lit gigantesque recouvert de draps en satin blanc, un autre lit plus petit avec de joli drap rose et blanc. Une véritable salle de bain avec une baignoire blanche soutenue par des pieds dorés. Il y avait même des fleurs fraîchement coupées. La cabine sentait divinement bon. Le bonheur commençait à pointer son nez. Lise ouvrait des yeux immenses, son imagination d’enfant était à son apogée et elle s’attendait presque à voir arriver une fée pour lui souhaiter la bienvenue.
-Maman c’est joli ici. Tu crois que papa il va pouvoir nous voir du ciel ?
-Bien sur chérie, il veille sur toi.
-Maman, elle est où Rébecca ?
-Je ne sais pas où tu as mis ta poupée. Tu devrais faire attention, tu la perds sans cesse. On ira demander si quelqu’un l’a vue ? Tu l’as peut-être…
Eva n’a pas fini sa phrase qu’elle entend la porte claquer dans son dos.
-Bon sang, LISE REVIENT PAR ICI JE TE PRIE.
Mais Lise n’entend pas, elle cherche sa poupée et demande à tous ceux qu’elle croise s’ils ne l’ont pas vue. Eva sort de la chambre paniquée, Lise n’est pas très haute et il y a du monde dans le couloir. Et puis de quel côté est-elle partie ? Elle tente à gauche.
-LISE, LISE. Pardon vous n’avez pas vu une petite fille brune avec une robe bleue et blanche ?
-Non Madame.
-Pardon, S’il vous plait avez-vous vu une petite fille qui cherche sa poupée ? Oh LISE, LISE CHERIE !
Elle fait demi-tour et repart dans l’autre sens.
-Pardon, pardon ! Auriez-vous vu ma fille ? Brune, les yeux verts à peu près haute comme ça.
-Non Madame, désolé.
Elle se met à sangloter, des frissons l’envahissent. Il n’est pas possible que Lise ait disparu ainsi, et puis elle n’a pas tant d’avance que ça. Elle est petite et elle ne peut donc PAS aller vite.

-Où vas-tu petite ?
-Je cherche Rébecca, vous ne l’avez pas vue?
Lise a les yeux pleins de larmes quand elle demande ça à ce monsieur qui a l’air si gentil avec sa casquette.
-C’est qui Rébecca ? C’est ta maman, ta mamie, ta tante ???
-Rébecca c’est…
-HEP MONSIEUR ! Monsieur, cette passerelle est réservée aux premières classes, pour vous c’est sur la dernière passerelle.
Lise reprend son expédition en demandant sa poupée à qui veut bien l’entendre.

-LISE OU ES-TU ? Excusez-moi, est-ce que vous avez vu une enfant de 4 ans ? Brune, les yeux verts à peu près haute comme ça.
-Non Madame.
Eva se met à courir. Elle va voir sur le pont B, personne ! Le pont A, personne ! La salle de lecture, personne ! Le salon, encore et toujours personne ! Elle est au bord de l’agonie. Elle a chaud, froid. Son cerveau se met à bourdonner, le sang lui cogne aux tempes. Un violent mal au crâne la freine dans sa course. Le Titanic va lever l’ancre, elle doit retrouver sa fille avant. Elle file en direction de l’arrière du bateau, à l’endroit où montent les troisièmes classes.
-Madame, vous devez faire erreur ! Les premières classes sont par-là.
-Non, non je cherche ma fille. 4 ans, brune, les yeux verts, une robe bleu et blanche. Oh s’il vous plait dites-moi que vous l’avez vue !
-Non, je suis désolé mais je ne l’ai pas vu. Retournez dans votre… MADAME, REVENEZ !
Elle vient de voir passer Rébecca et elle court dans sa direction.
-LISE, LISE VIENT. JE SUIS LA.
Mais ce n’est pas Lise, les espoirs d’Eva s’évanouissent en même temps qu’elle voit l’enfant. Une ravissante petite bouille brune, seulement ce n’est pas son enfant.
-Tu sais, cette poupée, c’est la poupée de ma petite fille. Elle est comme toi, environ de ta taille. Tu ne l’aurais pas vue par hasard ?
-…
-Je ne vais pas te gronder, dis moi juste si tu l’as vue.
-Françoise répond à la dame, t’as vu sa petite fille ou pas ? Et puis rends cette poupée, c’est pas la tienne.
-Nan m’dame, j’ai pas vu de p’tite fille de mon âge. La poupée était par-terre et j’l’ai ramassée. Tenez m’dame.
L’enfant tend la poupée à Eva.
-Merci, merci beaucoup.
Et elle reprend sa course, le bateau part dans une dizaine de minutes. Elle doit se dépêcher. Elle prend la direction du pont D. Elle refuse de prendre les ascenseurs au risque d’une panne et se dirige vers l’escalier. C’est un grand escalier en bois, il est magnifique, Eva regarde l’heure à la grosse horloge qui est dans les boiseries. Elle n’a vraiment plus beaucoup de temps.
-LISE, LISE. REPOND LISE S’IL TE PLAIT !
-…
Elle n’a jamais autant couru, il lui semble faire un marathon ou, plutôt, une course contre la montre.
-LISE, LIIIIIISE ! Bon sang elle est peut-être descendue du bateau !
Eva ressort, retourne sur la passerelle d’embarquement mais le chemin est long et il lui semble ne jamais y parvenir.
-Tiens ce n’est pas le même que tout à l’heure. Pardon, s’il vous plait ! Vous n’auriez pas vu une petite fille de quatre ans, brune aux yeux verts ?
-Si j’en ai vu une. Elle cherchait sa maman je crois. Heu comment déjà !
-Rébecca ?
-Oui c’est exact. Rébecca !
Le cœur d’Eva bat la chamade.
-Par où est-elle partit ?
-Je l’ignore, une personne de troisième classe est montée au même moment et je l’ai redirigée. L’enfant en a profité pour filer.


Ses espoirs viennent à nouveau de s’éclipser quand, soudainement, elle voit un attroupement au loin. Son cœur semble sur le point de s’arrêter, elle ignore si elle peut se permettre de croire que … Elle descend doucement du bateau, au bord du malaise. Puis, en approchant, elle entend une petite voie aigu « -Mais vous n'avez pas vu Rébecca, c’est ma poupée ! ». Elle court à nouveau et cette fois c’est pour prendre sa fille dans ses bras. Elle pleure toutes les larmes de son corps, elle a cru ne jamais la revoir. Elle a cru que le sort s’était encore acharné. Mais non, Lise est là, souriante et bien vivante.
-Pourquoi tu pleures maman, j’allais revenir. Je cherchais Rébecca seulement personne ne l’a vue. Oh ! Mais maman, tu l’as trouvée. Merci, merci maman chérie.
-Allez viens, on retourne sur le bateau. Promets-moi de toujours rester à côté de maman maintenant. J’ai eu très peur tu sais. Oh ! mon bébé, mon petit trésor. Tu sais, tu m’as fait parcourir des kilomètres et des kilomètres. Je t’ai cherché partout, partout. Viens vite sinon on va… Eh ils ont enlevé les passerelles, ATTENDEZ ! ATTENDEZ !
Mais dans le brouhaha des « au-revoir » personne n’entend rien. Personne ne prête attention à cette femme qui fait de grands mouvements avec un bras tandis qu’à l’autre il y a sa fille.

Le Titanic part et il part sans elle. Elle ne réalisera pas son rêve cette fois-çi. Elle a eu juste le temps de le visiter, si l’on puit dire ! Juste le temps de savoir si son imagination avait été exacte.

Déveine ? Chance ? Allez savoir, et puis, après tout, l’avenir le lui dira !

Erika 24
avatar 17/09/2004 @ 14:08:00
Comme j'ai dit tout à l'heure, je mets mon texte maintenant car je ne pourrais pas après !!! Bonne lecture, amusez-vous bien à trouver tous les anachronismes et trucs bizarres. Perso, je me suis régalée à écrire cela et c'est tout ce qui importe pour moi. Bon j'espère tout de mème que ça vous plaira.

Ps : Désolé j'ai pas mis d'ours !!!!!!!!

Olivier Michael Kim
17/09/2004 @ 16:18:16
Erika, je t'aime beaucoup.

Je n'ai pas aimé. Je suis désolé.

J'ai trouvé que c'était un récit niais, "à l'eau de rose".

Je sais que tu as mis beaucoup de coeur à l'ouvrage. Je respecte ton travail.

Sans rancune.

Sido

avatar 17/09/2004 @ 18:52:25
Quelques phrases ou expressions maladroites à mon avis, que tu peux reprendre.
"Ils ont vaincu et se sont unis..."
"Il lui laissait tout à elle et à leur fille"
"l'ncorporer à son testament..."
"Puisque tes yeux se posent sur ce papier alors je ne suis plus auprès de toi."
"Ils n'ont eu du répit qu'à..."
Plus des fautes inadmissibles d'accord de participes passés que tu peux facilement
coriger.
Tu as fait nettement mieux, c'est vrai. : )

Répondre - Répondre à ce message

Monique 17/09/2004 @ 19:07:35
Ce n'est pas si "niais" que ça Erika, pas à mon goût en tous cas. Il est vrai que tu nous as habitués à ce genre de narration qui met souvent en scène des enfants avec une histoire un peu dramatique (je ne parle pas de tes horreurs !). Et là le sujet est bien traité. Je m'attendais vraiment à ce que la cascade de malchances de cette famille se termine avec le naufrage pour couronner ce malheur qui semblait s'acharner, et puis, non, tu les sauves de justesse ! Happy end !
Evidemment l'orthographe... la grammaire... malgré le filtre OMK il reste beaucoup de fautes, sans parler des maladresses. Mais c'est en forgeant que, etc... Et puis fais jouer ta mémoire aussi pour retenir les fautes et ne plus refaire les mêmes...
Soyons brefs, j'ai bien aimé ton texte et la fameuse phrase est bien placée, même si c'était un peu laborieux, tout ce préambule, pour y parvenir...
En tous cas, tu t'es accrochée, avec ton amour-propre et ta fierté, pour tenir ta promesse et tu es arrivée à quelque chose qui tient la route, bravo !

Erika 24
avatar 17/09/2004 @ 20:14:25
Merci Mo, merci vous autres ! Mo pourras-tu me renvoyer mon texte totalement corriger s'il te plait ? Merci d'avance. Je fais vite un saut pour prendre vos textes et je repars. Bonne soirée

Yali 17/09/2004 @ 20:20:40
Moi je dis que le potentiel romanesque de Erika grimpe, faut trouver les marques, c'est tout. À ta portée en tous cas.

Balamento 17/09/2004 @ 20:53:45
Franchement, tu as un truc pour les dialogues ! C'est très clair !

J'ai trouvé que ça se lisait bien, même si à un moment je me suis demandé si une petite touche de pensées quant au Stephane disparu (un rien de pincement au coeur plutôt que la simple euphorie de monter sur le titanic) n'aurait pas été la bienvenue...

Je me suis vautré dans un virage sur la fin du texte sur une phrase mal foutue : "Elle a eu juste le temps de le visiter, si l’on puit dire ! Juste le temps de savoir si son imagination avait été exacte." ce qui m'a un peu gaché le plaisir que j'avais surtout eu à la lecture des dialogues (parce que c'est eux qui s'ils n'emportent réellement le morceau, font tenir le tout).

voilà, voilà ;-)

Tistou 18/09/2004 @ 09:56:22
Niais? non. Eau de rose? Limite, ça flirte avec, mais ça reste sur le fil du rasoir (et puis l'extrait de rose c'est fabuleux non?).
C'est marrant comme Monique et toi èyres parties sur le trip "petite fille" non?
Revenons au texte. Imagination ; à revendre. Ecriture ; bonne pour l'essentiel même si des "aspérités" viennent nous râcler le fond du pantalon. C'est vrai que certaines fautes sont mortelles et détournent l'arrention.
Intérêt de l'histoire ; ça ne restera pas impérissable mais c'est vrai aussi que les contraintes étaient salées et je ne peux que tous nous saluer pour être allés au bout, sans avoir l'air si cons que ça!
Merci de ton texte Erika!

Kilis 18/09/2004 @ 11:40:10
Erika, je suis à chaque fois impressionnée par ton souffle romanesque. Le scénario, même s'il ne fait pas preuve de grande originalté, est toujours vivant et coule de source. Mais tu n'as que 24 ans et je pense que tes écrits s'enrichiront avec le temps de plus de subtilités. En fait , j'en suis certaine, car on sent chez toi le bonheur d'écrire.

Sibylline 19/09/2004 @ 22:42:19
:0)

Erika 24
avatar 20/09/2004 @ 09:59:46
Merci à tous.

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