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Il s'était sapé comme un dieu, ce qu'il avait de mieux dans son armoire, le pantalon, la chemise, la veste, jusqu'aux chaussures. Pas le moindre détail n'avait était laissé de coté. Il se regarda dans son miroir qui ne fit que confirmer ce qu'il savait déjà.
Il prit le premier autobus, l’arrêt était juste en bas de chez lui et il se rendit à l'adresse de l'agence d'emploi qu'il connaissait bien maintenant.
Il se rendit directement vers le bâtiment et s'assit sur un des fauteuils après avoir pris son ticket. Il feuilleta un magazine puis un autres,piochant dans la masse les articles ceux qui l’intéressaient le plus. Il leva les yeux vers la pendule qui marquait 9h30.
Il n'en avait pas fini de ces articles mais s'en étai fini de sa position qui devenait douloureuse. Il croisa les jambes de l'autre coté et fit faire un demi tour à son corps. Il leva les yeux un instant et resta quelques instants à regarder les personne qui passaient dans le hall, qui avec un dossier, qui avec un téléphone dans la main , et par son empressement, semblait détenir le sort du monde. La pendule indiquait 11h45.
Il sentit une petite faim et se dirigea vers les distributeurs, il choisit un sandwich triangle et un soda puis retourna s’asseoir pour s'apercevoir qu'une autre personne avait pris son siège. Il s'assit sur un autre, a proximité, et repris sa lecture tout en mangeant et buvant. La pendule indiqué 13h40.
Il avait finis de manger et la somnolence commençait à le gagner , il y cédât, gardant une partie de son cerveau reptilien aux aguets de la moindre clochette.
Quand il ouvrit les yeux, la pendule indiquait 14h10, il souffla un peu et pris un autre magazine. Il regarda machinalement le compteur de numéro mais n'y prêta qu'un intérêt vague et se replongea dans son article.
Lorsqu'il sorti de sa lecture il regarda la pendule qui marquait 15h25. Il s’aperçût alors que le siège qu'il occupait tout à l'heure était vacant, il regarda de droite et de gauche et ne voyant personne s'y assis prestement. Il eu un souffle de soulagement et se replongea dans sa lecture.
Il s'était assoupi sur la page et s’éveilla au son de la clochette marquant l'heure de la fermeture des bureaux. Il reposa son magazine, remit son imperméable et gagna la sortie, une fois dehors il froissa puis jeta son ticket dans la corbeille.
Dehors il pleuvait et c'est en courant qu'il gagna l’arrêt de bus. En l'attendant il se dit que peut-être, demain, il prendrait son parapluie si le ciel était aussi peu clément et qu'aussi il mettrait un gilet, le chauffage n'avait pas encore était allumé dans le hall et il commençait à faire un peu froid. Demain, il verrait tout cela demain...
Il prit le premier autobus, l’arrêt était juste en bas de chez lui et il se rendit à l'adresse de l'agence d'emploi qu'il connaissait bien maintenant.
Il se rendit directement vers le bâtiment et s'assit sur un des fauteuils après avoir pris son ticket. Il feuilleta un magazine puis un autres,piochant dans la masse les articles ceux qui l’intéressaient le plus. Il leva les yeux vers la pendule qui marquait 9h30.
Il n'en avait pas fini de ces articles mais s'en étai fini de sa position qui devenait douloureuse. Il croisa les jambes de l'autre coté et fit faire un demi tour à son corps. Il leva les yeux un instant et resta quelques instants à regarder les personne qui passaient dans le hall, qui avec un dossier, qui avec un téléphone dans la main , et par son empressement, semblait détenir le sort du monde. La pendule indiquait 11h45.
Il sentit une petite faim et se dirigea vers les distributeurs, il choisit un sandwich triangle et un soda puis retourna s’asseoir pour s'apercevoir qu'une autre personne avait pris son siège. Il s'assit sur un autre, a proximité, et repris sa lecture tout en mangeant et buvant. La pendule indiqué 13h40.
Il avait finis de manger et la somnolence commençait à le gagner , il y cédât, gardant une partie de son cerveau reptilien aux aguets de la moindre clochette.
Quand il ouvrit les yeux, la pendule indiquait 14h10, il souffla un peu et pris un autre magazine. Il regarda machinalement le compteur de numéro mais n'y prêta qu'un intérêt vague et se replongea dans son article.
Lorsqu'il sorti de sa lecture il regarda la pendule qui marquait 15h25. Il s’aperçût alors que le siège qu'il occupait tout à l'heure était vacant, il regarda de droite et de gauche et ne voyant personne s'y assis prestement. Il eu un souffle de soulagement et se replongea dans sa lecture.
Il s'était assoupi sur la page et s’éveilla au son de la clochette marquant l'heure de la fermeture des bureaux. Il reposa son magazine, remit son imperméable et gagna la sortie, une fois dehors il froissa puis jeta son ticket dans la corbeille.
Dehors il pleuvait et c'est en courant qu'il gagna l’arrêt de bus. En l'attendant il se dit que peut-être, demain, il prendrait son parapluie si le ciel était aussi peu clément et qu'aussi il mettrait un gilet, le chauffage n'avait pas encore était allumé dans le hall et il commençait à faire un peu froid. Demain, il verrait tout cela demain...
il verrait tout cela demain... Effectivement.
D'un autre emploi d'une agence de l'emploi, qui d'ailleurs est encore en train de changer de nom comme si changer la dénomination faisait avancer le schmilblick !
Je gage que notre homme est rapidement revenu dans cette agence de l'emploi, ou une autre, pour un petit somme postprandial et une lecture de magazines insipides ?
D'un autre emploi d'une agence de l'emploi, qui d'ailleurs est encore en train de changer de nom comme si changer la dénomination faisait avancer le schmilblick !
Je gage que notre homme est rapidement revenu dans cette agence de l'emploi, ou une autre, pour un petit somme postprandial et une lecture de magazines insipides ?
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