parce que là, pour toi, j'en compte 11 puis 10 dans tes 2 premières lignes... si je lis comme Molière bien sûr...
Tes 2 dernières lignes sont parfaites, pour moi, techniquement
.chémane et Sido devraient faire l'effort (ou se donner le plaisir ?) de jouer avec les mots ici, moi je ne bouge plus en attendant...
j'arrive pas à poster un message dans ce forum!!!! help!
ben si, il est là ton message.. tu parle d'un autre forum ?
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime!"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars
Je m'en vais sans un mot, sans même un au
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars
Je m'en vais sans un mot, sans même un au
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard
quand je faisais un copier coller du poème, ou quand je répondais avec historique, il y a vait écrit "errorsqlbrzzzccff dzzxzadfggrevf" etc etc... suis-je seul dans ce cas?
Décidément j'ai le don pour mutiler les vers aujourd'hui... mes excuses...
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime!"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime!"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime !"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée en moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée en moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime !"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
.chémane et Sido devraient faire l'effort (ou se donner le plaisir ?) de jouer avec les mots ici, moi je ne bouge plus en attendant...
Tu es drôle toi !
j'ai joué le jeu, à toi sido!
Ecrire des alexandrins Sido s'y refuse
Depuis qu'un beau matin elle a perdu sa muse
Ecrire des alexandrins Sido s'y refuse
Depuis qu'un beau matin elle a perdu sa muse
Oui, et bien tu t'es pas fatigué.
Pardon, j'avais pas vu.
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime !"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre Papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c’est tout
Votre enfant gardez le, m’en tape le coquillard !
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre Papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c’est tout
Votre enfant gardez le, m’en tape le coquillard !
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime !"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
Jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
Pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou.
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
Se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c'est tout.
Votre enfant gardez-le, m’en tape le coquillard !
Futur ex-père indigne, tu te dévoiles sans honte !
Pour les allocations, tu peux te faire brosser.
Je dois la vérité : le bébé c'est pas vrai...
Encore une belle histoire qui finit comme un « compte ».
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
Jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
Pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou.
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
Se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c'est tout.
Votre enfant gardez-le, m’en tape le coquillard !
Futur ex-père indigne, tu te dévoiles sans honte !
Pour les allocations, tu peux te faire brosser.
Je dois la vérité : le bébé c'est pas vrai...
Encore une belle histoire qui finit comme un « compte ».
Ah la folle histoire cynique et dérisoire !
désolé sido, j'ai cédé à la facilité. recommencerai plus, promis.
:)
:)
Ha la folle histoire cynique et dérisoire!
Et l'on entend, le soir, du fond des réfectoires,
les cris désespérés des ces enfants reniés,
Et l'on entend, le soir, du fond des réfectoires,
les cris désespérés des ces enfants reniés,
Il manque un vers Sido, allez un petit effort!
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre