Ha la folle histoire cynique et dérisoire!
Et l'on entend, le soir, du fond des réfectoires,
les cris désespérés des ces enfants reniés
Par un père sans regard, et d'amour mutilé.
Ha la folle histoire, cynique et dérisoire !
Et l'on entend le soir, du fond des réfectoires,
Les cris désespérés de ces enfants reniés
par un père sans regard, et d'amour, mutilé.
Et l'on entend le soir, du fond des réfectoires,
Les cris désespérés de ces enfants reniés
par un père sans regard, et d'amour, mutilé.
Je déposais à ses pieds, là, des "Je t'aime !"
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
Jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
Pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou.
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
Se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c'est tout.
Votre enfant gardez-le, m’en tape le coquillard !
Futur ex-père indigne, tu te dévoiles sans honte !
Pour les allocations, tu peux te faire brosser.
Je dois la vérité : le bébé c'est pas vrai...
Encore une belle histoire qui finit comme un « compte ».
Ha la folle histoire, cynique et dérisoire !
Et l'on entend le soir, du fond des réfectoires,
Les cris désespérés de ces enfants reniés
par un père sans regard, et d'amour, mutilé.
Des enfants même pas nés, un peu comme le poisson
Crient, hurlent, chialent, après leurs allocations
Battent des pieds, crient mais jamais ne s’esclaffent
Il n’empêche que nous avons sauvés la CAF
Elle y répondait, lasse, par des "Sans doute"
Effrayant désespoir d'un esprit en déroute,
L'amour a fait sa loi, ce qui me crée dilemme.
L'amour a fait sa loi, la fera, moi je pars.
Je m'en vais sans un mot, sans même un au revoir.
Elle est restée et moi, la pénombre d'un soir
Ramènera peut-être sa voix et son regard.
Il est resté en moi. Quel est ce nouveau jour
Qu’une nuit ne peut pas retenir davantage ?
Quel augure me dira qui sera du voyage
Et qui en reviendra ? Je t’attends mon amour.
Cette absence, ce retour voleront en éclats,
D’autant plus qu’en ce jour, heureuse pleinement,
J’aurai pu en mon sein préparer doucement
Un petit, presque rien : tu vas être papa...
Etre papa ? Non mais ça va pas ! Sachez
Jeune étourdie que plus d’une avant vous,
ce coup, elle me l’ont fait, et je n’ai point plié.
Pas d’un degré, quetchi, que dalle, niet, rien, wallou.
Les orphelinats sont pleins de marmots gueulards
Se réclamant de mon sang, je m’en contrefous !
J’aime la gaudriole, mais un point c'est tout.
Votre enfant gardez-le, m’en tape le coquillard !
Futur ex-père indigne, tu te dévoiles sans honte !
Pour les allocations, tu peux te faire brosser.
Je dois la vérité : le bébé c'est pas vrai...
Encore une belle histoire qui finit comme un « compte ».
Ha la folle histoire, cynique et dérisoire !
Et l'on entend le soir, du fond des réfectoires,
Les cris désespérés de ces enfants reniés
par un père sans regard, et d'amour, mutilé.
Des enfants même pas nés, un peu comme le poisson
Crient, hurlent, chialent, après leurs allocations
Battent des pieds, crient mais jamais ne s’esclaffent
Il n’empêche que nous avons sauvés la CAF
HI HI HI HI HI HI HI HI HI HI HI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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