En passant...
Sans doute qu'aucun(e) d'entre vous n'a-t-il eu à subir l'éducation-élevage d'une mère "domestiquée" par des "bonnes soeurs"....non??....
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Sans doute qu'aucun(e) d'entre vous n'a-t-il eu à subir l'éducation-élevage d'une mère "domestiquée" par des "bonnes soeurs"....non??....
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Et crois-tu, toi Guigomas, que les femmes étaient dociles en 1960 ? ;-))))Moi, Guigomas, j’ai le souvenir qu’en 1960 …elles étaient plus jeunes. ;-))
Ca, je l'ignore SJB, mais tu vas me le dire !
En passant...
Sans doute qu'aucun(e) d'entre vous n'a-t-il eu à subir l'éducation-élevage d'une mère "domestiquée" par des "bonnes soeurs"....non??....
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Oui Laventurière c'est bien ça qui fait toute la différence. J'ai eu des amies qui avaient "subies" ce style d'éducation et qui en ont beaucoup souffert. Elles ont eu surtout beaucoup plus de mal que les autres à se libérer et ont gardé souvent du ressentiment vis à vis de leurs parents. Ce qui est désolant car eux-mêmes avaient dû subir cette éducation rigoriste, voire intolérante, mais la possibilité de s'en sortir était beaucoup plus difficile. Je pense que ce sont les femmes de la génération de ma mère qui ont vécu les moments les plus durs. Elles se heurtaient à des pressions plus fortes, de la religion mais aussi des conventions. Elles nous ont un peu préparé le chemin non?
En passant...
Sans doute qu'aucun(e) d'entre vous n'a-t-il eu à subir l'éducation-élevage d'une mère "domestiquée" par des "bonnes soeurs"....non??....
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Je ne vois pas le rapport avec le fait que, le blog ne citant pas ses sources, ce texte est peu crédible...
Mais il est sûr que dans des familles très "arriérées", ce genre d'éducation a vraiment dû être un calvaire pour les pauvres enfants... N'est-ce pas le sujet du film Le ruban blanc ? Je me trompe peut-être, je n'ai pas vu ce film mais il me semble que cela parle d'une éducation très sévère...
En tout cas Laventurière, fake ou pas, cela a existé et c'est bien de le rappeler pour ne pas retomber dans de telles considérations médiévales.
Mon contre-blog avec Jean-Louis Murat appuyé par Camille
http://dailymotion.com/video/…
On n’avait plus vu
Ces ports de tête à midi
Autant vu d’étoiles
Au firmament
Jamais autant vu
De colombines en taxi
Jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes
Au monde incertain
Faire autant fi des lois de l’hymen
De femmes d’un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser
Autant seuls aux commandes de la tendresse
De femmes nous trouver si sots
Jamais autant vu
De colombines à minuit
Autant de chamades finalement
Jamais autant vu de ces princesses
Qu’on baratine
Jamais autant vu finalement
...
http://dailymotion.com/video/…
On n’avait plus vu
Ces ports de tête à midi
Autant vu d’étoiles
Au firmament
Jamais autant vu
De colombines en taxi
Jamais autant vu finalement
Plus vu de femmes
Au monde incertain
Faire autant fi des lois de l’hymen
De femmes d’un monde nouveau
Plus vu de femmes nous laisser
Autant seuls aux commandes de la tendresse
De femmes nous trouver si sots
Jamais autant vu
De colombines à minuit
Autant de chamades finalement
Jamais autant vu de ces princesses
Qu’on baratine
Jamais autant vu finalement
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Eh bien, moi, je ne pense pas que ce soit inventé !
J'ai lu dans de vieux bouquins des choses qui étaient proches de ce type de littérature !
J'ai lu des trucs pas inventés du tout : des conseils données aux jeunes Américaines, rapportés dans un roman dont j'ai oublié le titre. Il s'agissait de ce qui avait été inculqué par une mère catholique canadienne à sa fille, mais je pense que c'était antérieur à 1960. Ce genre de bouquins a dû être écrit juste après guerre.
Stavro, je ne comprends pas en quoi les femmes seraient mieux à la maison qu'au travail.
Je ne crois pas que le travail libère vraiment, pas plus l'homme que la femme. Mais c'est tout de même stupide de voir qu'une moitié de l'humanité devrait oublier tout ce qu'elle a appris en fac pour torcher les enfants et penser au dîner du mari tous les soirs.
A dire vrai, je pense que c'est sûrement moins crevant de bosser que d'élever 4 gosses !
De plus, je connais trop de cas de mères dévouées, restées au foyer, qui ont été plaquées par leur mari à 45 ou 50 ans. C'est bien la raison des statistiques sur la moyenne des retraites des femmes.
L'une de mes soeurs a travaillé à mi-temps pendant 10 ans, parce qu'elle pouvait s'occuper de ses filles et que son avocat de mari gagnait largement sa vie. Mais il l'a larguée à 45 ans. Il a été parfait, belle pension alimentaire etc. Elle a un travail passionnant, ses filles sont sorties d'affaire... N'empêche qu'elle ne peut absolument pas prendre sa retraite (elle a passé ses 60 ans) bien qu'elle soit crevée parce que cette retraite serait minime. Lui, a pu s'acheter son cabinet + un bel appart, elle a toujours été locataire.
Alors, croyez moi les filles, bossez ! On ne sait jamais de quoi demain sera fait.
J'ai lu dans de vieux bouquins des choses qui étaient proches de ce type de littérature !
J'ai lu des trucs pas inventés du tout : des conseils données aux jeunes Américaines, rapportés dans un roman dont j'ai oublié le titre. Il s'agissait de ce qui avait été inculqué par une mère catholique canadienne à sa fille, mais je pense que c'était antérieur à 1960. Ce genre de bouquins a dû être écrit juste après guerre.
Stavro, je ne comprends pas en quoi les femmes seraient mieux à la maison qu'au travail.
Je ne crois pas que le travail libère vraiment, pas plus l'homme que la femme. Mais c'est tout de même stupide de voir qu'une moitié de l'humanité devrait oublier tout ce qu'elle a appris en fac pour torcher les enfants et penser au dîner du mari tous les soirs.
A dire vrai, je pense que c'est sûrement moins crevant de bosser que d'élever 4 gosses !
De plus, je connais trop de cas de mères dévouées, restées au foyer, qui ont été plaquées par leur mari à 45 ou 50 ans. C'est bien la raison des statistiques sur la moyenne des retraites des femmes.
L'une de mes soeurs a travaillé à mi-temps pendant 10 ans, parce qu'elle pouvait s'occuper de ses filles et que son avocat de mari gagnait largement sa vie. Mais il l'a larguée à 45 ans. Il a été parfait, belle pension alimentaire etc. Elle a un travail passionnant, ses filles sont sorties d'affaire... N'empêche qu'elle ne peut absolument pas prendre sa retraite (elle a passé ses 60 ans) bien qu'elle soit crevée parce que cette retraite serait minime. Lui, a pu s'acheter son cabinet + un bel appart, elle a toujours été locataire.
Alors, croyez moi les filles, bossez ! On ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Très beau, Tistou !
Je suis très ennuyée de voir les hommes de la génération trentenaire se poser autant de questions sur la capacité des femmes à s'attacher à eux.
Quel est le problème, je ne sais pas.
C'est bizarre de voir les relations s'inverser en une génération !
Je suis très ennuyée de voir les hommes de la génération trentenaire se poser autant de questions sur la capacité des femmes à s'attacher à eux.
Quel est le problème, je ne sais pas.
C'est bizarre de voir les relations s'inverser en une génération !
Pour ce qui est de la couture, j'en ai fait en secondaire (lycée de filles) et je trouve ça éminemment utile !
Si mon mari avait fait "travaux manuels", ça se saurait ! :o))))
Si mon mari avait fait "travaux manuels", ça se saurait ! :o))))
Pour ce qui est de la couture, j'en ai fait en secondaire (lycée de filles) et je trouve ça éminemment utile !
Si mon mari avait fait "travaux manuels", ça se saurait ! :o))))
La remarque qui tue !
Si mon mari avait fait "travaux manuels", ça se saurait ! :o))))
La remarque qui tue !
Trop drôle Aria! je suis bien prête à penser la même chose.....:-))
Stavro, je ne comprends pas en quoi les femmes seraient mieux à la maison qu'au travail.
Moi non plus, je ne comprends pas. D'ailleurs, jamais je n'ai dit ça.
J'ai dit, par contre, que l'évolution de la condition des femmes au cours des cinquante dernières années mériterait une réflexion approfondie plutôt qu'une caricature comme celle que tu m'attribues.
Cependant, je pense que non, le travail (salarié) n'est pas libérateur. Il ne l'est d'ailleurs pas plus pour l'homme que pour la femme, je le disais plus haut et je vois qu'on est d'accord sur ce point.
Stavro, tu as écrit dans ton post :
"du mari à la carrière, n'ont-elles pas quitté un maître pour un autre ?"
N'était-il pas possible de comprendre que les femmes n'avaient le choix qu'entre Charybde et Scylla ?
Je ne crois pas avoir caricaturé ta pensée, je l'ai juste un peu mise à ma sauce.
Tu manques d'humour, très cher !
Que veux-tu, je n'ai pas ton admirable plume ni ton insensée capacité à raisonner justement. Je ne suis qu'une femme ! ;o))
"du mari à la carrière, n'ont-elles pas quitté un maître pour un autre ?"
N'était-il pas possible de comprendre que les femmes n'avaient le choix qu'entre Charybde et Scylla ?
Je ne crois pas avoir caricaturé ta pensée, je l'ai juste un peu mise à ma sauce.
Tu manques d'humour, très cher !
Que veux-tu, je n'ai pas ton admirable plume ni ton insensée capacité à raisonner justement. Je ne suis qu'une femme ! ;o))
Non, moi je posais une question - en précisant avant même de la poser qu'elle était caricaturale.
Je n'ai pas dit qu'elles étaient mieux à la maison qu'au travail, j'ai juste dit qu'elles n'étaient toujours pas libérées - d'ailleurs, l'homme ne l'est pas non plus.
La femme s'est peut-être défait en partie de l'emprise de l'homme (encore que, d'une certaine façon, votre comportement est encore bien modelé par les attentes masculines, seulement, on les déguise en attentes "sociales" - ça me semble évident dans le cas du travail -, mais comme de manière générale, ce sont toujours les hommes qui occupent les postes au sommet de la société, ça revient au même) - je disais donc que la femme s'est peut-être défaite de l'emprise de l'homme, mais que de là à savoir si, vraiment, elle était libérée, c'était une autre question.
Je n'ai pas dit qu'elles étaient mieux à la maison qu'au travail, j'ai juste dit qu'elles n'étaient toujours pas libérées - d'ailleurs, l'homme ne l'est pas non plus.
La femme s'est peut-être défait en partie de l'emprise de l'homme (encore que, d'une certaine façon, votre comportement est encore bien modelé par les attentes masculines, seulement, on les déguise en attentes "sociales" - ça me semble évident dans le cas du travail -, mais comme de manière générale, ce sont toujours les hommes qui occupent les postes au sommet de la société, ça revient au même) - je disais donc que la femme s'est peut-être défaite de l'emprise de l'homme, mais que de là à savoir si, vraiment, elle était libérée, c'était une autre question.
La femme s'est libérée (ou a été libérée) de certaines règles juridiques ou conventionnelles concernant les rapports en famille et dans la société. . Le travail libère par l'indépendance qu'il procure au niveau financier et, espèrons , intellectuel aussi à condition d'en avoir un qui correspond aux aspirations ce qui est malheureusement pas souvent le cas. Mais je ne sais pas trop ce que veut dire "libérée" dans le domaine personnel. Il y a tant de femmes et d'hommes qui se crée leurs propres chaines.... Moi ce qui me parait important c'est que les femmes n'imitent pas les hommes et s'assument en tant que telles. C'est à dire formidables :-))))))
Ceux qui doutent du texte du premier post regarderont avec profit la série historique "Mad men" qui propose une typologie des femmes des années 60, le modèle étant celle décrite plus haut. Ce qui est particulièrement intéressant c'est qu'on les voit évoluer pendant les années soixantes et très progressivement se libérer.
Que ceux qui craignent une série trop féministes se rassurent , le personnage principal est un homme à qui sa secrétaire apporte un café (ou du whisky) tous les matins ;-).
Que ceux qui craignent une série trop féministes se rassurent , le personnage principal est un homme à qui sa secrétaire apporte un café (ou du whisky) tous les matins ;-).
Pourquoi "trop féministe", Avada ?
Je vais faire "vieille rombière", mais je pense que les femmes doivent être féministes sous peine de voir les progrès engrangés disparaître petit à petit.
En 1974, notre chef de service passait dans les bureaux en disant tea-time, tea-time ! Les hommes sortaient leur mug du tiroir et c'était toujours la même femme qui partait remplir la bouilloire et servait l'eau bouillante à ces Messieurs. Quand je suis arrivée dans le service, mon patron a dit "Ah, Michèle (la dame), maintenant vous allez avoir de l'aide avec Aria !"
J'ai dit "quelle aide ?" Il n'y a pas un homme qui sache remplir une bouilloire dans ce service ? Pas besoin de sortir de polytechnique, pourtant !" Michèle a pris la bouilloire, l'air résigné, mais le patron l'a enlevée de ses mains et est parti la remplir pour faire le service du thé.
Je vais faire "vieille rombière", mais je pense que les femmes doivent être féministes sous peine de voir les progrès engrangés disparaître petit à petit.
En 1974, notre chef de service passait dans les bureaux en disant tea-time, tea-time ! Les hommes sortaient leur mug du tiroir et c'était toujours la même femme qui partait remplir la bouilloire et servait l'eau bouillante à ces Messieurs. Quand je suis arrivée dans le service, mon patron a dit "Ah, Michèle (la dame), maintenant vous allez avoir de l'aide avec Aria !"
J'ai dit "quelle aide ?" Il n'y a pas un homme qui sache remplir une bouilloire dans ce service ? Pas besoin de sortir de polytechnique, pourtant !" Michèle a pris la bouilloire, l'air résigné, mais le patron l'a enlevée de ses mains et est parti la remplir pour faire le service du thé.
Aria, je m'adressais à Stavroguine ;-).
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