Très interressant tout ça! :) Je n'ai pas trop le temps de l'expérimenter en ce moment mais à l'occasion je me pencherais dessus! :)
Le exercices d'entrainements doivent être prévus sur des feuilles de textes genre A4, à mon avis...
Le exercices d'entrainements doivent être prévus sur des feuilles de textes genre A4, à mon avis...
Intéressant, sans aucun doute. Il y a tant de circonstances où on voudrait lire plus vite que ça vaut la peine d'essayer. .
Tu nous diras si tu y arrives, Dirlandaise.
Mais fondamentalement, je crois qu'il y a des dispositions de la vue qui permettent de lire plus vite ou moins vite.
Il y a par exemple, des gens qui ont tendance à lire de droite à gauche (et pourtant ils ne sont pas Arabes) ;-))
C'est la dyslexie, je crois.
Tu nous diras si tu y arrives, Dirlandaise.
Mais fondamentalement, je crois qu'il y a des dispositions de la vue qui permettent de lire plus vite ou moins vite.
Il y a par exemple, des gens qui ont tendance à lire de droite à gauche (et pourtant ils ne sont pas Arabes) ;-))
C'est la dyslexie, je crois.
On sait aussi qu'un journaliste met l'esentiel de son texte dans les 5 premières lignes et qu'ensuite ne fait que développer avant de conclure. Donc il suffit de lire les premières et les dernières lignes pour connaître le contenu de l'article, le reste n'intéresse que ceux qui sont concernés par le sujet.
C'est un peu réducteur. Il est vrai aussi que les journalistes sont des écrivains ratés ;))
En réalité, le journaliste doit donner l'info dans son chapô qui obéit à la règle des 5 W. Il doit répondre: Who, what, when, why et How (c'est pas un vrai W). C'est une info brute.
Ensuite, il développe tout en donnant de nouvelles infos, de la consistance. La chute, si elle est bonne, peut donner une nouvelle info ou faire réfléchir le lecteur. Un article, c'est l'inverse d'une dissertation. Le plus important est au début car si on doit couper ou tailler, on le fait à partir de la fin.
Mais en aucun cas, le reste, c'est-à-dire l'article, n'intéresse que les lecteurs concernés. Le chapô a le rôle aussi de donner envie au lecteur pas concerné par le sujet en question de lire la suite.
C'est comme cela qu'on s'enrichit. Il n'y a pas que les livres. J'aimerai tellement que les instits apprennent à lire à leurs élèves aussi à partir de journaux comme les clés de l'actu qui sont moins bébêtes que certains livres un peu "bébé".
Enfin, c'est mon avis.
En lisant le début et la fin, je sais de quoi tu vas me parler et s'il faut que je lise le reste !
Voici la quatrième leçon de notre cours de lecture rapide :
"Ce que vous lisez doit déterminer votre vitesse de lecture. Ne lisez pas de la même façon un roman, une communication scientifique ou le journal !
Voici plusieurs manières de lire :
1. La lecture orientée :
Vous survolez un texte en ne portant votre attention que sur certaines affirmations ou certains enchaînements. Ainsi vous n'assimilez que ce qui vaut la peine pour vous.
2. La lecture normale :
En lisant normalement, vous assimilez un texte en détails. Un roman par exemple, dont vous tirez plaisir, peut mériter une lecture de ce genre. Vous voulez faire durer le plaisir.
3. La lecture intensive :
Elle est utile pour la lecture de textes scientifiques, techniques, juridiques ou philosophiques.
Comment lire ? Curieusement les livres qui expliquent comment lire pour mieux tirer partie de nos lectures sont assez rares. En règle générale, approchez un livre en commençant par lire la table des matières. Cela vous donnera une vue d'ensemble. vous repérerez aussi les chapitres à ne pas manquer. Étudiez aussi la quatrième de couverture, celle qui explique ce que contient le livre.
Demandez-vous ce que vous voulez retirer de votre lecture. Fixez-vous un objectif. Dan Lok, un infopreneur américain adepte de la lecture rapide, se donne pour objectif de retirer d'un livre de business trois idées applicables à son affaire. Trois idées seulement et il est content de sa lecture.
Pour les articles, commencez par lire le chapeau (ce qui est imprimé en plus gros caractère au début, juste après le titre), qui équivaut à l'introduction d'un livre car là vous découvrez l'intention de l'auteur. Puis lisez la conclusion. Cette approche vous permet de savoir très rapidement si oui ou non cet article est important pour vous et quel style de lecture il mérite par rapport à votre objectif.
Dans la prochaine et dernière leçon, nous verrons les pièges de la lecture traditionnelle dans lesquels tombent la majorité des gens et comment faire pour les éviter."
Voilà pour la quatrième leçon. ;-)
"Ce que vous lisez doit déterminer votre vitesse de lecture. Ne lisez pas de la même façon un roman, une communication scientifique ou le journal !
Voici plusieurs manières de lire :
1. La lecture orientée :
Vous survolez un texte en ne portant votre attention que sur certaines affirmations ou certains enchaînements. Ainsi vous n'assimilez que ce qui vaut la peine pour vous.
2. La lecture normale :
En lisant normalement, vous assimilez un texte en détails. Un roman par exemple, dont vous tirez plaisir, peut mériter une lecture de ce genre. Vous voulez faire durer le plaisir.
3. La lecture intensive :
Elle est utile pour la lecture de textes scientifiques, techniques, juridiques ou philosophiques.
Comment lire ? Curieusement les livres qui expliquent comment lire pour mieux tirer partie de nos lectures sont assez rares. En règle générale, approchez un livre en commençant par lire la table des matières. Cela vous donnera une vue d'ensemble. vous repérerez aussi les chapitres à ne pas manquer. Étudiez aussi la quatrième de couverture, celle qui explique ce que contient le livre.
Demandez-vous ce que vous voulez retirer de votre lecture. Fixez-vous un objectif. Dan Lok, un infopreneur américain adepte de la lecture rapide, se donne pour objectif de retirer d'un livre de business trois idées applicables à son affaire. Trois idées seulement et il est content de sa lecture.
Pour les articles, commencez par lire le chapeau (ce qui est imprimé en plus gros caractère au début, juste après le titre), qui équivaut à l'introduction d'un livre car là vous découvrez l'intention de l'auteur. Puis lisez la conclusion. Cette approche vous permet de savoir très rapidement si oui ou non cet article est important pour vous et quel style de lecture il mérite par rapport à votre objectif.
Dans la prochaine et dernière leçon, nous verrons les pièges de la lecture traditionnelle dans lesquels tombent la majorité des gens et comment faire pour les éviter."
Voilà pour la quatrième leçon. ;-)
Oui, toujours aussi intéressant, sans aucun doute mais je reste un peu septique quand même.
Pour la quatre couverture je ne suis pas d'accord. Je ne la lis jamais avant mais après.
Parce que j'ai peur qu'elle ne dévoile l'intrigue, même partiellement.
Si on dit, par exemple, "dès que Germaine est divorcée... et patati et patata..." Le lecteur saura d'avance que Germaine va divorcer ; et peut-être que ça n'arrive qu'au milieu du roman. En attendant vous avez lu la première moitié en sachant ce qui va arriver à Germaine et alors ça change tout. L'auteur ne l'a pas voulu comme ça puisqu'il ne le dit qu'à la moitié...
Vous comprenez ?
Pour la quatre couverture je ne suis pas d'accord. Je ne la lis jamais avant mais après.
Parce que j'ai peur qu'elle ne dévoile l'intrigue, même partiellement.
Si on dit, par exemple, "dès que Germaine est divorcée... et patati et patata..." Le lecteur saura d'avance que Germaine va divorcer ; et peut-être que ça n'arrive qu'au milieu du roman. En attendant vous avez lu la première moitié en sachant ce qui va arriver à Germaine et alors ça change tout. L'auteur ne l'a pas voulu comme ça puisqu'il ne le dit qu'à la moitié...
Vous comprenez ?
La 4e de couverture, c'est valable pour les livres non littéraires, si j'ai bien suivi la leçon.
Sinon, oui, pour la littérature, ce serait beaucoup mieux s'il n'y en avait pas, comme autrefois. Les 4e, ça me fait penser à ces trucs qu'on prend pour faciliter la digestion, comme si on n'avait pas l'estomac assez solide.
Sinon, oui, pour la littérature, ce serait beaucoup mieux s'il n'y en avait pas, comme autrefois. Les 4e, ça me fait penser à ces trucs qu'on prend pour faciliter la digestion, comme si on n'avait pas l'estomac assez solide.
Moi ça me ferait plutôt penser à un appât qu'on mettrait dans un piège à gogo.
Oui, toujours aussi intéressant, sans aucun doute mais je reste un peu septique quand même.
Pour la quatre couverture je ne suis pas d'accord. Je ne la lis jamais avant mais après.
Parce que j'ai peur qu'elle ne dévoile l'intrigue, même partiellement.
Si on dit, par exemple, "dès que Germaine est divorcée... et patati et patata..." Le lecteur saura d'avance que Germaine va divorcer ; et peut-être que ça n'arrive qu'au milieu du roman. En attendant vous avez lu la première moitié en sachant ce qui va arriver à Germaine et alors ça change tout. L'auteur ne l'a pas voulu comme ça puisqu'il ne le dit qu'à la moitié...
Vous comprenez ?
C'est vrai qu'en y pensant c'est très sensé, mais je n'ai personnellement jamais eu l'impression que la 4e de couverture me gachais le suspense...
Personnellement je peux passer une heure dans une librairie à lire des 4e de couvertures sans trouver un livre qui m'inspire alors comment choisir en en faisant abstraction?
Maintenant que j'y pense, c'est peut être le cas avec peau de chagrin qui attends encore sur ma table de nuit. En lisant le petit résumé sur le site sur lequel je l'ai acheté j'ai l'impression de connaitre presque toute l'histoire, cela dit y a tellement à retirer d'un bouquin qu'on peut aussi voir ça comme une occasion de ce focaliser plus facilement sur autrechose que les rebondissement. (sans que tout le suspsense soit gaché non plus, évidement.)
Moi, j'aime bien la 4ème de couv.
Ca ne me dispense jamais d'aller voir à l'intérieur du livre.
Ca ne me dispense jamais d'aller voir à l'intérieur du livre.
Moi, je vais apprendre la lecture rapide pour lire les posts de Dirlandaise !
La 4 de couv c'est tout de même pratique pour éviter les erreurs de casting quand on ne connaît pas bien l'auteur !
La 4 de couv c'est tout de même pratique pour éviter les erreurs de casting quand on ne connaît pas bien l'auteur !
Oui, toujours aussi intéressant, sans aucun doute mais je reste un peu septique quand même.
Pour la quatre couverture je ne suis pas d'accord. Je ne la lis jamais avant mais après.
Parce que j'ai peur qu'elle ne dévoile l'intrigue, même partiellement.
Si on dit, par exemple, "dès que Germaine est divorcée... et patati et patata..." Le lecteur saura d'avance que Germaine va divorcer ; et peut-être que ça n'arrive qu'au milieu du roman. En attendant vous avez lu la première moitié en sachant ce qui va arriver à Germaine et alors ça change tout. L'auteur ne l'a pas voulu comme ça puisqu'il ne le dit qu'à la moitié...
Vous comprenez ?
oui Sjb, on comprend.
J'aime bien lire le 4ème couv., la préface et la postface, mais après avoir lu le livre ! Ils devraient faire comme pour le reste : mettre un message du style : "Félicitation pour votre nouvel achat. Nous espérons que vous n'en aurez que du plaisir..etc."
Cinquième leçon : Les pièges de la lecture traditionnelle
"Ce qui surprend le plus ceux qui apprennent la "lecture éclair", c'est combien il est facile de progresser, même si au départ on se croit incapable d'y parvenir.
Voici quelques-uns des pièges qui empêchent votre talent naturel de super-lecteur de s'épanouir :
1. Comme vous avez appris la lecture à haute voix, sans que vous le sachiez vous continuez à utiliser de manière imperceptible vos cordes vocales en lisant. Or ce mouvement musculaire va moins vite que votre pensée. Il vous ralentit donc.
2. Comme vous avez appris à lire mot à mot, votre regard se déplace de nombreuses fois sur chaque ligne, et cela fatigue vos yeux et ralentit aussi votre lecture.
3. Je suis sûr que vous ne connaissez pas votre temps de fixation. C'est un obstacle majeur à la lecture éclair. L'oeil se repose sur des sortes d'étapes et bien sûr on peut changer tout cela.
Alors qu'un discours entendu à la radio, à la télé, dans une conférence ou dans un cours, arrive à la vitesse de l'expression orale, soit environ à 9.000 mots à l'heure, la plupart des gens, en lisant, s'instruisent à la vitesse de 27.000 mots à l'heure !
On apprend 3 fois plus de choses en lisant qu'en écoutant ! La lecture et donc le moyen le plus RAPIDE qui existe pour acquérir des connaissances.
Les techniques de lecture rapide et de super-mémorisation ne requièrent ni un quotient intellectuel plus élevé que la moyenne, ni une vision spéciale.
A dire vrai, l'un des meilleurs super-lecteur que la terre ait jamais porté, Jacques Bergier (il lisait près de 2.500 mots à la minute avec une compréhension parfaite) était myope et astigmate, et ne pouvait pas lire à plus de 30 cm de ses yeux !
Il y a plusieurs façons de lire un livre. Vous avez la manière commune. Celle qu'emploie presque tout le monde. Et puis vous avez la manière "intelligente" ou "ouverte"...
Lire un livre d'une manière intelligente, c'est déjà le lire plus vite, et le comprendre bien mieux. En effet, avec une technique bien huilée, vous arrivez à comprendre la manière d'écrire de l'auteur assez vite lorsque vous commencez à lire le livre, ce qui vous ouvre l'esprit pour comprendre la suite. En quelque sorte, vous pouvez presque arriver à deviner ce dont l'auteur va parler AVANT qu'il ne l'écrive.
En fait, tout le monde peut apprendre à lire plus vite ! Que vous soyez étudiant, secrétaire, médecin, avocat, commercial, vous pouvez facilement DOUBLER votre vitesse de lecture en très peu de temps...
Fin ;-)
"Ce qui surprend le plus ceux qui apprennent la "lecture éclair", c'est combien il est facile de progresser, même si au départ on se croit incapable d'y parvenir.
Voici quelques-uns des pièges qui empêchent votre talent naturel de super-lecteur de s'épanouir :
1. Comme vous avez appris la lecture à haute voix, sans que vous le sachiez vous continuez à utiliser de manière imperceptible vos cordes vocales en lisant. Or ce mouvement musculaire va moins vite que votre pensée. Il vous ralentit donc.
2. Comme vous avez appris à lire mot à mot, votre regard se déplace de nombreuses fois sur chaque ligne, et cela fatigue vos yeux et ralentit aussi votre lecture.
3. Je suis sûr que vous ne connaissez pas votre temps de fixation. C'est un obstacle majeur à la lecture éclair. L'oeil se repose sur des sortes d'étapes et bien sûr on peut changer tout cela.
Alors qu'un discours entendu à la radio, à la télé, dans une conférence ou dans un cours, arrive à la vitesse de l'expression orale, soit environ à 9.000 mots à l'heure, la plupart des gens, en lisant, s'instruisent à la vitesse de 27.000 mots à l'heure !
On apprend 3 fois plus de choses en lisant qu'en écoutant ! La lecture et donc le moyen le plus RAPIDE qui existe pour acquérir des connaissances.
Les techniques de lecture rapide et de super-mémorisation ne requièrent ni un quotient intellectuel plus élevé que la moyenne, ni une vision spéciale.
A dire vrai, l'un des meilleurs super-lecteur que la terre ait jamais porté, Jacques Bergier (il lisait près de 2.500 mots à la minute avec une compréhension parfaite) était myope et astigmate, et ne pouvait pas lire à plus de 30 cm de ses yeux !
Il y a plusieurs façons de lire un livre. Vous avez la manière commune. Celle qu'emploie presque tout le monde. Et puis vous avez la manière "intelligente" ou "ouverte"...
Lire un livre d'une manière intelligente, c'est déjà le lire plus vite, et le comprendre bien mieux. En effet, avec une technique bien huilée, vous arrivez à comprendre la manière d'écrire de l'auteur assez vite lorsque vous commencez à lire le livre, ce qui vous ouvre l'esprit pour comprendre la suite. En quelque sorte, vous pouvez presque arriver à deviner ce dont l'auteur va parler AVANT qu'il ne l'écrive.
En fait, tout le monde peut apprendre à lire plus vite ! Que vous soyez étudiant, secrétaire, médecin, avocat, commercial, vous pouvez facilement DOUBLER votre vitesse de lecture en très peu de temps...
Fin ;-)
Merci pour les leçons de lecture rapide.
Cela m’a bien plu parce que je me suis souvenu de mes années d’étudiant lorsque, désargenté, j’ai voulu donner un coup de fouet à mon train de vie miséreux. J’avais trouvé dans la presse une annonce proposant de vendre une méthode de lecture rapide (la méthode « Richaudeau »). Bien sûr, on avait un pourcentage sur chaque vente. Mais il fallait d’abord acheter soi-même la méthode afin de la proposer aux gogos, en faisant du porte à porte. J’ai donc acheté le gros bouquin très cher et ai dû constater quelques jours plus tard que je n’étais pas fait pour la vente : rien, nada, pas un succès. Et en plus, j’avais honte de moi à chaque fois que je sonnais à une porte. Mon « investissement » n’était donc qu’une dépense inutile. Rétrospectivement, je me suis dis que Richaudeau vendait sa méthode essentiellement en la fourguant aux candidats vendeurs comme moi…
Très déconfit, j’ai essayé d’atténuer le choc en lisant ce qui m’avait coûté si cher. Et c’était effectivement passionnant.
Mais il faut l’avouer, c’est comme les méthodes de langues dont on fait l’acquisition des rêves pleins la tête : on fait les cinq premières leçons puis on oublie.
Maintenant que je ne lis presque plus de fiction, je m’y remettrais bien. Mais où est passée cette sacrée méthode ? Caramba ! Perdue. Je ne vais tout de même pas en racheter une !
Cela m’a bien plu parce que je me suis souvenu de mes années d’étudiant lorsque, désargenté, j’ai voulu donner un coup de fouet à mon train de vie miséreux. J’avais trouvé dans la presse une annonce proposant de vendre une méthode de lecture rapide (la méthode « Richaudeau »). Bien sûr, on avait un pourcentage sur chaque vente. Mais il fallait d’abord acheter soi-même la méthode afin de la proposer aux gogos, en faisant du porte à porte. J’ai donc acheté le gros bouquin très cher et ai dû constater quelques jours plus tard que je n’étais pas fait pour la vente : rien, nada, pas un succès. Et en plus, j’avais honte de moi à chaque fois que je sonnais à une porte. Mon « investissement » n’était donc qu’une dépense inutile. Rétrospectivement, je me suis dis que Richaudeau vendait sa méthode essentiellement en la fourguant aux candidats vendeurs comme moi…
Très déconfit, j’ai essayé d’atténuer le choc en lisant ce qui m’avait coûté si cher. Et c’était effectivement passionnant.
Mais il faut l’avouer, c’est comme les méthodes de langues dont on fait l’acquisition des rêves pleins la tête : on fait les cinq premières leçons puis on oublie.
Maintenant que je ne lis presque plus de fiction, je m’y remettrais bien. Mais où est passée cette sacrée méthode ? Caramba ! Perdue. Je ne vais tout de même pas en racheter une !
A propos des 4e de couverture.
Il fut une époque où Critlib encourageait à recopier la 4 de couverture. J’aimais bien.
D’une part, comme ce n’était pas dans le corps de la critique, chacun pouvait éviter de la lire s’il le désirait. D’autre part, cela poussait un peu à la créativité ceux des « critiqueurs » qui avaient tendance à s’inspirer de cette 4 de couverture pour meubler leur intervention. Ils étaient presque obligés de faire autre chose. Et puis des 4 de couverture qui annoncent le divorce de Germaine avant qu’elle-même ne le sache, ce n’est pas si courant…
Il fut une époque où Critlib encourageait à recopier la 4 de couverture. J’aimais bien.
D’une part, comme ce n’était pas dans le corps de la critique, chacun pouvait éviter de la lire s’il le désirait. D’autre part, cela poussait un peu à la créativité ceux des « critiqueurs » qui avaient tendance à s’inspirer de cette 4 de couverture pour meubler leur intervention. Ils étaient presque obligés de faire autre chose. Et puis des 4 de couverture qui annoncent le divorce de Germaine avant qu’elle-même ne le sache, ce n’est pas si courant…
A propos des 4e de couverture.
Il fut une époque où Critlib encourageait à recopier la 4 de couverture. J’aimais bien.
D’une part, comme ce n’était pas dans le corps de la critique, chacun pouvait éviter de la lire s’il le désirait. D’autre part, cela poussait un peu à la créativité ceux des « critiqueurs » qui avaient tendance à s’inspirer de cette 4 de couverture pour meubler leur intervention. Ils étaient presque obligés de faire autre chose. Et puis des 4 de couverture qui annoncent le divorce de Germaine avant qu’elle-même ne le sache, ce n’est pas si courant…
Merci Bolcho pour ton témoignage sur la lecture rapide !
Pour les quatrièmes de couverture, je me suis souvent fait prendre à la lire et une bonne partie de l'intrigue y était dévoilée alors je suis plus prudente. Quand je vois que ça en dit trop, j'arrête tout simplement.
Je n'aime pas non plus lire les préfaces qui sont souvent ennuyeuses. Je les lis toujours après ou pas du tout ! Je me souviens d'un polar dont la quatrième racontait que Miss Untel avait été retrouvée morte par Untel ! Franchement, qu'on nous laisse découvrir par nous-même ! Certaines sont bien rédigées par contre et méritent qu'on les lisent mais ce n'est pas la majorité. ;-)
C'est un peu daté ces histoires de lecture rapide. Il y avait même des entraînements pour augmenter son empan visuel, augmenter sa vitesse tout en conservant une bonne compréhension.
En fait je conseille de lire Les neurones de la lectures de Dehaene Stanislas. Les dernières recherches en neuropsy montrent que cela ne sert à rien d'augmenter la vitesse de lecture, ça ne marche pas.
Par contre ce livre est vraiment intéressant ...
En fait je conseille de lire Les neurones de la lectures de Dehaene Stanislas. Les dernières recherches en neuropsy montrent que cela ne sert à rien d'augmenter la vitesse de lecture, ça ne marche pas.
Par contre ce livre est vraiment intéressant ...
Bonjour Dirlandaise
Merci pour ces conseils de lecture rapide très intéressants. Est-ce que vous allez continuer de mettre d'autres leçons sur ce forum ? Ca serait super, j'attends avec impatience la suite de vos messages. Merci d'avance.
Merci pour ces conseils de lecture rapide très intéressants. Est-ce que vous allez continuer de mettre d'autres leçons sur ce forum ? Ca serait super, j'attends avec impatience la suite de vos messages. Merci d'avance.
Bonjour Dirlandaise
Merci pour ces conseils de lecture rapide très intéressants. Est-ce que vous allez continuer de mettre d'autres leçons sur ce forum ? Ca serait super, j'attends avec impatience la suite de vos messages. Merci d'avance.
Une Doloise ?
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