Ah bon, voilà les deux qui nous manquait !
Kilis arrive bien à temps avec ses conseils d'aller en avant !
- Gueule ouverte, bois le vent
- Et couche avec l'outrance
- Pas d'erreur, pas d'errance
- T'es cap bonne espérance
C'est pas bien dit ça ? roulez jeunesse ! Et bravo Kilis !
On s'est demandé ce que Bolcho était devenu, mais le voilà !
Et comment !
Quel régal que ces alexandrins parfaits ! Et quel régal que cette poésie !
- Et la tempête meurt pour étouffer le vent
- Le soleil s'est couché cette fois au levant (une trouvaille !)
- Le reste de mon temps n'est plus que vaine errance
On te croyait au cercle des poètes disparus ! C'est la bonne surprise de ce dimanche. S'il y en a d'autres ils seront les bienvenus.
Kilis arrive bien à temps avec ses conseils d'aller en avant !
- Gueule ouverte, bois le vent
- Et couche avec l'outrance
- Pas d'erreur, pas d'errance
- T'es cap bonne espérance
C'est pas bien dit ça ? roulez jeunesse ! Et bravo Kilis !
On s'est demandé ce que Bolcho était devenu, mais le voilà !
Et comment !
Quel régal que ces alexandrins parfaits ! Et quel régal que cette poésie !
- Et la tempête meurt pour étouffer le vent
- Le soleil s'est couché cette fois au levant (une trouvaille !)
- Le reste de mon temps n'est plus que vaine errance
On te croyait au cercle des poètes disparus ! C'est la bonne surprise de ce dimanche. S'il y en a d'autres ils seront les bienvenus.
Ca fait volutes de fumée, Mentor, qui de déroulene, s'enroulent et se déploient dans l'air. Je ne cherche pas à comprendre un sens particulier mais ça me fait cette impression.
Ca fait volutes de fumée, Mentor, qui de déroulene, s'enroulent et se déploient dans l'air. Je ne cherche pas à comprendre un sens particulier mais ça me fait cette impression.
Qui se DEROULENT évidemment !
C'est du sauvage Kilis. Du brut.
On te reconnait.
On te reconnait.
C'est propre, clean, bien fichu mais ça ne m'a pas parlé Bolcho. Comme désincarné (ou alors c'est moi qui le suis ?).
Et merci Blue pour avoir repris le flambeau de Yali pour le condensé du samedi. Vous en trouverez des femmes comme ça ?
Charmé par les vertus du pantoum et de ses talentueux adeptes, je livre ma contribution. J'observe que je ne suis pas le seul à powétiser le dimanche après-midi...
Je marche sur tous les parfums. Fragrances.
Regards d’abeille emportés par le vent.
C’est quoi, ce piaf brun, un engoulevent ?
A vue de nez, l’oeil d’oeuf jaune, quelle outrance !
Regards d’abeille emportés par le vent.
Les panthères noires de l’opulence.
A vue de nez, l’oeil d’oeuf jaune, quelle outrance !
Nuits qu’on effeuille au matin; moi devant
Les panthères noires de l’opulence.
Je me couche dans le soleil levant.
Nuits qu’on effeuille au matin; moi devant
Que rien ne retient au nid sauf l’errance.
Je me couche dans le soleil levant
Pour endormir ma rapace espérance
Que rien ne retient au nid sauf l’errance
Des marches tendres, des beaux jeux d’enfant.
Je marche sur tous les parfums. Fragrances.
Regards d’abeille emportés par le vent.
C’est quoi, ce piaf brun, un engoulevent ?
A vue de nez, l’oeil d’oeuf jaune, quelle outrance !
Regards d’abeille emportés par le vent.
Les panthères noires de l’opulence.
A vue de nez, l’oeil d’oeuf jaune, quelle outrance !
Nuits qu’on effeuille au matin; moi devant
Les panthères noires de l’opulence.
Je me couche dans le soleil levant.
Nuits qu’on effeuille au matin; moi devant
Que rien ne retient au nid sauf l’errance.
Je me couche dans le soleil levant
Pour endormir ma rapace espérance
Que rien ne retient au nid sauf l’errance
Des marches tendres, des beaux jeux d’enfant.
Passablement abscons, trouve-je Kinbote ! Mais pour de la poèsie c'est hautement recommandé.
Me voici tout content d’être passé quand même et d’avoir pu me délecter de tout ça.
En ce qui concerne l’intervention de Loupbleu, bravo pour le clin d’œil coquin. J’imagine que toutes les filles du site vont maintenant reluquer le soleil levant d’un regard flatté, mais qu’elles se méfieront des soirs et des soleils couchants. On ne peut pas tout avoir.
Chez Fée Carabine, je me pourlèche l’imagination en me repassant cette « ombre délicate dans le vent » qui nous titille tous les sens en peu de mots. Une avancée mystique Fée ? Très joli en tous les cas. Quant à Saint Jean Baptiste, qui nous tricote des alexandrins élégants et racés, il nous fait aujourd’hui dans les tons plus sombres. Ce moins d’allant s’accompagne, je trouve, d’un peu moins d’élan aussi. J’aime bien le « Aussi bien je deviens comme j’étais enfant ». Etrange texte de Nothingman. Etonnante cette versification étirée où les vers n’en finissent pas et finissent par jouer à la prose tant ils s’étendent dans la lourdeur d’un printemps chaud. Très belle unité d’ensemble pourtant. N’est-ce pas qu’elles sont belles, Nothingman ? Tistou, lui, nous met face au mystère du sniffeur de résine. On sent qu’un personnage est né, mais qui est-il ? Parait qu’il n’est pas trotteur, ce sniffeur de forêt montagnarde. Allez savoir. Chez Killgrieg, je suis un peu resté bouche bée face à ce « Te voulais pour toujours dessous, dessus, devant ». Pour un peu, il nous mettait le Kamasoutra en vers, Killgrieg, et joliment en plus. Devant un « fruit juteux », il se retient à peine. Tout le verger en est encore ému. Blue, vais-je oser lui dire que son premier ne me séduit pas trop ? Un peu mécanique et abrupt, ce conte pour deux enfants pas sages. Mais le deuxième, ce n’est rien que du Beau. Je suis comme SJB plein d’enthousiasme pour le « s’amoure à distance » et les « Fantômes du passé devant » ou les « Moulée par le soleil levant » ! Quant à Sib, oh les beaux vers ! Grandiose. Rythme, ampleur, propos : chapeau !
« Tourné vers le côté d’où lui vient l’espérance,
Changeant en destinée ce qui fut son errance »
SJB a raison là aussi (il a toujours raison), c’est du Baudelaire.
Chez Mentor, on a ce « Là haut, si haut, au plus haut des outrances », un vers qui a lui seul est une outrance mais vaut le déplacement. Quatre fois le son « au » sur 10 pieds, et c’est tout bon quand même. Mentor, « subtil du ponant au levant » nous dit quoi, exactement ? Lorsqu’il Kilis s’en mêle, c’est une force qui va. Cela sent les embruns qui claquent et les excès qui enivrent, ça sonne à tous les vers et à tous les étages, ça martèle son rythme. Fouette cocher ! Kinbote il me reste qui débarque. « Regards d’abeille emportés par le vent », « A vue de nez, l’œil d’œuf jaune, quelle outrance », un texte qui « marche sur tous les parfums » et qui nous en fait voir de toutes les couleurs. Et comme le dit ensuite Tistou, plus c’est abscons, moins c’est
Bon, j’aurais mieux fait de la fermer.
Bonne journée à tous.
En ce qui concerne l’intervention de Loupbleu, bravo pour le clin d’œil coquin. J’imagine que toutes les filles du site vont maintenant reluquer le soleil levant d’un regard flatté, mais qu’elles se méfieront des soirs et des soleils couchants. On ne peut pas tout avoir.
Chez Fée Carabine, je me pourlèche l’imagination en me repassant cette « ombre délicate dans le vent » qui nous titille tous les sens en peu de mots. Une avancée mystique Fée ? Très joli en tous les cas. Quant à Saint Jean Baptiste, qui nous tricote des alexandrins élégants et racés, il nous fait aujourd’hui dans les tons plus sombres. Ce moins d’allant s’accompagne, je trouve, d’un peu moins d’élan aussi. J’aime bien le « Aussi bien je deviens comme j’étais enfant ». Etrange texte de Nothingman. Etonnante cette versification étirée où les vers n’en finissent pas et finissent par jouer à la prose tant ils s’étendent dans la lourdeur d’un printemps chaud. Très belle unité d’ensemble pourtant. N’est-ce pas qu’elles sont belles, Nothingman ? Tistou, lui, nous met face au mystère du sniffeur de résine. On sent qu’un personnage est né, mais qui est-il ? Parait qu’il n’est pas trotteur, ce sniffeur de forêt montagnarde. Allez savoir. Chez Killgrieg, je suis un peu resté bouche bée face à ce « Te voulais pour toujours dessous, dessus, devant ». Pour un peu, il nous mettait le Kamasoutra en vers, Killgrieg, et joliment en plus. Devant un « fruit juteux », il se retient à peine. Tout le verger en est encore ému. Blue, vais-je oser lui dire que son premier ne me séduit pas trop ? Un peu mécanique et abrupt, ce conte pour deux enfants pas sages. Mais le deuxième, ce n’est rien que du Beau. Je suis comme SJB plein d’enthousiasme pour le « s’amoure à distance » et les « Fantômes du passé devant » ou les « Moulée par le soleil levant » ! Quant à Sib, oh les beaux vers ! Grandiose. Rythme, ampleur, propos : chapeau !
« Tourné vers le côté d’où lui vient l’espérance,
Changeant en destinée ce qui fut son errance »
SJB a raison là aussi (il a toujours raison), c’est du Baudelaire.
Chez Mentor, on a ce « Là haut, si haut, au plus haut des outrances », un vers qui a lui seul est une outrance mais vaut le déplacement. Quatre fois le son « au » sur 10 pieds, et c’est tout bon quand même. Mentor, « subtil du ponant au levant » nous dit quoi, exactement ? Lorsqu’il Kilis s’en mêle, c’est une force qui va. Cela sent les embruns qui claquent et les excès qui enivrent, ça sonne à tous les vers et à tous les étages, ça martèle son rythme. Fouette cocher ! Kinbote il me reste qui débarque. « Regards d’abeille emportés par le vent », « A vue de nez, l’œil d’œuf jaune, quelle outrance », un texte qui « marche sur tous les parfums » et qui nous en fait voir de toutes les couleurs. Et comme le dit ensuite Tistou, plus c’est abscons, moins c’est
Bon, j’aurais mieux fait de la fermer.
Bonne journée à tous.
Il me semble Tistou que nous voyons un peu la poésie de la même façon... ;-))
Bolcho, un texte tout aussi désespéré que certains autres, même le mot "espérance" ne t'a pas servi à éclaircir l'horizon. Mais tu as tout de même employé le mot "avenir", ce qui me laisse supposer que tout n'est pas perdu... ;-)
Kinbote: "l'oeil d'oeuf jaune"?! un peu zarbi... Mais l'imperméabilité de certains textes est parfois voulue, parfois fortuite. Ici, je ne saurais me prononcer... L'auteur non plus peut-être si ça se trouve... ;-))))
Bolcho, un texte tout aussi désespéré que certains autres, même le mot "espérance" ne t'a pas servi à éclaircir l'horizon. Mais tu as tout de même employé le mot "avenir", ce qui me laisse supposer que tout n'est pas perdu... ;-)
Kinbote: "l'oeil d'oeuf jaune"?! un peu zarbi... Mais l'imperméabilité de certains textes est parfois voulue, parfois fortuite. Ici, je ne saurais me prononcer... L'auteur non plus peut-être si ça se trouve... ;-))))
Merci encore à SIB pour une soirée mémorable dont elle a le secret ! Magnifique idée ce pantoun (ou pantoum ?) ça a fini par emporter l'adhésion de tous ! Et encore de belles poésies. Ah, vivement la prochaine !
Un démenti officiel : je n'ai ni mangé, ni même machonné mentor, je l'aime bien mentor, et puis c'est pas dans mes façons, la preuve il se portait à merveille pour nous offrir son magnifique pantoum de minuit.
Et maintenant, un petit mot pour chacun :
BLUE : Qui pantoume comme elle respire ! Le premier me plait énormément, il y a de la force, de la détermination dans les mots et dans l'évocation. Le second est un peu plus obscur pour moi, d'une poésie plus impalpable, il comporte beaucoup de beauté dans la langue et les images.
FEE CARABINE : qui pantoume en délicatesse. Côté envoutant de la poésie - j'y trouve quelquechose de symboliste (?), ou encore l'atmosphère d'un tableau de Monet. Très joli !
SJB : qui pantoume avec la nostalgie. La répétition lancinante des vers donne un certain effet, et puis toujours quelques expressions fortes comme "la bave du crapaud ignore l'engoulevent".
NOTHINGMAN : qui pantoume galamment. La longueur du vers donne envie de se promener nonchalamment, un après midi de printemps parmi ces charmantes créatures. J'ai pensé à Renoir, lumière et mouvement.
TISTOU : qui pantoume avec détermination. Poésie exaltée, sans concessions, jolie construction formelle. Quelquechose de quasi-rimbaldien dans l'évocation de cet enfant déterminé.
KILLGRIEG : qui pantoume torride. Un érotisme déchaîné évoqué par ces images suggestives, crues mais tendres, désordonnées et belles.
SIBYLLINE : qui pantoume baudelairienne. Jolie progression de l'errance en destinée, et aussi de jolies sonorités qui donne un résultat de grande classe.
MENTOR : qui pantoume aérien. Jolie cette évocation qui nous fait nous envoler dans l'enivrement, et un joli parfum de liberté.
KILIS qui pantoume ... kilisienne. Les rythmes courts qui nous bousculent, qui nous entraînent. L'écriture toujours moderne, une façon de travailler la matière brute et de la métamorphoser en poésie. Kilis avec n'importe quelle contrainte nous donne le ton, nous fait voyager dans son univers poétique si personnel, et toujours avec autant de bonheur.
BOLCHO : qui pantoume (chronométré) en beaux alexandrins. Comme un cri de désespérance plutôt que de nostalgie, porté par une belle beauté de la forme.
KINBOTE (in extremis) qui pantoume zoologique : L'impression d'une jungle surnaturelle, colorée, sauvage. Une étrangeté qui nous laisse des impressions plus qu'un sentiment, et finalement un univers singulier ... de la poésie !
Un démenti officiel : je n'ai ni mangé, ni même machonné mentor, je l'aime bien mentor, et puis c'est pas dans mes façons, la preuve il se portait à merveille pour nous offrir son magnifique pantoum de minuit.
Et maintenant, un petit mot pour chacun :
BLUE : Qui pantoume comme elle respire ! Le premier me plait énormément, il y a de la force, de la détermination dans les mots et dans l'évocation. Le second est un peu plus obscur pour moi, d'une poésie plus impalpable, il comporte beaucoup de beauté dans la langue et les images.
FEE CARABINE : qui pantoume en délicatesse. Côté envoutant de la poésie - j'y trouve quelquechose de symboliste (?), ou encore l'atmosphère d'un tableau de Monet. Très joli !
SJB : qui pantoume avec la nostalgie. La répétition lancinante des vers donne un certain effet, et puis toujours quelques expressions fortes comme "la bave du crapaud ignore l'engoulevent".
NOTHINGMAN : qui pantoume galamment. La longueur du vers donne envie de se promener nonchalamment, un après midi de printemps parmi ces charmantes créatures. J'ai pensé à Renoir, lumière et mouvement.
TISTOU : qui pantoume avec détermination. Poésie exaltée, sans concessions, jolie construction formelle. Quelquechose de quasi-rimbaldien dans l'évocation de cet enfant déterminé.
KILLGRIEG : qui pantoume torride. Un érotisme déchaîné évoqué par ces images suggestives, crues mais tendres, désordonnées et belles.
SIBYLLINE : qui pantoume baudelairienne. Jolie progression de l'errance en destinée, et aussi de jolies sonorités qui donne un résultat de grande classe.
MENTOR : qui pantoume aérien. Jolie cette évocation qui nous fait nous envoler dans l'enivrement, et un joli parfum de liberté.
KILIS qui pantoume ... kilisienne. Les rythmes courts qui nous bousculent, qui nous entraînent. L'écriture toujours moderne, une façon de travailler la matière brute et de la métamorphoser en poésie. Kilis avec n'importe quelle contrainte nous donne le ton, nous fait voyager dans son univers poétique si personnel, et toujours avec autant de bonheur.
BOLCHO : qui pantoume (chronométré) en beaux alexandrins. Comme un cri de désespérance plutôt que de nostalgie, porté par une belle beauté de la forme.
KINBOTE (in extremis) qui pantoume zoologique : L'impression d'une jungle surnaturelle, colorée, sauvage. Une étrangeté qui nous laisse des impressions plus qu'un sentiment, et finalement un univers singulier ... de la poésie !
Il me semble Tistou que nous voyons un peu la poésie de la même façon... ;-))
Bolcho, un texte tout aussi désespéré que certains autres, même le mot "espérance" ne t'a pas servi à éclaircir l'horizon. Mais tu as tout de même employé le mot "avenir", ce qui me laisse supposer que tout n'est pas perdu... ;-)
Kinbote: "l'oeil d'oeuf jaune"?! un peu zarbi... Mais l'imperméabilité de certains textes est parfois voulue, parfois fortuite. Ici, je ne saurais me prononcer... L'auteur non plus peut-être si ça se trouve... ;-))))
C'est quand même un peu voulu ;-). Par goût pour le pas trop perméable mais aussi un peu par facilité car je suis incapable d'être sensé d'un bout à l'autre. J'admire ceux qui y parviennent.
Très joli Kilis, net et martelé
Tiens bonjour Bolcho! On désespérait de te revoir. Ton 8ème serait mieux sans "plus". Quelle mélancolie! Mais très réussi. Tu as trouvé cela difficile?
Est ce que vous seriez partants pour un autre pantoun la prochaine fois?
Mentor on a parlé du pantoun-pantoum dans les pages précédentes, Loup bleu, je crois
Tiens bonjour Bolcho! On désespérait de te revoir. Ton 8ème serait mieux sans "plus". Quelle mélancolie! Mais très réussi. Tu as trouvé cela difficile?
Est ce que vous seriez partants pour un autre pantoun la prochaine fois?
Mentor on a parlé du pantoun-pantoum dans les pages précédentes, Loup bleu, je crois
Bolcho ton 8ème vers
Pantoun-pantoum, je viens de voir qu'on en discute sérieusement ailleurs
Oui Sib, pantoumons encore.
Bolcho ton 8ème vers
Oui, Sib, j'avais bien compris, et tu as parfaitement raison.
Difficile ? Non, pas trop.
D'accord pour une autre fois?
Oui, j'aime bien.
Mentor on a parlé du pantoun-pantoum dans les pages précédentes, Loup bleu, je croisOui Sib, maintenant j'ai vu, mes excuses...
Est ce que vous seriez partants pour un autre pantoun la prochaine fois?Et: OUI pour une prochaine fois aux pantoums. Si je suis dispo évidemment
Bolcho ton 8ème vers
Moi j'avais lu : y nia plus rien devant.
mais c'est mieux sans plus !
Oui, Sibylline, d'accord aussi pour un nouveau pantoum.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre