Charles 04/05/2005 @ 15:33:00
Voilà 2 extraits d'un roman de SF que j'avais écrit, il y a maintenant plus de 5 ans ....

je l'ai relu récemment et j'aimerais le retravailler. L'ensemble ne me plait pas, je le trouve mal écrit mais je n'arrive pas vraiment à cibler précisément ce qui cloche donc je mets ici deux extraits.

Si vous avez un moment et que vous aimez un peu la SF, peut être avez vous des suggestions sur ce qui ne va pas .......


****** EXTRAIT 1 ******************************

Le vent semblait avoir forci, de courtes colonnes de sables tournaient sur elle-même et venait rencontrer mes jambes, les entouraient, accompagnant mon pas un instant puis se désintégrant sur place en crachant au sol leurs milliers de grains de sable. J’apercevais à quelques centaines de mètres devant moi un gros monument, sorte de bouton massif émergeant du sol. Me rapprochant, j’entrevis la silhouette du professeur à côté du cylindre noir. Il semblait assez petit, 1 mètre 65 ou 70 au maximum. Emmitouflé dans un poncho à capuche recouvrant son visage, il me fit penser à un moine silencieux, isolé dans un monastère perdu dans un désert éloigné de la civilisation.

Ce moine irréel ne répondit pas à mes quelques mots de présentation et me fit signe de le suivre à l’intérieur du plus proche bâtiment dont les murs noircis et usés par le sable semblait être l’intérieur goudronné de poumons de fumeurs.

La porte franchie, l’intérieur sale d’un bar sans lumière me cracha sa bienvenue au visage. Nous allâmes vers le fond de la longue pièce. Il me fit signe de prendre place à la table la plus éclairée, je m’assis, il repoussa sa capuche sur sa nuque et heurta maladroitement la lampe suspendue qui balança sa lumière de droite à gauche de son visage.

C’était une femme. Le scintillement de son regard m’avait frappé, ce bleu sombre tout à coup emplissait cet endroit si terne d’une lumière magnifique. Ses cheveux attachés n’avaient pu retenir quelques mèches rebelles venant trancher la vision de ce visage halé.

- Vous ne le saviez pas ! me dit-elle.
- Quoi ?lui dis-je, comme sorti d’un songe profond.
- Que j’étais une femme.
- Non, dis-je bêtement.
- Et ça vous gène ?
- Pas du tout, au contraire. Je n’ai pas d’à priori sexiste.
- Ce n’est pas l’impression que vous venez de me donner.
- C’est juste la surprise !

Au fur et à mesure que se développait la conversation, je ne pouvais me sortir de son regard de cristal qui m’empêchais de réfléchir ou de répondre de façon claire et concise. Elle me laissa là au bout de quelques temps avec la promesse de la revoir le lendemain pour commencer le travail.

Je restais assis quelques minutes, un bourdonnement dans la tête, une torpeur rêveuse, une lenteur du temps, un instant irréel, lointain, halluciné. je me rendis compte que le même vieil air de piano hantait le bar depuis mon entrée. Lui aussi semblait ralenti, mystérieux… A la fermeture, le patron vint me demander de partir. Sans lui, je serais peut être encore assis là-bas, sans la force de me lever, de m’extirper de mon rêve.



****** EXTRAIT 2 ******************************
(juste pour préciser : kraken =monstre marin mythique - dans mon récit = organisations tentaculaires ....)

Nous primes place dans une petite voiture sans toit et nous nous engouffrâmes dans un corridor à peine assez large et haut pour nous. Au fur et à mesure que nous avancions, la lumière diminuait. Les phares de la voiturette éclairaient furtivement les murs rocailleux et noirs comme du charbon de la grotte. Le ruissellement de l’eau créait des milliers de reflets de cristal. Aucun de nous ne parlait et il me semblait sentir une forte tension entre XXX et notre chauffeur.

Le chemin commençait à s’incliner et j’avais l’impression que le passage devenait de plus en plus étroit. Un bruit sourd montait des entrailles de Mars et renforçait mon sentiment d’oppression. Après plus d’une heure, la lumière augmenta, le bruit étouffait alors toute tentative de communication.

Au détour d’un virage, le corridor s’ouvra brutalement sur un espace aveuglant de blancheur. La voiture s’immobilisa. Je ne pouvais pas ouvrir les yeux sans sentir la brûlure scintillante. Après quelques minutes d’accoutumance, je pus enfin savoir où nous étions et descendis de voiture. A une vingtaine de mètres en dessous, le pergélisol de Mars s’étendait à perte de vue comme une mer à la surface limpide et cristalline, une mer à la surface bombée et lisse. Nous étions sur une sorte de passerelle suspendue qui s’accrochait le long de la paroi et qui semblait partir vers l’infini de part et d’autre de la sortie du corridor.

Des centaines de gros conduits souples partaient du plafond pour s’enfoncer dans le pergélisol. J’eus la vision des tentacules des Krakens immobilisant le cœur de Mars pour le dévorer. Peut-être que le cœur de la puissance des Krakens était ici, juste devant mes yeux. Mars représentait toute la puissance spatiale et la force des Krakens.

J’eus un frisson. J’entendis à peine le moteur de la voiture qui faisait demi tour et je ne pus pas même essayer de la rattraper avant qu’elle ne s’engouffre à nouveau dans le couloir noir.

Qu’est-ce qui leur prenait tout à coup! Peut-être me l’avait-il expliquer, mais le bruit des pompes vampirisant le sang de Mars avait dû couvrir leurs paroles. Au pire, j’étais quitte pour de longues heures de marche avant de retrouver la surface…

Je ne paniquais donc pas et commencer à marcher le long de la passerelle. Des ouvertures toutes identiques se succédaient dans la paroi tous les 200 mètres environ. Je décidais de les compter pour pouvoir ainsi trouver celle qui allait peut être me permettre de remonter. L’uniformité de ce paysage me calmait et je n’avais plus envie de fuir ce lieu au bruit ronronnant et aux milles lumières.

Tout à coup, la passerelle se mit à trembler et des fissures se dessinèrent le long de la paroi. Pendant quelques secondes, la violence des secousses augmenta, je pouvais à peine tenir debout. Les tentacules se tordaient comme si elles essayaient de s’extraire d’un piège fatal. Le pergélisol semblait rire de leur affolement.

Au bout de quelques secondes, les secousses cessèrent comme elles avaient débutées. J’étais comme assommé par ce séisme inattendu. Des failles béantes défiguraient les murs et certaines ouvertures étaient à moitié bouchées par des gravats. La peur me prit alors, pourquoi étaient ils partis ? Savaient ils ce qui allait arriver ? Avaient ils fui ? Le corridor était il toujours accessibles ?

Le bruit des pompes cessa brusquement et le silence emplit tout l ‘espace. Un silence oppressant, pesant, qui allait comprimer ma poitrine jusqu’à m’étouffer. Je n’arrivais plus à réfléchir, je sentais qu’il me fallait réagir vite, je présentais que tout cela n’allait pas s’arrêter là mais les idées se bousculaient dans ma tête ! Le bruit des pompes semblait reprendre progressivement, il augmentait rapidement ; mais les tentacules restaient toujours inanimées. D’un seul geste, elles s’élancèrent à la manière d’un fouet qui claque, elles sortirent d’un seul élan du pergélisol, se gonflèrent et crachèrent toute l’eau qu’elle avait volé à la planète rouge. Des torrents se formèrent et à ce rythme là , la passerelle serait atteinte rapidement. Décidément, je n’avais pas de chance avec l’élément liquide sur Mars.

Je décidais alors de retourner à mon point de départ et de m’élancer vers la surface. J’avais déjà les pieds dans l’eau lorsque je m’élançais vers l’obscurité qui devais me ramener à l’air libre. Je couru longtemps dans ce couloir, l’eau continuant de me suivre. Elle avait du emplir totalement le cœur de Mars et remontait maintenant le long de ses veines. Je n’avais pas d’autre choix que de continuer à courir pour lui échapper.

J’étais à bout de souffle lorsque je vis de la lumière. Je crus tout d’abord avoir atteint la surface. C’était une voiture. Je m’arrêtais alors, me croyant sauvé. Deux hommes aux costumes militaires en sortirent, me saisirent en me criant quelque chose et me portèrent à l’intérieur de la voiture. Nous remontâmes le corridor en marche arrière puisqu’ aucun demi-tour n’était possible et je crois que je perdis connaissance.

Charles 04/05/2005 @ 16:05:31
juste une précision, XXX est le prénom "temporaire" (extrait 2 ) du prof. (extrait 1)

Tistou 04/05/2005 @ 16:18:52
Bon, d'abord Charles, ça ne fait pas S.F. pure et dure que je suis quasi incapable de lire. C'est S.F. dans la mesure où c'est situé dans des temps futurs (si je comprends bien).
La ponctuation m'a gêné, à plusieurs reprises. Insuffisante principalement.
Quelques lourdeurs de style, mais bon ...
Là, je pense que tu n'as pas repris les 2 extraits que tu nous proposes ? Me trompe-je ? Tu devrais pouvoir rapidement modifier-améliorer des choses. Par une relecture "cosmétique".
L'histoire existe, même au travers de simplement 2 extraits.
Tu comptes en faire quoi ? A part le stocker 5 ans dans un tiroir ?
Et je ne sais pas pourquoi, ça m'a fait penser au seul bouquin S.F. qu'ait écrit un auteur que j'aime beaucoup, Donald Westlake, ORDO que ça s'appelle.

Charles 04/05/2005 @ 16:27:39
Effectivement, je n'ai pas vraiment repris ces extraits. je réécris progressivement les chap.

Si un jour, j'arrive au bout de me réécriture, j'en ferais peut être qq chose...

je ne connais pas Donald Westlake ! Pour le 2ème extrait, je me souviens que j'avais plutôt en tête le voyage au centre de la terre de Jules Verne.

Tistou 04/05/2005 @ 16:33:49
je ne connais pas Donald Westlake !
Tu as tort. Essaie de trouver Ordo, ce n'est pas du tout représentatif de ce qu'il fait, mais ça devrait t'inspirer.
Le vrai c'est plutôt ça :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/?l=4819
Dont un film portant le même nom va sortir.
Oui, pour ton 2 ème extrait, Voyage au Centre de la Terre est une comparaison appropriée.

Mentor 04/05/2005 @ 16:35:40
Mais pourquoi MarsExpress il va se décarcasser?? Y a de l'eau sous Mars, Charles le sait déjà!
J'aime bien l'ambiance qui se dégage de ces 2 extraits.
Le tout début m'a un peu gêné côté description car je voyais vraiment le désert, le vrai, sans RIEN, que du sable et du vent. Et ce bar somme toute presque banal qui se trouve là m'a semblé un peu loufoque.
"LE" professeur du début se transforme en femme à mon avis un peu trop brutalement aussi. Je trouve que tu aurais dû poser l'ambiguité tout de suite. Parce que là, j'avais déjà mon image faite d'un vieux tronchon chauve à lunettes... Mais bon, elle est belle, alors... Ces yeux de cristal...
Le 2ème extrait est bon. C'est "Le voyage au centre de Mars" à l'instar de J. Verne. C'est très bien imagé, je m'y voyais dans ces lieux gigantesques avec ces tentacules-aspirateurs.
Côté orthographe quelques petits pb faciles à résoudre.
Ca manque peut-être un peu de dialogues?
Il y en a sans doute, forcément, dans d'autres parties de ton roman.
J'espère que tu vas nous proposer d'autres extraits. Et que tu auras plein d'avis pour te donner envie d'aller au bout!

Mentor 04/05/2005 @ 16:40:54
Le 2ème extrait est bon. C'est "Le voyage au centre de Mars" à l'instar de J. Verne. C'est très bien imagé
Ah! j'étais en train d'écrire ça pendant que Tistou et toi parliez aussi de Jules Verne. Donc c'est bien vrai au niveau de l'inspiration, sans être trop du copié-collé!

Charles 06/05/2005 @ 08:54:17
Merci à vous deux.

Mentor, pour le désert du 1er extrait, ça parait moins "bizarre" si on a lu ce qu'il se passe avant.

pour les dialogues, c'est vrai que c'est un de mes défauts. Je suis souvent trop narratif et j'inclus trop peu de dialogue....

Kicilou 07/05/2005 @ 11:23:16
Alors, je vais commenser par le négatif, comme ça je suis débarassée !
Des points de détail :
- la comparaison du monument avec le bouton... J'ai du mal à imaginer, un bouton de manchette, de chemise, un gros bouton qui sert à faire partir des fusée moches? ça manque de précision pour pouvoir s'en faire une image.
- Dans ton dialogue : tu n'utilises que "dire" en incises...
- Le séisme, il tient en quelques lignes, j'aurais aimer que ça secoue, que ça pulse, que ça me fasse vibrer... Les quelques phrase qui le décrivent sont très bien, mais elles auraient gagner en puissance avec quelques copines pour les soutenir. Et puis, un peu plus d'impressions du héroS, d'angoisse, qu'on puisse vivre cela par procuration.

Enfin, en général : je trouve que ça manque d'implication : ton personnage semble assez extérieur à ce qui lui arrive, cela manque d'émotion (sur certains passages). Tu fais un récit à la première personne pourtant on y retrouve moins de ressenti que dans un récit à la troisième personne. On a du mal à s'attacher à ton personnage principal.

Bon, je stope les critiques négatives, j'espère que tu ne le prendras pas mal, c'est juste mon avis, il ne fait certainement pas légion !

Maintenant je voudrais dire aussi, qu'il y a quelque chose dans ton texte, une ambiance (je sais, je viens de dire que ça en manquait, je m'explique !). Ce que je te reproche au dessus a tout de même un bon côté, il insuffle à ton histoire, cette ambiance de désert de sable... La chaleur, le vent qui fait voler les vêtements... Je me serais crue dans star-wars... Même sans beaucoup de description, on ressent le lieu au travers de la façon dont tu écris... Je sais, ce n'est pas clair ce que je dis mais c'est dur à expliquer !
Et puis enfin, il y a plein de bonnes idées, enfin c'est l'impression que j'ai aux vues de ces deux courts extraits. ça me donne envie de savoir ce qui se passe réellement dans cette histoire !

Killgrieg 08/05/2005 @ 10:36:28
Lu ! je me débarrasse de mes problèmes techniques et reviens commenter plus avant tes extraits Charles… Dans quelques jours.
Pour l’instant, je me contenterai de dire qu’il y a une ambiance intéressante, que les thèmes sont amusants et que je pense qu’il suffirait d’une seule relecture pour que tu corriges toi-même les maladresses, car maladresses il y a… A plus tard.

Acie 08/05/2005 @ 11:31:05
quelques corrections orthographiques charles : "Le vent semblait avoir forci, de courtes colonnes de sables tournaient sur elles-mêmes et venaient rencontrer mes jambes, les entourer,..."
Pour "se désintégrant sur place", j'enleverai sur place, je pense que c'est superflu
et je mettrai "en recrachant au sol " au lieu d'en crachant, enfin une image de elles ont avalé le sable et là elles le régurgitent, comme malades de son aigreur tu vois? enfin c'est juste une idée
Cette image m'a un peu surprise, je ne sais pas je vois pas trop le truc "monument, sorte de bouton massif émergeant du sol."

Pour "Me rapprochant", j'aurais mis en m'approchant c'est un peu moins lourd
"1 mètre 65 ou 70 au maximum", ça j'ai du mal aussi, c'est au maximum qui sonne mal

Ca par contre c'est très bien comme image, mais peut-être devrais-tu t'arrêter après perdu, c'est suffisant non? "me fit penser à un moine silencieux, isolé dans un monastère perdu dans un désert éloigné de la civilisation."

Ca c'est excellent garde le!"semblait être l’intérieur goudronné de poumons de fumeurs."

C’était une femme. Le scintillement de son regard m’avait frappé, ce bleu sombre tout à coup emplissait (j'aurais préféré un passé simple) cet endroit si terne d’une lumière magnifique. Ses cheveux attachés n’avaient pu retenir quelques mèches rebelles venant (qui vinrent ,au lieu de venant, non?)trancher la vision de ce visage halé.

Le dialogue est bon

Une tite correction ortho : je ne pouvais me sortir de son regard de cristal qui m’empêchait de réfléchir, de répondre de façon claire et concise.

Ca j'aime beaucoup aussi "Elle me laissa là au bout de quelques temps avec la promesse de la revoir le lendemain pour commencer le travail."

Je restais (il ne faut pas de "s") assis quelques minutes, un bourdonnement dans la tête, une torpeur rêveuse, une lenteur du temps, un instant irréel, lointain, halluciné. Je me rendis compte (j'aurais ajouté "alors") que le même vieil air de piano hantait le bar depuis mon entrée.

Bien aimé le lien avec le piano!

je lirai l'autre extrait après
ce sont juste quelques suggestions, mais l'histoire a l'air pas mal, enfin c'est un peu court pour le moment, je te dirai ca en lisant la suite

Sahkti
avatar 09/05/2005 @ 13:05:14
Allez, comme les autres, le négatif en premier:

- tout d'abord, quelques fautes d'orthographe du genre voyantes à corriger :)

- Je trouve que le premier paragraphe de l'extrait 1 est peu heureux. Tes descriptions sonnent trop précis, trop technique, ça heurte et ce n'est pas toujours élégant, comme cette histoire de bouton massif et puis il y a un petit côté décousu. On passe d'un cylindre noir à un poncho en passant par la taille d'un homme. Je ne sais pas, mais il me semble que tout cela n'est pas harmonieux.

- "Je n'ai pas d'à priori sexiste"... bof, la tournure

- il y a des répétitions comme "le bruit des pompes" à la fin ou alors le mot pergélisol.

- au final, je conserve un impression de bric-à-brac, dommage. Mais c'est peut-être dû au fait que tu proposes deux extraits, comme ça, pris dans le tas.

Sinon, c'est vrai que tu crées une ambiance et qu'il y a des idées, on sent bien qu'il y a quelque chose là-derrière, mais je trouve que c'est un peu noyé dans la masse.
Ton héros paraît très humain et sensible, il faudrait peut-être lui donner plus de force et de caractère.
C'est comme l'action qui se déroule, quand il prend peur et cherche à s'enfuir. Elle est là, présente et bien décrite et pourtant, je ne la ressens pas, ça reste figé. Faut trouver l'étincelle qui va faire vibrer tout ça.

Charles 09/05/2005 @ 15:35:17
Merci à tous.

toutes vos réactions confirment ce que je pensais déjà : qu'il y a pas mal de boulot à faire pour rendre ce texte "lisible".

Bref, plutôt que de réécrire ce roman brouillon, je crois que je m'en vais plutôt travailler sur un autre projet que j'ai commencé plus récemment, avec une écriture un peu "meilleure" que ce que j'avais écrit il y a 5 ans.

Olivier Michael Kim
20/05/2005 @ 13:10:15
Bah, j'ai lu. J'ai trouvé le style pas mal.

Sinon, le traitement de l'histoire est trop rapide à mon goût. J'ai pas réussi à rentrer dedans. je vais même t'avouer que j'ai pas tout capté.

Bon, je crois quand même qu'il y a du potentiel. Je ne pense pas qu'un extrait suffise pour se donner une idée de ton roman.

Krystelle 20/05/2005 @ 14:35:50
Bon… moi aussi j’ai eu du mal à rentrer dedans mais le contraire aurait été étonnant sachant que je ne suis pas fan du genre SF.
Les maladresses de style (« semblait être l’intérieur goudronné de poumons de fumeurs », « a priori sexistes », « ses cheveux (…) n’avaient pu retenir quelques mèches »…), les répétions (« intérieur », « pergélisol », « cœur », « paroi » …) et les fautes d’orthographe ont gêné ma lecture et j’ai eu beaucoup de mal à suivre la trame de l’histoire. De plus je trouve que l’action exigerait un rythme d’écriture plus soutenu, plus vif.
Je pense sincèrement que je prendrai du plaisir à relire ce texte une fois corrigé mais là je n’étais pas vraiment dedans. Tu devrais persister je pense, il n'y a pas que du mauvais dans ces extraits.

Yali 21/05/2005 @ 12:37:56
Du mal avec la SF, aussi. Je ne vais pas me lancer dans une longue critique argumentée et tout le bastringue. Un parce que j'en suis incapable, et deux, parce que ça ne servirait pas à grand chose vu que le chemin du “comment mieux dire” tu le connais. La preuve :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…

Spirit
avatar 21/05/2005 @ 14:11:21
Je serais mal venus de faire des critiques.Néanmoins je trouve que le texte manque de sentiments, il manque de ce petit quelque chose qui fait que l'on a plaisir a s'identifier au personnage.

Page 1 de 1
 
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre

Vous devez être membre pour poster des messages Devenir membre ou S'identifier