Rossenblum petit vous parliez de vos film préferé, il serait possibl de parler des navets , il doivent etre nombreux !?
Police academy 4
Les films de Steven Seagal :-)
Mais bien sûr...
Désolée Ira ton post m'était passé sous le nez à cause d'une certaine pollution du forum...
Mes navets (;-)))) sont nombreux et pour diverses raisons:
-Fight Club (j'espère un jour changer d'avis, je le reverrai dans quelques temps pour me re-faire une opinion)
-Les films avec Juliette Binoche (je ne la supporte pas, je ne sais pas pourquoi!)
-TOUS les Police Academy (C'est affligeant de bêtise, ça n'est même plus drôle)
-Heat (Jamais réussi à le voir jusqu'au bout! Pourtant deux acteurs que j'aime beaucoup!!!)
-Sphere (Livre extraordinaire mais film débile. Pas réussi à le voir jusqu'au bout non plus)
Y en a certainement plein d'autres
...
J'en oublie un volontairement, si je dis lequel je vais me faire lyncher...
A+
RP
Désolée Ira ton post m'était passé sous le nez à cause d'une certaine pollution du forum...
Mes navets (;-)))) sont nombreux et pour diverses raisons:
-Fight Club (j'espère un jour changer d'avis, je le reverrai dans quelques temps pour me re-faire une opinion)
-Les films avec Juliette Binoche (je ne la supporte pas, je ne sais pas pourquoi!)
-TOUS les Police Academy (C'est affligeant de bêtise, ça n'est même plus drôle)
-Heat (Jamais réussi à le voir jusqu'au bout! Pourtant deux acteurs que j'aime beaucoup!!!)
-Sphere (Livre extraordinaire mais film débile. Pas réussi à le voir jusqu'au bout non plus)
Y en a certainement plein d'autres
...
J'en oublie un volontairement, si je dis lequel je vais me faire lyncher...
A+
RP
Je viens juste de voir Vertical Limit à la TV et c'est tellement rempli d'invraisemblances qu' à côté, Cliffangher, c'est du "cinéma vérité"
Un très mauvais film répandant beaucoup d'idées fausses sur l'alpinisme et la montagne.
Un très mauvais film répandant beaucoup d'idées fausses sur l'alpinisme et la montagne.
Ce WE j'ai vu une nullité monumentale... "American Pie III".
My God, où allons-nous?
RP
My God, où allons-nous?
RP
J'ai vu Resident Evil au ciné à sa sortie. Affligeant!
-Fight Club (j'espère un jour changer d'avis, je le reverrai dans quelques temps pour me re-faire une opinion)
Ha non, quel bon film... !
-Les films avec Juliette Binoche (je ne la supporte pas, je ne sais pas pourquoi!)
Je ne suis pas un grand fan d'elle, mais elle est excellente dans le Patient Anglais et dans l'insoutenable légereté de l'être.
-TOUS les Police Academy (C'est affligeant de bêtise, ça n'est même plus drôle)
Je cherche toujours quelqu'un qui osera contredire ça...
J'en oublie un volontairement, si je dis lequel je vais me faire lyncher...
Lequel ??????
Et les films de Jean Claude Van Dam? Dans le genre nanar ils sont pas mal non....
Même si le titre de ce sujet me gêne quelque peu (il faut au contraire voir un bon gros navet de temps à autre, pour apprécier les chefs d'oeuvre à leur juste valeur), allons-y pour les navets.
J'éviterai volontairement les séries Z ineptes et bâclées, sur lesquelles il est trop facile de taper (toute la filmo de Chuck Norris, Steven Seagal, la quasi-totalité des JCVD, les Police Academy, les Scarie Movies...
Démarrons fort avec Matrix Revolution. Voilà un film techniquement irréprochable, avec quelques scènes épiques (le combat Homme-machines, pour ne citer que lui), mais grangréné par une narration poussive, à demi absconse, des scènes d'action qui plagient les 2 premiers opus jusqu'à l'écoeurement et de la surenchère numérique gavante (la même qui flingue les 2 derniers Star Wars).
Le produit fini est chiant et le maëlstrom sonore et visuel impose l'Aspégic 1000 dès le générique de fin. Un film fort dispensable, même pour le fanatique du premier épisode que je suis...
- Independance Day : en voilà une belle daube à plus de 100 millions de dollars. Un scenario dont l'neptie est mise en relief par de savoureuses (au 8e degré) invraisemblances (le président des US qui part botter le cul de l'envahisseur Alien aux commandes d'un chasseur de l'US Air Force), un nationalisme forcené qui suinte tous les 3 plans, à grands renforts de drapeaux étoilés, une narration classique et convenue, des acteurs en petite forme, etc... Les quelques esbrouffes pyrotechniques ne parviendront pas à nous soutirer le moindre élan d'indulgence : ID4 est définitivement à ranger au rayon des nanars pour l'éternité...
- La fin des Temps, avec Arnold Schwarzennegger. Voilà ce qui arrive lorsqu'on confie le scenario d'une grosse production à un stagiaire sous l'emprise de l'alcool. Le film réussit le tour de force d'être mauvais d'un bout à l'autre. Schwarzie nous livre sa plus piètre prestation depuis "Un Flic à la maternelle"et Gabriel Byrne devait avoir un sacré paquet de factures à payer pour se commettre dans un tel navet.
Un point positif neanmoins : c'est tellement mauvais que ça en devient extrêmement rigolo.
Par contre, je suis indiciblement choqué au plus profond de moi même (rien que ça) de trouver le très excitant "Heat" dans ce sujet.
Je reviens bientôt, le temps de me remémorer quelques autres innénarables nanars...
J'éviterai volontairement les séries Z ineptes et bâclées, sur lesquelles il est trop facile de taper (toute la filmo de Chuck Norris, Steven Seagal, la quasi-totalité des JCVD, les Police Academy, les Scarie Movies...
Démarrons fort avec Matrix Revolution. Voilà un film techniquement irréprochable, avec quelques scènes épiques (le combat Homme-machines, pour ne citer que lui), mais grangréné par une narration poussive, à demi absconse, des scènes d'action qui plagient les 2 premiers opus jusqu'à l'écoeurement et de la surenchère numérique gavante (la même qui flingue les 2 derniers Star Wars).
Le produit fini est chiant et le maëlstrom sonore et visuel impose l'Aspégic 1000 dès le générique de fin. Un film fort dispensable, même pour le fanatique du premier épisode que je suis...
- Independance Day : en voilà une belle daube à plus de 100 millions de dollars. Un scenario dont l'neptie est mise en relief par de savoureuses (au 8e degré) invraisemblances (le président des US qui part botter le cul de l'envahisseur Alien aux commandes d'un chasseur de l'US Air Force), un nationalisme forcené qui suinte tous les 3 plans, à grands renforts de drapeaux étoilés, une narration classique et convenue, des acteurs en petite forme, etc... Les quelques esbrouffes pyrotechniques ne parviendront pas à nous soutirer le moindre élan d'indulgence : ID4 est définitivement à ranger au rayon des nanars pour l'éternité...
- La fin des Temps, avec Arnold Schwarzennegger. Voilà ce qui arrive lorsqu'on confie le scenario d'une grosse production à un stagiaire sous l'emprise de l'alcool. Le film réussit le tour de force d'être mauvais d'un bout à l'autre. Schwarzie nous livre sa plus piètre prestation depuis "Un Flic à la maternelle"et Gabriel Byrne devait avoir un sacré paquet de factures à payer pour se commettre dans un tel navet.
Un point positif neanmoins : c'est tellement mauvais que ça en devient extrêmement rigolo.
Par contre, je suis indiciblement choqué au plus profond de moi même (rien que ça) de trouver le très excitant "Heat" dans ce sujet.
Je reviens bientôt, le temps de me remémorer quelques autres innénarables nanars...
J'oubliais : la série des "Taxi".
Les poursuites de bagnoles assez réussies (merci Rémi Julienne) ne font pas passer la pilule "humour xénophobe à 2 balles" (je pense à Taxi 2), avec les Banzaï, "con-nichon-aaaaaah", "niakoué" et toute la ribambelle de noms d'oiseaux pour caractériser les méchants japonais.
Affligeant.
Pour ceux qui l'ont vu, "Julien Donkey Boy", dans la mouvance artistique de "Dogme" mené par Lars Von Trier et Thomas Vinterberg, est assez édifiant. Une image déguelasse soutenue par des travelling chaotique à rendre malade le plus aguerri des marins, une ambiance glauque de chez glauque, une narration hachée, forment un objet expérimental d'assez mauvais goût.
A éviter...
Les poursuites de bagnoles assez réussies (merci Rémi Julienne) ne font pas passer la pilule "humour xénophobe à 2 balles" (je pense à Taxi 2), avec les Banzaï, "con-nichon-aaaaaah", "niakoué" et toute la ribambelle de noms d'oiseaux pour caractériser les méchants japonais.
Affligeant.
Pour ceux qui l'ont vu, "Julien Donkey Boy", dans la mouvance artistique de "Dogme" mené par Lars Von Trier et Thomas Vinterberg, est assez édifiant. Une image déguelasse soutenue par des travelling chaotique à rendre malade le plus aguerri des marins, une ambiance glauque de chez glauque, une narration hachée, forment un objet expérimental d'assez mauvais goût.
A éviter...
J'ai vu récemment "Air Force One" et j'ai trouvé ça choquant de bêtise : alors comme ça on est un héros quand on sacrifie tout un pays pour sauver sa fille ? Ne tuez pas mon adorable rejeton, en échange je libère un dictateur en pleine Russie...ah vraiment c'est admirable !
"gladiator" aussi est un nanar fini, je l'ai vu nombre de fois et je trouve toujours ça aussi surfait et aussi somniférant.
Moi non plus je ne supporte pas Juliette Binoche, trop fade, trop souriante. trop commune. Ainsi que cette autre actrice, là, rah, j'ai oublié son nom, celle qui joue dans Bridget Jones, ses insupportables mimiques bucales me portent sur les nerfs.
Autre navet parfait, "le dernier samouraï", ou l'art américain d'américaniser toute autre culture, de l'appauvrir et de la vulgariser...et de nous endormir.
"gladiator" aussi est un nanar fini, je l'ai vu nombre de fois et je trouve toujours ça aussi surfait et aussi somniférant.
Moi non plus je ne supporte pas Juliette Binoche, trop fade, trop souriante. trop commune. Ainsi que cette autre actrice, là, rah, j'ai oublié son nom, celle qui joue dans Bridget Jones, ses insupportables mimiques bucales me portent sur les nerfs.
Autre navet parfait, "le dernier samouraï", ou l'art américain d'américaniser toute autre culture, de l'appauvrir et de la vulgariser...et de nous endormir.
Ma mère, adapté du roman de Georges Bataille, par Christophe Honoré.
Le film est à éviter absolument ! C'est lent, lourd, ennuyeux (oserais-je indiquer combien de personnes sont sorties de la salle avant la fin...), les acteurs sont mauvais (même Isabelle Huppert pourtant habituée aux rôles difficiles).
L'esprit de Georges Bataille est complètement absent dans ce navet de Christophe Honoré. Les acteurs récitent par moments des passages du livre, en ayant l'air de s'embêter ferme, l'intonation fait défaut, c'est plat, plus plat encore que les polders.
Le livre de Bataille permet au lecteur d'imaginer ses fantasmes, de créer les scènes et les personnages, de se plonger dans un univers dérangeant sans l'imposer avec force, contrairement à ce qui se produit avec ce film. Certains fantasmes supportent mal d'être montrés et préfèrent de loin la suggestion à l'assommoir.
Beaucoup de fièvre et de subtilités dans le livre, un bâillement sans fin dans le film.
Mauvais, nul, à oublier, quelle galère... petit florilège des commentaires perçus à la sortie. Pas mal d'amateurs de Bataille déçus par cette adaptation ratée.
Le film est à éviter absolument ! C'est lent, lourd, ennuyeux (oserais-je indiquer combien de personnes sont sorties de la salle avant la fin...), les acteurs sont mauvais (même Isabelle Huppert pourtant habituée aux rôles difficiles).
L'esprit de Georges Bataille est complètement absent dans ce navet de Christophe Honoré. Les acteurs récitent par moments des passages du livre, en ayant l'air de s'embêter ferme, l'intonation fait défaut, c'est plat, plus plat encore que les polders.
Le livre de Bataille permet au lecteur d'imaginer ses fantasmes, de créer les scènes et les personnages, de se plonger dans un univers dérangeant sans l'imposer avec force, contrairement à ce qui se produit avec ce film. Certains fantasmes supportent mal d'être montrés et préfèrent de loin la suggestion à l'assommoir.
Beaucoup de fièvre et de subtilités dans le livre, un bâillement sans fin dans le film.
Mauvais, nul, à oublier, quelle galère... petit florilège des commentaires perçus à la sortie. Pas mal d'amateurs de Bataille déçus par cette adaptation ratée.
Ah, les navets.... un sujet inépuisable, grace à tous ces réalisateurs qui oeuvrent pour nous !
Allez, pour commencer, je viens de tout juste terminer le matrix révolution, il y à a peine 5 minutes. Pitoyable...
Ensuite en vrac :
Accrochez vous, nous plongeons dans les bas fonds !!!!
Judge Dred
Fortress
Rocky IV
Robocop 3
Scream 2
Mortal Konbat
Les réalisateurs français n'y échappent pas non plus :
Brocéliande
Bloody Malory
Terminus
L'étudiante
Belphegor version Marceau
Allez, j'arrete là. J'en ai encore plein plein... mais faut pas abuser
Allez, pour commencer, je viens de tout juste terminer le matrix révolution, il y à a peine 5 minutes. Pitoyable...
Ensuite en vrac :
Accrochez vous, nous plongeons dans les bas fonds !!!!
Judge Dred
Fortress
Rocky IV
Robocop 3
Scream 2
Mortal Konbat
Les réalisateurs français n'y échappent pas non plus :
Brocéliande
Bloody Malory
Terminus
L'étudiante
Belphegor version Marceau
Allez, j'arrete là. J'en ai encore plein plein... mais faut pas abuser
Si les amateurs de Bataille vont voir ce film, c'est qu'ils ne sont pas amateurs de Bataille.
La jeune fille à la perle.
La déception par excellence ! Peter Weber passe complètement à côté du roman, il oublie le contenu pour privilégier la forme, c'est vide, creux et désolant.
Je suis sans doute dure à vos yeux avec ce film, mais cette sévérité est certainement à la hauteur de ma déception. Tracy Chevalier avait réussi à créer des ambiances, des jeux de lumière, des silences, des intérieurs de personnages détaillés et riches.
Pourtant, on sentait dès le départ que son livre serait adapté au cinéma, comme si elle l'avait écrit exprès pour ça. Beau défi à relever que recréer cette musique des mots et cette magie des atmosphères. Et bien c'est raté !
Vermeer est inexistant, lymphatique, indolent, voire impuissant. La jeune Griet est là, sans vraiment y être. A de trop nombreuses reprises, Weber recrée les tableaux en images, il y a une volonté de faire coller les choses et de jouer au jeu de la ressemblance qui en devient dérangeante. Non Monsieur Weber, on ne fige pas une image, on ne transforme pas un tableau en film sans avoir préalablement rempli les personnages de dialogues, de paroles, de gestes, d'expressions, bref de vie !
Tracy Chevalier avait pourtant fait regorger son récit de scènes qui auraient pu passer parfaitement du texte au film, mais le réalisateur est passé à côté sans même s'en apercevoir. Si la trame du long métrage est +/- conforme à celle du roman, ce dernier perd toute sa force et les héros, si présents dans l'oeuvre de T. Chevalier deviennent invisibles, faisant place à des tableaux vivants qui finissent par ennuyer.
Weber pense bien gruger le spectateur en fixant l'image de Scarlett Johanson dans la pose du tableau "La jeune fille à la perle", un émoi étreint la salle, on se dit qu'elle lui ressemble beaucoup tout de même, le début d'une émotion pointe le bout de son nez. Patatras, il suffit de voir la dernière image du film, le tableau original, le vrai, le beau, pour démasquer la supercherie et faire place à la déception.
A vouloir privilégier la forme au détriment du fond, il y avait un risque de se casser la figure. Voilà qui est fait. A mes yeux en tout cas.
La déception par excellence ! Peter Weber passe complètement à côté du roman, il oublie le contenu pour privilégier la forme, c'est vide, creux et désolant.
Je suis sans doute dure à vos yeux avec ce film, mais cette sévérité est certainement à la hauteur de ma déception. Tracy Chevalier avait réussi à créer des ambiances, des jeux de lumière, des silences, des intérieurs de personnages détaillés et riches.
Pourtant, on sentait dès le départ que son livre serait adapté au cinéma, comme si elle l'avait écrit exprès pour ça. Beau défi à relever que recréer cette musique des mots et cette magie des atmosphères. Et bien c'est raté !
Vermeer est inexistant, lymphatique, indolent, voire impuissant. La jeune Griet est là, sans vraiment y être. A de trop nombreuses reprises, Weber recrée les tableaux en images, il y a une volonté de faire coller les choses et de jouer au jeu de la ressemblance qui en devient dérangeante. Non Monsieur Weber, on ne fige pas une image, on ne transforme pas un tableau en film sans avoir préalablement rempli les personnages de dialogues, de paroles, de gestes, d'expressions, bref de vie !
Tracy Chevalier avait pourtant fait regorger son récit de scènes qui auraient pu passer parfaitement du texte au film, mais le réalisateur est passé à côté sans même s'en apercevoir. Si la trame du long métrage est +/- conforme à celle du roman, ce dernier perd toute sa force et les héros, si présents dans l'oeuvre de T. Chevalier deviennent invisibles, faisant place à des tableaux vivants qui finissent par ennuyer.
Weber pense bien gruger le spectateur en fixant l'image de Scarlett Johanson dans la pose du tableau "La jeune fille à la perle", un émoi étreint la salle, on se dit qu'elle lui ressemble beaucoup tout de même, le début d'une émotion pointe le bout de son nez. Patatras, il suffit de voir la dernière image du film, le tableau original, le vrai, le beau, pour démasquer la supercherie et faire place à la déception.
A vouloir privilégier la forme au détriment du fond, il y avait un risque de se casser la figure. Voilà qui est fait. A mes yeux en tout cas.
Le Roi Scorpion avec comme acteur The Rock!! Ah! Que du bonheur a tartiner! Mais si on le regarde au 54eme degre, on peut le trouver tres comique. Je pense que c'etait l'ambition du realisateur. Sinon...
Plus serieusement, Les Triplettes de Belleville. Desole mais je suis passe completement a cote de ce film : dessins affreux, histoire inexistante, scenes grotesques (j'ai toujours pas compris l'interet des bonnes femmes qui bouffent les grenouilles), utilisation d'images de synthese qui defigurent le dessin... Seule la musique a trouve grace a mes oreilles. Mais c'est un peu leger compare a tous les aspects negatifs.
Je suis tout a fait d'accord avec Sahkti a propos de la jeune fille a la perle.
J'ai beaucoup aime le livre, et le film m'a vraiment decue: Peter Weber passe tout a fait a cote de la relation entre Vermeer et Greet, et la ville de Delft (si bien decrite dans le roman) n'est pas mieux servie! Meme les vues du ciel sont ratees: j'ai habite 2 ans a Delft (tout pres de la grand place et de la nouvelle eglise), j'y ai vu le ciel par tour les temps (gris de pluie, lourd de neige et bleu moutonnant), mais un ciel bleu criard avec des nuages "dash lave plus blanc" comme celui que Peter Weber montre dans le film, non!
Par contre, j'avais bien aime "Les triplettes de Belleville", l'humour noir et le rapport tres complementaire entre l'image et la bande-son.
J'ai beaucoup aime le livre, et le film m'a vraiment decue: Peter Weber passe tout a fait a cote de la relation entre Vermeer et Greet, et la ville de Delft (si bien decrite dans le roman) n'est pas mieux servie! Meme les vues du ciel sont ratees: j'ai habite 2 ans a Delft (tout pres de la grand place et de la nouvelle eglise), j'y ai vu le ciel par tour les temps (gris de pluie, lourd de neige et bleu moutonnant), mais un ciel bleu criard avec des nuages "dash lave plus blanc" comme celui que Peter Weber montre dans le film, non!
Par contre, j'avais bien aime "Les triplettes de Belleville", l'humour noir et le rapport tres complementaire entre l'image et la bande-son.
Moi aussi j'ai beaucoup aimé les triplettes, c'était drôle, décalé, étonnant, et terriblement déprimant. moi qui y était allé un soir de déprime pour me changer les idées ! J'aurais mieux fait d'aller voir un nanar comme ceux cités ci dessus, j'aurais pu me soulager de mes déceptions en me délectant de la bêtise d'autrui.
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