La différence tient sans doute au fait que le Magazine littéraire, c'est mieux que Lire.
Ce qui fait les ventes d'un journal, c'est ce dont il parle. Le journal va se vendre si ce dont il parle intéresse les gens. Les gens sont intéressés par ce qu'ils connaissent déjà un peu : il est difficile d'être intéressé a priori par quelque chose dont on ignore l'existence. Donc, pour bien vendre un journal, il vaut mieux éviter de faire de l'information.
Ce qui fait les ventes d'un journal, c'est ce dont il parle. Le journal va se vendre si ce dont il parle intéresse les gens. Les gens sont intéressés par ce qu'ils connaissent déjà un peu : il est difficile d'être intéressé a priori par quelque chose dont on ignore l'existence. Donc, pour bien vendre un journal, il vaut mieux éviter de faire de l'information.
Je ne lis pas de revues de ce genre, par manque de temps !
Merci pour vos références et vos liens en la matière.
Merci pour vos références et vos liens en la matière.
Si les auteurs sevent aux lecteurs ce qu'ils veulent lire et que les magazines les confortent dans leurs choix, - qui n'en sont donc plus-on ne s'en sortira jamais. :-)
. Les gens sont intéressés par ce qu'ils connaissent déjà un peu : il est difficile d'être intéressé a priori par quelque chose dont on ignore l'existence.
Ah ben écoute chez moi c'est tout le contraire, c'est toujours l'inconnu qui m'intéresse le plus quand je m'informe (quel que soit le domaine d'ailleurs).
Les deux revues que j'ai citées sont des revues de création littéraire (c'est ça que j'entendais avec "revue de littérature"). Cela dit, on ne part pas tout à fait dans l'inconnu puisque les auteurs font un peu partie d'une sorte de famille et on sait où on met les pieds.
Je découvre plein de titres/sites... j'adore!
. Cela dit, on ne part pas tout à fait dans l'inconnu.
Ah bon ben non alors......je plaisante! :-))))
Merci pour toutes ces intéressantes informations.
Les deux revues que j'ai citées sont des revues de création littéraire (c'est ça que j'entendais avec "revue de littérature"). Cela dit, on ne part pas tout à fait dans l'inconnu puisque les auteurs font un peu partie d'une sorte de famille et on sait où on met les pieds.Tu connais l'Anacoluthe ?
Non, j'avais vu un article dans le Matricule et je crois savoir que tu y as été publié, mais je ne connais pas la revue.
C'est d'une bonne tenue, même sans moi. Il y a beaucoup de bonnes revues, la plupart je ne les connais que de nom.
C'est d'une bonne tenue, même sans moi. Il y a beaucoup de bonnes revues, la plupart je ne les connais que de nom.
Ne fais pas ton modeste.
Pareil, je n'en connais que très peu, mais ça permet souvent de retrouver des auteurs sur un terrain sensiblement différent (encore que).
Ne fais pas ton modeste.Mon quoi ?
Pareil, je n'en connais que très peu, mais ça permet souvent de retrouver des auteurs sur un terrain sensiblement différent (encore que).Oui, pour moi c'est un peu l'idée.
Tu l'as ressenti toi-même au niveau de l'écriture que c'était différent ?
Pas spécialement pour moi, mais je trouve que c'est l'un des intérêts possibles.
Car je dois avouer que Le Matricule des Anges est un peu ardu pour moi. Je n'en lis que la moitié...et il me fiche des complexes de ne pas connaître la moitié des auteurs "recensés".
C'est un complexe facile à dépasser : il suffit de les lire et tu les connaîtras. Lis le Matricule régulièrement, tu verras que ça n'est pas si ardu. C'est un peu le cercle vicieux : Lire marche bien précisément parce qu'il parle surtout d'auteurs déjà connus, qu'il ne fait pas le travail de recherche attendu d'un organe de presse ; bref c'est son insuffisance qui fait son succès.
Je trouve vraiment que de nombreux articles du Matricule sont ardus. Alors, quand tu connais l'auteur, tu comprends, en faisant un effort.
Mais quand il s'agit d'auteurs très "intellectuels", si l'auteur de l'article ne donne pas quelques clés pour accéder à leur oeuvre, mais écrit quelques phrases "absconses" (c'est bon ?), je ne mémorise même pas le nom de l'écrivain.
Lire ne parle pas toujours d'auteurs très connus, contrairement à ce que tu dis. En revanche, je leur fais moins confiance, car récemment, j'ai acheté des livres à cause de la critique de Lire et j'ai "détesté" ces livres.
C'est une question d'habitude, je t'assure. Tu lis les articles, tu notes les noms si tu as peur de les oublier, tu vas à ta librairie pour voir à quoi ressemblent les livres, tu discutes un peu avec Jérôme pour savoir ce qu'il en pense...
C'est une question d'habitude, je t'assure. Tu lis les articles, tu notes les noms si tu as peur de les oublier, tu vas à ta librairie pour voir à quoi ressemblent les livres, tu discutes un peu avec Jérôme pour savoir ce qu'il en pense...
Tu as raison, bien sûr, Feint !
Il suffit de faire comme en fac (crayon-fiche).
Je crois que c'est de la paresse d'esprit, ce qui est mauvais quand on vieillit ! ;)
Je ne retrouve plus le titre du livre que tu m'avais conseillé de lire absolument. Tu t'en souviens ? :)
C'était pas un Federman ? Chut !, peut-être.
Je peux en parler sur le blog alors ? Mais ça intéresse quelqu'un, au fait ?
Moi ça m'intéresse. Et puis ça remettra le site dans une direction littéraire.
C'est bien de parler de vélo, de politique, de films,. mais au départ c'est quand même un endroit pour parler de livres !
En fait, pour chaque éditeur créé via l'importation d'une notice Bnf, tu pourrais nous faire un topo sur l'éditeur (sur le blog ?). Il faudra décider de ce qu'on fait de ces éditeurs et collections qui s'amassent tranquillement.
C'est bien de parler de vélo, de politique, de films,. mais au départ c'est quand même un endroit pour parler de livres !
En fait, pour chaque éditeur créé via l'importation d'une notice Bnf, tu pourrais nous faire un topo sur l'éditeur (sur le blog ?). Il faudra décider de ce qu'on fait de ces éditeurs et collections qui s'amassent tranquillement.
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