Le précident était l'Archikon Arbonne Atou-Fère
Lis mieux ;-)
Ah oui, j'avais pas vu dans Googel !
*Sibillyne :
Très drôle, Sib. Ce ton léger te va à ravir. C’est ta dernière strophe ma préférée.
Aussi déçu qu’une pierre
Il quitta l’Angleterre,
Implacable miroir,
Et ramena sa fraise
Au concile de treize,
Fut élu pape. Bonsoir.
Très drôle, Sib. Ce ton léger te va à ravir. C’est ta dernière strophe ma préférée.
Aussi déçu qu’une pierre
Il quitta l’Angleterre,
Implacable miroir,
Et ramena sa fraise
Au concile de treize,
Fut élu pape. Bonsoir.
Je vous tire a tous mon chapeau(je n'en ai pas)vous bosser vachement bien.
Excellent Kilis ce soir encore, un peu triste (la faute à SJB) mais pourquoi pas? L'en faut aussi. Des vers très bien équilibrés et une énorme cohérence du début à la fin.
Lyra, t'es aussi une coquine hein! Parce que le saucisson qui lui fout le feu, ben... heu... :)))
Ton rythme cadencé y est toujours, c'est vif et chantant, peut-être juste un peu trop d'apostrophes à mon goût.
Ton rythme cadencé y est toujours, c'est vif et chantant, peut-être juste un peu trop d'apostrophes à mon goût.
J'aime beaucoup Kinbote !!!
Très original dans la manière de raconter, et également dans les jeux de mots !!!
Les deux premires vers sont ici aussi, très poétiques !!!
:0)
Très original dans la manière de raconter, et également dans les jeux de mots !!!
Les deux premires vers sont ici aussi, très poétiques !!!
:0)
@ tous : Vous êtes vraiment doués, elles sont géniales ces odes !
Mais c'est magnifique, Loupbleu ! pour un bleu c'est l'entrée en fanfare !
Encore un champion de l'alexandrin, fameux !
Encore un champion de l'alexandrin, fameux !
Lyra, t'es aussi une coquine hein! Parce que le saucisson qui lui fout le feu, ben... heu... :)))
Ton rythme cadencé y est toujours, c'est vif et chantant, peut-être juste un peu trop d'apostrophes à mon goût.
Oui, je sais t'aimes pas trop ça :0)
Moi non plus, mais c'est plus facile pour la musique, alors me mets hors-la-loi volontairement :0)
Et moi j'aime bien que Bala et Spirit nous aient rejoindu.
Dis donc, Fée car, c'est à cette heure-ci que tu rentres?
Kilis m'a impressionné, Sahkti m'a commotionné.
Kinbote, ça se tient bien aussi, ça commence en douceur pour terminer par un accès de vivacité que j'aime bien, surtout ceci:
"Quoi, on me jetterait la pierre
Jusqu’au fin fond de l’Angleterre!
Vite, qu’on m’apporte un miroir
Que je leur défonce la fraise"
"Quoi, on me jetterait la pierre
Jusqu’au fin fond de l’Angleterre!
Vite, qu’on m’apporte un miroir
Que je leur défonce la fraise"
*SJB
Avec toi, ça part tout de suite en délire et du bon « le gorille à l’allure furtive » c’est une image qui frappe, ça ! ainsi que , Mon Dieu, « le pas chaloupé de la papesse » et auusi, très bon : « C'est sale et dégoûtant comme une rue d'Angleterre »
Bravo !
Avec toi, ça part tout de suite en délire et du bon « le gorille à l’allure furtive » c’est une image qui frappe, ça ! ainsi que , Mon Dieu, « le pas chaloupé de la papesse » et auusi, très bon : « C'est sale et dégoûtant comme une rue d'Angleterre »
Bravo !
Non Lyra, ce n'est pas vraiment volontairement. Si tu arrivais à t'en passer, tu le ferais. Mais je pense que tu ne vas pas tarder à y arriver ;-))
Très triste Kilis, mais très beau aussi, on ne sent pas du tout la contrainte des syllabes, ça glisse naturellement.
Une phrase que j'adore :
Tu as déjà les larmes, as-tu besoin du son ?
Une phrase que j'adore :
Tu as déjà les larmes, as-tu besoin du son ?
Ben en plus j'ai une migraine(c'est pas une excuse,j'en ai souvent)mais ça l'arrange pas de cogiter comme ça a froid en si peu de temps .J'ai un cerveau comme un vieux diesel
Et moi j'aime bien que Bala et Spirit nous aient rejoindu.
De passage tardif, je découvre les contraintes et produis ceci :
Tu cueillais des églantines
Du côté de la saline.
Dans ton regard animal
Se lisait la joie furtive
D’une candeur fugitive…
A seize ans, c’était normal.
Moi qui rentrais de bataille,
Je sortis de la broussaille
Brandissant mon saucisson…
Ton œil s’emplit de tristesse,
Et, sur un ton de papesse,
Tu me dis : « Baisse le son… »
Je m’assis sur une pierre,
Te parlai de l’Angleterre,
Tu me tendis un miroir :
- Ventre saint Bleu ! Quelle fraise !
- Oui, tu as soixante-treize
Ans. J’ai mieux ailleurs. Bonsoir…
Tu cueillais des églantines
Du côté de la saline.
Dans ton regard animal
Se lisait la joie furtive
D’une candeur fugitive…
A seize ans, c’était normal.
Moi qui rentrais de bataille,
Je sortis de la broussaille
Brandissant mon saucisson…
Ton œil s’emplit de tristesse,
Et, sur un ton de papesse,
Tu me dis : « Baisse le son… »
Je m’assis sur une pierre,
Te parlai de l’Angleterre,
Tu me tendis un miroir :
- Ventre saint Bleu ! Quelle fraise !
- Oui, tu as soixante-treize
Ans. J’ai mieux ailleurs. Bonsoir…
Kilis, une petite merveille, de la douceur, de la poésie, pas mal de mélancolie. Les mots s'enchaînent avec fluidité, aucune contrainte apparente, un texte réussi!
Bien vu, Tistou !
La ligne est restée dans mon clavier :
"C'est qu'elle est en danger, la bête est fugitive"
La ligne est restée dans mon clavier :
"C'est qu'elle est en danger, la bête est fugitive"
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