Grieg, tu t'es planté dans les rimes ;-)))) Je suis mort de rire, vraiment, bienvenue à toi, hihi
quel con! je meurs! :o))
Préparez vos mouchoirs c'est une histoire terrible !
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Robinson sur son île a trouvé Vendredi
Il aurait préféré présence féminine
Une Fée belle et blonde comme une Marilyn
Mais c'est mieux deux que seul, réfléchit-il, pardi !
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Ils firent un bateau, c'étaient deux hommes hardis
Et les voilà tous deux navigants vers la Chine
Ils avaient emmené un ballot de pralines
(Ils étaient prévoyants, nullement étourdis)
.
Tout prêts à les offrir à la moindre étincelle.
Mais pralines aux Chinois, c'était un peu ficelle !
Ces gens là sont retors, autant qu'un léopard
.
Ils prirent nos deux gars dans une souricière
Ils avaient beau crier, réclamer l'Abbé Pierre
Tous deux ont disparus sans laisser de faire part !
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Robinson sur son île a trouvé Vendredi
Il aurait préféré présence féminine
Une Fée belle et blonde comme une Marilyn
Mais c'est mieux deux que seul, réfléchit-il, pardi !
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Ils firent un bateau, c'étaient deux hommes hardis
Et les voilà tous deux navigants vers la Chine
Ils avaient emmené un ballot de pralines
(Ils étaient prévoyants, nullement étourdis)
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Tout prêts à les offrir à la moindre étincelle.
Mais pralines aux Chinois, c'était un peu ficelle !
Ces gens là sont retors, autant qu'un léopard
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Ils prirent nos deux gars dans une souricière
Ils avaient beau crier, réclamer l'Abbé Pierre
Tous deux ont disparus sans laisser de faire part !
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Lyra, très joli, j'aime bien ton "Léo Part", toujours tes envolées mine de rien, de la passion camouflée.
Vent dredi??
Vent dredi??
bluewitch, parfait c'est trop, mais toi, ton truc, c'est top !
Oui, Yali, j' ai bien rigolé en lisant otn sonnet, il est vraiment excellent :0))
L'ascète au port de Sète en un saint Vendredi
Fut tenté, c'est patent, par une féminine
Silhouette de nymphe, un genre de Marylin
Mignonnette maligne, fille du Malin, pardi !
Elle dardait en dessous des regards bien hardis
Sous ses longs cils ourlant ses paupières de chine,
Le rose de ses joues avait teinte praline
Camoisi il brûlait, lui, le Saint, étourdi
A lui pauvre moine elle jetait ses étincelles
En ondulant des hanches, en mini-string ficelle,
(Sur le devant : triangle, impression "léopard" )
Et lui, l'homme de dieu, pris en sa souricière
N 'ayant pour se sauver ni Christ, ni l'abbé Pierre
Enlaça donc la belle . Et avec elle, il part ....
C'est du Hugo!
Si, j'insiste, tu allies humour et verbe haut, c'est excellent ;o)
Ah kilis, Kilis, Kilis, Kilis, et comme ça…
Et la petite Lyra, si tendre…
Je me refais un tour
Et la petite Lyra, si tendre…
Je me refais un tour
Lyra, très joli, j'aime bien ton "Léo Part", toujours tes envolées mine de rien, de la passion camouflée.
Vent dredi??
Merci, bah oui, une envie de baptiser un vent, c'est pas un truc que l'on fait tous les jours après tout... ;0))
Et puis il fallait bien un compagnon au "Robinson" ;0))
Kilis, c'est du béton, y a pas une faille :je défaille !
Kilis, du feu des flammes, c'est sensuel, au maximum dans cette simple phrase "Un coup d’œil au miroir, elle prend son sac, elle part"
Splendide
Splendide
Lyra, Tu nous a fait là un sonnet bien poétique et triste aussi. Alors, comme ça, Léo part? Un de perdu... Ceci dit, il y a des vers que je ne comprends pas, mais l'impression est là. Triste et poétique. Un chagrin de poète en quelque sorte.
Il fallait que l’on voie mon talent quelque part.
vu!
A lui pauvre moine elle jetait ses étincelles
En ondulant des hanches, en mini-string ficelle,
(Sur le devant : triangle, impression "léopard" )
Mais quand Mae s'y met!
Elle a du vocabulaire, bien vrai!
Sib, le rêve, l'aventure, ça sent le chaud.
Pas fière de moi quand je vous lis: j'ai eu un coup de mou ce soir
Qu'est ce que ça va être alors quand tu auras un coup de dur ! relis toi, que diable (c'est malin tiens !) t'as tout bon, là !
J'y mettrai des odeurs qui viennent de la Chine,
Avec un goût sucré rappelant la praline;
Déjà l'inspiration s'élève et m'étourdit,
L'idée première est là, et je vois l'étincelle,
Il suffit maintenant de tirer la ficelle,
Et rugir de plaisir comme un vrai léopard!"
Bolcho, j'adore, on dirait que les rimes étaient faites pour toi !!!
Ces vers ci sont mes préférés mais j'aime aussi les autres :0)
Et acculait le fauve en quelque souricière.
J’avais moins de jupons que le pauvre abbé Pierre
Il fallait que l’on voie mon talent quelque part.
On saura tout, Sib.
Suis ni tapette ni souricière
Pas davantage l'abée Pierre
Alors je la lui rends et repars
marrant, rythmé: J'te parle plus yali
Lyra, Tu nous a fait là un sonnet bien poétique et triste aussi. Alors, comme ça, Léo part? Un de perdu... Ceci dit, il y a des vers que je ne comprends pas, mais l'impression est là. Triste et poétique. Un chagrin de poète en quelque sorte.
Merci, mais arrètez de me dire que l'on ne me comprend pas, ça me stresse cette histoire à la fin ! ;0))
SJB, j'ai sorti mon mouchoir, point de chaudes larmes de désespoir, pour ces deux pauvres bonshommes hagards, qui malgré leurs destins épars, ne m'ont pas refilé le cafard!
Bravo ;o)
Bravo ;o)
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