Saint Jean-Baptiste 22/01/2005 @ 22:33:54
On a 15 mots ! C'est normal ?

Saint Jean-Baptiste 22/01/2005 @ 22:34:42
Non, c'est OK ! 14 !

Saint Jean-Baptiste 22/01/2005 @ 22:35:14
Non pas OK, d'accord !

Sibylline 22/01/2005 @ 22:35:15
Rendez-vous ici à 22h55
:-))))

Lyra will 22/01/2005 @ 22:36:02
On a 15 mots ! C'est normal ?

Bah oui, 14 !

Tistou 22/01/2005 @ 22:36:05
Alea jacta est

Lyra will 22/01/2005 @ 22:36:33
Rendez-vous ici à 22h55
:-))))

A tout à l'heure :0)

Tistou 22/01/2005 @ 22:52:32
Sur mes genoux, le chat, calin,
De l'épreuve mesure l'étendue.
Dans ses yeux la souris, dodue,
Qui prenait l'air, plutôt marin

Ne portait pas chemise de lin.
A fuir elle n'est pas parvenue
La tâche était plutôt ardue
Avec Tistou pas d'baratin.

Il l'a croqué avec tendresse
Ne remarquant pas sa mollesse
Bah, ça n'était pas un poisson?

Sur mes genoux, comme une citrouille
Tistou, et son ventre gargouille
Va lui falloir de la potion.



Ouf!!!! A moi aussi de la potion! Amis de la poèsie, bonjour.
Je vous en poste un 2ème sous peu. Ca a planché aussi chez moi.

Sibylline 22/01/2005 @ 22:53:20
Illusion antique

J’arpentais sur la plage par un matin câlin
Quand je vis devant moi, mollement étendue
Une sirène étrange un tant soit peu dodue
Qui avait déjà fait rêver plus d’un marin.

Elle n’était pas vêtue de ces robes de lin
Qui montrent à quelle grâce la mode est parvenue
Car loin de se prêter à cette erreur ardue
C’était un pinnipède niant tout baratin.

C’est à une otarie qu’allait cette tendresse
Que vouaient les marins trompés par sa mollesse
Plutôt que les bijoux, elle aimait le poisson.

Mais prenant, c’est connu, carrosse pour citrouille
Les matelots en manque, à tête de gargouille,
Auraient mieux fait de prendre bromure pour potion.

Sibylline 22/01/2005 @ 22:55:41
Si Tistou et Tistou s'y mettent à deux pour maîtriser souris (d'ordinateur et à museau pointu) la rime est assurée. Tu vois que ce n'était pas si difficile. Tu étais même en avance.

Bluewitch
avatar 22/01/2005 @ 22:56:40
Jamais bavard, toujours câlin,
Près de toi j’étais étendue,
Contre cette douceur dodue
Cachée sous ton vieux pull marin.

Chiffonnant mes robes de lin,
Grâce à toi je suis parvenue
A grimper aux pentes ardues
Sans souffrir aucun baratin.

Juste tes regards de tendresse
Brisaient mes moments de mollesse…
Tu vois ? J’ai mangé mon poisson.

Ours en peluche, couleur citrouille,
Aujourd’hui laid comme une gargouille
T’aurais bien besoin d’une potion…


Magique ? ;o)

Bolcho
avatar 22/01/2005 @ 22:57:19
Mais veuillez je vous prie, quand je fais un calin,
Ourler comme une mer sur la terre étendue,
Que je vous frôle doux sur la vague dodue:
Je suis un découvreur, je suis votre marin.

Votre peau est frisson, froissée comme le lin,
Mais je ne comprends pas: vous êtes parvenue
Jusqu'à l'extase enfin (la jouissance est ardue)
Malgré ma phrase creuse et mon vil baratin.

Votre corps tout entier est ému de tendresse,
Il passe en un instant de la douce molesse
A la vivacité perverse du poisson.

Je me sens à côté ou vulgaire citrouille,
Ou vil marin d'eau douce, ou ignoble gargouille.
Vous êtes ma souffrance, ou bien ma potion ?

Bluewitch
avatar 22/01/2005 @ 22:57:37
La potion, bien sûr...

Bolcho
avatar 22/01/2005 @ 22:57:57
Tout juste !

Léonce_laplanche 22/01/2005 @ 22:58:16
Prenez garde aux calins
Belle et douce Endormie,
Fuyez cette main dodue,
C'est celle d'un marin

Commerçant lhuile de lin,
Qu'il vend aux parvenues,
Son rôle n'est pas ardu:
Il a du baratin

Un semblant de tendresse
N'est pour lui que mollesse:
Il ne pense qu'aux poissons.

Préferez la citrouille,
Baffrez jusquà gargouille,
Poisson n'est pas potion !

Sibylline 22/01/2005 @ 22:58:38
Arrivée de Bolcho.!! Bonsoir, ça fait plaisir. Je vais lire ton poème.

Bluewitch
avatar 22/01/2005 @ 22:58:42
Oups, mon post était une précision à mon "Magique?"

Bluewitch
avatar 22/01/2005 @ 22:59:28
Pfff, j'avoue, le rouge me monte aux joues, j'ai eu du mal, mais alors là!

Tistou 22/01/2005 @ 22:59:49
Réalisé auprès de moi, (quand je viens, c'est pas pour rien), en voila un autre réalisé par une éducatrice de nos chères petites têtes blondes. C'est nul dit-elle. On va l'appeler "L'invitée".

Avec un air calin
Sur la plage étendue
Une demoiselle dodue
Respire l'air marin.

Dedans sa robe de lin
En ces lieux parvenue
Après une marche ardue
Elle prépare un baratin

Qu'elle rédige avec tendresse
Et un peu de mollesse
Car voilà le poisson

Sa sauce à la citrouille
Dans son ventre qui gargouille
Z'avez pas une potion?

Sibylline 22/01/2005 @ 23:02:55
Joli Blue. J'imagine des vacances à la mer et je te vois escalader les dunes, ou au repas du soir en tendre compagnie. Joli.

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