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J'ai relu ce livre et je me suis intéressé plus particulièrement à l'infiltration dans l'école privée hors contrat. Voici mon regard d'aujourd'hui
Ce livre reportage plonge le lecteur au cœur d'une organisation politico-religieuse
intervenant sur Bordeaux.
A côté de cette « secte » qui a une petite piignon sur rue, le Front National paraît presque comme un parti modéré.... Enfin presque.
Le journaliste Matthieu Maye a décidé de faire de l'infiltration- c'est un peu la mode- à Dies Irae « Enraciné, patriote et alter-européen », c'est ainsi que ce groupe se présente sur internet.
Avec une micro caméra, l'auteur va filmer pendant des mois ce mouvement durant toutes les phases de l'intervention politique de ces militants d'extrême droite : les travaux d'aménagement du local, l'entraînement aux sports de combat, les opérations de communication et naturellement leur piété et l'instrumentalisation de la fraction la plus rétrograde du clergé, liée aux groupes de l'ultra droite.
Il y d'un côté le discours un peu policé de ces gens là car il faut faire attention à ne pas se retrouver dans l'illégalité et les conversations où suintent le racisme le plus abjecte qui soit et la négation de l'holocauste.
Comme l 'écrit Caroline Fourest sur la quatrième page : ce document est « rare et glaçant ».
La partie enquête dans « l'école » privée hors contrat m'a particulièrement impressionnée. C'est de l'endoctrinement fasciste qui remplace l'enseignement et comme le dit le journaliste infiltré à propos des élèves qui chantent des chansons fascistes et font des plaisanteries infectes :
« Après tout, ils ne sont que des enfants et je ressens une profonde pitié pour eux. Pitié de voir dans quelle machine à laver le cerveau ils sont tombés, pitié de voir ce qu'ils sont entrain de devenir malgré eux.... »
Pour toutes ces raisons et beaucoup d'autres, ces « écoles » devraient être fermées et interdites d'enseignement et comme le disent les deux auteurs signataires de ce livre :
il faudrait arrêter les fausses inspections qui s'appuient sur les leçons expurgées et ignorent ce qui se dit effectivement.
Jean-François Chalot
Ce livre reportage plonge le lecteur au cœur d'une organisation politico-religieuse
intervenant sur Bordeaux.
A côté de cette « secte » qui a une petite piignon sur rue, le Front National paraît presque comme un parti modéré.... Enfin presque.
Le journaliste Matthieu Maye a décidé de faire de l'infiltration- c'est un peu la mode- à Dies Irae « Enraciné, patriote et alter-européen », c'est ainsi que ce groupe se présente sur internet.
Avec une micro caméra, l'auteur va filmer pendant des mois ce mouvement durant toutes les phases de l'intervention politique de ces militants d'extrême droite : les travaux d'aménagement du local, l'entraînement aux sports de combat, les opérations de communication et naturellement leur piété et l'instrumentalisation de la fraction la plus rétrograde du clergé, liée aux groupes de l'ultra droite.
Il y d'un côté le discours un peu policé de ces gens là car il faut faire attention à ne pas se retrouver dans l'illégalité et les conversations où suintent le racisme le plus abjecte qui soit et la négation de l'holocauste.
Comme l 'écrit Caroline Fourest sur la quatrième page : ce document est « rare et glaçant ».
La partie enquête dans « l'école » privée hors contrat m'a particulièrement impressionnée. C'est de l'endoctrinement fasciste qui remplace l'enseignement et comme le dit le journaliste infiltré à propos des élèves qui chantent des chansons fascistes et font des plaisanteries infectes :
« Après tout, ils ne sont que des enfants et je ressens une profonde pitié pour eux. Pitié de voir dans quelle machine à laver le cerveau ils sont tombés, pitié de voir ce qu'ils sont entrain de devenir malgré eux.... »
Pour toutes ces raisons et beaucoup d'autres, ces « écoles » devraient être fermées et interdites d'enseignement et comme le disent les deux auteurs signataires de ce livre :
il faudrait arrêter les fausses inspections qui s'appuient sur les leçons expurgées et ignorent ce qui se dit effectivement.
Jean-François Chalot
Je m'en vais le lire de ce pas ! Ils l'ont à la bibliothèque municipale. Merci pour l'info.
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