Beh? Je ne comprends pas, j'ai réussi à y accéder sans être abonnée. Désolée! Tiens, parce que j'ai cru comprendre que tu l'appréciais, l'avis de Volodine: « Cela fait trente ans que je travaille de façon obstinée et solitaire à un édifice littéraire qui se tient de lui-même, depuis mon premier livre publié en 1985, argumente-t-il. Mon seul souci est de ne pas perdre le lecteur. Et non de viser des grelots. »
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Merci Lobe ! Je me doutais bien qu'en écrivant "Il y a ceux, enfin, qui affectent de prétendre que « cela » n’a rien changé dans leur quotidien, et il est impossible de les croire. Parce qu’il flatte l’estime de soi et l’idée d’être reconnu pour son travail, un grand prix littéraire gagné à l’automne n’est pas un petit jalon dans une carrière d’écrivain", c'était entre autres à Volodine que Potet pensait.
Beaucoup de journalistes n'imaginent pas que les écrivains peuvent ne pas rêver de prix littéraires. Il est vrai aussi que ce sont les écrivains qui sont supposés avoir de l'imagination, pas les journalistes. Cela dit, interviewer des gens et annoncer en début d'interview qu'on ne croit pas aux réponses de l'interviewé, je trouve ça limite injurieux.
Beaucoup de journalistes n'imaginent pas que les écrivains peuvent ne pas rêver de prix littéraires. Il est vrai aussi que ce sont les écrivains qui sont supposés avoir de l'imagination, pas les journalistes. Cela dit, interviewer des gens et annoncer en début d'interview qu'on ne croit pas aux réponses de l'interviewé, je trouve ça limite injurieux.
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