Voici Chanson populaire, de Claude François :
https://www.youtube.com/watch?v=yPL2l7jpN8Y
https://www.youtube.com/watch?v=yPL2l7jpN8Y
Damien saez : Jeunesse, lève-toi
https://www.youtube.com/watch?v=x5DpM2narOU
Comme un éclat de rire
vient consoler tristesse
comme un souffle avenir
vient raviver les braises
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme
jeunesse lève toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui s'éteint
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
mais qui tient pas
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi
jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
je repars à la lutte
contre les gravités qui nous mènent à la chute
pour faire du bruit encore
à réveiller les morts
pour redonner éclat
à l'émeraude en toi
pour rendre au crépuscule
la beauté des aurores
dis-moi qu'on brûle encore
dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
que je vois dans tes yeux
jeunesse lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écoeure
Perfusion dans la veine
A l'ombre du faisceau
Mon vieux tu m'aura plus !
Ami dis quand viendra la crue
Contre courant toujours sont les contre-cultures,
Au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures ?
Puisque c'en est sonné la mort du politique,
L'heure est aux rêves
Aux Utopiques !
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais un jour ou l'autre
Faudra tuer le père
Faire entendre ta voix
Jeunesse lève toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste sommeil, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève toi !
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse,
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme
Quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l'âme
Jeunesse lève toi !
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui nous perd,
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient
Puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi ?
JEUNESSE LÈVE-TOI !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste coma, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi
Jeunesse lève toi
https://www.youtube.com/watch?v=x5DpM2narOU
Comme un éclat de rire
vient consoler tristesse
comme un souffle avenir
vient raviver les braises
comme un parfum de souffre
qui fait naître la flamme
jeunesse lève toi
contre la vie qui va qui vient
puis qui s'éteint
contre l'amour qu'on prend qu'on tient
mais qui tient pas
contre la trace qui s'efface
au derrière de soi
jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
je repars à la lutte
contre les gravités qui nous mènent à la chute
pour faire du bruit encore
à réveiller les morts
pour redonner éclat
à l'émeraude en toi
pour rendre au crépuscule
la beauté des aurores
dis-moi qu'on brûle encore
dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
que je vois dans tes yeux
jeunesse lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écoeure
Perfusion dans la veine
A l'ombre du faisceau
Mon vieux tu m'aura plus !
Ami dis quand viendra la crue
Contre courant toujours sont les contre-cultures,
Au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures ?
Puisque c'en est sonné la mort du politique,
L'heure est aux rêves
Aux Utopiques !
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais un jour ou l'autre
Faudra tuer le père
Faire entendre ta voix
Jeunesse lève toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste sommeil, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève toi !
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse,
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme
Quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l'âme
Jeunesse lève toi !
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui nous perd,
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient
Puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi ?
JEUNESSE LÈVE-TOI !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste coma, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi
Jeunesse lève toi
Warrior, de Luke
dans "Pornographie"
Mon amour je t'en donnerais à voir
Planté au milieu de nos chaînes
Des tâches de sang qui salissent
La beauté de ta haine
Plus rien ne nous surprend puisque plus rien ne nous effraie
La génération d'avant c'était la génération des Mickeys
Des kilomètres de peaux sur des kilomètres d'écrans
Qui vous servent de cerveau et de belles fuites en avant
Petit à petit se prolongent à la place de mes dents
Des crocs, pour mieux mordre dedans.
Qui je suis? Warrior. Je vous baise, hard-core .
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Plongé dans un mystère bien plus grand que l'univers
Je ne sais plus où donner de la tête
A force de parler à des sphincters
Vous vous défoncez la gueule à la coke et aux amphèt'
C'est moi qui vous la vends,
Je sais exactement ce que dans le nez vous allez vous mettre.
Le monde est complètement fou
Mais je suis aussi fou que lui
Et je vois la jeunesse encravatée
Pisser sur vos cris
Les cheveux gominés en arrière
Donner des leçons à la vie
Trois lettres sur le cul
UMP ou FMI
Qui je suis, Warrior, je vous baise, hard-core
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Warrior, hard-core!
Warrior, hard-core!
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans la jungle, vous avez enfanté une bombe.
Continuez vos emplettes, dans nos villes supermarket
On a effacé toute l'histoire
Et le sang sur les murs de vos conquêtes
Pour faire oublier le carnage
Je mets du rose sur le mur couleur merde de vos vies
Pour faire taire les murmures comme quoi
Je suis un loup dans une bergerie
Qui je suis? Warrior. Je vous baise, hard-core
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Warrior, hard-core.
Vous avez enfanté une bombe.
https://youtu.be/eOyd0x7FD9E
Le LUKE de ces dernières années est particulièrement désenchanté !
dans "Pornographie"
Mon amour je t'en donnerais à voir
Planté au milieu de nos chaînes
Des tâches de sang qui salissent
La beauté de ta haine
Plus rien ne nous surprend puisque plus rien ne nous effraie
La génération d'avant c'était la génération des Mickeys
Des kilomètres de peaux sur des kilomètres d'écrans
Qui vous servent de cerveau et de belles fuites en avant
Petit à petit se prolongent à la place de mes dents
Des crocs, pour mieux mordre dedans.
Qui je suis? Warrior. Je vous baise, hard-core .
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Plongé dans un mystère bien plus grand que l'univers
Je ne sais plus où donner de la tête
A force de parler à des sphincters
Vous vous défoncez la gueule à la coke et aux amphèt'
C'est moi qui vous la vends,
Je sais exactement ce que dans le nez vous allez vous mettre.
Le monde est complètement fou
Mais je suis aussi fou que lui
Et je vois la jeunesse encravatée
Pisser sur vos cris
Les cheveux gominés en arrière
Donner des leçons à la vie
Trois lettres sur le cul
UMP ou FMI
Qui je suis, Warrior, je vous baise, hard-core
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Warrior, hard-core!
Warrior, hard-core!
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans la jungle, vous avez enfanté une bombe.
Continuez vos emplettes, dans nos villes supermarket
On a effacé toute l'histoire
Et le sang sur les murs de vos conquêtes
Pour faire oublier le carnage
Je mets du rose sur le mur couleur merde de vos vies
Pour faire taire les murmures comme quoi
Je suis un loup dans une bergerie
Qui je suis? Warrior. Je vous baise, hard-core
J'ai assassiné les utopies sur l'autel d'un nouveau monde
Bienvenue dans ma chair, vous avez enfanté une bombe
Warrior, hard-core.
Vous avez enfanté une bombe.
https://youtu.be/eOyd0x7FD9E
Le LUKE de ces dernières années est particulièrement désenchanté !
Opium, d'Emilie Simon
dans "Végétal"
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en dégradé ...
Evaporée, comme la fumée, dans un nuage cendré.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs dans les détails ...
Toute embuée, je pars en fumée, comme un bon petit cobaye.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler, mon opium (x3)
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en profondeur ...
Ensommeillée, je me laisse guider, j'avance en apesanteur.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium, opium)
Mon opium, pas de sérum!
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
https://www.dailymotion.com/video/xg1mtq
Se laisser aller ...
dans "Végétal"
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en dégradé ...
Evaporée, comme la fumée, dans un nuage cendré.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs dans les détails ...
Toute embuée, je pars en fumée, comme un bon petit cobaye.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium opium)
Mon opium, pas de sérum, mon opium
Je laisse aller, me laisse inhaler, mon opium (x3)
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
Je laisse aller, me laisse inhaler,
Les vapeurs en profondeur ...
Ensommeillée, je me laisse guider, j'avance en apesanteur.
Mon opium, pas de sérum, mon opium (opium, opium)
Mon opium, pas de sérum!
Je laisse aller, je laisse aller ... je laisse aller (je laisse aller ... je laisse aller ...)
https://www.dailymotion.com/video/xg1mtq
Se laisser aller ...
Voici Bébé comme la vie, de France Gall :
https://www.youtube.com/watch?v=QwAshkHAENE
https://www.youtube.com/watch?v=QwAshkHAENE
Georges Moustaki, "sans la nommer"
https://www.youtube.com/watch?v=ouaytC9njFU
https://www.youtube.com/watch?v=ouaytC9njFU
Voici Satory pop century, d'Etienne Daho :
https://www.youtube.com/watch?v=QqIaMeSChQw
https://www.youtube.com/watch?v=QqIaMeSChQw
Voici Ne dis rien, d'Anna Karina et Serge Gainsbourg :
https://www.youtube.com/watch?v=NssgsCnjTK8
https://www.youtube.com/watch?v=NssgsCnjTK8
En guise d'hommage à Anna Karina qui vient de disparaître aujourd'hui, voici Sous le soleil exactement, chanson composée par Serge Gainsbourg et ici interprétée par elle :
https://www.youtube.com/watch?v=AvYd37BpXD0
https://www.youtube.com/watch?v=AvYd37BpXD0
https://www.youtube.com/watch?v=k8hWdM18oWI
Pascale Locquin Médic'amant
MEDIC'AMANT
Medic'amant d'un jour
Médic'amant pour toujours
Médic'amant d'un soir
Médic'amant désespoir
Médic'amant d'un soir
Médicamant dérisoire
Des roses et puis des bleus, de toutes les couleurs
Histoire de colorer
Un peu ta pâleur
Voyez moi la pilule, je préfère me la dorer.
Regardez ça comme elle pullule, plutôt dur à avaler.
Et puis si t'en as pas assez,
On t'en mettra de côté
à moins que ton toi ne finisse dans le fossé.
Juste un peu d'chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
J'veux juste un peu d'tendresse
Pas des coups de pied aux fesses
Tu t'habitues, tu te tues
Tu t'habitues, tu te tues
Solitube, tube, tube
Solitube, tu titubes.
Oh grand dieu, comme elle est drôle avec sa p'tite camisole
Oh la la comme ils rigolent sur tous les bancs de l'école.
Oh la la comme on a ri
Il parait qu'c'est bien fini.
Mamant j'veux pas y aller
Non, non j'veux pas y aller
La note va être salée quand ils vont tous m'embarquer!
Juste un peu d'chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
Juste un peu d'tendresse
Pas des coups de pieds aux fesses
Tu t'habitues, tu te tues
Tu t'habitues, tu te tues
Solitube, tube, tube
Solitube, tu titubes.
Admirez comme je suis bien
Ma folie en liberté
J'en ai pris bien des bains
De foules parfumées
Allez-y si vous voulez
Moi j'préfère me la dorer
Pas si folle que vous l'voudriez
Alors quoi, laissez-moi rêver
Solitude, tu nous tues
Solitude, tu nous tues
Habitube, tube tube
Habitube, tu titubes.
Un peu de chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
Un peu de tendresse
Pas des coups de pieds aux fesses!.
Medic'amant d'un jour
Médic'amant pour toujours
Médic'amant d'un soir
Médic'amant désespoir
Médic'amant d'un soir
Médicamant dérisoire
Pascale Locquin Médic'amant
MEDIC'AMANT
Medic'amant d'un jour
Médic'amant pour toujours
Médic'amant d'un soir
Médic'amant désespoir
Médic'amant d'un soir
Médicamant dérisoire
Des roses et puis des bleus, de toutes les couleurs
Histoire de colorer
Un peu ta pâleur
Voyez moi la pilule, je préfère me la dorer.
Regardez ça comme elle pullule, plutôt dur à avaler.
Et puis si t'en as pas assez,
On t'en mettra de côté
à moins que ton toi ne finisse dans le fossé.
Juste un peu d'chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
J'veux juste un peu d'tendresse
Pas des coups de pied aux fesses
Tu t'habitues, tu te tues
Tu t'habitues, tu te tues
Solitube, tube, tube
Solitube, tu titubes.
Oh grand dieu, comme elle est drôle avec sa p'tite camisole
Oh la la comme ils rigolent sur tous les bancs de l'école.
Oh la la comme on a ri
Il parait qu'c'est bien fini.
Mamant j'veux pas y aller
Non, non j'veux pas y aller
La note va être salée quand ils vont tous m'embarquer!
Juste un peu d'chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
Juste un peu d'tendresse
Pas des coups de pieds aux fesses
Tu t'habitues, tu te tues
Tu t'habitues, tu te tues
Solitube, tube, tube
Solitube, tu titubes.
Admirez comme je suis bien
Ma folie en liberté
J'en ai pris bien des bains
De foules parfumées
Allez-y si vous voulez
Moi j'préfère me la dorer
Pas si folle que vous l'voudriez
Alors quoi, laissez-moi rêver
Solitude, tu nous tues
Solitude, tu nous tues
Habitube, tube tube
Habitube, tu titubes.
Un peu de chaleur
De quoi réchauffer mon cœur
Un peu de tendresse
Pas des coups de pieds aux fesses!.
Medic'amant d'un jour
Médic'amant pour toujours
Médic'amant d'un soir
Médic'amant désespoir
Médic'amant d'un soir
Médicamant dérisoire
Voici Je te dois, de Philippe Lavil :
https://www.youtube.com/watch?v=M2HuZttZW_8
https://www.youtube.com/watch?v=M2HuZttZW_8
Les filles de l'aurore, de William Sheller
dans "Simplement"
1. Les filles de l'aurore
Je peux encore
Les retrouver
Elles ont autour du corps
De l'amour et de l'or
Que l'on peut jouer aux dés
Elles ont au fond des yeux
Des rêv's que l'on ignore
Quand vous dormez encore
Quand l'aube les voit passer par deux
Et moi je viens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
2. Les garçons de l'aurore
Glissent leur corps
Dans des jeans usés
Ils passent des doigts nerveux
Dans leurs cheveux
Et s'en vont au dehors
Ils ont au fond des yeux
Les rêves des plus forts
Les guerr's qu'ils font encore
Quand l'aube les voit marcher par deux
Et moi je viens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
3.
Les amants de l'aurore
se donnent encore dans des lits froissés
au cœur qui cogne au corps
Est-ce l'amour ou la mort
Qui les garde enlacés ?
Ils ont au fond des yeux
Des rêv's que j'rêvais fort
Pour que tu restes encore
Quand l'aube nous gardait tous les deux
Et je reviens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
Et je reviens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
https://youtu.be/uuYtgvKYqYE
Pas vraiment tout jeune tout ça, et pas vraiment vieilli. Un sacré compositeur que ce William Sheller !
dans "Simplement"
1. Les filles de l'aurore
Je peux encore
Les retrouver
Elles ont autour du corps
De l'amour et de l'or
Que l'on peut jouer aux dés
Elles ont au fond des yeux
Des rêv's que l'on ignore
Quand vous dormez encore
Quand l'aube les voit passer par deux
Et moi je viens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
2. Les garçons de l'aurore
Glissent leur corps
Dans des jeans usés
Ils passent des doigts nerveux
Dans leurs cheveux
Et s'en vont au dehors
Ils ont au fond des yeux
Les rêves des plus forts
Les guerr's qu'ils font encore
Quand l'aube les voit marcher par deux
Et moi je viens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
3.
Les amants de l'aurore
se donnent encore dans des lits froissés
au cœur qui cogne au corps
Est-ce l'amour ou la mort
Qui les garde enlacés ?
Ils ont au fond des yeux
Des rêv's que j'rêvais fort
Pour que tu restes encore
Quand l'aube nous gardait tous les deux
Et je reviens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
Et je reviens bien après l'aurore
Quand le soleil
Monte à Saint-Jean
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
J'voudrais leur dire
Que je t'aime encore
Toi qui t'en vas tout l'temps
https://youtu.be/uuYtgvKYqYE
Pas vraiment tout jeune tout ça, et pas vraiment vieilli. Un sacré compositeur que ce William Sheller !
Voici Déjeuner en paix, de Stéphane Eicher :
https://www.youtube.com/watch?v=S7cP8jGMtAE
https://www.youtube.com/watch?v=S7cP8jGMtAE
Voici Goodbye Lover, de Liane Foly :
https://www.youtube.com/watch?v=2NbhbjZA3WY
https://www.youtube.com/watch?v=2NbhbjZA3WY
Voici la Vie en rose, dans sa version interprétée par Grace Jones - que je préfère de loin, si je puis me permettre - :
https://www.youtube.com/watch?v=zXYKTm7nvHw
https://www.youtube.com/watch?v=zXYKTm7nvHw
Voici Plus haut, de France Gall, dans sa version de 1996 :
https://www.youtube.com/watch?v=lghDF44mUHU
https://www.youtube.com/watch?v=lghDF44mUHU
Voici Souvenirs souvenirs, de Johnny Hallyday :
https://www.youtube.com/watch?v=C_uOBS9kbhI
https://www.youtube.com/watch?v=C_uOBS9kbhI
Voici Au fur et à mesure, de Liane Foly :
https://www.youtube.com/watch?v=Wep6rcLmr8I
https://www.youtube.com/watch?v=Wep6rcLmr8I
La grande marée, de Bernard Lavilliers
dans "Le Stéphanois"
Un colosse aux pieds d'argile surveille la frontière
Des gosses aux mains fragiles jouent avec la poussière
Des veuves aux longs doigts fébriles distillent le thé
Un vieillard au regard tranquille sort de la fumée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Un roi perclus de solitude sur son trône dérisoire
Un café, une pendule, un bout de trottoir
Un réveil sinistre et drôle sur l'épaule d'un ouvrier
Qui s'en va au bout du môle, vers l'éternité
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Les enfants qui jouent à l'ombre des matraques
Le temps qu'il fait, six mois de prison à Maniac
Une étoile est tombée dans ma guitare
Si j'étais croyant, ce serait un don du ciel
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Les rues n'ont plus de recoins, plus d'angles morts
Ça facilite les rapports de force
Il n'y a plus d'amoureux, plus de bancs publics
Nous sommes éternellement bronzés
Notre vocabulaire est réduit à cinquante mots
Nous branchons nos sexes dans le secteur
Et nos spermatozoïdes sont calibrés et placés dans des banques
Ils servent de monnaie d'échange aux eunuques qui nous gouvernent
Notre société d'abondance fait merveille, il n'y a plus qu'une classe
Quoiqu'en y réfléchissant bien il y en ait une autre
Mais il est déconseillé de réfléchir
Nous ne faisons plus jamais l'amour, sauf de temps en temps
Avec les gardiens qui nous surveillent
Le mien est frigide
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
https://youtu.be/-5qvOF-3Mq8
1975, le Lavilliers des débuts (et je me souviens que je ne l'aimais pas à cette époque).
dans "Le Stéphanois"
Un colosse aux pieds d'argile surveille la frontière
Des gosses aux mains fragiles jouent avec la poussière
Des veuves aux longs doigts fébriles distillent le thé
Un vieillard au regard tranquille sort de la fumée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Un roi perclus de solitude sur son trône dérisoire
Un café, une pendule, un bout de trottoir
Un réveil sinistre et drôle sur l'épaule d'un ouvrier
Qui s'en va au bout du môle, vers l'éternité
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Les enfants qui jouent à l'ombre des matraques
Le temps qu'il fait, six mois de prison à Maniac
Une étoile est tombée dans ma guitare
Si j'étais croyant, ce serait un don du ciel
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
La grande marée, la grande marée, la grande marée
Les rues n'ont plus de recoins, plus d'angles morts
Ça facilite les rapports de force
Il n'y a plus d'amoureux, plus de bancs publics
Nous sommes éternellement bronzés
Notre vocabulaire est réduit à cinquante mots
Nous branchons nos sexes dans le secteur
Et nos spermatozoïdes sont calibrés et placés dans des banques
Ils servent de monnaie d'échange aux eunuques qui nous gouvernent
Notre société d'abondance fait merveille, il n'y a plus qu'une classe
Quoiqu'en y réfléchissant bien il y en ait une autre
Mais il est déconseillé de réfléchir
Nous ne faisons plus jamais l'amour, sauf de temps en temps
Avec les gardiens qui nous surveillent
Le mien est frigide
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
C'est la grande marée, la grande marée, la grande marée
https://youtu.be/-5qvOF-3Mq8
1975, le Lavilliers des débuts (et je me souviens que je ne l'aimais pas à cette époque).
Voici Sac ado, de Thomas Dutronc :
https://www.youtube.com/watch?v=ARz8ddGIZIA
https://www.youtube.com/watch?v=ARz8ddGIZIA
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