Le Soulier de satin, de Claudel, illisible, incompréhensible, un summum de l'emmerdement maximum et encore, je n'ai pas vu la version intégrale sur scène (8h de représentation si mes souvenirs de cours sont bons...)!
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Ah oui, bien sûr...
Le Soulier de satin, de Claudel, ...et encore, je n'ai pas vu la version intégrale sur scène (8h de représentation si mes souvenirs de cours sont bons...) !
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Moi je l'ai vu sur scène en version longue au Théâtre National à Bruxelles en 1987 ou 88 (c'est loin !) c'était avec Robin Renucci et Ludmilla Mikaël et mis en scène par Antoine Vitez... Féérique (mais longuet en effet !)
Comme ça, à première vue, il y a ce fichu La Condition Humaine d’André Malraux et La Nausée de J-P Sartre ; des Julien Green dont j’ai oublié jusqu’au titre, et encore Le Vieil Homme et la Mer que j’ai relu des années après et qui m’a fait l’effet d’un fait divers long et ennuyeux.Ah non, ce n'est pas moi ; je n'ai pas tellement aimé non plus le Lys dans la vallée - dans l'ensemble ; je me souviens quand même de belles descriptions.
Et puis l’ineffaçable Rivage des Syrtes de Julien Gracq et encore Le Hussard sur le Toit de Giono que j’ai trouvé long, long, long et très répétitif.
Et puis encore beaucoup d’autres, dont certains Balzac, entre autres, Le Lys dans la Vallée, qu’un CLien, Feint, peut-être ? m’a conseillé de relire parce qu’il en vaut la peine (alors je l’ajoute sur ma pile de LàL).
Alors pour moi : le docteur Pascal de Zola, la Peste de Camus (surtout eu égard à sa réputation), Sartre qui ne m'intéresse guère Malraux dont je n'ai jamais rien pu lire.
En revanche parmi ceux déjà cités j'aurai bien envie de défendre Flaubert et Proust en première ligne, Gide pour Paludes ou les Faux-monnayeurs, Gracq pour Un balcon en forêt ou le Rivages des Syrtes, Sarraute et ses Fruits d'or...
En revanche parmi ceux déjà cités j'aurai bien envie de défendre Flaubert et Proust en première ligne, Gide pour Paludes ou les Faux-monnayeurs, Gracq pour Un balcon en forêt ou le Rivages des Syrtes, Sarraute et ses Fruits d'or...
Belle du seigneur, une corvée à lire mais je l'ai fini.
Comme toi 1971! Je suis allée jusqu'au bout très difficilement..
Ah, toutes ces pages sur la beauté des doigts de pied dans le bain de l'amoureuse Ariane...
Proust a tendance a me faire le même effet.
Comme certains, je citerai le Portrait de Dorian Gray, qui fut réellement une lecture pénible pour moi. Dans mon podium des classiques détestés (même si le mot est fort ^__^) se trouvent aussi l'Amant et le Rouge et le Noir... jamais pus arriver à bout de ce dernier, et ce après moult tentatives.
Je peux comprendre pourquoi on pourrait ne pas aimer Dorian Gray. J'ai moi-même eu une surdose d'aphorisme un moment, mais ça reste mon oeuvre préférée de Wilde.
L'Amant m'a laissé indifférente.
L'Amant m'a laissé indifférente.
Je n'ai pas beaucoup apprécié 1984, je trouve qu'il a mal vieilli.
Je le trouve daté.
Je le trouve daté.:)
Le Soulier de satin, de Claudel, illisible, incompréhensible, un summum de l'emmerdement maximum et encore, je n'ai pas vu la version intégrale sur scène (8h de représentation si mes souvenirs de cours sont bons...)!
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Ah oui, bien sûr...
J'avais lu cette phrase qui m'avait fait rire : "Jean Cocteau, ayant vu au théâtre le Soulier de Satin de Paul Claudel aurait dit : "Heureusement qu'il n'a pas écrit la paire" "
Honnêtement, combien d'entre vous ont réussi à lire Proust ?
Honte sur moi, j'ai essayé de multiples fois, sans y parvenir. Je soupçonne nombre de personnes, de vivre cet échec -en silence- moi j'assume !
Et vous ?
Merci de ne pas me tomber dessus avec l'arrogant mépris de ceux qui non seulement ont réussi à le lire, mais qui y on trouvé LE plaisir +++ EUX !
Honte sur moi, j'ai essayé de multiples fois, sans y parvenir. Je soupçonne nombre de personnes, de vivre cet échec -en silence- moi j'assume !
Et vous ?
Merci de ne pas me tomber dessus avec l'arrogant mépris de ceux qui non seulement ont réussi à le lire, mais qui y on trouvé LE plaisir +++ EUX !
Honnêtement, combien d'entre vous ont réussi à lire Proust ?Tiens, j'ai relu Du côté de chez Swann pour la 3e fois cet été - toujours avec LE même plaisir.
Honte sur moi, j'ai essayé de multiples fois, sans y parvenir. Je soupçonne nombre de personnes, de vivre cet échec -en silence- moi j'assume !
Et vous ?
Merci de ne pas me tomber dessus avec l'arrogant mépris de ceux qui non seulement ont réussi à le lire, mais qui y on trouvé LE plaisir +++ EUX !
;)
Honnêtement, combien d'entre vous ont réussi à lire Proust ?
Honte sur moi, j'ai essayé de multiples fois, sans y parvenir. Je soupçonne nombre de personnes, de vivre cet échec -en silence- moi j'assume !
Pareil :)
Je n'ai lu "A la recherche du temps perdu" qu'une fois. Et j'ai aimé!
Parce que c'était le bon moment, je suppose? Et parce qu'on ne m'a jamais obligée à le lire :-)
Mais j'avoue :
- ne pas avoir aimé "Belle du Seigneur" (de beaux passages, mais globalement ennuyeux)
- ne jamais avoir dépassé le 10 premières pages de "Voyage au bout de la nuit"
- avoir considéré "Le lys dans la vallée" comme un des livres les plus ennuyeux depuis le lycée (lecture obligée) jusqu'à une relecture 35 ans plus tard. Depuis, je le considère comme un des plus beaux romans français (à ne pas lire trop jeune toutefois...)
- ne pas aimer Jules Verne...
- avoir abandonné "Don Quichotte" au milieu du premier tome
Parce que c'était le bon moment, je suppose? Et parce qu'on ne m'a jamais obligée à le lire :-)
Mais j'avoue :
- ne pas avoir aimé "Belle du Seigneur" (de beaux passages, mais globalement ennuyeux)
- ne jamais avoir dépassé le 10 premières pages de "Voyage au bout de la nuit"
- avoir considéré "Le lys dans la vallée" comme un des livres les plus ennuyeux depuis le lycée (lecture obligée) jusqu'à une relecture 35 ans plus tard. Depuis, je le considère comme un des plus beaux romans français (à ne pas lire trop jeune toutefois...)
- ne pas aimer Jules Verne...
- avoir abandonné "Don Quichotte" au milieu du premier tome
Bonsoir DE GOUGE, très honnêtement, j'ai aimé par-dessus tout la lecture de Proust. C'était un plaisir immense.
Je crois qu'il faut essayer de trouver la "petite musique" de ses longues, si longues phrases pour arriver à apprécier cette lecture.
C'était il y a une dizaine d'années et ce qui est curieux, c'est que très souvent encore, il m'arrive d'en revoir des images comme si c'était un film que j'avais vu et non une lecture que j'avais faite.
Je crois qu'il faut essayer de trouver la "petite musique" de ses longues, si longues phrases pour arriver à apprécier cette lecture.
C'était il y a une dizaine d'années et ce qui est curieux, c'est que très souvent encore, il m'arrive d'en revoir des images comme si c'était un film que j'avais vu et non une lecture que j'avais faite.
Peut-être faut-il lire l'essai de de Botton "Comment Proust peut changer votre vie".
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/1980
Je cite Syllah-O : "lire ou à relire Proust dans la perspective d'en tirer pour nos vies quelques leçons à l'issue desquelles nous devrions être capables d'aimer la vie aujourd'hui, de lire pour nous-même, de prendre notre temps, de réussir nos souffrances, d'exprimer nos émotions, d'être un véritable ami, d'ouvrir les yeux, d'être heureux en amour et, en conclusion, de laisser tomber un livre, c'est-à-dire de ne pas nous laisser enfermer en lui, parce qu'un livre digne de ce nom doit nous ouvrir au monde, à la vie, aux autres, au lieu de nous en soustraire."
et encore : "Il en est d'autres que rebutent ou découragent le style tout en sinuosités de Proust, ses interminables phrases entrelardées d'incises et cloquées d'épithètes, ses longueurs parfois lassantes, sa préciosité qui lui a valu et qui lui vaut encore de la part de certains le qualificatif infamant d'esthète. Ceux-là doivent s'armer de patience et plonger dans Proust avec confiance. Au bout de l'effort, quelle récompense !"
Je n'ai pas lu la recherche, mais j'ai lu cinq fois la Bible d'Amiens (plus pour Ruskin que pour Proust).
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/1980
Je cite Syllah-O : "lire ou à relire Proust dans la perspective d'en tirer pour nos vies quelques leçons à l'issue desquelles nous devrions être capables d'aimer la vie aujourd'hui, de lire pour nous-même, de prendre notre temps, de réussir nos souffrances, d'exprimer nos émotions, d'être un véritable ami, d'ouvrir les yeux, d'être heureux en amour et, en conclusion, de laisser tomber un livre, c'est-à-dire de ne pas nous laisser enfermer en lui, parce qu'un livre digne de ce nom doit nous ouvrir au monde, à la vie, aux autres, au lieu de nous en soustraire."
et encore : "Il en est d'autres que rebutent ou découragent le style tout en sinuosités de Proust, ses interminables phrases entrelardées d'incises et cloquées d'épithètes, ses longueurs parfois lassantes, sa préciosité qui lui a valu et qui lui vaut encore de la part de certains le qualificatif infamant d'esthète. Ceux-là doivent s'armer de patience et plonger dans Proust avec confiance. Au bout de l'effort, quelle récompense !"
Je n'ai pas lu la recherche, mais j'ai lu cinq fois la Bible d'Amiens (plus pour Ruskin que pour Proust).
Je n'ai jamais pu lire Marguerite Yourcenar, ça me tombe des mains.
J'ai attendu la retraite pour prendre du plaisir à la lecture de "Du côté de chez Swann", j'avais abandonné lors d'une précédente tentative. J'ai en projet de lire toute la série sur ma liseuse. Les phrases de Proust ne me pose aucun problème, je me laisse bercer par la musique et le rythme.
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