La Tour Sombre, Tome 1 : Le pistolero de Stephen King
( The gunslinger)
Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique
Moyenne des notes : (basée sur 22 avis)
Cote pondérée : (23 077ème position).
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Disons que c'est le passage obligé...
Il s'agit ici de la nouvelle traduction, texte remanié par l'auteur après avoir achevé la série en entier.
Alors donc me voici lancée dans la fameuse série La Tour Sombre, dont Stephen King dit qu'elle est l'oeuvre de sa vie, son "seigneur des anneaux". En préface il nous parle d'ailleurs de courriers qu'il reçoit à son sujet, par exemple une vieille dame très très âgée et sur le point de mourir qui le suppliait de lui révéler la fin... Mais à l'époque il ne l'avait pas encore écrite !...
Difficile en fait de se faire une idée après ce seul premier tome. On rencontre le Pistolero, il marche dans un désert derrière l'Homme en noir; sur son chemin il fait quelques rencontres, à l'occasion desquelles il livre un peu de son passé, nous permettant peu à peu de discerner un sens. Mais il est encore ténu et fragile.
Le tome s'achève sur une nuit qui dure 10 ans, à l'aube de la quête de La Tour Sombre, pilier des univers...
Bon ! Faut voir le tome 2. Pour l'instant un petit 3 étoile, je ne suis pas encore accrochée suspendue à l'histoire....
Les éditions
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Le pistolero [Texte imprimé] Stephen King nouv. trad. de l'américain par Marie de Prémonville ill. de Michael Whelan
de King, Stephen Whelan, Michael (Illustrateur) Prémonville, Marie de (Traducteur)
J'ai lu
ISBN : 9782290343173 ; 7,70 € ; 03/09/2004 ; 254 p. ; Broché
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Le premier d'une longue saga
Critique de M.Dantes (, Inscrit le 14 septembre 2016, 34 ans) - 14 septembre 2016
Pour le livre en lui-même, j'ai vraiment apprécié évoluer avec Roland le pistolero, personnage pragmatique qui s'efforcera de ne jamais dévier de sa quête : Rattraper l'homme en noir.
Et ne vous attendez pas à autre chose ici, car tout le long du livre, c'est le jeu du chat et de la souris. Quelques flashbacks et (petites) histoires parallèles permettront de relancer l'intérêt du lecteur mais la quasi totalité du livre entourera cette course poursuite aux intérêts peu évoqués.
Même si cela paraît pauvre à première vue, le tout est bien mené par S. King et donne l'envie au lecteur de tourner les pages pour se retrouver rapidement au face à face tant attendu.
Une tour sombre et lointaine qui paraît inatteignable, un sorcier enveloppé d'une robe noire, un cow-boy taciturne hanté par des souvenirs terribles, des démons , vous l'aurez compris, ici la SF et l'Heroic fantasy sont mélangés!
Le tout reste assez réussi et donne envie de repartir à l'aventure via le tome 2 : Les trois cartes.
è fkiree (c'est haut parlé)
Critique de Capt everton (, Inscrit le 10 janvier 2014, 37 ans) - 24 janvier 2014
Dans son introduction Stephen King compare la Tour Sombre à une fusion entre Bilbot le Hobbit et "le bon la brute et le truand".... Tout un programme... Bien que je ne retrouve ni trop de l'un ni de l'autre. Je n'ai pas trouvé beaucoup de finesse ni de profondeur dans ce livre où le pistoléro massacre un village entier.
Je vais essayer de ne pas dire de mal de Stephen King, car il bourgeoisement bien vu de le faire...
Le Pistolero se revendique comme étant un livre de jeunesse, et il fait apparaître plusieurs thèmes de Stephen King: Le shinning (de jakes), les morts vivants, l'usage de stupéfiants (peyolt) qui ouvrent certaines portes.
Comme souvent chez King les cuisines sont bien mélangées, le romantisme, la violence, du gothique, et la magie fantasy.
Franchement ?
Critique de Mammmuth (, Inscrit le 18 décembre 2012, 42 ans) - 18 décembre 2012
Une rencontre Jake, L'homme en noir et puis rien....
...Sauf que King a su Titiller ma curiosité à un point que je n'ai pas lâché la tour sombre depuis...
Un peu mou mais un un excellent début...
King ne dit pas tout tout de suite et c'est ça qui me pousse à continuer.
Mon premier livre de Stephen King, et ça risque d’être mon dernier …
Critique de Kyle (, Inscrit le 13 juillet 2011, 52 ans) - 30 octobre 2012
Résumé : un homme est à la recherche d’un autre homme, et il traverse un désert. C'est tout ! Aucune action, aucun dénouement, aucun rythme.
Tout au long de l'histoire le protagoniste ne fait que marcher et demande des informations aux gens qu'il rencontre. Ceux-ci lui répondent tout le temps qu'ils n’en ont pas, donc le protagoniste continue son chemin.
Pas de fantastique, pas de magie, et encore moins une saveur western.
Et on dit que ce roman fait partie de son chef-d'œuvre littéraire … Quelle déception.
Je lui donne 1 étoile et demi car le livre est court, et donc se lit (heureusement) vite.
La modestie selon Stephen King
Critique de Leloupbleu (, Inscrit le 5 février 2012, 50 ans) - 5 février 2012
C’est dans l’ordre du monde, mais à chaque fois qu’un écrivain vous dit ça, soit il pense le contraire, soit il essaye de vous refiler l’annuaire de son département. Et si cette règle est valable pour absolument tout le monde, elle fait une seule exception, et cette exception s’appelle Stephen King.
Le maitre préface le tome 1 de La Tour Sombre (Le Pistolero) en expliquant, avec le recul, que ce que vous tenez entre les mains n’est pas le meilleur livre qu’il ait jamais écrit, mais que pour un tas de bonnes raisons - une œuvre de jeunesse, le début d’une saga qui est le « Jupiter du système solaire de son imagination », l’espoir, la confiance en lui - il faut croire en sa promesse et dépasser la langueur produite par cette lente traversée du désert.
Et il a vachement raison. Bien que ce premier tome ne soit pas aussi désastreux qu’il le prétend. C’est le premier pas dans un univers aussi perturbant et prometteur que le premier bouton d’acné sur le désert d’une peau d’ado. Il faut bien qu’un nouveau monde se crée contre l’habitude et la facilité, et ce monde ne peut exister que dans les yeux d’un Homme qui porte en lui la prégnance, la culture et le destin de ce nouvel univers. Ce qui doit donc exister avant toute chose, c’est la vérité de cet homme, Roland de Gilead. Et pour cela, pour approcher du Panthéon, il doit cheminer longtemps en nous pour que nous puissions à l’avenir le reconnaitre au milieu des autres et par ses yeux, reconnaitre son univers.
Cette ouverture, cette poursuite dérisoire d’un autre Homme qui possède les clefs du passage au Tome 2 n’appelle à aucune autre conclusion que : bon, ok, voyons la suite. On n’est jamais vraiment dans la situation habituelle de ceux qui aiment le King, lui qui excelle à mettre ses personnages dans toutes les situations les plus inextricables. Mais c’était nécessaire. Il faut se souvenir de l’interminable début du Seigneur des Anneaux présentant les personnages centraux de l’histoire.
Stephen King alimente ainsi sa propre légende, celle d’une œuvre marquée par le mépris de la critique et le succès phénoménal de ses livres. Et celui là en est presque symbolique, puisque qu’il faut impérativement dépasser le stade d’une méthode rationnelle pour se plonger dans le Tome 2 (Les Trois Cartes) qui est, lui, une merveille du genre. Il faut croire en Stephen King, car il est l’un des écrivains majeurs de notre génération, et il faut le croire même quand il fait preuve de modestie.
Début des aventures de Roland Deschains ...
Critique de Marlène (Tours, Inscrite le 15 mars 2011, 47 ans) - 3 février 2012
J'ai commencé Les Trois Cartes et je crois que cette fois-ci c'est la bonne , mieux vaut tard que jamais ;)
Ah ! C'est vrai qu'il est spécial !
Critique de Martin1 (Chavagnes-en-Paillers (Vendée), Inscrit le 2 mars 2011, - ans) - 9 novembre 2011
Il est vrai que cette histoire est incompréhensible ! Mais on sent que SK ne met rien au hasard... Il y a des réponses à nos questions, et il faut lire le tome 2 pour comprendre !
Pour ma part, c'est tellement bien écrit et mystérieux que j'ai été tout à fait emballé...
Avez-vous lu le monologue de l'homme en noir à la fin ? Quand il parle des univers, et tout ! Oh, quelle beauté de la langue ! Je ne me lasse pas de relire ce passage !
Premier d'une longue série
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 25 mai 2011
Ce livre n'est pas un livre inoubliable mais il semble qu'il introduise bien l'ensemble de la série avec tous les mystères qui vont avec. C'est prometteur et je suis très impatient de commencer le second tome.
Sympa, atypique
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans) - 14 avril 2009
Sympa, étrange, c'est un livre court mais très réussi. Mais j'ai du mal à le faire rentrer dans le cycle, cependant, même s'il en fait partie, assurément.
Pour mettre en appétit
Critique de MAGGUIL (, Inscrite le 22 février 2008, 44 ans) - 28 janvier 2009
L'intrigue et le rythme sont très lents, ce qui empêche de se mettre entièrement dans l'histoire. Le personnage principal est difficile à cerner et on ne sait pas du tout où on va dans les prochains tomes.
C'est très différent de ce que fait habituellement Stephen King et c'est vrai qu'en tant que fan on peut en être surpris.
Différent oui, mais inintéressant non ! L'auteur nous fait découvrir d'autres horizons et on a envie de le suivre dans cette aventure.
Qu'est ce qui a pris à Stephen King d'écrire une histoire pareille ? Eh bien, il l'explique clairement, il avait été totalement subjugué par le seigneur des anneaux et il avait envie de livrer lui aussi une histoire aussi fantastique. Il s'est lancé un défi et il me tarde de voir si il l'a réussi !
c'est juste le début
Critique de Adrien34 (, Inscrit le 18 janvier 2009, 34 ans) - 18 janvier 2009
En attendant la suite.
Critique de Laurent.v (, Inscrit le 10 juin 2007, 51 ans) - 30 juin 2007
Depuis, j'ai lu d'autres livres de Stephen King. Suffisamment pour me convaincre de redonner sa chance au pistolero. J'ai repris le chemin de la tour sombre. Et là, petite déception, Roland, le héros de la série n'est pas sympathique (au premier abord) et sa quête n'est pas passionnante (toujours au premier abord). Alors, à quoi bon continuer me direz-vous ?
C'est tout simple... Aujourd'hui, j'ai terminé le cycle de la tour sombre et les 250 premières pages qui, je le maintiens, ne sont pas passionnantes, préparent la suite et vous le constaterez si vous allez au-delà de ce premier tome, la suite est bien meilleure...
Alors courage...
Début difficile
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 25 octobre 2006
Un livre assez dur à lire
Critique de Panty (Gaume, Inscrit le 17 avril 2005, 32 ans) - 13 octobre 2006
Passage obligé.
Je crois bien que c'est bien le terme.
Le début d'une quête est souvent un moment délicat...
Critique de Missparker (Ixelles, Inscrite le 27 janvier 2006, 42 ans) - 11 mai 2006
Le rythme est irrégulier, le personnage de Roland est taciturne et paraît incompréhensible, on ne voit pas toujours où l'auteur veut en venir et, surtout, le roman est très différent de ce qu'on a l'habitude de lire venant de Stephen King.
Ecrit très jeune, on peut lui pardonner ses faiblesses. Il est malgré tout un excellent roman, annonciateur de son incroyable suite. Il m'a fait découvrir l'univers de "La Tour Sombre" et, pour cela, je le classe parmis mes romans cultes.
Certains, malheureusement, jugent l'ensemble du cycle négligeable parce qu'ils n'ont pas aimé ce premier tome et n'essaient pas de s'intéresser à la suite. Par pitié, lisez "Les trois cartes", ne serait-ce que les 50 premières pages. Vous constaterez combien le second toma est différent du premier! Si ça ne va toujours pas, abandonnez, votre cas sera désespéré, vous n'intégrerez jamais le monde merveilleux du ka-tet du dernier des pistoleros...
A éviter !
Critique de Zeddicus (Montbéliard, Inscrit le 30 mars 2006, 34 ans) - 30 mars 2006
L'histoire n'est pas accrocheuse du tout et au contraire même, on a l'impression que tout est fait pour repousser le lecteur. De plus, ce livre est présenté comme un ouvrage de fantasy dans une sorte de monde des western totalement anéanti. Mais je n'ai rien retrouvé de vraiment magique dans tout ce livre et je m'y suis ennuyé ferme ! C'est une trahison aussi bien au monde de la fantasy qu'au monde du western. C'est bien simple, en le lisant, je n'ai pour ainsi dire fait que de déprimer ! En bref, vous l'aurez compris, ce premier tome de "La Tour sombre" est un livre à éviter à tout prix.
Tres grosse déception
Critique de Yanice (, Inscrit le 11 septembre 2005, 39 ans) - 23 mars 2006
Puis j'ai appris qu'il avait eu des problèmes de drogue dans son jeune âge et que ce roman a justement été écrit à son jeune âge.
La logique s'est faite d'elle-même.
C'est la seule explication que j'ai pu trouver en tout cas car ce livre est un véritable ovni.
le meilleur de la série
Critique de Vda (, Inscrite le 11 janvier 2006, 49 ans) - 11 janvier 2006
Pour une fois que king faisait dans la dentelle, il aurait dû s'arrêter là et nous laisser sur notre faim.
L’eau à la bouche
Critique de Saint-Germain-des-Prés (Liernu, Inscrite le 1 avril 2001, 56 ans) - 26 octobre 2005
La confrontation entre Roland le pistolero et l’homme en noir est d’une symbolique toute biblique : le clin d’œil à la tentation de Jésus dans le désert est flagrante, ainsi que l’allusion à la traversée du désert par le peuple hébreu (si on accepte d’y voir une sorte de rite initiatique).
Je ne mets « que » 3 étoiles et demi car ce livre-ci n’est qu’une entrée en matière et que je veux pouvoir y aller crescendo…
premier du cycle, et premier dans mon coeur !
Critique de Arno (Châteauroux, Inscrit le 2 novembre 2004, 48 ans) - 2 novembre 2004
Certes le style, le rythme, l'intrigue de ce livre sont à des lieues de ce à quoi nous a habitué Stephen King... Et c'est bien ces éléments que j'ai particulièrement aimés dans cette oeuvre.
Nous sommes loin des habituelles histoires d'épouvante ou de suspense de SK, dans un far-west un peu bizarre, accompagnant un pistolero dont on ne sait pas très bien si il est un "gentil" ou un "méchant" au début. Cette ambiguïté, l'impression de huis clos de ce premier tome m'ont transporté plus sûrement et plus totalement que les volumes suivants de ce cycle (même si je les dévore avec avidité) !
Bref, oubliez ce que vous savez de Stephen King et plongez-vous dans l'histoire de Roland Deschain !
le début d'une expérience formidable
Critique de Martell (, Inscrit le 27 février 2004, 61 ans) - 13 septembre 2004
Benoit:
..
Je voulais simplement ajouter deux petits commentaires a la critique de la Tour Sombre.
Premièrement, il est évident qu'il est HORS de question de commencer le cycle en cours de route, en lisant Magie et Cristal sans avoir connaissance des précédents livres du cycle. Comme pour tout cycle, il faut commencer par le début, par Le Pistolero, au risque de ne pas apprécier dans son ensemble La Tour Sombre, et ce serait dommage car c'est vraiment un cycle très, très intéressant.
Deuxièmement, Le Pistolero n'est certainement pas le moins réussi du cycle. Au contraire, c'est le plus original, le plus mystérieux qui, grâce à son côté hermétique, nous donne envie de lire la suite qui est plus conventionnelle bien que toujours intéressante.
Martell:
..
Merci Benoit d'apporter cette précision.
Ce serait en effet une grave erreur de ne pas commencer par le début. Le mieux serait d'insister sur ce point en faisant une critique éclair dans la fiche du livre. Je ne ne peux pas le faire moi-même, la configuration du site l'interdit, avec raison d'ailleurs.
J'ai vu, trop tard, que mon avant dernier paragraphe peut effectivement porter à confusion ..
«Il est possible de débuter cette aventure à partir de ce 4e volume qu’est MAGIE ET CRISTAL, car il y a un excellent résumé des 3 premiers au début du livre. Mais le problème, c’est que vous risquez de ne ressentir aucun attachement particulier pour les personnages merveilleux qui d’entrée de jeu sont dans une situation dramatique d’une grande intensité. Alors… le mieux est de découvrir le premier tome, ‘Le pistolero’ , écrit sans prétention et sans génie. Pénible à lire même. Mais tout le reste de l’œuvre repose sur cet aventurier sorti de nulle part. Les habitués de SK seront déroutés par ce style primaire. Même Richard Bachman écrivait mieux selon moi. »
Et c'est vrai que j'y suis allé assez raide en critiquant l'écriture du Pistolero. C'est que je me souviens très bien avoir été terriblement déçu du style lorsque j'en ai fait la lecture. C'était comme une BD en noir et blanc, avec quasiment pas de bulles texte. On ne s'attend pas à cela en ouvrant un SK.
Mais tu as raison, en y réfléchissant, le caractère taciturne du pistolero et la désolation qui l'entoure donne un ton particulier mais essentiel pour apprécier l'évolution vers la Tour sombre.
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