Sans doute possible, la dernière harde, de Genevoix. Cette histoire de faon se promenant dans la forêt... Il a fait une longue station sur ma table de chevet, mais je l'ai finalement fini...
Ca c'est bizarre, moi j'ai vraiment aimé cet à tel point qu'il figure dans mon top 10. Quand je me promène dans une hêtraie en hiver je repense à la scène initiale, le jour blafard, les grands futs sinistres des hêtres, et puis le vieux cerf qui utilise un jeune pour dépister les chiens.
moi c' est "l' amour fou" de Breton .J' ai beau m' y être pris à 4 fois (c' etait une lecture obligatoire) je ne suis pas allé plus loin que la page vingt.
Américan Psycho, abandonné peu avant la fin ( ma mère m'a révélé par la suite qu'il n'y avait d'ailleurs plus de meurtres après la page où je m'étais arrêtée ...)
"Sur la route" de Jack Kerouac
"Sur la route" de Jack Kerouac
Je ne conçois pas de ne pas terminer un livre mais sur les 6 dernières années, 3 ont eu raison de mon abnégation ;
Chienne d'Irlande de Ardan HIGGINS
Le Très Bas de Christian BOBIN
Ingrid Caven de Jean Jacques SCHUHL
S'il n'en fallait qu'un ce serait le BOBIN. Oh la purge!
(Mais je peux comprendre que d'autres apprécient, ouf!)
Chienne d'Irlande de Ardan HIGGINS
Le Très Bas de Christian BOBIN
Ingrid Caven de Jean Jacques SCHUHL
S'il n'en fallait qu'un ce serait le BOBIN. Oh la purge!
(Mais je peux comprendre que d'autres apprécient, ouf!)
Les particules élémentaires de Houellebecq, je n'ai pas réussi à lire dix pages.
Je sais que c'est un livre très controversé mais pour le moment je reste du côté de ceux qui trouvent ce livre mauvais mais bon dix pages, ce n'est pas énorme pour se faire une bonne idée.
Je sais que c'est un livre très controversé mais pour le moment je reste du côté de ceux qui trouvent ce livre mauvais mais bon dix pages, ce n'est pas énorme pour se faire une bonne idée.
Je déteste ne pas finir un livre, et c'est d'ailleurs très rare. Malgré tout, n'ayons pas peur d'être hué, ceux que je n'ai pas réussi à lire:
A la recherche du temps perdu, Proust; je ne sais pas, rien ne m'intéresse.
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Sinon il y en a d'autres que j'ai eu du mal à lire, même si ceux-ci je les ai achevés: Frankenstein, de Mary Shelley, quelques livres de Henry James ou... madame Bovary! eh oui...
A la recherche du temps perdu, Proust; je ne sais pas, rien ne m'intéresse.
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Sinon il y en a d'autres que j'ai eu du mal à lire, même si ceux-ci je les ai achevés: Frankenstein, de Mary Shelley, quelques livres de Henry James ou... madame Bovary! eh oui...
A la recherche du temps perdu, Proust; je ne sais pas, rien ne m'intéresse.
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Ah oui? Tu n'as pas aimé "Si le grain ne meurt"? Je suis surpris car j'ai justement trouvé que Gide attachait un souci perpétuel à donner du rythme à son livre, à ne pas le faire traîner... au détriment de certains aspects de lui-même qui m'ont laissé un peu sur ma faim.
En ce qui me concerne, j'ai détesté les petits traités du début de la carrière de Gide (pour rester autour du sujet) tels "La Tentative amoureuse" ou "Le Traité du Narcisse" qui m'ont vraiment laissé froid et sans aucune envie d'y réfléchir.
Il y a aussi eu "Le Lys dans la vallée" de ce cher Balzac que je n'ai même pas réussi à terminer.
Enfin... je les reprendrai et je reste convaincu (à mon âge, c'est normal et plutôt rassurant), que quand un livre ne me plaît pas, c'est que je n'ai pas encore acquis une maturité littéraire suffisante: il n'y a qu'à laisser décanter!
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Ah oui? Tu n'as pas aimé "Si le grain ne meurt"? Je suis surpris car j'ai justement trouvé que Gide attachait un souci perpétuel à donner du rythme à son livre, à ne pas le faire traîner... au détriment de certains aspects de lui-même qui m'ont laissé un peu sur ma faim.
En ce qui me concerne, j'ai détesté les petits traités du début de la carrière de Gide (pour rester autour du sujet) tels "La Tentative amoureuse" ou "Le Traité du Narcisse" qui m'ont vraiment laissé froid et sans aucune envie d'y réfléchir.
Il y a aussi eu "Le Lys dans la vallée" de ce cher Balzac que je n'ai même pas réussi à terminer.
Enfin... je les reprendrai et je reste convaincu (à mon âge, c'est normal et plutôt rassurant), que quand un livre ne me plaît pas, c'est que je n'ai pas encore acquis une maturité littéraire suffisante: il n'y a qu'à laisser décanter!
A la recherche du temps perdu, Proust; je ne sais pas, rien ne m'intéresse.
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Ah oui? Tu n'as pas aimé "Si le grain ne meurt"? Je suis surpris car j'ai justement trouvé que Gide attachait un souci perpétuel à donner du rythme à son livre, à ne pas le faire traîner... au détriment de certains aspects de lui-même qui m'ont laissé un peu sur ma faim.
En ce qui me concerne, j'ai détesté les petits traités du début de la carrière de Gide (pour rester autour du sujet) tels "La Tentative amoureuse" ou "Le Traité du Narcisse" qui m'ont vraiment laissé froid et sans aucune envie d'y réfléchir.
Il y a aussi eu "Le Lys dans la vallée" de ce cher Balzac que je n'ai même pas réussi à terminer.
Enfin... je les reprendrai et je reste convaincu (à mon âge, c'est normal et plutôt rassurant), que quand un livre ne me plaît pas, c'est que je n'ai pas encore acquis une maturité littéraire suffisante: il n'y a qu'à laisser décanter!
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Ah oui? Tu n'as pas aimé "Si le grain ne meurt"? Je suis surpris car j'ai justement trouvé que Gide attachait un souci perpétuel à donner du rythme à son livre, à ne pas le faire traîner... au détriment de certains aspects de lui-même qui m'ont laissé un peu sur ma faim.
En ce qui me concerne, j'ai détesté les petits traités du début de la carrière de Gide (pour rester autour du sujet) tels "La Tentative amoureuse" ou "Le Traité du Narcisse" qui m'ont vraiment laissé froid et sans aucune envie d'y réfléchir.
Il y a aussi eu "Le Lys dans la vallée" de ce cher Balzac que je n'ai même pas réussi à terminer.
Enfin... je les reprendrai et je reste convaincu (à mon âge, c'est normal et plutôt rassurant), que quand un livre ne me plaît pas, c'est que je n'ai pas encore acquis une maturité littéraire suffisante: il n'y a qu'à laisser décanter!
Je voudrais excuser la fausse manipulation qui a entraîné la copie de mon message en double.
Le livre qui m'a été le plus difficile à lire a été " Sa majesté des Mouches " de William Golding.
L'auteur désenchanté à cause des conflits mondiaux qui ont secoué notre xx ème siècle, décrit un univers horrible : pendant la seconde guerre mondiale, suite à une attaque aérienne de leur bateau (ou de leur avion ?), une bande de jeunes collégiens échoue sur une île déserte. Ils restent seuls, livrés à eux mêmes, sans aucun adulte à leurs côté et s'affranchiront alors de la morale, des règles de notre société policée. Le seul signe qui leur viendra du monde des adultes sur leur île, sera un parachutiste mort, tué sous les balles ennemies... Ce livre est doté d'un suspense terrifiant et on se demande si l'escalade dans l'horreur, la violence et la cruauté, va bien finir par s'arrêter un jour.
L'auteur désenchanté à cause des conflits mondiaux qui ont secoué notre xx ème siècle, décrit un univers horrible : pendant la seconde guerre mondiale, suite à une attaque aérienne de leur bateau (ou de leur avion ?), une bande de jeunes collégiens échoue sur une île déserte. Ils restent seuls, livrés à eux mêmes, sans aucun adulte à leurs côté et s'affranchiront alors de la morale, des règles de notre société policée. Le seul signe qui leur viendra du monde des adultes sur leur île, sera un parachutiste mort, tué sous les balles ennemies... Ce livre est doté d'un suspense terrifiant et on se demande si l'escalade dans l'horreur, la violence et la cruauté, va bien finir par s'arrêter un jour.
A la recherche du temps perdu, Proust; je ne sais pas, rien ne m'intéresse.
La montagne magique, Mann; pas compliqué mais lourd, lourd, lourd.
Si le grain ne meurt, Gide; comme pour Proust...
Ah oui? Tu n'as pas aimé "Si le grain ne meurt"? Je suis surpris car j'ai justement trouvé que Gide attachait un souci perpétuel à donner du rythme à son livre, à ne pas le faire traîner... au détriment de certains aspects de lui-même qui m'ont laissé un peu sur ma faim.
En ce qui me concerne, j'ai détesté les petits traités du début de la carrière de Gide (pour rester autour du sujet) tels "La Tentative amoureuse" ou "Le Traité du Narcisse" qui m'ont vraiment laissé froid et sans aucune envie d'y réfléchir.
Il y a aussi eu "Le Lys dans la vallée" de ce cher Balzac que je n'ai même pas réussi à terminer.
Enfin... je les reprendrai et je reste convaincu (à mon âge, c'est normal et plutôt rassurant), que quand un livre ne me plaît pas, c'est que je n'ai pas encore acquis une maturité littéraire suffisante: il n'y a qu'à laisser décanter!
Effectivement, la maturité joue un grand rôle dans la façon dont on apprécie (ou non) un livre. Nul doute que je réessaieri encore tous ces livres si fameux que je n'ai pas finis. mais je me dis que à 16, 25 ou 60 ans, on n'a jamai fini d'apprendre, de mûrir et de grandir, non?
les livres les plus difficiles à lire ? je dirais ceux qu'on OBLIGE à lire, même si cela fait partie de l'étude...la lecture est un choix, or l'imposer la rend synonyme de contraintes et , et il est parfois difficile de prendre un réel plaisir à ce qui est imposé
Je crois qu'il doit s'agir pour moi d'un Robbe-Grillet (la jalousie, si je me souviens bien), quel ennui!
Par ailleurs, il y a aussi des livres (et des auteurs) qui vous tombent des mains et des années plus tard, c'est le coup de foudre! J'ai connu cette expérience avec Duras et avec Thomas Bernhard dont je suis devenu ensuite un inconditionnel.
C'est même assez curieux en ce qui concerne Bernhard, parce que je sais que c'est relativement banal de commencer par le détester puis de ne pas pouvoir s'empêcher d'y revenir et de l'adorer à ce moment-là. (Hervé Guibert raconte ça dans un de ces derniers romans).
Quelle explication donner à ça? Peut-être (grossièrement) ceci : d'abord c'est vrai mais c'est insupportable puis c'est insupportable mais c'est tellement vrai et à la fin, quand on est conquis, ça en devient drôle... Enfin, si d'autres gens ont une autre explication, je serais ravi de la lire!
Par ailleurs, il y a aussi des livres (et des auteurs) qui vous tombent des mains et des années plus tard, c'est le coup de foudre! J'ai connu cette expérience avec Duras et avec Thomas Bernhard dont je suis devenu ensuite un inconditionnel.
C'est même assez curieux en ce qui concerne Bernhard, parce que je sais que c'est relativement banal de commencer par le détester puis de ne pas pouvoir s'empêcher d'y revenir et de l'adorer à ce moment-là. (Hervé Guibert raconte ça dans un de ces derniers romans).
Quelle explication donner à ça? Peut-être (grossièrement) ceci : d'abord c'est vrai mais c'est insupportable puis c'est insupportable mais c'est tellement vrai et à la fin, quand on est conquis, ça en devient drôle... Enfin, si d'autres gens ont une autre explication, je serais ravi de la lire!
Au risque de me faire huer, moi c'est Modiano. J'ai commencé "Accident nocturne" et "Dora Bruder" mais je n'ai pas pu finir. La prochiane tentative (avant jet définitif d'éponge) sera je pense "La petite bijou" qu'en pensez-vous ?
Moi c'est les essais de Michel de Montaigne. Je ne dit pas qu'ils sont mauvais (bien au contraire), mais dans l'édition que j'ai, il y a des bouts en latin. J'ai donc laisser tomber après le premier livre et je me suis acheter un livre "Assimil" pour essayer d'apprendre le latin "sans peine" (Il semble ne pas avoir de professeur de latin dans ma région).
Montaigne a également un vocabulaire compliqué (pour moi). J'ai trouvé cela lourd.
Montaigne a également un vocabulaire compliqué (pour moi). J'ai trouvé cela lourd.
Manon Lescaut fut assez pénible à lire, mais je dois avouer que L'Âne Culotte de Bosco fut une des lectures les plus pénibles à terminer. Bosco et son style du terroir a su m'exténuer. Biensûr, j'étais plutôt jeune lors de cette lecture, mais elle m'a marquée dans ses longueurs. Peut-être étais-je trop jeune pour lire ce roman à l'époque.
Je me permets de réagir sur votre très mauvaise opinion sur Salammbô de Flaubert.
Pour ma part c'est un des meilleurs livres que j'ai lu.
L'ambiance de l'époque est superbement rendue et le descriptif des tenues des différentes tribues participant aux combats sont somptueuses.
Je vous rappelle que ce livre décrit la prise de Carthage et il est évident que la mort fait parti de cette réalité.
Pour ma part c'est un des meilleurs livres que j'ai lu.
L'ambiance de l'époque est superbement rendue et le descriptif des tenues des différentes tribues participant aux combats sont somptueuses.
Je vous rappelle que ce livre décrit la prise de Carthage et il est évident que la mort fait parti de cette réalité.
Ben moi, sans aucun doute, c'est le livre '' Moon Palace '' de Paul Auster. L'auteur est d'une intelligence rare mais bon Dieu que c'est long pour rien tant qu'à moi. Pas question que je le relise.
que c'est long pour rien tant qu'à moi.Une expression que je ne connaissais pas, ça veut dire quoi, siouplé ??
Un des plus difficiles: "Le Nom de la Rose".
Mais seulement les "déjà nombreuses" premières pages. De très longs passage en latin. Mais ils aident vraiment le lecteur à entrer dans le roman.
Sinon:Proust. J'ai essayer des dizaines de fois. J'arrive pas à goûter ses madeleines.
Mais, je suis pas très courageuse.
Mais seulement les "déjà nombreuses" premières pages. De très longs passage en latin. Mais ils aident vraiment le lecteur à entrer dans le roman.
Sinon:Proust. J'ai essayer des dizaines de fois. J'arrive pas à goûter ses madeleines.
Mais, je suis pas très courageuse.
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