je m'en fiche des libraires de Bxl, je ne suis jamais allé en Belgique et c'est un tord !
je crois qu'il y a un beau musée à Bxl et les villes de Gand,Bruges sont certainement tres belles.
j'aime beaucoup l'avatar de micharlemagne.
je crois qu'il y a un beau musée à Bxl et les villes de Gand,Bruges sont certainement tres belles.
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je m'en fiche des libraires de Bxl, je ne suis jamais allé en Belgique et c'est un tord !.
Oui, Prince Jean, c'est même carrément un torT....
Saule, la librairie Oxfam est presque au croisement avec l'av. Brugmann.
La vente de la Croix Rouge se passe à la rue de Stalle, plus loin dans Uccle.
@ Prince Jean : merci pour le compliment à propos de l'avatar. Voir le fil à ce sujet. Tu auras sans doute mal compris l'intention du fil "bouquiniste". Il s'agit précisément de faire connaître aux "étrangers" les ressources en librairies d'occasion des différentes villes du monde. (Soyons ambitieux). Comme je ne connais de bouquinistes qu'à Bruxelles (et quelques unes à Liège), je ne parle que de ce que je connais. Voilà tout.
Tu viens à Bruxelles quand tu veux. On t'y accueillera avec plaisir. Et peut-être même que SJB acceptera d'évoquer ses souvenirs...
Tu viens à Bruxelles quand tu veux. On t'y accueillera avec plaisir. Et peut-être même que SJB acceptera d'évoquer ses souvenirs...
@ Sottovoce. Nous nous sommes mal compris. Je ne voulais pas "consulter" la liste mais l'importer pour pouvoir y travailler sans devoir faire de continuels allers-retours.
Hello,
Il y a aussi une excellente bouquinerie rue de la Tulipe (près de la place Fernand Cocq), dont le patron est un vrai connaisseur ! Un peu plus cher peut-être mais très bien rangé et des livres en excellent état.
Merci de ton post Micharlemagne.
P.
Il y a aussi une excellente bouquinerie rue de la Tulipe (près de la place Fernand Cocq), dont le patron est un vrai connaisseur ! Un peu plus cher peut-être mais très bien rangé et des livres en excellent état.
Merci de ton post Micharlemagne.
P.
Effectivement, je n'y pensais plus. On en fera la critique prochainement.
@ Sottovoce. Nous nous sommes mal compris. Je ne voulais pas "consulter" la liste mais l'importer pour pouvoir y travailler sans devoir faire de continuels allers-retours.
Ahhhh! ma connaissance du vocabulaire électronique n'est pas encore assez étoffée...
Saule, la librairie Oxfam est presque au croisement avec l'av. Brugmann.
La vente de la Croix Rouge se passe à la rue de Stalle, plus loin dans Uccle.
J'ai travaillé là-bas pendant 5 mois sans remarquer cette librairie, je vais y passer un de ces jours et je vous dirai ce qu'il en est !
je m'en fiche des libraires de Bxl, je ne suis jamais allé en Belgique et c'est un tord !
je crois qu'il y a un beau musée à Bxl et les villes de Gand,Bruges sont certainement tres belles.
j'aime beaucoup l'avatar de micharlemagne.
Il y a plein de musées à Bruxelles, par rapport à Paris c'est très provincial mais ça vaut quand même la peine. Bruxelles n'est pas une très belle ville, mais il y a la grand-place, l'Art déco et l'art nouveau, et puis deux ou trois églises qui valent la peine. Gand et Bruges, c'est beau en effet, Anvers aussi. A Tournai il y a une des plus fameuses cathédrales de toutes, mais je ne l'ai jamais visitée, je crois qu'elle est en travaux plus ou moins permanent car le sol en-dessous n'est pas stable.
Tu viendras à la prochaine foire du livre, et SJB nous fera la visite des quarties louches :-)
je m'en fiche des libraires de Bxl,
Hé ! mon Prince, les Américains t'ont rendu de mauvaise humeur ?
;-))
Librairies et bouquinistes (suite)
Book Market, rue de la Madeleine, 47 – 1000 Bruxelles.
Difficile de faire la critique de cette librairie. Mardi à 11.00 hrs, elle était fermée et le courrier se trouvait sous la porte vitrée. Ce qui est bien mauvais signe. A 12.10 hrs, c’était toujours fermé. Les bouquinistes ont parfois des horaires très particuliers, mais comme celui-ci ne les affiche pas… Bref, il a fallu s’en remettre à ses souvenirs… Voilà une librairie qui est un peu éclectique. Elle vend des livres – évidemment – mais aussi des tableaux, des gravures, des affiches de cinéma et des cartes (géographiques) anciennes. On se fraie un chemin difficile dans un dédale de rayons de livres généralement assez bien classés mais qui donnent l’impression de ne pas avoir été visités depuis longtemps. On peut donc faire des découvertes assez intéressantes. Les prix sont à la tête du client, mais assez abordables.
Pénétrons maintenant dans cet étrange endroit, un peu surréaliste, qu’est la galerie Bortier, 55, rue de la Madeleine.
Les deux vitrines situées de part et d’autre de l’entrée de la galerie appartiennent à la librairie Vander Elst, aujourd’hui tenue par M. et Mme Dufrenne. Elle est ouverte du mardi au samedi de 10.00 à 18.30 hrs. Ces aimables personnes installent des bacs remplis de livres au beau milieu de la galerie. On se demande d'ailleurs comment ils font pour les ranger quand ils ferment. On y trouve de tout, y compris des livres neufs démarqués de 16 à 35 p.c. Nombreux romans policiers et romans classés par ordre alphabétique. Les amateurs de livres d’histoire devront entrer dans l’une des deux boutiques située à gauche, pour l’histoire générale, ou à gauche, pour l’histoire de 2e guerre mondiale. Du côté gauche, où se trouve le bureau – un grand mot – des gérants, on se trouve dans un couloir resserré encombré de caisses. Le rayon « Histoire » est entièrement caché derrière une pile de cartons remplis de bouquins et il faudrait sans doute l’expérience d’un déménageur confirmé pour y accéder. Comme les prix , n’ont rien de spécialement démocratiques, on renonce vite. A l’actif de cette librairie, il faut quand même citer un important rayon consacré aux Beaux-Arts et tout spécialement au surréalisme belge. Mais là, les prix s’envolent.
Après avoir monté quelques marches, on trouve la librairie Genicot (livres anciens et modernes), ouverte du mardi au samedi de 12.00 à 18.00 hrs. Sur un espace somme toute assez exigu, on trouve un très bon assortiment de livres dans un état très satisfaisant. Le classement est clair et l’on y fait de véritables affaires. J’y ai trouvé le « Waterloo » de Margerit que je cherchais depuis cinq ans, au prix de 15 euros. Ce matin, le patron n'était pas là et c’est un employé, fort gentil mais pas très au fait qui m’a accueilli. Il ne savait pas comment se servir du terminal de paiement Bancontact (Carte bleue). De l’intérêt de se munir de liquide quand on chine.
A côté, nous avons Pierre Coumans, spécialisé dans les livres de collection. De très belles reliures dans un cadre très design, mais ce n’est pas notre propos, ni d’ailleurs dans nos possibilités.
Plus loin, dans le coude de la galerie, nous avons Dominique Basteyns (du mardi au samedi, 11.00 à 18.00 hrs). Cette librairie est surtout dédiée aux livres devenus très rares et donc, fort chers. Indispensable à connaître pour qui cherche d’anciennes éditions belges. Le classement est très clair et l’on voit que cette accorte personne – l’amabilité même – connaît bien son métier. Les passionnés d’aéronautique prendront rendez-vous pour aller visiter la librairie que possède Mme Basteyns à Waterloo (« Au feuillet jauni », chaussée de Bruxelles, 356 à Waterloo).
A la sortie de la galerie, côté rue Saint-Jean, nous avons encore la librairie « La Proue » (du mardi au samedi de 11.00 à 18.30 hrs). Rien de très particulier à en dire. C’est également une librairie riche en livres rares et devenus introuvables. De l’ordre et de la compétence.
La rue Saint-Jean, qui comptait plusieurs librairies spécialisées en ouvrages anciens est devenue un véritable chancre. Il m'a été impossible de savoir ce qui va s'y passer, mais out laisse à penser que l'on va démolir très bientôt. Ainsi, la librairie Simonson (41, rue Saint-Jean), qui avait été reprise par M. et Mme Morel de Westgaver, et qui affichait toujours de très belles gravures, a disparu. Ne reste que la légendaire librairie Van Loock (51, rue Saint-Jean) toujours égale à elle-même : superbes gravures, livres aux reliures anciennes, le tout à des prix… d’antiquaire.
Puisque nous y sommes, après avoir salué Gabrielle Petit, nous pouvons aller jeter un petit coup d’œil chez « Papiers d’Antan », 19 rue de l’Hôpital. Un marchand de tout : des vieux papiers (actions, certificats), d’anciens journaux et de nombreuses boîtes de cigares et de chocolats. Quelques livres difficiles à trouver ailleurs, en particulier sur l’histoire de la presse, à des prix moyens.
Un dernier mot en forme de mise en garde. La librairie « Malpertuis », rue des Eperonniers, 18 – 1000 Bruxelles, spécialisée dans la littérature et la B.D. fantastique ou occultiste, n’est pas une bouquinerie. Tout y est neuf. Mais les livres qui y sont, y sont depuis si longtemps qu’ils ont pris un cachet ancien incomparable. Tout dans cette librairie semble remonter à la plus haute antiquité : le patron, les rayons, les livres…
Book Market, rue de la Madeleine, 47 – 1000 Bruxelles.
Difficile de faire la critique de cette librairie. Mardi à 11.00 hrs, elle était fermée et le courrier se trouvait sous la porte vitrée. Ce qui est bien mauvais signe. A 12.10 hrs, c’était toujours fermé. Les bouquinistes ont parfois des horaires très particuliers, mais comme celui-ci ne les affiche pas… Bref, il a fallu s’en remettre à ses souvenirs… Voilà une librairie qui est un peu éclectique. Elle vend des livres – évidemment – mais aussi des tableaux, des gravures, des affiches de cinéma et des cartes (géographiques) anciennes. On se fraie un chemin difficile dans un dédale de rayons de livres généralement assez bien classés mais qui donnent l’impression de ne pas avoir été visités depuis longtemps. On peut donc faire des découvertes assez intéressantes. Les prix sont à la tête du client, mais assez abordables.
Pénétrons maintenant dans cet étrange endroit, un peu surréaliste, qu’est la galerie Bortier, 55, rue de la Madeleine.
Les deux vitrines situées de part et d’autre de l’entrée de la galerie appartiennent à la librairie Vander Elst, aujourd’hui tenue par M. et Mme Dufrenne. Elle est ouverte du mardi au samedi de 10.00 à 18.30 hrs. Ces aimables personnes installent des bacs remplis de livres au beau milieu de la galerie. On se demande d'ailleurs comment ils font pour les ranger quand ils ferment. On y trouve de tout, y compris des livres neufs démarqués de 16 à 35 p.c. Nombreux romans policiers et romans classés par ordre alphabétique. Les amateurs de livres d’histoire devront entrer dans l’une des deux boutiques située à gauche, pour l’histoire générale, ou à gauche, pour l’histoire de 2e guerre mondiale. Du côté gauche, où se trouve le bureau – un grand mot – des gérants, on se trouve dans un couloir resserré encombré de caisses. Le rayon « Histoire » est entièrement caché derrière une pile de cartons remplis de bouquins et il faudrait sans doute l’expérience d’un déménageur confirmé pour y accéder. Comme les prix , n’ont rien de spécialement démocratiques, on renonce vite. A l’actif de cette librairie, il faut quand même citer un important rayon consacré aux Beaux-Arts et tout spécialement au surréalisme belge. Mais là, les prix s’envolent.
Après avoir monté quelques marches, on trouve la librairie Genicot (livres anciens et modernes), ouverte du mardi au samedi de 12.00 à 18.00 hrs. Sur un espace somme toute assez exigu, on trouve un très bon assortiment de livres dans un état très satisfaisant. Le classement est clair et l’on y fait de véritables affaires. J’y ai trouvé le « Waterloo » de Margerit que je cherchais depuis cinq ans, au prix de 15 euros. Ce matin, le patron n'était pas là et c’est un employé, fort gentil mais pas très au fait qui m’a accueilli. Il ne savait pas comment se servir du terminal de paiement Bancontact (Carte bleue). De l’intérêt de se munir de liquide quand on chine.
A côté, nous avons Pierre Coumans, spécialisé dans les livres de collection. De très belles reliures dans un cadre très design, mais ce n’est pas notre propos, ni d’ailleurs dans nos possibilités.
Plus loin, dans le coude de la galerie, nous avons Dominique Basteyns (du mardi au samedi, 11.00 à 18.00 hrs). Cette librairie est surtout dédiée aux livres devenus très rares et donc, fort chers. Indispensable à connaître pour qui cherche d’anciennes éditions belges. Le classement est très clair et l’on voit que cette accorte personne – l’amabilité même – connaît bien son métier. Les passionnés d’aéronautique prendront rendez-vous pour aller visiter la librairie que possède Mme Basteyns à Waterloo (« Au feuillet jauni », chaussée de Bruxelles, 356 à Waterloo).
A la sortie de la galerie, côté rue Saint-Jean, nous avons encore la librairie « La Proue » (du mardi au samedi de 11.00 à 18.30 hrs). Rien de très particulier à en dire. C’est également une librairie riche en livres rares et devenus introuvables. De l’ordre et de la compétence.
La rue Saint-Jean, qui comptait plusieurs librairies spécialisées en ouvrages anciens est devenue un véritable chancre. Il m'a été impossible de savoir ce qui va s'y passer, mais out laisse à penser que l'on va démolir très bientôt. Ainsi, la librairie Simonson (41, rue Saint-Jean), qui avait été reprise par M. et Mme Morel de Westgaver, et qui affichait toujours de très belles gravures, a disparu. Ne reste que la légendaire librairie Van Loock (51, rue Saint-Jean) toujours égale à elle-même : superbes gravures, livres aux reliures anciennes, le tout à des prix… d’antiquaire.
Puisque nous y sommes, après avoir salué Gabrielle Petit, nous pouvons aller jeter un petit coup d’œil chez « Papiers d’Antan », 19 rue de l’Hôpital. Un marchand de tout : des vieux papiers (actions, certificats), d’anciens journaux et de nombreuses boîtes de cigares et de chocolats. Quelques livres difficiles à trouver ailleurs, en particulier sur l’histoire de la presse, à des prix moyens.
Un dernier mot en forme de mise en garde. La librairie « Malpertuis », rue des Eperonniers, 18 – 1000 Bruxelles, spécialisée dans la littérature et la B.D. fantastique ou occultiste, n’est pas une bouquinerie. Tout y est neuf. Mais les livres qui y sont, y sont depuis si longtemps qu’ils ont pris un cachet ancien incomparable. Tout dans cette librairie semble remonter à la plus haute antiquité : le patron, les rayons, les livres…
Parfais, je travaille juste dans ce quartier, faudra que j'imprime ton post et que je fasse ma tournée d'inspection un de ces temps de midi.
Pour les livres sur Waterloo, as-tu essayé la recherche sur abebooks.com ? C'est moins amusant que de chiner évidemment, mais c'est drôlement efficace, surtout si tu inclus les livres en anglais dans la recherche, car ils ont un réseau mondial.
Pour les livres sur Waterloo, as-tu essayé la recherche sur abebooks.com ? C'est moins amusant que de chiner évidemment, mais c'est drôlement efficace, surtout si tu inclus les livres en anglais dans la recherche, car ils ont un réseau mondial.
Ça, c'est le quartier où j'ai travaillé pendant quarante ans. Mais ça remonte à longtemps et apparemment, tout à bien changé.
J'y retourne très rarement – quand j'ai raté mon train à la gare Centrale...
Autrefois j'y allais très souvent avec un copain de la firme où je travaillais quand on sortait suffisamment tôt, avant six heures. Comme nous étions de bons acheteurs, les bouquinistes restaient ouverts...
Avant le Book Market actuel (un peu flamind, non ?), il y avait un jeune soixante-huitard archi sympa ; il parcourait les nécrologies et avec ses copains ils allaient vider les greniers de l'avenue Louise et ils se répartissaient le pactole ; lui c'était les livres mais il ne s'y connaissait pas du tout : donc, des discussions homériques pour négocier les prix ...là, j'ai fais des bonnes affaires.
Dans la galerie Bortier, le premier libraire était très bon en livres d'histoire et biographie et, de ce temps là, pas trop cher. Nous aimions de fureter dans ses livres poches qui étaient souvent les plus anciens parus.
De mon temps, tout restait en place et on fermait les grilles la nuit.
Plus loin, au coin, où il y a le petit escalier tournant, c'était l'ancien directeur technique de la célèbre imprimerie d'Anderlecht qui imprimait les titres et dont je ne retrouve plus le nom.
Il disait toujours : l'imprimerie, ce serait un métier formidable si il n'y avait pas les clients.
Il avait une table et quatre chaises et après six heures il sortait volontiers ses bouteilles.
Il paraît que les imprimeurs aiment beaucoup ça...
Plus loin à gauche c'était deux jeunes filles dans la splendeur de l'âge, toujours habillées à la mode de demain et elles ne vendaient que des bouquins écrits par des femmes ; c'était des ardentes féministes, absolument charmantes, et je crois qu'elles s'aimaient beaucoup ; elles s'appelaient : mon chou, ma chérie...
Bon... ça devient un peu anecdotique, mes excuses, mon Prince...
La rue Saint-Jean, ce n'était que des bouquineries les unes sur les autres et puis il y avait le meilleur de tous en Histoire : Ferraton au coin de la rue Mattéou et qui a déménagé ch. de Charleroi.
On les retrouvait tous à la foire du livre ancien et de collection à la Madeleine. Cette foire s'est peu à peu sophistiquée et elle avait émigré aux Beaux-Arts et puis maintenant je ne sais pas ce qu'elle est devenue.
Voilà, mais Bxl n'est pas seule au monde ! que se passe-t-il chez vous, CLiens CLiennes...?
J'y retourne très rarement – quand j'ai raté mon train à la gare Centrale...
Autrefois j'y allais très souvent avec un copain de la firme où je travaillais quand on sortait suffisamment tôt, avant six heures. Comme nous étions de bons acheteurs, les bouquinistes restaient ouverts...
Avant le Book Market actuel (un peu flamind, non ?), il y avait un jeune soixante-huitard archi sympa ; il parcourait les nécrologies et avec ses copains ils allaient vider les greniers de l'avenue Louise et ils se répartissaient le pactole ; lui c'était les livres mais il ne s'y connaissait pas du tout : donc, des discussions homériques pour négocier les prix ...là, j'ai fais des bonnes affaires.
Dans la galerie Bortier, le premier libraire était très bon en livres d'histoire et biographie et, de ce temps là, pas trop cher. Nous aimions de fureter dans ses livres poches qui étaient souvent les plus anciens parus.
De mon temps, tout restait en place et on fermait les grilles la nuit.
Plus loin, au coin, où il y a le petit escalier tournant, c'était l'ancien directeur technique de la célèbre imprimerie d'Anderlecht qui imprimait les titres et dont je ne retrouve plus le nom.
Il disait toujours : l'imprimerie, ce serait un métier formidable si il n'y avait pas les clients.
Il avait une table et quatre chaises et après six heures il sortait volontiers ses bouteilles.
Il paraît que les imprimeurs aiment beaucoup ça...
Plus loin à gauche c'était deux jeunes filles dans la splendeur de l'âge, toujours habillées à la mode de demain et elles ne vendaient que des bouquins écrits par des femmes ; c'était des ardentes féministes, absolument charmantes, et je crois qu'elles s'aimaient beaucoup ; elles s'appelaient : mon chou, ma chérie...
Bon... ça devient un peu anecdotique, mes excuses, mon Prince...
La rue Saint-Jean, ce n'était que des bouquineries les unes sur les autres et puis il y avait le meilleur de tous en Histoire : Ferraton au coin de la rue Mattéou et qui a déménagé ch. de Charleroi.
On les retrouvait tous à la foire du livre ancien et de collection à la Madeleine. Cette foire s'est peu à peu sophistiquée et elle avait émigré aux Beaux-Arts et puis maintenant je ne sais pas ce qu'elle est devenue.
Voilà, mais Bxl n'est pas seule au monde ! que se passe-t-il chez vous, CLiens CLiennes...?
Ah encore une chose qui peut intéresser les amateurs de livres d'art.
Juste en face de l'église de la Madeleine, à côté de chez Withmeur, il y a un libraire exceptionnellement bon.
C'est un flamand, mais on se comprend bien quand même, il est charmant, très serviable et grand connaisseur d'art, surtout en peinture.
Chez tous les libraires et même à la Fnac, si on ne trouve pas quelque chose, on vous dira :
Allez voir là, vous le trouverez certainement...
Juste en face de l'église de la Madeleine, à côté de chez Withmeur, il y a un libraire exceptionnellement bon.
C'est un flamand, mais on se comprend bien quand même, il est charmant, très serviable et grand connaisseur d'art, surtout en peinture.
Chez tous les libraires et même à la Fnac, si on ne trouve pas quelque chose, on vous dira :
Allez voir là, vous le trouverez certainement...
En face de l'église, il y a un corné port royal maintenant, plus de Witthemeur, à ma connaissance en tout cas. Je mènerai l'enquête un de ces temps de midi.
Le Waterloo de Margerit vaut vraiment la peine. Tu connais la description qu'il en fait dans "La Terre aux loups" ?
Ferraton au coin de la rue Mattéou et qui a déménagé ch. de Charleroi.
Au coin de la rue quoi ? Enfin, cela n'a pas d'importance, puisqu'il est chaussée de Charleroi...
J'ai l'explication pour les boites de la galerie Bortier. Comme il y a maintenant un centre culturel de la Ville au fond de la galerie et qu'ils ne ferment plus les grilles comme jadis, ils bâchent leurs boîtes, ils attachent les bâches avec des chaînes et ils cadenassent le tout.
La rue Saint-Jean, je l'ai dit, c'est un vrai crève-coeur et pas moyen de savoir ce qu'ils veulent faire. Mais je soupçonne quelque chose avec le Casino de la rue Duquesnoy. C'est triste, mais après tout, si ce casino fait baisser nos taxes régionales, soyons bassement pratiques.
La librairie d'art dont tu parlais, SJB, existe toujours, mais je n'ai pas le sentiment que ce soit des livres d'occasion. Cela mis à part, j'ai vraiment l'impression que l'on y trouve de tout.
Ceci dit, tu as raison, on parle beaucoup de Bruxelles...
Le Waterloo de Margerit vaut vraiment la peine. Tu connais la description qu'il en fait dans "La Terre aux loups" ?
Ben non ! Je suis honteux. Je vais directement aller à sa recherche. Enfin, demain...
Ferraton au coin de la rue Mattéou et qui a déménagé ch. de Charleroi.
Au coin de la rue quoi ? Enfin, cela n'a pas d'importance, puisqu'il est chaussée de Charleroi...
J'ai l'explication pour les boites de la galerie Bortier. Comme il y a maintenant un centre culturel de la Ville au fond de la galerie et qu'ils ne ferment plus les grilles comme jadis, ils bâchent leurs boîtes, ils attachent les bâches avec des chaînes et ils cadenassent le tout.
La rue Saint-Jean, je l'ai dit, c'est un vrai crève-coeur et pas moyen de savoir ce qu'ils veulent faire. Mais je soupçonne quelque chose avec le Casino de la rue Duquesnoy. C'est triste, mais après tout, si ce casino fait baisser nos taxes régionales, soyons bassement pratiques.
La librairie d'art dont tu parlais, SJB, existe toujours, mais je n'ai pas le sentiment que ce soit des livres d'occasion. Cela mis à part, j'ai vraiment l'impression que l'on y trouve de tout.
Ceci dit, tu as raison, on parle beaucoup de Bruxelles...
Pour parler d'ailleurs... Il y a un Pêle-Mêle à Waterloo, sur la parking du centre commercial face à la Maison Communale.
ils sont bien sympas et c'est pas cher ...
Bon. Ca va encore. Tant qu'il ne faut pas prendre un billet d'avion...
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