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Forums  :  Vos écrits  :  Chairs en crue

Leonard 28/09/2004 @ 01:42:52
Chaque nuit qu'un indocile désir détonne
Dans ma chair, je promène mes doigts insolents
Le long de ses fesses douces blanches aphones
Et mon vit de vibrer à un rythme affolant.

De ma langue, je lèche un clito qui bouillonne
Dont le parfum m'enivre et me rend fort galant.
Ensorcelées, mes mains sur son corps papillonnent
Et s'agrippent à ses seins durcis gondolants :

Elle glapit, je bruisse elle gémit, je crie
Elle supplie, je tonne elle implore, je prie
Et dans le clair-obscur où se vident nos peurs

Un torrent de plaisirs et de folles envies
Charrie, impétueux, vers le port du bonheur
Nos déracinés troncs aux coeurs inassouvis.

Felixlechat

avatar 28/09/2004 @ 01:54:41
Cris et suçotements, chaleur d'une croupe torride, luxure promise, delices d'un grand frisson: tout y est! Tu connais ce que tu écris.

Balamento 08/10/2004 @ 21:15:32
Ce truc est tout de même bien foutu... Y a pas à dire. "Honneur aux vaincus" dirait l'autre ! ;-)

Ludico 18/10/2004 @ 13:24:08
Ce truc est tout de même bien foutu... Y a pas à dire. "Honneur aux vaincus" dirait l'autre ! ;-)


Merci Balamento pour le commentaire et surtout pour ta franchise, ton courage et ta rectitude d'esprit.
Ce qui est écoeurant c'est de voir à quel point certains panurgiens manquent de lucidité et de claivoyance. Il faut passer sous les fourches caudines des chefs du clan pour être reconnu.
Non!
Je sais que la beauté de certains de mes textes (je dis bien certains) les fait crever de jalousie.
Je persiste et signe : ce forum a besoin de gens qui osent et non de moutons de panurge.

Sahkti
avatar 18/10/2004 @ 18:16:40
ça manque de douceur et de rondeurs, ce qui est dommage. Le rythme y est, il y a de la musicalité dans les phrases, les mots s'enchaînent mais il y a quelques cassures qui font ressortir les angles au lieu de les arrondir. Je pense notamment à l'emploi des mots clito et seins, qui jettent un froid sur tout le reste.
L'érotisme, ça s'évoque de manière murmurée et imaginaire, on esquisse les caresses et le désir, comme un souffle chaud qui glisserait le long d'une épaule. Si on veut employer des mots plus concrets (bien que sein et clito ne soient pas vraiment des mots appartenant au langage cru), il convient de le faire avec prudence et/ou brio, histoire que ça ne se remarque pas. Ou alors changer carrément de style et écrire une histoire plus crue, mais là... danger! ça devient vite ridicule et vulgaire si on ne manie pas à la perfection le mariage des mots de l'amour.

Ludico 18/10/2004 @ 18:36:53
ça manque de douceur et de rondeurs, ce qui est dommage. Le rythme y est, il y a de la musicalité dans les phrases, les mots s'enchaînent mais il y a quelques cassures qui font ressortir les angles au lieu de les arrondir. Je pense notamment à l'emploi des mots clito et seins, qui jettent un froid sur tout le reste.
L'érotisme, ça s'évoque de manière murmurée et imaginaire, on esquisse les caresses et le désir, comme un souffle chaud qui glisserait le long d'une épaule. Si on veut employer des mots plus concrets (bien que sein et clito ne soient pas vraiment des mots appartenant au langage cru), il convient de le faire avec prudence et/ou brio, histoire que ça ne se remarque pas. Ou alors changer carrément de style et écrire une histoire plus crue, mais là... danger! ça devient vite ridicule et vulgaire si on ne manie pas à la perfection le mariage des mots de l'amour.



Merci de m'avoir lu et manifesté autant d'intérêt.
Mon but premier est la musicalité (sons et rythmes). En second l'image ou plutôt les images.
Quant au champ lexical, c'est volontaire (clito et seins). Un peu provocateur...Et de plus, la poésie "érotique" de gens très connus ne s'embarasse pas d'être bien plus crue.
J'attends le jour où la "vulgarité" (trop souvent assimilé à une classe) soit au goût du jour. Qu'on la débarasse de cet aspect péjoratif ....
J'ai des poèmes bien plus criards que celui-ci. Du cul tout cru.

Bolcho
avatar 18/10/2004 @ 20:54:54
Quant à moi, je trouve ce texte mauvais. Techniquement, il est bourré de maladresses et d’erreurs et sur le plan des images, on est dans le comique plus que dans l’érotique : les fesses aphones, le vit qui vibre (la pile est comprise ?), le clito qui bouillonne (femme-fontaine sans doute ?), les seins gondolants (oui, c’est gondolant ça)… On est aussi souvent dans le cliché : les fesses douces, le parfum qui enivre, les mains qui papillonnent, le torrent de plaisirs (et le torrent est impétueux bien sûr), les folles envies, le port du bonheur…
En ce qui concerne la technique :
C’est dommage de « faire des alexandrins » qui ne sont pas des alexandrins mais des caricatures d’alexandrins dont on n’a finalement retenu que la contrainte des douze pieds et pas du tout ce qui touche au rythme interne du vers. La métrique est carrément fausse aux vers 1, 2 et 8 (problème de césure). La rime entre « détonne » et « aphone » est mauvaise. On trouve des assonances et des allitérations gênantes qui perturbent la musique de l’alexandrin. Aux vers 5 et 6, le « clito qui »et le « clito dont » rend la syntaxe un rien poussive et pas très bouillonnante.
Bref, l’ensemble est maladroit et involontairement comique.
Cela dit, c’est très gai de rire en faisant l’amour…
On peut même faire des vers et l’amour en même temps, mais on est tout de suite moins bon dans chacune des activités.

Ludico 18/10/2004 @ 21:36:53
Quant à moi, je trouve ce texte mauvais. Techniquement, il est bourré de maladresses et d’erreurs et sur le plan des images, on est dans le comique plus que dans l’érotique : les fesses aphones, le vit qui vibre (la pile est comprise ?), le clito qui bouillonne (femme-fontaine sans doute ?), les seins gondolants (oui, c’est gondolant ça)… On est aussi souvent dans le cliché : les fesses douces, le parfum qui enivre, les mains qui papillonnent, le torrent de plaisirs (et le torrent est impétueux bien sûr), les folles envies, le port du bonheur…
En ce qui concerne la technique :
C’est dommage de « faire des alexandrins » qui ne sont pas des alexandrins mais des caricatures d’alexandrins dont on n’a finalement retenu que la contrainte des douze pieds et pas du tout ce qui touche au rythme interne du vers. La métrique est carrément fausse aux vers 1, 2 et 8 (problème de césure). La rime entre « détonne » et « aphone » est mauvaise. On trouve des assonances et des allitérations gênantes qui perturbent la musique de l’alexandrin. Aux vers 5 et 6, le « clito qui »et le « clito dont » rend la syntaxe un rien poussive et pas très bouillonnante.
Bref, l’ensemble est maladroit et involontairement comique.
Cela dit, c’est très gai de rire en faisant l’amour…
On peut même faire des vers et l’amour en même temps, mais on est tout de suite moins bon dans chacune des activités.


Peut-on parler de maladresses et surtout d'erreurs s'agissant d'images? Une image plaît ou ne plaît pas ...
Je souris à cette remarque qui me semble totalement erronnée.
Pour certains clichés, oui tu as raison. Dans tout poème et citez-moi un auteur quelconque, je vous soritrai certains clichés ....Il est des clichés qui font partie intégrante du langage. Je ne vous apprends rien.
Revenons aux rythmes de l'alexandrin, la césure n'est pas une contrainte obligatoire. Les 2-4-6, les 3-3-6, etc... existent même dans la poésie classique.
Certaines rimes sont peut-être pauvres (détonne et aphones par exemple) mais pas fausses comme vous le prétendez.
Je conviendrai que les 2 premiers vers m'ont posé problème et sur ce point j'accepte votre remarque.
Vous avez mis en valeur ce que vous, vous estimez négatifs. Le verre serait-il à moitié vide?
Monsieur, je me demande si ce n'est pas autre chose qui motive votre volonté manifeste de ne voir que les insuffisances.
Somme toute, je tiendrai compte de certaines de vos remarques.
La Munène a ses raisons que je devine.

Merci d'avoir pris sur votre précieux temps pour me lire.

Ludico 18/10/2004 @ 22:16:43
Quelle maladresse!
Je suis désolé de ne pas avoir mis entre guillemets La Mumène, cette expression n'étant pas de moi, ni d'un de mes critiques.
Il est vrai "La Mumène" est bien pourrie et... surtout brûlante, par la rancune qui l'anime, comme un bol chaud.
N'est-ce pas monsieur Bolcho?

Bolcho
avatar 18/10/2004 @ 22:18:54
Vous supportez mal la critique dirait-on. Sur le fond voici.

Vous le dites vous-même pourtant : on peut faire du 2-4-6 ou du 3-3-6 bien sûr ! Mais 2 plus 4 font 6 et 3 plus 3 aussi. Il y a bien césure entre les deux hémistiches, c’est-à-dire que vous ne pouvez pas être au milieu d’un mot entre le 6e et le 7e pied d’un vers. Ce détail concourt pour une bonne part à la musicalité de l’ensemble. On peut préférer le vers libre, cela va de soi, mais on était bien là dans une tentative d’alexandrins, même de sonnet.
Pour illustrer la chose, prenons, un peu au hasard, un Baudelaire (les deux tercets du très beau « Remords posthume ») qui commence avec le célèbre « Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, » :

Le tombeau, confident de mon rêve infini
(Car le tombeau toujours comprendra le poète),
Durant ces grandes nuits d’où le sommeil est banni,

Te dira : « Que vous sert, courtisane imparfaite,
De n’avoir pas connu ce que pleurent les morts ? »
- Et le ver rongera ta peau comme un remords.

Comme toute l’œuvre de Baudelaire, ou toute celle de qui que ce soit d’autre qui a écrit en alexandrins, ces vers vérifient le fait qu’on est toujours à la fin d’un mot au 6e pied. Si vous pouviez trouver un contre-exemple, ce serait vraiment intéressant et à brandir comme une réelle curiosité.
Cela dit, rien n’empêche effectivement de marquer une pause plus importante à un autre endroit du vers, et le 1er du second tercet en est une bonne illustration.

Benoit
avatar 18/10/2004 @ 22:25:19
Vous supportez mal la critique dirait-on.

Ne le dis pas trop fort, Bolcho. Leonard se prend pour le pourfendeur de l'hypocrisie et le défenseur de la Vérité! Il prendrait mal la critique?? Aïe! Ça casserait le mythe!

Ludico 18/10/2004 @ 22:34:11
Vous supportez mal la critique dirait-on. Sur le fond voici.

Vous le dites vous-même pourtant : on peut faire du 2-4-6 ou du 3-3-6 bien sûr ! Mais 2 plus 4 font 6 et 3 plus 3 aussi. Il y a bien césure entre les deux hémistiches, c’est-à-dire que vous ne pouvez pas être au milieu d’un mot entre le 6e et le 7e pied d’un vers. Ce détail concourt pour une bonne part à la musicalité de l’ensemble. On peut préférer le vers libre, cela va de soi, mais on était bien là dans une tentative d’alexandrins, même de sonnet.
Pour illustrer la chose, prenons, un peu au hasard, un Baudelaire (les deux tercets du très beau « Remords posthume ») qui commence avec le célèbre « Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, » :

Le tombeau, confident de mon rêve infini
(Car le tombeau toujours comprendra le poète),
Durant ces grandes nuits d’où le sommeil est banni,

Te dira : « Que vous sert, courtisane imparfaite,
De n’avoir pas connu ce que pleurent les morts ? »
- Et le ver rongera ta peau comme un remords.

Comme toute l’œuvre de Baudelaire, ou toute celle de qui que ce soit d’autre qui a écrit en alexandrins, ces vers vérifient le fait qu’on est toujours à la fin d’un mot au 6e pied. Si vous pouviez trouver un contre-exemple, ce serait vraiment intéressant et à brandir comme une réelle curiosité.
Cela dit, rien n’empêche effectivement de marquer une pause plus importante à un autre endroit du vers, et le 1er du second tercet en est une bonne illustration.



Oh! non monsieur... je n'ai aucun problème avec la critique (quand elle est motivée par un sentiment dénué de toute rancoeur) ...
Quand aux divers rythmes à l'intérieur de l'alexandrin, je n'en ai cité que deux. Dans les poésies de Verlaine, il en existe de bien plus divers et une étonnante liberté quand à l'alternance des rimes... Je vous réponds de mémoire ...je peux faire sur mon ordi une brève recherche et vous le prouver.
Ceci dit, la musicalité de ce poème n'est parfaite, je l'avoue.
De là à dire MAUVAIS, seule la MAUVAISE FOI pourrait l'expliquer et rien d'autre à mon avis.
Je pourrai discuter plus en détail si je ne doutais de votre foi.
Pourquoi avez-vous choisi ce poème et pas les autres? Alors que moi je m'attendais à des critiques sur d'autres textes moins bons à mon goüt.

Merci pour votre critique .. peu m'importe vos réels mobiles

Ludico 18/10/2004 @ 22:46:49
Vous supportez mal la critique dirait-on.

Ne le dis pas trop fort, Bolcho. Leonard se prend pour le pourfendeur de l'hypocrisie et le défenseur de la Vérité! Il prendrait mal la critique?? Aïe! Ça casserait le mythe!


La critique motivée par la rancoeur n'en est pas une. Vous vous construisez une idée totalement fausse de Ludico.
J'irai plus loin, il est des critiques qui considérent leurs arguments irréfutables! Eh oui.
Critiquez-moi sur des bases solides et je me plierai.
Je sue quand j'écris un poème en cherchant les mots idoines, une meilleure musicalité, une originalité dans les images etc...
Ça peut ne pas plaire, j'en conviens.
Mon souci majeur est : ai-je fait le nécessaire au plan technique?
On peut construire une maison selon toutes les normes en vigueur (sécurité, solidité, orientation, etc...). Cette maison peut ne pas plaire! Et j'accepte que l'on me dise : "je n'aime pas ce poème".
Mais je discuterai âprement le fait que l'on me dise c'est techniquement mal construit et ce, d'autant plus que je pense y avoir mis un effort non négligeable de ce point de vue là.

Bolcho
avatar 18/10/2004 @ 22:51:18
Oh! non monsieur... je n'ai aucun problème avec la critique (quand elle est motivée par un sentiment dénué de toute rancoeur) ...
Quand aux divers rythmes à l'intérieur de l'alexandrin, je n'en ai cité que deux. Dans les poésies de Verlaine, il en existe de bien plus divers et une étonnante liberté quand à l'alternance des rimes... Je vous réponds de mémoire ...je peux faire sur mon ordi une brève recherche et vous le prouver.
Ceci dit, la musicalité de ce poème n'est parfaite, je l'avoue.
De là à dire MAUVAIS, seule la MAUVAISE FOI pourrait l'expliquer et rien d'autre à mon avis.
Je pourrai discuter plus en détail si je ne doutais de votre foi.
Pourquoi avez-vous choisi ce poème et pas les autres? Alors que moi je m'attendais à des critiques sur d'autres textes moins bons à mon goüt.

Merci pour votre critique .. peu m'importe vos réels mobiles


Vous auriez cité 20 rythmes que ça n'y changerait rien: la contrainte de la césure à l'hémistiche est là. Pour ce qui est de la rime que je critiquais, il ne s'agissait pas à proprement parlé de sa pauvreté, mais de son existence même : les deux "o" ne sont pas les mêmes.

Je ne suis pas de mauvaise foi: je trouve effectivement que ce texte est mal écrit. Et je n'ai aucune "rancoeur" personnelle. J'imagine que c'est vous qui m'avez fait remarquer que mon petit jeu de mot sur "La Mumène" avait déjà été fait avant moi. Votre remarque m'a évité, comme je l'ai déjà dit, d'écrire "La comédie Mumène" et d'y perdre mon temps. Non, croyez moi, nulle vengeance de la sorte ne m'anime.

Ludico 18/10/2004 @ 23:32:21

. Pour ce qui est de la rime que je critiquais, il ne s'agissait pas à proprement parlé de sa pauvreté, mais de son existence même : les deux "o" ne sont pas les mêmes.
.


Bien que je ne comprenne pas cette distinction, je peux vous certifier que le son "n" final est suffisant pour qu'il y ait rime.
Au début j'avais écrit "fesses atones et détonne", j'ai opté pour aphones (dans le sens de dociles, passives extension du sens de muettes).

Pour mettre un terme à ce cycle vicieux de QR, je prends acte de votre remarque d'ensemble ': mal écrit". C'est toujours bon à savoir.

Merci quand même.

Ludico 19/10/2004 @ 01:52:32

http://perso.wanadoo.fr/bouche-a-oreille/…
Vous auriez cité 20 rythmes que ça n'y changerait rien: la contrainte de la césure à l'hémistiche est là. Pour ce qui est de la rime que je critiquais, il ne s'agissait pas à proprement parlé de sa pauvreté, mais de son existence même : les deux "o" ne sont pas les mêmes.





Désolé de revenir à la charge au sujet de la contrainte de l'hémistiche .....
Je te demanderai de lire ce qui suit (un copier-coller) dont les références sont

http://perso.wanadoo.fr/bouche-a-oreille/…


Le vers ternaire : D’insecte, Maintenant // dit : Je suis Autrefois, même si la césure passe entre le sujet et le verbe, c’est l’articulation la plus faible puisque d’insecte fait partie d’un syntagme principal dont le constituant pivot est dans le vers qui précède (rejet externe). Cela rompt ici la binarité de l’alexandrin et l’on voit trois groupes se dessiner nettement (3, 4 ,5 : noter la quotité des groupes syllabiques obéissant à la loi des masses croissantes) dont l’hétérogénéité rend le vers semi-ternaire. Un exemple de vers ternaire : Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi ! En cosyllabant le -te de augmente avec souviens-toi (coupe enjambante) on peut en faire un trimètre, qui fait le succès de tous les poèmes romantiques.


Ceci dit, je sais et je reconnais que ça coince un peu à la lecture mais pas au point d'être grinçant et mauvais comme tu l'affirmes.
Une retouche est nécessaire.

Martell
avatar 19/10/2004 @ 02:54:54
Pour ma part je préfère ton choix avec

...fesses douces blanches aphones

l'erreur eut été de mettre

...fesses douces blanches tétonnes

surtout que ça fait un peu trop riche comme rime avec '...détonne'.

Ludico 19/10/2004 @ 04:07:29
Pour ma part je préfère ton choix avec

...fesses douces blanches aphones

l'erreur eut été de mettre

...fesses douces blanches tétonnes

surtout que ça fait un peu trop riche comme rime avec '...détonne'.


tétonnes? je ne vois pas du tout ce que cela vient faire.

Ludico 19/10/2004 @ 04:27:12
Cris et suçotements, chaleur d'une croupe torride, luxure promise, delices d'un grand frisson: tout y est! Tu connais ce que tu écris.


Un peu

Martell
avatar 19/10/2004 @ 06:15:01
Pour ma part je préfère ton choix avec

...fesses douces blanches aphones

l'erreur eut été de mettre

...fesses douces blanches tétonnes

surtout que ça fait un peu trop riche comme rime avec '...détonne'.


tétonnes? je ne vois pas du tout ce que cela vient faire.


Ça tétonnes?

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