La petite boutique aux poisons de Sarah Penner

La petite boutique aux poisons de Sarah Penner
(The lost apothecary)

Catégorie(s) : Littérature => Anglophone

Critiqué par GiLau, le 28 mai 2022 (Annecy, Inscrite le 18 septembre 2010, 61 ans)
La note : 6 étoiles
Moyenne des notes : 5 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 3 étoiles (57 565ème position).
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Une histoire sympathique

Le thème atypique est attirant mais l'histoire est plutôt cousue de fils blancs, heureusement une dernière page apporte le piquant.
Un bon moment tout de même, léger et agréable.

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Arsenic et vieilles ficelles

3 étoiles

Critique de Reginalda (lyon, Inscrite le 6 juin 2006, 57 ans) - 12 mai 2024

Alléchée par le succès et les louanges qui auréolent ce livre, je me suis lancée dans sa lecture avec une impatience pleine d’enthousiasme. J’en ai été pour mes frais. J’ai eu l’impression d’avoir entre les mains le travail d’une auteure débutante appliquant sans doute les conseils de son coach en écriture, mais sans talent ni imagination.
Balançant entre l’indifférence et l’agacement, le lecteur ne tarde pas à buter contre deux-trois écueils rédhibitoires à mes yeux. Tout d’abord, en recourant au principe éculé d’une narration scindée entre passé et présent, Sarah Penner n’a rien trouvé de mieux que de nous raconter chaque péripétie deux fois : une fois telle qu’elle a été vécue dans le passé, et une fois telle qu’elle est imaginée – à l’identique, suprise surprise ! – par les personnages du présent. Autant dire que le lecteur s’ennuie ferme. Surtout que Caroline, le personnage contemporain, passe son temps à essayer de deviner les événements passés dont le lecteur vient d’avoir le récit. Si bien que la quête de cette Caroline finit par l’indifférer au plus haut point.
Et puis, que dire ce cette accumulation d’explications tirées par les cheveux et complètement improbables pour justifier telle ou telle déduction, tel ou tel comportement… Certes, un roman n’est pas censé reposer sur des raisonnements à la logique imparable et mathématique, mais tout de même ! On a l’impression d’être pris pour des imbéciles devant les inepties et les absurdités que Sarah Penner entend nous faire gober.
Et je ne vais pas m’étaler sur les atermoiements de la Caroline du présent concernant l’échec de sa vie sentimentale et la bouffonnerie de sa vie matrimoniale, car la coupe est déjà pleine.
Bref, aller au bout de ce roman, c’est boire le poison jusqu’à la lie…

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