Un ravissement de descriptions

Quatrième de couverture :

Retirée dans un petit village de l'ouest de l'Angleterre, Zachary, déserteur de quinze ans qui ne supporte plus l'horreur de la vie à bord, tente d'oublier ses peurs - et de se faire oublier.
C'est sur la " Colline aux Gentianes ", butte surmontée d'une chapelle au-dessus du port de Torquay, où les marins ont l'habitude d'aller en pèlerinage, que le garçon rencontrera la petite Stella, douze ans, fille adoptive d'un couple de paysans. Tous deux rêvent d'une autre vie et d'autres contrées. Sur fond de guerres napoléoniennes, l'auteur se fait ici le chantre des âmes en peine, des exclus, et nous suggère en douceur que la vie est ailleurs.
La Colline aux Gentianes est l'un des plus grands romans d'Elizabeth Goudge et se situe dans le droit fil des Hauts de Hurlevent.

Un beau livre que j'ai eu plaisir à lire ; où religions et superstitions se mêlent, créent une dentelle de « pur bonheur » un peu pesante qui transpire tout au long des pages. Les guerres en toile de fond sont un faire-valoir, et n'entachent pas la félicité des personnages. Je ne suis pas sûre de lire un autre livre de cette auteure, de crainte de tomber dans la monotonie.

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  La Colline aux gentianes [Texte imprimé], roman Elizabeth Goudge traduit de l'anglais par Yvonne Girault

  de Goudge, Elizabeth Girault, Yvonne (Traducteur)
  Phébus / Libretto (Paris. 1998).
  ISBN : 9782752903327 ; 12,15 € ; 17/04/2008 ; 416 p. ; Poche

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