L'Italie si j'y suis de Philippe Fusaro

L'Italie si j'y suis de Philippe Fusaro

Catégorie(s) : Littérature => Francophone

Critiqué par Miette, le 30 octobre 2010 (Inscrite le 25 août 2010, 57 ans)
La note : 10 étoiles
Moyenne des notes : 6 étoiles (basée sur 3 avis)
Cote pondérée : 4 étoiles (50 532ème position).
Visites : 3 595 

Ti Amo...

Un goût d'été pour ce livre très musical. Une histoire d'amour qui se termine, une autre qui commence sur fond de balade en Italie. Ce père, sans doute beau gosse, qui traverse l'Italie avec son fils déguisé, en prime, en Youri Gagarine pour oublier... C'est à la fois mélancolique et romantique, frais, salé et sensuel. C'est un rendez-vous à l'italienne... A ne pas manquer !

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Bof bof

1 étoiles

Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 51 ans) - 11 juillet 2011

Je n'ai pas été emballée par ce roman, sauf la dernière partie quand Dolores entre dans l'histoire. J'ai trouvé le reste assez fade, moyennement écrit, je n'ai pas accroché. Pourtant certains passages étaient délicieux, surtout ceux de la rencontre avec Dolores.
Mais ce roman ne restera pas dans mes souvenirs. Vite lu, vite oublié!

Road-movie en Italie

6 étoiles

Critique de Alma (, Inscrite le 22 novembre 2006, - ans) - 31 octobre 2010

Un roman moderne , constitué de récits aux narrateurs différents qui permettent de varier les points de vue ; s’entrecroisent ceux de Sandro : le père qui tantôt s’exprime à la première personne , tantôt à la troisième , celui de Marino : l’enfant , celui de Dolorés : l’autostoppeuse .
Trois personnages attachants et complémentaires : le père , largué, un peu paumé face à son fils , le gamin qui trouve une certaine consolation en se projetant dans l’univers du cosmonaute , l’auto-stoppeuse salvatrice , positive et tonique.
Une récurrence de détails , par ex des gros plans sur les chaussures vernies en peau de serpent , les lunettes de soleil, le casque de Gagarine , la marque de la voiture qui les emmène sur les routes d’Italie et qui nous transporte dans l’univers des films américains .

Un roman , donc, qui présente des qualités , mais .......qui présente aussi beaucoup de passages avec sauts à la ligne donnant l’impression de versets, ou de vers, censés, je pense, donner une autre dimension à l’aventure, mais dont le contenu n’a rien de poétique .
On a aussi parfois l’impression que Fusaro tire à la ligne , quand il intègre dans son récit le texte intégral de chansons italiennes non traduites . Romances amoureuses qui s’accordent avec une intrigue romanesque somme toute bien banale: un mari qui se fait larguer par sa femme, part en vacances en Italie avec son jeune fils et fait la rencontre d’une auto-stoppeuse qui l’accueille au sein de sa famille dans l’ile de Stromboli, et redonne un sens à sa vie et à celle de l’enfant .

Les seuls passages vraiment intéressants , à mon avis, sont ceux qui racontent le séjour dans la famille de Dolorès . Ils sonnent juste ; on y sent l’Italie profonde , avec les repas copieux et bien arrosés, le bien-être des bains , la beauté des paysages , mais il a fallu attendre 150 pages pour en arriver là …….

J’ai conscience d’être assez sévère à l’égard du roman . Restée sur le souvenir de PALERMO SOLO, lu il y a un mois et qui m’avait transportée ( je lui ai attribué cinq étoiles ) , je me suis précipitée sur le dernier roman de Fusaro sorti , mais je me suis vite rendu compte que les deux ouvrages ne concouraient pas dans la même catégorie . L’un envoûtant et intemporel , l’autre seulement frais et dans l’air du temps

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