Un titre accrocheur, une histoire ordinaire, la rencontre de deux êtres que tout oppose, et une écriture fraîche, font de ce roman un roman agréable à lire.

Des choses comme des rencontres par exemple.
Elle, Désirée, 35 ans, vient régulièrement « rendre visite » à la tombe de son mari, trop tôt disparu, et dont le souvenir s’est estompé trop vite dans sa mémoire, personnage falot qu’il était ; le genre consensuel, fuyant convictions et affrontements. Elle ne sait trop quoi penser de tout cela, culpabilisant plutôt de n’être pas terrassée par le chagrin. Elle travaille dans le domaine culturel, a plutôt un profil « intello » et s’avère une citadine assumée.
Lui, Benny, 37 ans, est le rural dans toute sa splendeur. Homme seul, autant qu’on peut l’être en compagnie de ses vaches et ses moutons, vraiment seul dans sa ferme depuis la mort de ses parents. D’ailleurs c’est leur tombe qu’il vient, avec grande régularité, honorer. Sincèrement.
Et les tombes, bien sûr, sont mitoyennes. Ils se voient donc, s’épient un peu, se détestent cordialement : « oh, le bouseux … », « oh, la femme toute beige … ». On le sait avec précision puisque Katarina Mazetti a pris le parti d’alterner le point de vue des deux à chaque chapitre. Récit à deux voix donc.
Rien ne les rassemble, ne devrait leur procurer une occasion de vivre quelque chose ensemble – que les tombes, c’est moyen, hein ? – jusqu’à ce que … un sourire, mutuel autant qu’improbable, électrise les deux et leur fasse deviner chez l’autre quelque chose qu’ils ne soupçonnaient pas – remarquez que ça se passe justement ainsi dans la vraie vie ! – et voilà, je vous ai tout dit. Le reste n’est plus qu’une histoire d’amour dont surtout la naissance est peu commune.
Tout ?
Non, quand même pas, puisque c’est l’occasion pour Katarina Mazetti de traiter le thème de l’improbable amour entre deux êtres que beaucoup sépare.
C’est proprement fait. Avec ce qu’il faut d’intelligence et de psychologie pour que ça paraisse crédible et intéressant. On lit donc « le mec de la tombe d’à côté » mi-amusé mi-critique (encore une romance d’amour !) mais on va jusqu’au bout sans avoir le sentiment d’avoir perdu son temps. Moi en tout cas !

L'amour est dans le pré (sic)
Sympathique ce petit roman.
Deux personnages:
La citadine, bibliothécaire, qui aime l'opéra, sortir ......mais pas cuisiner.
Le paysan, rustre, sale, qui élève ses 24 vaches, n'a pas le temps de sortir.
Un cimetière, lieu de leur rencontre.
Plein d'humour, sans être le roman du siècle, je ne me suis pas ennuyé a sa lecture.
Extrait:
"Parfois, je lui demande s'il veut que je prenne quelque chose à lire à la bibliothèque, puisqu'il n'a pas le temps d'y aller. "Quand on a lu un livre, on les a tous lus, et j'en ai lu un l'année dernière!" répond-il en louchant comme un crétin.
Humour je vous dit.

A aucun moment je n'ai réussi à être captivée par l'histoire mais je crois que ce désintérêt est essentiellement dû au style de l'auteure qui m'a fortement déplu.

Toutefois, le fond de l'histoire me semblait intéressant, je tiens à le préciser.

“Et sinon.. Vous vous êtes rencontrés comment vous ?” Aaahhhhhhh nous y voilà ! La fameuse question qui nous est posée lorsque ça devient sérieux avec notre partenaire. Des fois on a peur d’être d’une banalité affligeante, d’autres fois on se dit que les circonstances de notre rencontre n’étaient pas forcément flatteuses ni pour vous, ni pour lui/elle et qu’il vaudrait mieux la taire… humm définitivement et puis d’autres fois c’est l’insolite, l’incroyable, c’est LA rencontre qui a surpassé vos espérances et qui a dès le départ mis la barre très haute dans l’échelle du succès de la relation amoureuse. Mais combien de personnes peuvent se vanter d’avoir rencontré “the One” au cimetière alors qu’il se rendait sur la tombe d’un parent défunt ?!! Les probabilités sont minces n’est-ce pas ? Pourtant c’est bel et bien ce qui est arrivé à Benny et à Désirée, nos deux héros.

Le mec de la tombe d’à côté… Percutant, accrocheur, original, bref un titre comme je les aime, vous vous doutez bien que j’ai craqué. Malheureusement, comme souvent alors que le titre est prometteur, l’histoire ne suit pas tout à fait.

Diamétralement opposés à tous points de vue, l’histoire de Benny et de Désirée c’est un petit peu la rencontre improbable entre le rat des villes et le rat des champs. Quand la petite bibliothécaire terne et coincée de la ville rencontre le bouseux bourru au coeur tendre de la cambrousse, ça pourrait faire un drôle d’effet, pourtant ça va donner une très belle histoire d’amour avec pas mal d’étincelles. C’est là que le proverbe “les opposés s’attirent” prend tout son sens.

Alors qu’on partait sur une petite histoire bien sympatoche, un petit peu originale, je n’ai pas réussi à me laisser embarquer. Quelques longueurs et finalement rien d’exceptionnel dans cette histoire, résultat : je me suis légèrement ennuyée. Pourtant au départ c’était bien parti : une double narration, deux personnalités radicalement opposées et un ton plutôt humoristique empreint d’une légère pointe d’ironie, c’était parfait. Oui, mais voilà je trouve que tout se passe trop vite, trop tôt, du coup la partie croustillante du bouquin (celle de la rencontre en gros) est bien trop courte à mon goût. D’un texte drôle et sympa avec des personnages attachants, on passe à une histoire d’amour sans grand intérêt, plan-plan.. ça se lit bien mais ce n’est pas transcendant quoi.

Ce qui m’a fait tenir c’est avant tout cette histoire de double narration qui nous permet de connaître chacun de nos deux personnages plus en profondeur et qui amène un peu de piment. Ahh la complexité des relations Hommes/femmes, on l’a dans toute sa splendeur ici. Et puis j’ai particulièrement aimé le ton employé : direct, drôle, ironique, c’est frais, ça change, on aime !


Je ne voudrais pas être complètement cassante non plus, il y a quelque chose dans ce petit bouquin et puis c’est une jolie histoire d’amour, c’est juste que je dois commencer à en avoir marre de lire des histoires d’amour ou alors je suis déjà une vieille ronchon… Je préfère opter pour la solution 1, ça arrive des fois. Tout le monde a le droit d’avoir son petit coup de mou non ?!

j'ai beaucoup apprécié ce livre à deux voix où chacun nous fait part de ses sentiments, de sa façon de comprendre l'autre.
effectivement nous sommes avec deux personnes qui sont diamétralement opposées et qui n'avaient rien en commun hormis leur traditionnelle visite au cimetière.
C'est agréable, touchant, avec une pointe d'humour et pour moi ça marche pour passer un bon moment.

C'est désopilant, c'est triste, c'est parfois un peu scabreux – et même un peu beaucoup – mais ce n'est jamais ennuyeux et, finalement, c'est une belle histoire d'amour.

Les mêmes scènes sont racontées alternativement par « le mec de la tombe d'à côté » et par « la crevette » ce qui est un procédé original : on apprend à connaître les personnages par le regard de l'autre et, au fil des pages, ils finissent par prendre une véritable épaisseur.

Leur histoire est relativement banale, comme toujours les histoires d'amour, mais ce n'est pas un roman à l'eau de rose, c'est même plutôt réaliste.
Le milieu où ça se passe est original et raconté avec une lucidité étonnante. On est loin des clichés habituels sur les paysans et sur les midinettes.

On a beau deviner comment ça va finir, on veut savoir, et on tourne les pages avec beaucoup de plaisir tant le récit est bien troussé.
Avec ce roman on passe de bons moments de lecture récréative et on en sort un peu ému quand même, en pensant que c'est tellement beau l'amour même si c'est, souvent, si difficile.

C’est ainsi que je qualifierai ce livre.
Un homme et une femme.
Rencontre en un lieu improbable : le cimetière.
Les hasards de la. vie
Leur première impression était la bonne.
Rien de commun entre eux.
Tout les oppose.
Mais l’attraction est là, violente, à laquelle ils vont céder.
Voilà tout le livre.
Leurs deux mondes cohabitent mais ne laissent pas la place à un quotidien commun..
Et là, j’ai aimé ce refus de faire de l’eau de rose avec l’Amour vainqueur des vilaines contingences de la vie. Ils ont essayé avec naïveté et bonne volonté. Ils ont essayé de comprendre ce que l’autre attend d’eux, ce qu’ils peuvent donner. Et c’est douloureux, impossible! Les compromissions de caractères, facile. Mais les compromis du quotidien… Ce serait se renier pour Désirée, et pour Benny, tuer sa ferme, voir mourir sa mère une seconde fois.
La voix de l’un alterne avec la voix de l’autre. On les comprend tous deux (surtout Benny, je dois l’avouer) mais on ne saurait que faire à leur place.
Certains ont écrit que c’était un livre frais, léger, plein d’humour et distrayant, un petit livre de vacances.
Je ne l’ai pas ressenti comme ça. Impossible de dire si c’est de la « Littérature ». Je suis encore trop dans l’émotion. C’est un livre profondément humain et douloureux.
Je ne souhaite pas lire la suite. Ce serait pour Katarina Mazetti un vrai tour de force que d’égaler cette histoire sans l’affadir. Elle est parfaite ainsi et j’aime beaucoup la fin…

on m'en avait dit tant de bien ! l’idée de départ était aussi assez cocasse pour m'intriguer... hélas, quelle déception ! l’écriture est banale comme le profil des deux personnages. l'histoire est d'une platitude consternante et morose.... et cela s'essouffle au fil des pages ....comme moi d'ailleurs.... je ne l'ai pas fini, il y a bien meilleur ailleurs.

Je suis tombé un peu par hasard sur ce sympathique bouquin sans en avoir préalablement lu les critiques. J'admets qu'on n'est pas dans la grande littérature mais il n'en demeure pas moins que cette histoire m'a amusé, voire même m'a fait rire à certains moments. Je réfute l'abondance de clichés et même si le récit est inégal dans le rythme imprimé, il interpellera aussi les personnes qui ont une vie de couple ou que la vie de couple intéresse. Je ne vais pas immédiatement me précipiter sur la suite « Le caveau de famille » mais je conseille ce roman au lecteur à la recherche d’un bon moment de détente.

Le problème avec ces livres qui rencontrent un immense succès et deviennent des best-sellers, c'est qu'on se réjouit d'avance de s'y plonger. Là, on se laisse emporter avec enthousiasme dans les premiers chapitres, mais de fil en aiguille, on se retrouve dans une histoire d'amour somme toute très banale.

Les clichés faciles des deux mondes (ville/campagne) servent peut-être à accentuer le côté "choc des cultures extrême", mais ils sont lassants, manquent de profondeur.

Bref, une déception, d'autant plus que la fin, qu'on attend improbable et surprenante, m'a laissée dubitative....

C'est aussi agréable et rafraîchissant qu'une Gorgée d'Orangina sous la canicule.
Est-ce aussi inoubliable que le premier verre de champagne partagé en tête à tête avec son amoureux?
Cela me fait penser aux histoires d'Anna Gavalda ou encore à l'humour ou aux tournures de phrases de Tonino Benacquista...

Ce petit livre court sans prétention a été une bouffée d'oxygène. Alors, c'est vrai, j'avoue je ne suis pas difficile : pas beaucoup d'intrigue, pas de grande littérature mais je trouve que le style est quand même bien sympathique ! Et entre deux livres sérieux, l'histoire de Désirée et de Benny vient à point. Une histoire d'amour certes un peu compliquée, mais délicieusement compliquée. On aimerait que cela finisse bien, et en échange on a une fin à laquelle on ne s'attend pas (en tout cas pour ma part).
Chaque chapitre correspond à un narrateur différent ; un pour Désirée, un autre pour Benny. Et on avance comme cela régulièrement dans l'histoire. Cette alternance ne m'a pas gênée du tout et je trouve que cela a donné du rythme. Le tout avec une petite pointe d'humour qui est la bienvenue !

Encore une fois, je reste fan de mes audio livres. Et encore une fois, j'ai découvert ce livre grâce à l'audio livre merveilleusement raconté par Marielle Ostrowski et Michelangelo Marchese dans la collection audiolib. Je trouve que les rôles leur vont comme un gant !

Je pensais que ce serais un livre marrant mais finalement il ne l'est pas tellement. 1 chapitre sur 2 on se retrouve à la place de chaque personnage mais ils sont fades, l'un vit à la ville et l'autre à la campagne, comment ces 2 univers pourraient cohabiter d'ailleurs ...

Et la fin ... et bien on reste sur sa faim! Et cette fin est aussi bizarre et peu réaliste. Il parait qu'il y a une suite à ce livre mais je ne la lirai pas.

Dommage car l'idée de départ, la rencontre dans un cimetière, aurait pu donner un chouette livre à lire.

Agréable à lire mais les deux personnages principaux manquent d'épaisseur, des longueurs et la fin ne m'a pas du tout plue car je suis justement restée sur ma faim !

Une lecture très rafraîchissante qui nous présente deux êtres que tout sépare. D'un côté nous avons Désirée la bibliothécaire, très citadine, cultivée, indépendante, qui vit dans un appart tout blanc et de l'autre nous avons Benny, un célibataire, agriculteur qui vit dans une ferme mal tenue.
Un vrai choc des cultures donc.
Chaque chapitre est raconté par l'un et l'autre alternativement, ce qui est bien pensé car on peut confronter leurs réactions respectives. Il nous montre aussi la difficulté de chacun à faire des concessions car c’est déjà difficile d’être un couple alors quand tant d’obstacles se hissent entre deux êtres …
J'ai beaucoup aimé car j'ai trouvé ce livre drôle et mordant surtout quand c'est Benny qui raconte car il est plein d'humour et d'autodérision. Par contre je ne sais pas si je lirai la suite "Le Caveau de Famille" car j'aurai trop peur d'être déçue et que cela enlève tout le charme que j'ai pu trouver à ce livre. D’autant que les critiques que j’ai pu lire sur la suite sont vraiment très mitigées, je préfère rester sur la note positive du premier.

on commence par un mariage sans relief, puis un veuvage qui nous amène dans les réflexions de le veuve, et enfin la rencontre physique, passionnelle, entre cette veuve et un orphelin. Oui ce grand agriculteur est un orphelin, le mec de la tombe d'à côté rend visite à ses parents.
Ils vont s'aimer tout en étant de monde tout à fait différent, rien ne les rapproche que cette passion physique où chacun se prend à espérer que l'autre change pour se couler dans le stéréotype du conjoint idéalisé par l'autre.
Tout cela va les mener à la rupture, mais livre se termine sur autre chose, le désir d'un enfant et plus rien c'est fini...
Un livre entraînant, on a plus envie de le lâcher, les répliques sont caustiques, piquantes, on a envie de rire et on s'en fiche que les gens se demandent pourquoi dans les bus ou dans la salle d'attente, mais la fin nous laisse sur la faim

Cette bluette ne m'a pas séduit ! Oui, la rencontre entre deux êtres dans un cimetière est originale pour un roman d'amour. Oui, le fait d'avoir alternativement le regard de Désirée et de celui de Benny dynamise la lecture. Oui, la confrontation entre un paysan et une jeune femme cultivée peut être amusante. Mais l'auteur accumule les clichés, la plupart des scènes est assez prévisible. J'avoue m'être ennuyé durant ce court roman malgré quelques brèves séquences comiques.
De plus toutes ces scènes de rapprochement et d'éloignement ont donné rapidement un caractère répétitif à cette oeuvre.

J'ai eu le sentiment de voir le dernier film romantique sorti au cinéma dont le cadre est légèrement original, mais propice à des multiples scènes attendues ...

Roman vite consommé, vite oublié.

J'ai presque fini ce livre et je le trouve drôle. Se lit vite car chapitres courts. Un coup c'est Désirée qui se raconte un coup c'est Benny. C'est vraiment un livre drôle et rafraîchissant. Excellent contre la déprime ! Je le recommande ! A lire.

J'ai aimé ce roman, ça m'a transportée dans une réflexion assez vaste sur la société, il faut se ressembler pour s'assembler finalement. j'ai trouvé sympathiques les deux personnages, on se demande comment va finir leur histoire d'amour. Le fait de choisir deux points de vue, deux voix pour raconter donne au livre une certaine saveur. C'est cynique, délicieux, un peu dérangeant parfois, mais ça se lit très bien sur une terrasse au soleil!

Voilà un roman plein de fraîcheur. Une rencontre plutôt décalée entre deux êtres plutôt décalés !
L’écriture est légère mais franche. C’est un vrai moment d’évasion que l’on vit au côté de ces deux personnages.
La fin est aussi « décalée »que l’histoire, mais on a très envie de continuer à savoir ce que va devenir la vie de Désirée et Benny ; en lisant la suite de ce roman : Le caveau de famille.
A suivre…….

Le début commence bien, avec une idée de rencontre originale ; on sourit, on espère, on imagine... Mais l'histoire manque un peu de densité (surtout dans la deuxième partie), et on tombe vite dans des clichés un peu lourdingues. Malgré quelques traits d'humour et une fin bien tournée, le sentiment est donc plutôt mitigé.

Un bon roman d'été donc, léger, pas compliqué, mais pas inoubliable non plus...

Le point positif est la bonne description du travail exigeant d’un éleveur qui est seul dans son exploitation agricole. Il y a un certain nombre de passages humoristiques sur la conception erronée que ceux qui ignorent tout du métier s’en font.

Le reste est une histoire un peu ahurissante éditée sur un papier de couleur rose. Deux personnes, dans la trentaine, que tout sépare, se rencontrent dans un cimetière : une bibliothécaire intellectuelle qui se recueille sur la tombe de son mari et un agriculteur qui vient fleurir celle de sa mère. Leurs sourires respectifs les attirent. Leurs relations physiques sont exceptionnelles par rapport à ce qu’ils ont connu avec leurs précédents partenaires. Mais chacun voudrait que l’autre abandonne son mode de vie pour se rallier à celui de l’autre car 40km les séparent et ils se peuvent se voir que de façon sporadique. D’où la rupture ! Après quelques mois de fuite dans le travail, les ovaires (!) de la bibliothécaire veulent un enfant. Et la suite est abracadabrante !

IF-0711-3760

Cet ouvrage est à lire d'une traite, une vision quasi schizophrénique d'un même évènement. Les personnages sont attachants mais pas bouleversants. On passe un joyeux moment en leur compagnie.

De nombreuses personnes me l'avaient conseillé et j'étais un peu réticente mais je n'ai finalement pas été déçue. Il ne chamboule pas ma vie mais m'a permis de passer un agréable moment.

Amour improbable entre une crevette citadine et un fermier rustre, mais tellement attachant.
Le choc des cultures, des contraires qui s'attirent... Irrésistible de drôlerie et de tendresse. Un bon moment !
Idéal pour réveiller les coeurs endormis.

"Le mec de la tombe d'à côté" est loin d'être le roman de l'année mais il faut reconnaître que sa principale fonction, qui consiste à faire passer un bon moment aux lecteurs, est très réussie. Malgré certains clichés, il y a quelques idées originales (heureusement car, sans elles, ce bouquin serait indigeste). De plus, les deux personnages principaux et les situations équivoques nous font souvent sourire (chacun s'y reconnaîtra peut-être...).
C'est un roman à lire pour se distraire mais il ne faut pas en attendre plus.

Mouais...l'histoire bateau par excellence! C'est mignon, pas très drôle...déjà vu, et pas très inattendu.

J'ai pas le souvenir d'avoir ri, éventuellement d'avoir souri... la fin est effectivement originale, mais tout le reste était tellement stéréotypé que j'ai eu du mal à en venir à bout...

Une relation des plus compliquées.
Des situations concrètes mais assez caricaturales. Ce roman nous entraine dans la vie rurale en Suède aujourd'hui sans exotisme ni folklore.
J'ai bien aimé l'alternance des chapitres vu par l'un puis par l'autre protagoniste.
Agréable à lire malgré un petit ventre mou

Tout devrait séparer les deux personnages de ce roman, vu leur incompatibilité tangible. Loin de la nier, ils en sont parfaitement conscients et essaient de dépasser le" choc culturel" qui les oppose, avec toujours, présente, en filigrane, leur attirance réciproque.
L'analyse des sentiments est subtile, délicate, imprégnée d'un humour fin.
La construction même du roman aurait pu faire craindre une certaine redondance dans les propos. Il n'en est rien. L'auteure évite l'écueil des répétions superflues et maintient l'intérêt au fil des pages. Aucune mièvrerie dans la fin de ce roman qui sonne juste et nous refermons le livre, le sourire aux lèvres et dans le coeur.

Un roman frais, fin et franc : celui de deux personnes qui se rencontrent au cimetière en venant honorer la mémoire du conjoint disparu.

Désirée et Benny, à tour de rôle se racontent dans de courts et savoureux chapitres : leurs vies quotidiennes respectives, la vision qu’ils ont de l’autre après chaque rencontre, les premiers mois du parcours en commun qu’ils entreprennent, les efforts considérables qu’ils devraient consentir pour fonder un couple cohérent à partir de leurs solitudes et de leurs effarantes dissemblances …

La bibliothécaire citadine refera-t-elle sa vie avec l’éleveur fruste, propriétaire de 24 vaches ?

Cette interrogation traverse tout le roman, excellemment bien traduit du suédois, et dont la modernité, l’humour et l’auto- dérision sont présents à chaque page.

Un peu trop caricatural - Fin un peu rapide et "facile" - Mais idée de base sympa et passages amusants - Agréable à lire, sans plus.

Rencontre improbable entre une intello bourgeoise et un agriculteur mal dégrossi. Ca pourrait être une comédie bouffonne, mais c’est seulement très lourd.
• L’intello bourgeoise est très intello bourgeoise : foulard Kenzo, lecture de Kristeva et Lacan, austérité de bon gout et ses ovules qui frétillent devant les spermatozoïdes.
• L’agriculteur mal dégrossi est très mal dégrossi : il a parfaitement mauvais goût (blouson voyant, casquette à oreillette, fleurs en plastique, etc.), il est tout à fait crasseux (sa salopette est raide de crasse, les confitures couvertes d’une épaisse couche de moisissures, la bouffe tellement périmée qu’elle n’est pas identifiable) et il suit la direction de sa bite.

L’histoire nous scotche résolument au quotidien. Ca pourrait nous toucher si c’était fin, mais c’est seulement très épais.
• Quotidien de la banalité entre le contrat obsèques, la retraite, le compte-épargne retraite, un mariage confortable comme des pantoufles, les couches hypoallergéniques et les ratiches élevées au fluor.
• Quotidien de la trivialité, entre les tampax qui fuient, les cheveux fourchus et le vomi dans la voiture.

Ce livre qui force le trait (c’est peu dire) sans être drôle, c’est du Reiser raté.

J’abandonne l’auteure sans regret page 79 en compagnie des mouches mortes, de leurs chiures, du torchon sale, etc, etc.

Bon d'accord, ce n'est pas le roman du siècle...
Mais je suis complètement d'accord avec les critiques de Laure et de Rouchka.

La rencontre de la petite cousine d'une Bridget Jones scandinave en moins déjantée et d'un agriculteur intelligent mais fruste ne nous emmène pas forcément vers des sommets philosophiques!
Mais qu'est-ce que je me suis bien amusée!
J'ai beaucoup souri, voire ri, et je n'ai pas pu refermer le livre avant d'en avoir lu la fin!
Ce doit être mon côté sentimental de la ménagère de plus de cinquante ans!

J'ai lu ce livre sur recommandation et en ferais de même si on me demandais un livre court, frais et moderne. Les clichés sont présents certes mais la complexité des rapports entre l'homme et la femme est assez bien retranscrite. Elle dépasse même le cadre antagonique du roman ville/campagne trop présent dans l'ouvrage. J'ai plutôt apprécié la fin, peu commune, moderne et assez immorale mais que les protagonistes assument au nom de l'amour.

Tout les oppose, ils vont quand même essayer. Parfois ça marche, pas toujours, pas longtemps. C'est acide, un poil agaçant mais la passion et la dépassion sont bien là. On ne sait lequel on préfère, mais on les aime bien tous les deux, à tour de rôle. Et quelques moments de franche gaité, oui agréable à lire.

Laure256 a parfaitement résumé ce roman et il ne faut pas en dévoiler la fin ( dernier chapitre )
Tout oppose Benny et Désirée et pourtant ils ne peuvent se passer l'un de l'autre . Une attirance viscérale qu'ils ne parviennent pas à expliquer .
Désirée est soucieuse de ces hormones qui lui font " gazouiller le ventre " . Elle ne cesse de se convaincre que cet agriculteur lourdau n'est pas fait pour elle et pourtant....... il est tellement " nature " et vrai qu'elle ne parvient pas à s'en passer .
La narration est originale ( un chapitre narre l'action vue par Benny et le suivant les même faits relatés par Désirée )
Pas de la grande littérature ; c'est certain mais ce roman est très agréable à lire et des plus originaux .
La fin ne tombe pas " comme un cheveu sur la soupe " mais s'avère tout à fait plausible .
J'avoue avoir passé un excellent moment avec ces 2 personnages très attachants .
A découvrir .

Ils auraient pu se rencontrer dans des centaines d'endroits mais c'est dans un cimetière qu'ils se remarquent. Dès le début le ton est donné: c'est drôle, caricatural certes mais pas déplaisant. On peut même en déduire que les problèmes des agriculteurs suédois sont les mêmes que ceux de leurs homologues français: solitude et confrontation au cours du lait en baisse partout en Europe.
Désirée le personnage féminin ne m'est pas apparue bien sympathique: aucun effort pour abandonner ses habitudes d'intellectuelle alors que tout le monde serait tenté de réconforter le tendre Benny... Ils s'aiment mais pas assez pour renoncer à leur vie tranquille de célibataire. Il faut dire que tout les oppose, milieu, goûts, loisirs. Qu'il est difficile de faire un pas vers l'autre et la fin tout à fait invraisemblable n'est pas convaincante.

J'ai trouvé la lecture trés facile avec quelques fous rires, mais je trouve qu'il manque quelque chose pour rendre ce livre plus poignant.
Dés le début, on se dit que ça ne va pas être possible car il y a trop de différences entre les deux personnages, presque deux mondes.
Bref on passe un bon moment mais sans plus.

Pour moi, dans ce livre, pas de clichés!! et d'ailleurs qu'est-ce qu'un cliché? on pourrait philosopher mais je crois qu'il faut prendre ce livre comme une sucrerie, sans se prendre au sérieux!
J'ai adoré ce livre... les personnages sont drôles et attachants, on a tellement envie qu'ils s'aiment... Le vrai combat ce n'est pas la ville contre la campagne mais l'homme contre la femme qui sont faits pour vivre ensemble mais tellement différents, tellement opposés dans tout!!!
la fin m'a un peu déçue c'est vrai mais l'ensemble du roman m'a enchantée!!!

J'ai passé un bon moment de lecture avec ce livre !!!
Original par son thème, attachant par ses personnages meurtris par la vie.

J'ai beaucoup apprécié le rendu du vécu de cet agriculteur célibataire avec toutes ses dépendances professionnelles qui l'oblige à faire des choix de vie parfois difficiles.
Personnellement, je connais cet univers et, pour une fois, il est bon de parler de ce type de travail et de ce que cela implique dans une vie.
Le personnage de Bunny me semble peint avec beaucoup de réalisme.
Ses choix de jeunesse l'on entrainé dans une vie qu'il a du mal à suivre... Ses désirs profonds passent souvent après ses obligations...

La dernière partie du roman m'a par contre un peu déçue... car l'histoire devient moins drôle et le style d'écriture change un peu. Quand à la fin ... je vous laisse la découvrir...

J'ai beaucoup apprécié la structure de ce livre, fait de petits chapitres qui sont vite lus.
Je n'ai pas pu m'arrêter de lire tellement le début, c'est à dire, la rencontre entre Désirée (bibliothécaire et citadine) et Benny (paysan et homme de la campagne) et le début de leur relation était passionnante. Deux personnes si différentes et pourtant tellement amoureuses l'une de l'autre. Les opposés s'attirent comme on dit! Bref la première partie excellente! Cependant, dès qu'ils ne veulent plus faire d'efforts pour sauver leur relation, c'est tout de suite moins intéressant, presque ennuyeux. Ils se font la tête, ne se parlent plus et ne se voient plus. Assez long. De plus, la fin laisse perplexe, peut-être est-elle trop moderne? trop inhabituelle?

Je suis tombée par hasard sur ce livre, j'ai lu la 4e de couverture et je me suis dis pourquoi pas ? Un livre détente, en plein mois de juillet... L'histoire m'a plu pour son originalité... 2 personnes totalement différentes, leur amour est-il finalement possible ?
Malheureusement, quelle déception lorsque je suis arrivée à la dernière page de lecture : Je revois encore ma réaction, à tourner les toutes dernières pages, en me disant "Mais ce n'est pas possible, il manque des pages ?" .... C'est une histoire inachevée, où on reste perplexe... Quelle déception!

Enfin un roman qui sort des sentiers battus, c'est vrai il faut oser un love story qui commence dans un cimetière. Deux êtres que tout oppose, se rencontrent dans ce lieu insolite, et tombent amoureux l'un de l'autre. Avec beaucoup d'humour et de tendresse l'auteure nous donne une réflexion sur les sentiments, la différence et le vie à deux. Un roman distrayant, agréable à lire, qui captive très vite le lecteur. La fin est un peu inattendue et décevante, mais elle est trop réaliste à mon goût. Toujours est-il que je vous recommande la lecture de cet excellent ouvrage qui vous fera passer un bon moment.

C'est assez drôle. On ne peut pas dire que cela soit très littéraire, c'est un atout car c'est accessible à tout le monde ! Désolée mais je trouve que cela fait un peu roman de gare, même si j'ai bien apprécié.

Le contraste entre ces deux personnes était très intéressant, c'est assez jouissif à lire !
La fin ne m'a pas choquée. Elle est assez inattendue toutefois.

Il est facile à lire, et puis pétillant, j'ai adoré le bouquin! Ce sentiment de ne pas vouloir vite lire parce qu'on a peur de le finir! Mais la fin ne m'a pas plu du tout.

Le mec de la tombe d'à côté.

Katarina Mazetti


Décidément dans ce genre de littérature je préfère Anna Gavalda.
Ce petit livre n'est pas pour autant totalement ennuyeux à lire, parfois même il peut être drôle.
Cela dit, chacun sait que le mariage de la carpe et du lapin est difficilement conciliable, cette histoire d'amour apparaît dès le début de roman invraisemblable et sans intérêt, cette fiction dénuée de toute poésie ce qui aurait pu, peut être la sauver de l'oubli..
L'humour trop convenu ne suffit pas pour retenir longtemps l'attention du lecteur qui se désintéresse rapidement de la valse ovarienne de la dame déclenchée par les senteurs d'étable du Monsieur.
En fait comme beaucoup de Suédois nos deux personnages s'emmerdent , sont tristes et seuls. Ils nous communiquent leur morosité trop rarement relevée par des traits humoristiques.
Finalement, on se lasse..
Dommage car Katerina Mazetti que je découvre avec ce livre au titre racoleur, fait cependant preuve d'un réel talent d'écriture. A l'occasion je ferai un autre essai.

Rien n'est attachant dans ce livre,
rien n'est fouillé,

tout est léger, mais pas léger dans le sens frais,
ce livre est superficiel

et la fin ...
cette fin est désolante

Ce livre est une surprise! C'est un plaisir de lire les pages de ce roman qui ne prend pas la tête, qui est léger et très agréable! Ce fut un vent de bonheur après mes deux lectures précédentes (les Bienveillantes et La Route)! Si on ne s'attache pas aux clichés qui y sont décrits, on passe un excellent moment. J'ai particulièrement aimé la fin si peu commune...

Un bon livre à lire sous la couette, au coin d'un feu ou tout simplement dans votre fauteuil préféré...

Katarina Mazetti (malgré son patronyme aussi peu nordique que celui de la chanteuse Sophie Zelmani) est une auteure suédoise qui est un peu au royaume de Gustaf ce qu'Anna Gavalda est à notre hexagone.
Son premier roman est un succès planétaire et raconte ... l'histoire de la rencontre entre une femme et un homme.
Elle, se recueille sur la tombe de son insipide mari disparu un peu trop tôt. Lui, Le mec de la tombe d'à côté, vient fleurir la tombe de ses parents.
Elle, se trouve un peu trop jeune pour finir seule dans le veuvage parmi ses collègues bibliothécaires. Lui, exploite des vaches laitières et voudrait bien une paire de bras supplémentaire pour l'aider à la ferme.
Tout, mais vraiment tout, sépare ce rat des champs et ce rat de bibliothèque qui ne sont absolument pas faits l'un pour l'autre. Ou alors, précisément, qui sont indiscutablement faits pour se compléter et couler des jours heureux.
Lui, n'entend rien à la poésie ni aux théories de Lacan. Elle, est de celles qui croient qu'il y a moins de travail à la ferme l'hiver pendant l'hibernation des vaches.
Lui, s'endort en ronflant pendant l'opéra. Elle, n'est pas fichue de réussir des boulettes de viande.
Lorsqu'ils louent "un" film, ils prennent deux DVD : lui, Police Academy, elle, La leçon de piano, et ils dorment chacun leur tour sur le canapé pendant le film de l'autre.
Le bouquin, imprégné d'une douce ironie pleine de tendresse pour ces deux personnages, alterne ainsi les chapitres avec "lui" et avec "elle", nous faisant vivre et revivre avec beaucoup d'humour les scènes sous un jour ou un autre. Le procédé est bien un peu facile et répétitif mais réussit à composer un petit bouquin sympa et léger, frais et enjoué, qui se lit avec plaisir.
Moralité sans prétention de la part de Katarina Mazetti : ouvrez les yeux sur la vraie vie et vos proches !
Pour celles et ceux qui aiment les amours impossibles.

Je rejoins les avis de Skady et Miss teigne: un début en fanfare, on se dit qu'on est parti pour un bon moment de lecture et puis patatras, le soufflé retombe complètement et, arrivé à la fin, on s'ennuie ferme.
Si au départ les différences entre les personnages sont amusantes, elles deviennent vite caricaturales. Quant à l'écriture, elle a cette particularité des littératures germaniques ou scandinaves d'être dépouillée, sans enjolivements mais du coup pas toujours très fluide, un peu rugueuse, dirais-je.
Au vu du titre (c'est ce qui m'a attirée au départ) et du résumé sympa, je m'attendais à beaucoup mieux. Ma déception n'en fut que plus grande.

Entre humour et tendresse, cœur et raison, une comédie de mœurs enlevée, qui, malgré ses oppositions caricaturales et l’alternance systématique des deux points de vue, se lit sans ennui , fait passer quelques heures de détente et pourrait constituer un bon scénario de film .

Mon beau-père s'est fait conseiller cet auteur dans une petite librairie très sympa de Saran, village médiéval. Le ton était donné, l'originalité allait être au rendez-vous.
Le livre lui a plu, il me l'a passé.
J'ai été pris par l'histoire, par le ton donné et surtout par le fait qu'à chaque châpitre, on puisse directement connaître ce que l'autre personnage pense de ce qui vient d'arriver et comment lui le ressent.
J'ai vécu ce livre et me suis plu à le lire. Je ne dis pas que c'est de la grande littérature mais dans un bon fauteuil, sous le soleil, sans se prendre la tête, c'est très bien.

Ce titre m'avait été vivement conseillé . Il était prétendument drôle et très bien écrit. Excepté quelques réparties piquantes, je n'y ai trouvé que le gros cliché du couple claudiquant composé de la fille de la ville (branchée et cultivée) et du gars de la campagne (paysan et bourrin). La réalité étant, selon moi, nettement moins manichéenne (peut-être pas en Suède après tout...). Leur rencontre est néanmoins intéressante.

A l'instar de Skadi (voir ci-dessous), j'ai ressenti une sensation d'inachevé à la lecture des dernières lignes. J'espérais mieux en général. Cependant, je n'ai à aucun moment eu l'envie d'interrompre ma lecture...

Une jolie histoire d'amour pimentée par les caractère et modes de vie diamétralement opposés de chacun des protagonistes.

On tombe parfois un peu dans le gros cliché sur le paysan tout comme sur la citadine cultivée mais le tout est bien écrit, fluide et agréable. Il n'y a pas de temps mort ni de lourdeur au cours de l'histoire et même quelque dose d'humour.

Je n'ai pas toujours bien saisi l'intérêt des phrases d'appel en début de chapitre.

Par contre la fin n'est pas courue d'avance, ce qui est assez rare.

En résumé : un bon livre.

J'ai commencé ce livre avec ardeur me laissant guider par cette écriture tonique, vive et drôle. La première partie m'a beaucoup plu ... : la rencontre de deux personnages que tout sépare dans un lieu qui n'est pas propice à la séduction, est originale. Mais les personnages deviennent stéréotypés et les différences deviennent trop flagrantes et difficiles à gérer. J'ai cru à la possibilité de faire cohabiter ces deux univers mais l'auteur a pris un autre parti. Je trouve dommage cette généralisation : deux univers sociaux ne peuvent pas se comprendre ( en même temps, cette attitude reflète bien la vie quotidienne). La fin est audacieuse mais ce goût d'inachevé me gêne.

Un bouquin de plus que j' ai commencé sans pouvoir continuer, tellement je m' ennuyais ...

Est-ce la traduction qui rend le style si hâché , impersonnel , sans fantaisie ?

Histoire cousue de fils blancs , pas d' originalité .

Bref je ne suis pas rentrée dedans, ça arrive ....