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Léger texte que j'ai écrit il y a deux ans dans un quelconque élant de romantisme :
Je l’ai rencontré pour la première fois dans un magasin à grande surface au centre-ville. Depuis ce temps, j’y allais chaque jours et elle était toujours là; elle m’attendait. Elle était toujours aussi rayonnante, toujours aussi belle. Au début, je l’approchais avec hésitation. Peu à peu, l’hésitation laissait place à l’excitation. Je ne pouvais plus tenir en place. Je la désirais. Elle me désirait aussi. je le voyais bien. Je ne me doutais pas que nous finirions par sortir ensemble du magasin, côte à côte, un après-midi. Je l’ai alors amené à la maison. J’ai fais les présentations au reste de la famille puis nous sommes entrés dans le garage.
Avec sa peau reluisante au soleil, sa carrure plutôt sportive, ses courbes fines et aguicheuses, toute décorée d’un rouge flamboyant, le genre de rouge qui attire le regard des passants les plus pressés, elle me fixait d’un air provocant. Nous étions tous les deux seuls tandis que, ne pouvant plus résister à la tentation, je l’enfourchai.
Ce fut à ce moment que la porte du garage s'ouvrit, la seule barrière nous séparant des regards voyeurs du voisinage. D'aileurs, un voisin ne tarda pas à se faire entendre : « Belle bicyclette, Charlie ! »
Je l’ai rencontré pour la première fois dans un magasin à grande surface au centre-ville. Depuis ce temps, j’y allais chaque jours et elle était toujours là; elle m’attendait. Elle était toujours aussi rayonnante, toujours aussi belle. Au début, je l’approchais avec hésitation. Peu à peu, l’hésitation laissait place à l’excitation. Je ne pouvais plus tenir en place. Je la désirais. Elle me désirait aussi. je le voyais bien. Je ne me doutais pas que nous finirions par sortir ensemble du magasin, côte à côte, un après-midi. Je l’ai alors amené à la maison. J’ai fais les présentations au reste de la famille puis nous sommes entrés dans le garage.
Avec sa peau reluisante au soleil, sa carrure plutôt sportive, ses courbes fines et aguicheuses, toute décorée d’un rouge flamboyant, le genre de rouge qui attire le regard des passants les plus pressés, elle me fixait d’un air provocant. Nous étions tous les deux seuls tandis que, ne pouvant plus résister à la tentation, je l’enfourchai.
Ce fut à ce moment que la porte du garage s'ouvrit, la seule barrière nous séparant des regards voyeurs du voisinage. D'aileurs, un voisin ne tarda pas à se faire entendre : « Belle bicyclette, Charlie ! »
Ca me rappelle une nouvelle...
Va voir sur le lien suivant :
http://critiqueslibres.com/i.php/forum/…
Bonne lecture !
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Oui, j'y ai pensé également.
Bienvenue Marth
Léger texte que j'ai écrit il y a deux ans dans un quelconque élant de romantisme
pour le romantisme, c'est une plaisanterie j'espère, sinon nous n'appellons pas "romantisme" la même chose!!!
sinon, c'est pas mal du tout!!
pour le romantisme, c'est une plaisanterie j'espère, sinon nous n'appellons pas "romantisme" la même chose!!!Colchique ! Heureusement que tu tempères avec la dernière phrase ! Ne fais pas fuir les nouveaux...
sinon, c'est pas mal du tout!!
Beau pied de nez! Quant au romantisme, le premier paragraphe en est empreint.
jne fais pas fuir les nouveaux!!! c'est juste sa première phrase qui m'amuse car nous n'avons pas la même idée du romantisme, c'est tout, mais par contre je le trouve super!!
Je trouve, Marth, que pour un nouveau tu ne perds pas de temps. Bravo! On sent ces temps ci comme un sang neuf qui arrive sur ce forum. J'ai juste regretté concernant ton texte avoir vu venir la chute, bon sauf que je pensais à une moto. C'est vrai que la chute surprend, c'est encore plus mieux! He ben ... on attend la suite. Bon courage.
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