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Magicite
avatar 23/09/2011 @ 23:28:41
Ère Nouvelle

Dans ce lieu inconnu il a trouvé un havre bien qu'il n'ai plus de repos depuis qu'il l'a rencontré.

C'est un pays étranger, il n'en parles pas la langue. Pourtant il lui semble si familier, comme un royaume imaginaire qu'il aurait toujours espéré. Mieux qu'une grotte pour ce solitaire c'est un pays de lacs et de forêts, vieux et empreints de mystères, de fantômes et de légendes moyenâgeuses.
Martin Maurice est pourtant un français de pure souche à l'accent indéfinissable indéniablement parisien. Alors que la guerre gronde et que les troupes de la Weirmacht ont mises Marianne à genou avec leur doctrines nauséeuses et ses conquérants avides, alors la France à besoin de ses gens de bien pour lutter contre l'oppresseur, lui est loin. A ceux qui veulent juger Martin Maurice il faut que j’évoque la personnalité du jeune homme.
Il s'est toujours senti différent des autres n'a pu se faire beaucoup d'amis et au monde que nous connaissons. Au travail honnête et à la société des bourgeois, des réparateurs de réverbère et des marchands de journaux, des femmes de chambre il ne s'est jamais intéressé. Pire encore il a toujours trouvé ces gens comme des êtres pâles et dénué d'intérêt tellement il n'as jamais compris le monde moderne, il aurait aimé être un chevalier d'un temps mythique.
S'il est partit ce n'est pas par lâcheté, peur ou faiblesse, au contraire c'est une inspiration qui ne peut le quitter qui le guide. Il a traversé des routes d'exode et de peur sans jamais craindre ou même penser à l'horreur des routes bombardées, des familles fuyant vers les campagnes...
Toujours il a gardé son but, son espoir devant lui, ni la faim, ni le froid l'ont jamais découragé.
Il peut vous paraître cynique Mr Maurice, car il est indifférent à la souffrance, où l'existence même de ses contemporains. Il peut vous paraître fainéant Martin car jamais il n'as voulu s'élever dans la société. C'est que son être tout entier est si plein d'un amour ; de sa tête à ses jambes, d'amour pour Elle. Tout ce qu'il sait c'est que depuis qu'il l'a rencontré, elle emplit sa vie vide, sa solitude a l'espoir de se terminer.
Mais qui est telle ? Une jeune fille probablement de bonne famille car ses mains ne sont pas rougies par le labeur ni percées de l'aiguille de la couturière. Elle habitait seule, en tout cas il ne l'avait jamais vu avec quelqu'un d'autre. Elle habitait au dessus de sa mansarde et depuis qu'elle lui avait demandé de nettoyer des débris dans le conduit de cheminée elle venait souvent le voir. Ils passait ses soirées avec elle dans un ravissement béat et la peur qu'elle disparaisse et les soirées sans elle il les passaient à l'attendre. La journée il pensait à leur prochaine rencontre ou leur dernière. Elle devait avoir un chagrin, car si elle semblais indépendante, libertine elle maudissait les amoureux et bien qu'elle laissât entendre que certains gars de la ville l'intéressait n'en parlait jamais. Martin Maurice craignait qu'elle ne voulût plus le voir si jamais il disait qu'elle lui manquait ou faisait autre chose que ses caprices. Si c'est elle la première qui lui demandait menu services, qu'elle ne pouvait se payer sans entamer l'argent de ses études c'est lui qui avait continué à lui proposer tantôt de lui porter son bois pour le feu, tantôt de partager une volaille ou un vin qu'il avait de son oncle.
Puis ce fut la guerre, pendant longtemps il n'en parlèrent pas beaucoup, bien que ses soucis à elle, dussent en être plus important. Il comprenait sans savoir, sans demander, et essayait de la réconforter par des airs de chansonniers, les seuls qu'ils connaissait ou des airs interprété à la guimbarde, le seul instrument qu'il dont il jouas.
Quand elle partit, au début il ne vit plus que le vide et sa solitude, lui semblât pire que quand il ne la connaissait pas et qu'il pouvait rester des jours sans parler à d'autres personnes que les chats errants, si les chats peuvent être considérés comme des personnes.
Il pris tout son argent, ses objets en argent et son couteau et sa guimbarde. Un sac de toile et ses guêtres de coton et la suivit. Il appris qu'elle avait pris le bateau pour Douvres avec sa mère, fuyant la terreur de la guerre. A Londres elle avait pris un train, le seul train pour le nord. En route vers le nord, à pied il ne pensait qu'à elle, essayât de jouer de la guimbarde en évoquant son nom en esprit.
Avec beaucoup de peine et pas mal de chance, un portrait d'elle oublié lors de son départ il fut orienté vers une auberge à Édimbourg. Édimbourg, une jolie ville au toits d'argile, les tuiles tombent parfois sous la vétusté, les vestiges d'un cimettière médiéval bordent la rue principale : Princes Street. Il se mêla au monde grisé par l'alcool au bars d’Écosse désespéré d'avoir perdu sa trace et montrant partout sa photo. Il appris à se méfier des pavés irréguliers et anciens quand serrant un ruban (ou un lacet de chaussure il ne sut jamais) qui lui avait appartenu il criait devant les Backpackpers et hôtels pour trouver quelqu'un qui l'aurait aperçue.
Après un périple qui le mènes plus de deux cents kilomètres au nord par les Highlands à Fort Williams(où Elle avait observé un cerf avec d'autres villageois) il finit dans ce petit village de Ballindalloch. Certes il avait éprouvé le caractère et l'hospitalité des écossais, bons buveurs et rougeaud folkloriques. Mais jamais il ne s'était retrouvé dans un village aussi paisible.
La rivière Spey coulait et le Glenlivet, breuvage plus fort que leur bière au goût d'eau et les moutons écossais ne l'avait pas fait perdre de vue son objectif. Elle était là, dans ce village. Enfin il allait pouvoir la revoir. Il se mettait en forme, humant le breuvage d'espoir au goût de fleur et de pluie acide au printemps. Sur une table, ancienne barrique à Whisky, au fond de l'unique taverne. Il l'imaginait déjà apparaître, la pluie aurait reprise où se serrait arrêté comme c'est le cas pour l'écosse au climat toujours humide. Elle sourirait dans l'embrasure de la porte et il se lèverait pour lui toucher le bras. Elle lui nourrirait encore plus grand, ses lévres s'étirant comme le chat fantasmatique d'Alice(ou alors ses propres fantasmes?).
Ici tout est intemporel, du comptoir vermoulu, aux pierres anciennes. Il y a même un chansonnier, comme les bardes du moyen-âge. Il fait de la musique avec une viole à l'allure farfelu pour un français de Paris, une chanson rythmé et rapide alterne avec une langoureuse comme une ballade d'Irlande. Les deux ou trois locaux assis aux comptoirs sont entouré de leur anglais bruyant au accents d'aboiements de chiens. Les écossais parlent mal anglais, ils peuvent dire Loch pour Lake ce qui surprends toujours le visiteur qui ne connais que la langue de Shakespeare et non celle de Scott. Le jeune Maurice, lui parles très mal les deux et le liquide qui lui importes a peur de rapport avec les lacs.
Un monsieur âgé et sa fille entre et se diriges vers le bar alors que Martin Marcel serre dans sa poche le ruban dans sa poche, maintenant souillé par la transpiration du voyage.
Sa fille reste près du pas de porte porte, C'EST ELLE !
Lui cramponne son arrière train à la chaise, prêt à se lever pour aller la voir. Le monsieur parles français avec des rudiment d'anglais :
« The road to Dundee pliize » dit il en étalant devant sa figure moustachu une carte froissée.
Plus moite et qu'une choppe de bière des bas fonds d’Édimbourg, plus rance que l'alcool dans son estomac sa vilaine peur le paralyse.
Avec gestes et sourires les locaux lui montrent la direction de la route qui va vers la sortie du village.
Sa vieille angoisse est là, la superstition d'être placé sous le mauvais méridien, que l'urgence ne presse pas, qu'il auras d'autre chance...la timidité maladive et l'ombre d'un pub écossais perdu le laissent absent de ce monde.
Il n'as pas touché à son verre pendant plus de vingt minutes après leur départ.
Jurant sur tout ce qui lui est cher, sur elle, sur son amour il sait que c'est une ère nouvelle.
Il l'as vu au moins cette fois, elle se rapproche, Marcelline.
Et il n'as jamais été aussi renseigné sur sa destination, il iras à Dundee cette nuit penses il en vidant son whisky avant d'en commander un autre.


//j'espères que vous pardonnerez ce texte. C'est court (le temps et le nombre de mots) Même si la fin je l'avais au départ j'ai trop improvisé et ça sent dans la construction, si je révises ce texte j’essaierais d'améliorer l'effet tragi-comique voulu. Merci d'avoir eu le courage de lire :)

Ngc111
avatar 23/09/2011 @ 23:49:38
Tu nous as bien eu Magicite, belle chute !

En plus tu as appliqué toutes les consignes même celles où l'on pouvait faire un choix !

Magicite
avatar 24/09/2011 @ 00:41:46
(relu et corrigé car après avoir lu vos textes-certains en diagonale je commentes demain- je me suit relu et là ce fut la chute-en plus d'être en pavé c'est plein de coquille)

Ère Nouvelle : Amour éthéré

Dans ce lieu inconnu il a trouvé un havre bien qu'il n'ai plus de repos depuis qu'il l'a rencontré.

C'est un pays étranger, il n'en parles pas la langue. Pourtant il lui semble si familier, comme un royaume imaginaire qu'il aurait toujours espéré. Mieux qu'une grotte pour ce solitaire c'est un pays de lacs et de forêts, vieux et empreints de mystères, de fantômes et de légendes moyenâgeuses.
Martin Maurice est pourtant un français de pure souche à l'accent indéfinissable indéniablement parisien. Alors que la guerre gronde et que les troupes de la Wehrmacht ont mises Marianne à genou avec leur doctrines nauséeuses et ses conquérants avides, alors la France à besoin de ses gens de bien pour lutter contre l'oppresseur, lui est loin.
A ceux qui veulent juger Martin Maurice il faut que j’évoque la personnalité du jeune homme.

Il s'est toujours senti différent des autres n'a pu se faire beaucoup d'amis et au monde que nous connaissons. Au travail honnête et à la société des bourgeois, des réparateurs de réverbère et des marchands de journaux, des femmes de chambre il ne s'est jamais intéressé. Pire encore il a toujours trouvé ces gens comme des êtres pâles et dénués d'intérêt tellement il n'as jamais compris le monde moderne, il aurait aimé être un chevalier d'un temps mythique.

S'il est partit ce n'est pas par lâcheté, peur ou faiblesse, au contraire c'est une inspiration qui ne peut le quitter qui le guide. Il a traversé des routes d'exode et de peur sans jamais craindre ou même penser à l'horreur des routes bombardées, des familles fuyant vers les campagnes...
Toujours il a gardé son but, son espoir devant lui, ni la faim, ni le froid l'ont jamais découragé.
Il peut vous paraître cynique Mr Maurice, car il est indifférent à la souffrance, où l'existence même de ses contemporains. Il peut vous paraître fainéant Martin car jamais il n'as voulu s'élever dans la société. C'est que son être tout entier est si plein d'un amour ; de sa tête à ses jambes, d'amour pour Elle. Tout ce qu'il sait c'est que depuis qu'il l'a rencontré, elle emplit sa vie vide, sa solitude a l'espoir de se terminer.
Mais qui est telle ? Une jeune fille probablement de bonne famille car ses mains ne sont pas rougies par le labeur ni percées de l'aiguille de la couturière. Elle habitait seule, en tout cas il ne l'avait jamais vu avec quelqu'un d'autre. Elle habitait au dessus de sa mansarde et depuis qu'elle lui avait demandé de nettoyer des débris dans le conduit de cheminée elle venait souvent le voir. Ils passait ses soirées avec elle dans un ravissement béat et la peur qu'elle disparaisse et les soirées sans elle il les passaient à l'attendre. La journée il pensait à leur prochaine rencontre ou leur dernière. Elle devait avoir un chagrin, car si elle semblais indépendante, libertine elle maudissait les amoureux et bien qu'elle laissât entendre que certains gars de la ville l'intéressait n'en parlait jamais. Martin Maurice craignait qu'elle ne voulût plus le voir si jamais il disait qu'elle lui manquait ou faisait autre chose que ses caprices. Si c'est elle la première qui lui demandait menu services, qu'elle ne pouvait se payer sans entamer l'argent de ses études c'est lui qui avait continué à lui proposer tantôt de lui porter son bois pour le feu, tantôt de partager une volaille ou un vin qu'il avait de son oncle.
Puis ce fut la guerre, pendant longtemps il n'en parlèrent pas beaucoup, bien que ses soucis à elle, dussent en être plus important. Il comprenait sans savoir, sans demander, et essayait de la réconforter par des airs de chansonniers, les seuls qu'ils connaissait ou des airs interprété à la guimbarde, le seul instrument dont il jouas.
Quand elle partit, au début il ne vit plus que le vide et sa solitude, lui semblât pire que quand il ne la connaissait pas et qu'il pouvait rester des jours sans parler à d'autres personnes que les chats errants, si les chats peuvent être considérés comme des personnes.
Il pris tout son argent, ses objets en argent et son couteau et sa guimbarde. Un sac de toile et ses guêtres de coton et la suivit. Il appris qu'elle avait pris le bateau pour Douvres avec sa mère, fuyant la terreur de la guerre. A Londres elle avait pris un train, le seul train pour le nord. En route vers le nord, à pied et au hasarde la chance d'une rare auto bienveillante il ne pensait qu'à elle, essayât de jouer de la guimbarde en évoquant son nom en esprit.
Avec beaucoup de peine et pas mal de chance, un portrait d'elle oublié lors de son départ il fut orienté vers une auberge à Édimbourg. Édimbourg, une jolie ville au toits d'argile, les tuiles tombent parfois sous la vétusté, les vestiges d'un cimetière médiéval bordent Princes Street, la rue principale.

Il se mêla au monde grisé par l'alcool au bars d’Écosse désespéré d'avoir perdu sa trace et montrant partout sa photo. Il appris à se méfier des pavés irréguliers et anciens quand serrant un ruban (ou un lacet de chaussure il ne sut jamais) qui lui avait appartenu il criait devant les backpackers et hôtels pour trouver quelqu'un qui l'aurait aperçue.
Après un périple qui le mènes plus de deux cents kilomètres au nord par les Highlands à Fort Williams(où Elle avait observé un cerf avec d'autres habitants lui dit on) il finit par retrouver sa trace dans ce petit village de Ballindalloch.
Certes il avait éprouvé le caractère et l'hospitalité des écossais, bons buveurs et rougeaud folkloriques. Mais jamais il ne s'était retrouvé dans un village aussi paisible.
La rivière Spey coulait et le Glenlivet, breuvage plus fort que leur bière au goût d'eau et les moutons écossais ne l'avait pas fait perdre de vue son objectif. Elle était là, dans ce village. Enfin il allait pouvoir la revoir. Il se mettait en forme, humant le breuvage d'espoir au goût de fleur et de pluie acide au printemps. Sur une table, ancienne barrique à Whisky, au fond de l'unique taverne. Il l'imaginait déjà apparaître, la pluie aurait reprise où se serrait arrêté comme c'est le cas pour l'écosse au climat toujours humide. Elle sourirait dans l'embrasure de la porte et il se lèverait pour lui toucher le bras. Elle lui sourirait encore plus grand, ses lèvres s'étirant comme le chat fantasmatique d'Alice(ou le chat de ses propres fantasmes?).

Ici tout est intemporel, du comptoir vermoulu, aux pierres anciennes. Il y a même un chansonnier, comme les bardes du moyen-âge. Il fait de la musique avec une viole à l'allure farfelu pour un français de Paris, une chanson rythmé et rapide alterne avec une langoureuse ballade d'Irlande. Les deux ou trois locaux assis aux comptoirs sont entourés parlant dans un anglais bruyant au accents d'aboiements de chiens. Les écossais parlent mal anglais, ils peuvent dire loch pour lake ce qui surprends toujours le visiteur qui ne connais que la langue de Shakespeare et non celle de Scott.
Le jeune Maurice, lui parles très mal les deux et le liquide qui lui importes a peu de rapport avec les lacs.
Un monsieur âgé et sa fille entre et se diriges vers le bar alors que Martin Marcel serre dans sa poche le ruban dans sa poche, maintenant souillé par la transpiration du voyage.
Sa fille reste près du pas de porte porte, C'EST ELLE !
Lui cramponne son arrière train à la chaise, prêt à se lever pour aller la voir. Le monsieur parles avec un accent français :
_« The road to Dundee pliize », dit il en étalant devant sa figure moustachu une carte froissée.
Plus moite et qu'une choppe de bière des bas fonds d’Édimbourg, plus rance que l'alcool dans son estomac sa vilaine peur le paralyse.
Avec gestes et sourires les locaux lui montrent la direction de la route qui va vers la sortie du village.
Sa vieille angoisse est là, la superstition d'être placé sous le mauvais méridien, que l'urgence ne presse pas, qu'il auras d'autre chance...sa timidité maladive et l'ombre d'un pub écossais perdu l’occultent du monde.

Il n'as pas touché à son verre pendant plus de vingt minutes après leur départ.
Jurant sur tout ce qui lui est cher, sur elle, sur son amour il sait que c'est une ère nouvelle.
Il l'as vu au moins cette fois, elle se rapproche, Marcelline.
Et il n'as jamais été aussi renseigné sur sa destination, il iras à Dundee cette nuit penses il en vidant son whisky avant d'en commander un autre, l'amour c'est sa guerre à lui.

JEyre

avatar 24/09/2011 @ 11:28:41
Magicite, je n'avais pas vu qu'il y avait un texte corrigé, j'aurais commencé par celui-là sinon ! :-) Je lirai donc le second plus tard.
Je suis vraiment ravie de cet exercice et de l'ambiance qu'il a inspiré (je viens de lire le texte de Piero), l'amour, la quête, les paysages écossais, un brin de romantisme et de nostalgie, tout ça me plait vraiment beaucoup. Et toute cette belle imagination, cette histoire mise sur pieds en une heure, tu n'as vraiment pas à t'excuser de la longueur, qui est me semble-t-il, plus qu'honorable !
Bravo et merci !

Antinea
avatar 24/09/2011 @ 12:22:33
Bon, il y a quelques fautes d'orthographes qui gênent un peu la lecture (c'est la marmite qui parle au chaudron, j'en fais aussi, surtout dans la précipitation).

Ma soif d'histoire est satisfaite, il y a un récit, c'est bien pour moi ! Un chagrin d'amour... passons. Au moins, là, ça finit bien (la magie de l'écriture).

Bonne première Magicite ! Pense à aérer un peu ton texte la prochaine fois en séparant quelques paragraphes par des lignes (on m'en avait aussi fait le conseil, à raison). Bonne imagination. Tu seras donc au prochain exo, hein ? ;)

Pieronnelle

avatar 24/09/2011 @ 12:36:05
L'histoire est interessante et il y a de belles idées. Mais je me suis un peu perdue...les changements de temps entre présent et imparfait m'ont un peu déconcertée. Est-ce normal que Martin Maurice devienne Martin Marcel?
J'ai aimé cette course éperdue vers un amour dont en sent bien qu'il lui échappera toujours...Ah l'amour!:-))

Magicite
avatar 24/09/2011 @ 14:48:09
Oui trop de fautes dans la précipitation, je tomberais pas dans le même piège pour la prochaine(j'ai corrigé un peu dans la 2ème version au moins il y a pas nourrirait pour sourirait).
C'est vrai qu'une première fois c'est toujours un peu de trac et j'ai voulu trop bien faire pour être digne d'être dans vos rangs :).
C'est le 3000 mots qui m'as pas mal dérangé(j’arrive autour de 1500), en faisant le calcul ça fait 50 mots à la minute(3000/60), 0,83 mot/seconde pas fait pour quelqu'un qui n'écrit plus depuis longtemps surtout si on compte 20 minutes à fixer la feuille blanche et quelques recherche pour trouver un petit village d’Écosse.

Le changement de temps c'est que j'essaie d'écrire plus au présent mais mes habitudes/facilités avec l'imparfait reviennent quand même.

Ah je n’avait pas vu le Martin Marcel de la fin, encore une bourde qui aurait pu être évité avec moins de précipitation.
A la prochaine où j’irai plus dans la facilité ce qui peut faire gagner à l'écriture et à la cohésion du récit, j'ai voulu mettre trop de choses même si utiliser toutes les contraintes est plus un cadre qui m'aide et forcément au passage je perds un peu de l'ironie d'un chant d'amour à la guimbarde.
"Thconk sthnnk tonk ploc"(extrait de Marcelline par M. Maurice, sonate en ré majeur pour guimbarde).

Clamence 24/09/2011 @ 14:51:28
Magicite, 3000 signes, pas mots ^^

Je repasserai tout à l'heure pour te lire plus tranquillement.

Virgile

avatar 24/09/2011 @ 14:55:05
J'ai lu ta version relue et corrigée, il me semble que pas mal de fautes et coquilles t'on échappé (c'est le cancre qui dit ça, on aura tout vu). ;op

Je n'ai pas vraiment été embarqué par l'histoire et le texte n'est sans doute pas assez aéré ou trop dense à mon goût, mais bonne continuation! :o)

Mieke Maaike
avatar 24/09/2011 @ 21:16:53
Je me suis aussi un peu perdue dans la narration. On sent en effet la précipitation, mais quoi ne plus normal pour un exo en une heure quand on n'a pas l'habitude, surtout en plus si tu avais l'objectif d'écrire 3000 mots là où nous avions tous écrit 3000 signes ;-)

Ceci dit, l'essentiel est là: une histoire, des personnages, un décor, de l'amour. Et surtout une philosophie intéressante de l'amour.

Une belle première parmi nous.

Tistou 25/09/2011 @ 15:04:11
D'abord Magicite, bienvenue à toi. Je vois que tu es inscrit depuis 2006 mais tu ne t'étais jamais vraiment manifesté par des messages ? Me trompé-je ?
Imagine un peu, c'est 8200 signes (ou caractères) qu'il fait ton texte ! Effectivement, avoir compris 3000 à 5000 mots, ça peut faire peur ... Du coup tu as dû écrire dans la hâte et la précipitation ? Ce qui explique du coup le nombre considérable de fautes qui parsèment ton récit ..., et certaines incohérences comme celle du nom qui change en cours de route ...
Une histoire, oui, il y en a une, mais elle est heurtée du fait de la précipitation dans laquelle tu as dû te sentir. Ca n'aide pas du coup à la lecture.
Je pense qu'il faudra refaire connaissance, soit autour d'un texte libre que tu aurais déja écrit, ou que tu aurais envie d'écrire, car ici, comme je l'ai mis à Mr.Smith, autre nouveau, il n'y a pas de raisons particulières à attendre des appels à textes pour poster, soit lors d'un futur exo, en direct ou pas (car une autre version existe dans laquelle on a 10 - 15 jours pour écrire), en tenant compte que 3000 signes, ça fait beaucoup moins de mots (par exemple mon texte a 5100 signes et ne fait que 894 mots !). Et donc on peut soigner et orthographe et style. Pour info, peut-être, je te rappellerai que si tu tapes tes textes sur Word, tu as le compteur de mots qui s'affiche en bas à gauche, et si tu cliques dessus tu as un compteur qui apparait qui te donne le nombre de caractères ...
Alors merci de cette première participation, en espérant que malgré la sensation de course contre la montre que tu as dû ressentir ceci ne te dégoûtera pas de l'exercice !

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