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Bonsoir.
Je viens d'écrire cette critique :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18775
Hélas et une fois de plus, serait-il possible de la remettre parmi celles déjà existantes de Robin Cook (USA) ?
Cette mésaventure s'était déjà passée la dernière fois. Le problème c'est que rien n'est indiqué pour pouvoir la placer directement dans la bonne bibliographie.
Merci par avance et désolé pour ce nouveau contretemps.
Je viens d'écrire cette critique :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/18775
Hélas et une fois de plus, serait-il possible de la remettre parmi celles déjà existantes de Robin Cook (USA) ?
Cette mésaventure s'était déjà passée la dernière fois. Le problème c'est que rien n'est indiqué pour pouvoir la placer directement dans la bonne bibliographie.
Merci par avance et désolé pour ce nouveau contretemps.
C'est fait :-)
Il existe 2 auteurs Robin Cook dont des titres sont critiqués, d'où le "complément": (USA) ou (GB).
Mais Amazon ne les différencie pas..
Il existe 2 auteurs Robin Cook dont des titres sont critiqués, d'où le "complément": (USA) ou (GB).
Mais Amazon ne les différencie pas..
Une des façon de savoir comment le nom de l'auteur est "coupé" dans la BD de CL est d'aller sur la fiche de l'auteur, ici Robin Cook (USA):
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vauteur/958
De cliquer sur le lien "ici" de "L'ancienne version (en format html, sans script) est ici", ce qui redirige vers:
http://critiqueslibres.com/i.php/vauteur_old/…
Au bas des critiques, il y a le nom de l'auteur de la façon de la base de données:
Cook (USA), Robin
Alors, quand tu entres un nouveau livre:
Prénom: Robin
Nom: Cook (USA)
C'est aussi utile pour les noms composés de plus de 2 mots, comme Jules Barbey d'Aurevilly: Barbey d'Aurevilly, Jules
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vauteur/958
De cliquer sur le lien "ici" de "L'ancienne version (en format html, sans script) est ici", ce qui redirige vers:
http://critiqueslibres.com/i.php/vauteur_old/…
Au bas des critiques, il y a le nom de l'auteur de la façon de la base de données:
Cook (USA), Robin
Alors, quand tu entres un nouveau livre:
Prénom: Robin
Nom: Cook (USA)
C'est aussi utile pour les noms composés de plus de 2 mots, comme Jules Barbey d'Aurevilly: Barbey d'Aurevilly, Jules
Nance, il y a plus simple. Tu vas dans la liste des auteurs, tu entres Cook dans la petite boite de recherche (ou tu navigues dans les pages jusqu'à Cook), et tu vois le nom et le prénom !
Oh, je viens d'essayer avec Aurevilly, c'est bien. J'ai toujours eu peur de faire une recherche par la liste des auteurs parce que je croyais que c'était du cafouillage, mais l'outil fonctionne à merveille.
Voici le texte de la critique du livre d'Elisabeth Weissman : la nouvelle guerre du sexe, je ne parviens pas à l'insérer dans les critiques, s'il vous intéresse vous pouvez le publier. Merci de m'indiquer les démarches pour ma prochaine critique.
Cordialement
Stéphane d'Evreux
Une analyse pertinente, argumentée, développée, sur le conditionnement sur notre vie amoureuse et sexuelle par la société d’hyperconsommation actuelle en France, en Europe et aux Etats-Unis. Pertinent mais triste, comment ne pas reconnaître rapidement les dévoiements et exploitations économiques de notre intimité. Les codes presque imposés par les médias, le système économique, la pensée ultralibérale qui fait ses choux gras de tout, de toutes et de tous. On reconnaît clairement l’exploitation des sensibilités psychologiques du genre humain. Dans les années 80, quiconque faisait une école de commerce connaissait l’adage : « il faut créer des besoins », aujourd’hui ce terme est obsolète et Elisabeth Wissmann à mon sens en fait la démonstration. Nous devrions dire maintenant : « il faut créer des addictions ». Exploitons la misère affective et/ou sexuelle afin de faire de l’argent. La névrose a le vent en poupe chez les ultralibéraux, qui ne se privent pas de générer des profits colossaux sur le dos du psychisme humain et de ses légitimes travers. Le discours dans ce livre ne stigmatise pas la politique actuelle mais établi un parallèle très net entre profit et souffrance humaine. Le marché de la pornographie y est bien explicité avec tous les tenants et aboutissants. Des mots qui choquent au fil de la lecture : chosification, réification, femme objet (et homme objet), travailleur du sexe, déshumanisation, etc. Je regrette deux choses : 1) il est écrit dans le livre que les conditions de travail des acteurs et actrices de films pornographiques doivent être améliorées, parler de « conditions de travail » c’est déjà accepter l’exploitation des corps et cela ne dénonce pas, cela tendrait à une demande de légitimité du genre dans l’inconscient collectif par une sorte de convention collective du X, avec grille de salaires, etc. 2) un passage met en avant un genre de porno plus « light » et présenté comme plus naturel, presque romantique, l’auteur cite secondsexe.com en exemple mais après visite dudit site la page d’accueil nous expose… des sex-toys, objet très décrié par Elisabeth, non sens ou décalage entre publication et évolution de ce site ? Les films proposés sont à télécharger, les titres sont clairement grossiers, cette présentation d’une forme de romantisme dans la pornographique semble être un échec, bien que l’idée soit intéressante si elle est censée réhabiliter la notion de partage et d’amour dans la relation amoureuse, érotique et sexuelle. Un bon livre tout de même mais que je ne garderai pas dans ma bibliothèque, il sera plus utile de le revendre sur un site spécialisé dans les livres d’occasion car finalement c’est je crois diffuser une parole plus juste, plus belle, que de faire connaître ce livre et son analyse cinglante. Une lecture à recommander. Désespéré(e)s s’abstenir si en période personnelle difficile car ce livre si il éclaire est tout de même « brutal » et peut heurter certaines sensibilités. Mais mieux connaître la réalité c’est être mieux à même de faire un choix, le mien était déjà fait avant la lecture et je partage les opinions de son auteur sans réserve.
Stéphane d’Evreux
Cordialement
Stéphane d'Evreux
Une analyse pertinente, argumentée, développée, sur le conditionnement sur notre vie amoureuse et sexuelle par la société d’hyperconsommation actuelle en France, en Europe et aux Etats-Unis. Pertinent mais triste, comment ne pas reconnaître rapidement les dévoiements et exploitations économiques de notre intimité. Les codes presque imposés par les médias, le système économique, la pensée ultralibérale qui fait ses choux gras de tout, de toutes et de tous. On reconnaît clairement l’exploitation des sensibilités psychologiques du genre humain. Dans les années 80, quiconque faisait une école de commerce connaissait l’adage : « il faut créer des besoins », aujourd’hui ce terme est obsolète et Elisabeth Wissmann à mon sens en fait la démonstration. Nous devrions dire maintenant : « il faut créer des addictions ». Exploitons la misère affective et/ou sexuelle afin de faire de l’argent. La névrose a le vent en poupe chez les ultralibéraux, qui ne se privent pas de générer des profits colossaux sur le dos du psychisme humain et de ses légitimes travers. Le discours dans ce livre ne stigmatise pas la politique actuelle mais établi un parallèle très net entre profit et souffrance humaine. Le marché de la pornographie y est bien explicité avec tous les tenants et aboutissants. Des mots qui choquent au fil de la lecture : chosification, réification, femme objet (et homme objet), travailleur du sexe, déshumanisation, etc. Je regrette deux choses : 1) il est écrit dans le livre que les conditions de travail des acteurs et actrices de films pornographiques doivent être améliorées, parler de « conditions de travail » c’est déjà accepter l’exploitation des corps et cela ne dénonce pas, cela tendrait à une demande de légitimité du genre dans l’inconscient collectif par une sorte de convention collective du X, avec grille de salaires, etc. 2) un passage met en avant un genre de porno plus « light » et présenté comme plus naturel, presque romantique, l’auteur cite secondsexe.com en exemple mais après visite dudit site la page d’accueil nous expose… des sex-toys, objet très décrié par Elisabeth, non sens ou décalage entre publication et évolution de ce site ? Les films proposés sont à télécharger, les titres sont clairement grossiers, cette présentation d’une forme de romantisme dans la pornographique semble être un échec, bien que l’idée soit intéressante si elle est censée réhabiliter la notion de partage et d’amour dans la relation amoureuse, érotique et sexuelle. Un bon livre tout de même mais que je ne garderai pas dans ma bibliothèque, il sera plus utile de le revendre sur un site spécialisé dans les livres d’occasion car finalement c’est je crois diffuser une parole plus juste, plus belle, que de faire connaître ce livre et son analyse cinglante. Une lecture à recommander. Désespéré(e)s s’abstenir si en période personnelle difficile car ce livre si il éclaire est tout de même « brutal » et peut heurter certaines sensibilités. Mais mieux connaître la réalité c’est être mieux à même de faire un choix, le mien était déjà fait avant la lecture et je partage les opinions de son auteur sans réserve.
Stéphane d’Evreux
Stéphane, peut-tu nous dire ce que tu as essayé ? Quel était le problème ? Il y a pas mal de gens qui pourront t'expliquer comment faire, ce n'est pas très difficile.
Ah je vois que tu y es parvenu, félicitation ! Et pour la critique aussi.
Je viens de critiquer plusieurs bandes dessinées. Le coloriste était Guy Raives et c'est le même auteur que le Raives de Warnauts et Raives. Il faudrait donc réunir les deux fiches (Raives et Guy Raives) sous le non de Guy Raives.
Merci
Merci
J'ai fait comme tu as demandé Shelton. ;-)
Merci beaucoup !!!
Bonjour.
Je viens de m'apercevoir que j'avais oublié de vous remercier... J'e suis désolé pour ce retard de réponse, et donc merci beuacoup pour votre aide.
@ bientôt.
Je viens de m'apercevoir que j'avais oublié de vous remercier... J'e suis désolé pour ce retard de réponse, et donc merci beuacoup pour votre aide.
@ bientôt.
Bon, une fois de plus la même erreur s'est reproduite.
Voici le lien de la critique à remettre dans la biblio de Robin Cook (U.S) svp :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/19891
Merci.
Voici le lien de la critique à remettre dans la biblio de Robin Cook (U.S) svp :
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/19891
Merci.
Ayor, j'ai corrigé.
Merci beaucoup Dirlandaise.
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