Triste nouvelle !
http://tqs.ca/showbiz/nouvelles/…
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pour nous, ça faisait longtemps qu'il etait mort, du moins son image sublime.
il ne restait plus que le mythe qui lui continuera encore.
il ne restait plus que le mythe qui lui continuera encore.
Pour moi, il sera toujours vivant. Il est sûrement resté sublime jusqu'au dernier moment.
C'était un homme magnifique à tous les sens du terme. Il suffisait de regarder ses yeux.
C'était un homme magnifique à tous les sens du terme. Il suffisait de regarder ses yeux.
Le meilleur Newman c'est, ne hurlez pas, le vendeur de vinaigrette, celui qui offrait ses bénéfices aux enfants cancéreux. Celui-là on avait envide de la connaître.
Oui, c'est une triste nouvelle, même si on le voyait plus depuis plusieurs années.
Que de bons films ils nous aura laissé - trop pour tous les citer. Un grand, grand acteur, un des plus grands. Grosse perte pour le cinéma.
'vais me revoir "Luke La Main Froide", pour lui rendre hommage.
'vais me revoir "Luke La Main Froide", pour lui rendre hommage.
pour nous, ça faisait longtemps qu'il etait mort, du moins son image sublime.C'est qui "nous"?? Quel hommage! :(((
Ça doit être un nous majestatif...
Ça doit être un nous majestatif...
:)
je voulais dire par là que nous (le public et non 'nous Prince Jean') ne connaissons pas Paul Newman, nous connaissons le professionel, l'acteur, l'icone, le mythe, donc qu'il soit mort ou non n'a pas d'importance pour nous, à moins de faire un transfert affectif un peu pueril.
en revanche, c'est triste pour ses proches, par la règle générale que la disparition d'un être aimé est toujours douloureuse.
Etre touché par la mort d'un acteur ou d'un auteur se révèlerait être un sentiment puéril ?
En quoi ?
Ça ne révèlerait pas plutôt d'une sorte voyons, comment dire... d'humanité ?
Ça ne révèlerait pas plutôt d'une sorte voyons, comment dire... d'humanité ?
En quoi ?
Ça ne révèlerait pas plutôt d'une sorte voyons, comment dire... d'humanité ?
Bien d'accord avec toi, Cafeine.
Pour diverses raisons qui nous sont personnelles, il y a des acteurs, des écrivains, qui nous accompagnent au cours de notre vie. Comment ne pas éprouver d'émotion à leur disparition ?
je voulais dire par là que nous (le public et non 'nous Prince Jean') ne connaissons pas Paul Newman, nous connaissons le professionel, l'acteur, l'icone, le mythe, donc qu'il soit mort ou non n'a pas d'importance pour nous, à moins de faire un transfert affectif un peu pueril.Drôle de mentalité.
en revanche, c'est triste pour ses proches, par la règle générale que la disparition d'un être aimé est toujours douloureuse.
Passons, je sens la moutarde monter
Etre touché par la mort d'un acteur ou d'un auteur se révèlerait être un sentiment puéril ?Un sentiment – un peu – puéril...
Ben oui ! dans la mesure où nous ne connaissons les acteurs que d'une façon virtuelle. Nous les connaissons dans les rôles qu'ils ont joués et nous les reverrons encore dans ces rôles comme s'ils vivaient toujours.
Évidemment nous sommes tristes de ne plus les voir dans de nouveaux rôles mais si personne ne nous avait dit qu'ils étaient morts il n'y aurait rien de changé pour nous parce qu'en réalité nous ne connaissons d'eux que leur image et rien de plus. Alors on peut dire en toute compassion que c'est – un peu – puéril d'être attristé par la perte d'une image.
Que Paul Newman meurt à l'âge de 83 ans est dans l'ordre des choses, c'est même ce qui nous attend chacun. Il aura pu, au moment de faire le bilan, avoir la satisfaction d'avoir eu une belle carrière, et d'avoir vendu de la vinaigrette pour une bonne oeuvre (si j'ai bien compris).
Prince Jean a raison mais je ne me peux m'empêcher d'éprouver beaucoup de tristesse suite à la disparition de cet acteur au charme ravageur. Je l'avais particulièrement aimé dans le film de Richard Brook "La chatte sur un toit brûlant". Il était beau comme un dieu dans ce film et le rôle du gars tourmenté par les remords et la culpabilité essayant de trouver l'oubli et noyer sa souffrance dans l'alcool lui allait comme un gant.
Tiens j'y pense... Prince Jean, avec ton physique de beau ténébreux, tu pourrais reprendre le flambeau. ;-)
Alors on peut dire en toute compassionTout est là. Mais pas chez tout le monde.
Etre touché par la mort d'un acteur ou d'un auteur se révèlerait être un sentiment puéril ?Un sentiment – un peu – puéril...
Ben oui ! dans la mesure où nous ne connaissons les acteurs que d'une façon virtuelle. Nous les connaissons dans les rôles qu'ils ont joués et nous les reverrons encore dans ces rôles comme s'ils vivaient toujours.
Évidemment nous sommes tristes de ne plus les voir dans de nouveaux rôles mais si personne ne nous avait dit qu'ils étaient morts il n'y aurait rien de changé pour nous parce qu'en réalité nous ne connaissons d'eux que leur image et rien de plus. Alors on peut dire en toute compassion que c'est – un peu – puéril d'être attristé par la perte d'une image.
Un sentiment puéril peut-être, Saint Jean-Baptiste, mais bien autre chose aussi. Je crois qu'il ne s'agit pas de l'acteur lui-même en tant que personne qui peut me toucher autant, parfois, mais l'image sublimée de ce qu'il a, à un moment donné, incarné pour moi. Dans mon cas, ce n'est pas Paul Newman, trop lisse et trop beau à mon goût mais plutôt un gars comme Alan Bates, son côté sombre, énigmatique et tendu. Réminiscences d'adolescence... (hélas...)
C'est bien vu, Maria-Rosa : réminiscence d'adolescente... On pleure un rêve perdu qui avait l'apparence d'une star.
Moi j'ai pleuré à la mort de Clo-Clo... Mais je crois que c'est parce que je me trouvais avec des jeunes employées qui pleuraient toutes.
Et puis je crois me rappeler que j'étais ému pour les Clodettes alors que ces sémillantes jeunes-filles n'étaient pas mortes du tout.
Comme quoi, on ne sait pas toujours très bien pourquoi on pleure mais à quoi bon se retenir de pleurer quand ça vous vient.
Moi j'ai pleuré à la mort de Clo-Clo... Mais je crois que c'est parce que je me trouvais avec des jeunes employées qui pleuraient toutes.
Et puis je crois me rappeler que j'étais ému pour les Clodettes alors que ces sémillantes jeunes-filles n'étaient pas mortes du tout.
Comme quoi, on ne sait pas toujours très bien pourquoi on pleure mais à quoi bon se retenir de pleurer quand ça vous vient.
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