Merci Tistou, l'avis d'un spécialiste est toujours le bien venu, d'autant plus ici, pour nous amateurs de livres, ces questions de papier nous intéressent.
Donc il faut recycler le vieux papier pour en faire du carton. Et donner la priorité au carton sur le plastique.
En général, on devrait essayer de tout récupérer et de tout réemployer. Mais il faut savoir ce qu'on fait : si recycler un produit ne fait pas de dégât, c'est très bien, même s'il coûte plus cher.
Mais si le recyclage provoque une plus grande pollution, on perd son temps, on trompe le monde et on gâche encore plus la planète.
Donc il faut recycler le vieux papier pour en faire du carton. Et donner la priorité au carton sur le plastique.
En général, on devrait essayer de tout récupérer et de tout réemployer. Mais il faut savoir ce qu'on fait : si recycler un produit ne fait pas de dégât, c'est très bien, même s'il coûte plus cher.
Mais si le recyclage provoque une plus grande pollution, on perd son temps, on trompe le monde et on gâche encore plus la planète.
Attention, Guigomas, tu deviens vieux !! ;-)) (c'est pour rire )
C'est qu'avec l'âge on attrape le goût des belles éditions, éditions originales, cousues fil de lin, sur papier alpha, numérotées, couverture plein cuir, etc, etc... Mmmmm... !
Quand on est jeune, on est tout content de trouver des grands auteurs en poche parce que c'est moins cher et plus pratique pour lire dans les trams et les bus...
Mais toutefois, il paraît que quand on devient vieux ( pour de bon ), on s'attache à ses bons vieux poches d'antan...
;-)
C'est qu'avec l'âge on attrape le goût des belles éditions, éditions originales, cousues fil de lin, sur papier alpha, numérotées, couverture plein cuir, etc, etc... Mmmmm... !
Quand on est jeune, on est tout content de trouver des grands auteurs en poche parce que c'est moins cher et plus pratique pour lire dans les trams et les bus...
Mais toutefois, il paraît que quand on devient vieux ( pour de bon ), on s'attache à ses bons vieux poches d'antan...
;-)
Merci pour les liens Mallollo, le sujet est intéressant et il a bien sa place sur notre site bien-aimé.
Je me réjouis d'avoir tes éclaircissements parce que je ne vois pas très bien comment le travail d'édition peut se répartir entre plusieurs éditeurs. A moins que dans des collections par exemple : on pourrait imaginer que plusieurs éditeurs financent une équipe de recherche de documentations, ou des trucs comme ça.
Par contre, pour l'impression répartie entre plusieurs imprimeurs, ça se fait très couramment dans certains cas : par exemple les gros catalogues du Club Med, de la Redoute, des Trois Suisses... Ils sont imprimés en même temps, une partie en France, une partie en Italie, une partie en Belgique ou en Hollande, mais ça n'a rien de commun avec l'impression d'un livre, (même un livre de Dan Brown... ;-))
Si je peux me permettre un souvenir personnel, nous avons fait pendant des années les guides du chemin de fer et les fuseaux de la Sabena avec deux autres imprimeurs ; mais l'un faisait la typo, l'autre l'impression, et le troisième la reliure.
Et quand il y avait une erreur, la bagarre était générale ...pour savoir qui allait payer les dégâts !
Mais ça finissait toujours par se régler par un partage équitable autour d'un bon souper bien arrosé !
Mais entre un imprimeur Européen et un Maghrébin qui ne boit que de l'eau ?? Je me demande comment ça se passerait ! ;-))
Enfin, pour les prix différents suivant les pays, ça ne doit poser aucun problème ; il n'y a pas si longtemps, quand les Belges allaient "sur", non, à Paris, ils s'approvisionnaient en livres parce qu'ils y étaient nettement moins chers.
Donc, quand tu auras bien étudié la question, il y aura encore beaucoup de choses que tu devras nous expliquer... ;-)
Je me réjouis d'avoir tes éclaircissements parce que je ne vois pas très bien comment le travail d'édition peut se répartir entre plusieurs éditeurs. A moins que dans des collections par exemple : on pourrait imaginer que plusieurs éditeurs financent une équipe de recherche de documentations, ou des trucs comme ça.
Par contre, pour l'impression répartie entre plusieurs imprimeurs, ça se fait très couramment dans certains cas : par exemple les gros catalogues du Club Med, de la Redoute, des Trois Suisses... Ils sont imprimés en même temps, une partie en France, une partie en Italie, une partie en Belgique ou en Hollande, mais ça n'a rien de commun avec l'impression d'un livre, (même un livre de Dan Brown... ;-))
Si je peux me permettre un souvenir personnel, nous avons fait pendant des années les guides du chemin de fer et les fuseaux de la Sabena avec deux autres imprimeurs ; mais l'un faisait la typo, l'autre l'impression, et le troisième la reliure.
Et quand il y avait une erreur, la bagarre était générale ...pour savoir qui allait payer les dégâts !
Mais ça finissait toujours par se régler par un partage équitable autour d'un bon souper bien arrosé !
Mais entre un imprimeur Européen et un Maghrébin qui ne boit que de l'eau ?? Je me demande comment ça se passerait ! ;-))
Enfin, pour les prix différents suivant les pays, ça ne doit poser aucun problème ; il n'y a pas si longtemps, quand les Belges allaient "sur", non, à Paris, ils s'approvisionnaient en livres parce qu'ils y étaient nettement moins chers.
Donc, quand tu auras bien étudié la question, il y aura encore beaucoup de choses que tu devras nous expliquer... ;-)
Par contre, pour l'impression répartie entre plusieurs imprimeurs, ça se fait très couramment dans certains cas : par exemple les gros catalogues du Club Med, de la Redoute, des Trois Suisses... Ils sont imprimés en même temps, une partie en France, une partie en Italie, une partie en Belgique ou en Hollande, mais ça n'a rien de commun avec l'impression d'un livre, (même un livre de Dan Brown... ;-))
En fait, il existe aussi de la co-impression, surtout quand des livres sont édités directement en plusieurs langues (le cas de la BD est flagrant: on imprime la partie "quadrichromie" pour toutes les langues ensemble, puis on fait des passages séparés pour le noir - les textes - selon la langue).
Donc, quand tu auras bien étudié la question, il y aura encore beaucoup de choses que tu devras nous expliquer... ;-)
Oh oui... du boulot en perspective!
Attention, Guigomas, tu deviens vieux !!
Ah ! Tu as peut-être mis le doigt sur le problème, SJB !
Le fait est qu'à l'approche des 40 je me sens de plus en plus bêbête à continuer d'enrichir les actionnaires de ma multinationale et à potasser des documents techniques illisibles pour en produire d'autres, mais je n'ai pas encore l'âge respectable où l'on commence à aimer les éditions originales en maroquin, les vieux cigares et le cuir craquelé des fauteuils club.
Je suis tombé récemment sur le blog d'un éditeur, Dominique Autié qui est fort intéressant avec un rien de préciosité qui lui donne un charme certain. Particulièrement le billet suivant :
http://blog-dominique.autie.intexte.net/blogs/…
"Pas de fil? Ce n'est pas un livre", le verdict est sans appel. Depuis, je regarde les livres par la tête et ce nest pas brillant. Presque toujours ce sont des feuillets individuels colllés. Pas de cahier ni de fil.
D'ailleurs, si certains connaissent les termes appropriés pour désigner une reliure, je suis preneur (ex : cousu, broché, dos carré collé, ...)
PS : désolé, j'ai peur que mon lien html qui est un peu long ne rende cette page difficile à lire à jamais...
C'est un très bon lien, Guigomas. J'adore les coups de gueule (naguère sur le site on parlait de diatribes ...le bon français fout le camp !) ;-)
Donc, le coup de gueule ! Quand il est bien tapé, il peut se permettre des exagérations et de la mauvaise foi, c'est la loi du genre !
Parce que les livres cousus au fil de lin coûtent quand même nettement plus cher que les dos collés.
Mais qu'ils se décollent, ça c'est inadmissible ! Les colles sont d'excellente qualité, c'est qu'on les emploie mal. Du reste, il le dit bien : les premiers livres de poche ne se décollaient pas.
J'ai été heureux d'apprendre que les premiers poches sont sortis en 1953 : je m'en souviens très bien, je dois en avoir qui portent cette date là. Ça a été une véritable révolution culturelle ! Ils coûtaient 27 Frs belges (le prix de 6 trajets en tram !).
Il n'empêche ! Lire, par exemple, un livre de la collection : Bibliothèque Historique de Payot Paris, format 8°, cousu fil de lin, véritable papier d'édition, avec de beaux caractères légèrement surlignés, et quand on tombe sur un exemplaire non coupé, alors là... !!
(Je crois que je commence à prendre de l'âge!) ;-)
Donc, le coup de gueule ! Quand il est bien tapé, il peut se permettre des exagérations et de la mauvaise foi, c'est la loi du genre !
Parce que les livres cousus au fil de lin coûtent quand même nettement plus cher que les dos collés.
Mais qu'ils se décollent, ça c'est inadmissible ! Les colles sont d'excellente qualité, c'est qu'on les emploie mal. Du reste, il le dit bien : les premiers livres de poche ne se décollaient pas.
J'ai été heureux d'apprendre que les premiers poches sont sortis en 1953 : je m'en souviens très bien, je dois en avoir qui portent cette date là. Ça a été une véritable révolution culturelle ! Ils coûtaient 27 Frs belges (le prix de 6 trajets en tram !).
Il n'empêche ! Lire, par exemple, un livre de la collection : Bibliothèque Historique de Payot Paris, format 8°, cousu fil de lin, véritable papier d'édition, avec de beaux caractères légèrement surlignés, et quand on tombe sur un exemplaire non coupé, alors là... !!
(Je crois que je commence à prendre de l'âge!) ;-)
Mais, Guigomas, pour en savoir plus, lance donc un appel sur le site. Nous avons parmi nos meilleurs CLiens, une grande spécialiste de la belle reliure !
Ohé, ohé, Sottovoce...
Ohé, ohé, Sottovoce...
Ouf, rien de tel après une petite session d'examens que de se replonger dans son mémoire!
J'avance à petits pas: j'ai bien éclairci le sujet, mais j'ai maintenant une vingtaine de pages - un copié/collé des sites de livres "équitables" - qui m'ont permis de mettre à plat le sujet. Un peu long pour vous en faire part ici, mais pour les intéressés, y'a qu'à demander!
Je suis allée voir (rapidement) le blog de ce M. Autié. C'est un éditeur, alors je lui pardonne... je comprends bien son amour des beaux livres, reliés-lin, etc.
SJB, je te pardonne aussi, à cause de ton grand âge ;-)))
D'ailleurs, je me pardonne aussi d'avoir parfois ces pensées-là. Je suis magnanime en ce moment.
Trêve de finauderie, je voulais simplement réhabiliter l'"édition de classe moyenne", fruit du mariage entre le fil et la colle. Un bon compromis qui allie solidité et prix raisonnable... (j'aime aussi l'idée qu'un livre soit à portée de tous).
J'avance à petits pas: j'ai bien éclairci le sujet, mais j'ai maintenant une vingtaine de pages - un copié/collé des sites de livres "équitables" - qui m'ont permis de mettre à plat le sujet. Un peu long pour vous en faire part ici, mais pour les intéressés, y'a qu'à demander!
Je suis allée voir (rapidement) le blog de ce M. Autié. C'est un éditeur, alors je lui pardonne... je comprends bien son amour des beaux livres, reliés-lin, etc.
SJB, je te pardonne aussi, à cause de ton grand âge ;-)))
D'ailleurs, je me pardonne aussi d'avoir parfois ces pensées-là. Je suis magnanime en ce moment.
Trêve de finauderie, je voulais simplement réhabiliter l'"édition de classe moyenne", fruit du mariage entre le fil et la colle. Un bon compromis qui allie solidité et prix raisonnable... (j'aime aussi l'idée qu'un livre soit à portée de tous).
J'ai été heureux d'apprendre que les premiers poches sont sortis en 1953 : je m'en souviens très bien, je dois en avoir qui portent cette date là. Ça a été une véritable révolution culturelle ! Ils coûtaient 27 Frs belges (le prix de 6 trajets en tram !).
En fait, les livres de poche ont gardé approximativement le même prix en 50 ans (comparé au prix des transports en commun bruxellois, s'entend): 6 trajets de la Stib à l'heure actuelle coutent entre 6 et 9 euros (selon la carte achetée)...
Dixit Mallollo : (9 mai)
Par contre, mon boulot avance quand même pas mal: j'ai fini mon rapport de stage, et je commence à ressortir mon "livre équitable" de ses caisses poussiéreuses (bon, il était temps, je rends mon mémoire dans... 3 semaines.... ; )
Voilà ! je me suis permis un "copier-coller" de Mallollo pour faire remonter ce fuseau (très intéressant).
Alors, qui sait encore quoi sur le livre équitable ?
Vite, vite ! il ne reste plus que trois petites semaines...
;-)
Par contre, mon boulot avance quand même pas mal: j'ai fini mon rapport de stage, et je commence à ressortir mon "livre équitable" de ses caisses poussiéreuses (bon, il était temps, je rends mon mémoire dans... 3 semaines.... ; )
Voilà ! je me suis permis un "copier-coller" de Mallollo pour faire remonter ce fuseau (très intéressant).
Alors, qui sait encore quoi sur le livre équitable ?
Vite, vite ! il ne reste plus que trois petites semaines...
;-)
Dixit Mallollo : (9 mai)
Par contre, mon boulot avance quand même pas mal: j'ai fini mon rapport de stage, et je commence à ressortir mon "livre équitable" de ses caisses poussiéreuses (bon, il était temps, je rends mon mémoire dans... 3 semaines.... ; )
Voilà ! je me suis permis un "copier-coller" de Mallollo pour faire remonter ce fuseau (très intéressant).
Alors, qui sait encore quoi sur le livre équitable ?
Vite, vite ! il ne reste plus que trois petites semaines...
;-)
Merci SJB!!!!
Je trouve que la formule des magasins Oxfam est géniale ! (pour le peu que j'en connaisse).
N'as-tu pas dit Mallollo, que tu étais vendeuse dans un Oxfam ? Alors, tu devrais nous expliquer comment ça fonctionne.
Il tombe à pic, ce forum! En effet, récemment, à Lille, une librairie Oxfam vient d'ouvrir. Et elle vend des livres d'occasion (enfin, je crois). Je fus alors fort surpris : qu'est-ce que Oxfam a à voir avec le livre? Je compte bien y aller et leur poser la question mais jusqu'à maintenant, il était fermé quand je passais devant (pourquoi les librairies n'ouvrent-elles pas jusqu'à minuit?). Mais peut-être que Manolo va m'éclaircir...
Heu, c'est Mallollo, pas Manolo... Sorry!
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