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Merci Shelton, grâce à toi je sais quoi réclamer pour mon anniversaire. J'ai été un lecteur assidu d'(A suivre) durant les dix premières années. Une revue comme celle-ci, ainsi d'autres citées, avaient le mérite de faire connaître des auteurs moins connus que d'autres, ou d'accès plus difficile, qui peut-être n'auraient pas pu trouver leur public sans elles. J'achetais (A suivre) pour lire Pratt et Tardi, et comme il fallait attendre un mois pour avoir la suite, je lisais les autres. Je suis sûr que je n'aurais jamais lu Altan, ni Munoz et Sempayo sans (A suivre). L'arrêt, déjà ancien, de la plupart de ces revues est une perte, à mes yeux. (Ayant pendant quelques années cessé de les lire, il m'arrive de me le reprocher.) Une image encore me tracasse. C'est une toute petite vignette, dessinée par Bourgeon, dans le dernier numéro d'(A suivre), le numéro d'adieu. Elle montre un homme tombé à la mer, depuis le pont d'un de ces superbes bateaux des Passagers du Vent. Cet homme s'appelle Jean-Paul. Je complète tout seul : Mougin. Et cet homme dit : "Quelqu'un m'a poussé !"
Il m'a semblé qu'il y avait là matière à un débat.
Il m'a semblé qu'il y avait là matière à un débat.
Merci de ce renseignement, Feint, j'ignorais cette histoire. A l'époque si je me souviens bien j'avais perdu un peu le fil pour cause de service militaire. Je possède encore de nombreux albums de cette époque, et j'aime m'y replonger.
Une autre anecdote. Comès avait commencé à publier chez un autre éditeur que je ne nommerai pas avant de passer chez A suivre, et ce %{'#@| ~\ rogntudju d'andouille était tellement peu intéressé que Comès a dû recommencer des planches perdues. L'imbécillité peut parfois être criminelle.
Une autre anecdote. Comès avait commencé à publier chez un autre éditeur que je ne nommerai pas avant de passer chez A suivre, et ce %{'#@| ~\ rogntudju d'andouille était tellement peu intéressé que Comès a dû recommencer des planches perdues. L'imbécillité peut parfois être criminelle.
L'imbécillité peut parfois être criminelle.
Elle peut même être imbécile. Si je me souviens bien, c'est dès son arrivée chez Casterman que Comès a commencé à faire un tabac.
Je ne me souvenais pas de cette petite vignette... Mais je vais enquêter...
Quant à Comès, que j'aime beaucoup, comme je l'ai interviewer, il y a quelques années, je vais ressortir la cassette et voir (enfin entendre) si je peux vous la retranscrire avec quelque intérêt...
Quant à Comès, que j'aime beaucoup, comme je l'ai interviewer, il y a quelques années, je vais ressortir la cassette et voir (enfin entendre) si je peux vous la retranscrire avec quelque intérêt...
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