Page 1 de 1
Un petit mot pour t'encourager.
Jules a tout à fait raison, il ne faut grand chose pour écrire une critique.
Personnellement les seuls bagages que je possède sont rangés au-dessus de mon armoire ;)
Et lorsqu'il a fallu que j'écrive ma première critique (L'enfant de la balle de John Irving), j'ai été assailli par le doute. D'abord d'être capable de rédiger dans un français correct mon texte (j'adore les mots mais je n'avais pas une grande maîtrise de la chose écrite), puis surtout être en mesure de présenter un roman en faisant passer le mieux possible les raisons de mon engouement (ou de ma déception) pour celui-ci.
Et c'est vrai que même encore aujourd'hui lorsque j'entreprends la rédaction de ma critique, je me pose toujours la question de savoir ce que j'ai à en dire vraiment. Et puis il y a l'appréhension de passer à coté du sujet, en produisant une critique hors propos.
Au début j'avais peur de paraître ridicule en comparaison de certains critiqueurs (Jules par exemple ;)), et puis petit à petit j'ai pris de l'assurance et aujourd'hui je m'en sort beaucoup mieux. Mais comme je l'ai dit auparavant, mes critiques me demandent beaucoup d'efforts avant de ma satisfaire pleinement.
Quand je relis certaines d'entre elles je constate, en toute modestie, mes progrès (et bien sur ceux qui me restent à faire).
Et surtout ne pas hésiter à lire les autres critiqueurs (avec le temps on repère ceux qui sont intéressants - d'ailleurs j'en profite pour poser une question : où est passé Darius ?), cela apporte beaucoup d'enseignement et de réconfort sur ses propres capacités.
Alors courage, lance-toi.
Jules a tout à fait raison, il ne faut grand chose pour écrire une critique.
Personnellement les seuls bagages que je possède sont rangés au-dessus de mon armoire ;)
Et lorsqu'il a fallu que j'écrive ma première critique (L'enfant de la balle de John Irving), j'ai été assailli par le doute. D'abord d'être capable de rédiger dans un français correct mon texte (j'adore les mots mais je n'avais pas une grande maîtrise de la chose écrite), puis surtout être en mesure de présenter un roman en faisant passer le mieux possible les raisons de mon engouement (ou de ma déception) pour celui-ci.
Et c'est vrai que même encore aujourd'hui lorsque j'entreprends la rédaction de ma critique, je me pose toujours la question de savoir ce que j'ai à en dire vraiment. Et puis il y a l'appréhension de passer à coté du sujet, en produisant une critique hors propos.
Au début j'avais peur de paraître ridicule en comparaison de certains critiqueurs (Jules par exemple ;)), et puis petit à petit j'ai pris de l'assurance et aujourd'hui je m'en sort beaucoup mieux. Mais comme je l'ai dit auparavant, mes critiques me demandent beaucoup d'efforts avant de ma satisfaire pleinement.
Quand je relis certaines d'entre elles je constate, en toute modestie, mes progrès (et bien sur ceux qui me restent à faire).
Et surtout ne pas hésiter à lire les autres critiqueurs (avec le temps on repère ceux qui sont intéressants - d'ailleurs j'en profite pour poser une question : où est passé Darius ?), cela apporte beaucoup d'enseignement et de réconfort sur ses propres capacités.
Alors courage, lance-toi.
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre