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la cité énorme aux splendides villes blanches couvertes de toutes sortes de gens
loin des nations et de la bataille d'hommes je suis rendu au sol
regretter tous les arriérés ou tenir le pas
le paysan sans âge fume
chercher quelquefois cet horrible arbrisseau
la boue des jalousies plein les cheveux j'ai essayé
de nouveaux astres pour les mendiants de la clarté divine
de nouvelles langues
les inconnus de la misère absolument moderne
et Dieu seul dit que le pain d'artiste est aussi brutal que la misère
évocation très sévère
point de cantiques
ah mais si nous sommes engagés vers les triomphes avec devoir et vigueur
recevons la charité et le secours
eh bien j'ai cru acquérir des pouvoirs surnaturels d'inventer
de posséder la vérité
et je n'ai rien
c'est que si je me vengeais je demanderai pardon
mais il faut être un éternel soleil et un corps gagné à la découverte des plages
dispensé de toute morale et mage conteur de corps morts
déjà les sifflements de feu qui seront jugés
je puis dire sans sentiment serait-elle au moins main amie
et je redoute
les grincements de dents
le sang séché
et les amis de la mort
je me revois à l'aurore étendu parmi les mille amours et les aisselles
dans les brumes immobiles s'effacent notre barque et la saison du confort
des vieilles amours mensongères et pas une main amie
est derrière moi le combat spirituel et encore sur ma face l'hiver cependant
mais la vision de la justice réelle
la réalité rugueuse de millions d'âmes là-bas
honte au ciel taché de feu et de boue
que de nouvelles fleurs sous les brises du matin
et où puiser les soupirs empestés
d'une ardente patience élevée est cette goule reine
car au-dessus de moi
l'affreuse
elle ne finira donc point l'heure nouvelle de l'automne
je dois enterrer une belle gloire
à l'automne tous les drames
un grand vaisseau d'or tourne
ses pavillons multicolores qui meurent sur les saisons
parlais-je de coeur oui
moi qui suis ange des vers je puis rire
en joie mon imagination emportée par toutes les fêtes
la victoire m'est acquise pour m'être nourri de plus gros vers
il me sera loisible trempé de pluie
moi la peau rongée dans une âme
nous entrerons tous dans le port parce que c'est un bel avantage
dure nuit agite les influx de mensonge
c'est la veille pour moi
tous mes derniers regrets et mes souvenirs se modèrent
et pourquoi la peste de frapper un
me suis-je enfin trompé
allons soeur de la mort
je vois au ciel les haillons pourris
les souvenirs immondes qui m'ont crucifié sans fin
j'exècre ces couples menteurs
j'ai vu les brigands armés de nouvelles chairs
j'ai créé l'enfer des femmes à étreindre
j'aurais pu y mourir
de tendresse
que le plaisir et l'ivresse damnés détalent
loin des nations et de la bataille d'hommes je suis rendu au sol
regretter tous les arriérés ou tenir le pas
le paysan sans âge fume
chercher quelquefois cet horrible arbrisseau
la boue des jalousies plein les cheveux j'ai essayé
de nouveaux astres pour les mendiants de la clarté divine
de nouvelles langues
les inconnus de la misère absolument moderne
et Dieu seul dit que le pain d'artiste est aussi brutal que la misère
évocation très sévère
point de cantiques
ah mais si nous sommes engagés vers les triomphes avec devoir et vigueur
recevons la charité et le secours
eh bien j'ai cru acquérir des pouvoirs surnaturels d'inventer
de posséder la vérité
et je n'ai rien
c'est que si je me vengeais je demanderai pardon
mais il faut être un éternel soleil et un corps gagné à la découverte des plages
dispensé de toute morale et mage conteur de corps morts
déjà les sifflements de feu qui seront jugés
je puis dire sans sentiment serait-elle au moins main amie
et je redoute
les grincements de dents
le sang séché
et les amis de la mort
je me revois à l'aurore étendu parmi les mille amours et les aisselles
dans les brumes immobiles s'effacent notre barque et la saison du confort
des vieilles amours mensongères et pas une main amie
est derrière moi le combat spirituel et encore sur ma face l'hiver cependant
mais la vision de la justice réelle
la réalité rugueuse de millions d'âmes là-bas
honte au ciel taché de feu et de boue
que de nouvelles fleurs sous les brises du matin
et où puiser les soupirs empestés
d'une ardente patience élevée est cette goule reine
car au-dessus de moi
l'affreuse
elle ne finira donc point l'heure nouvelle de l'automne
je dois enterrer une belle gloire
à l'automne tous les drames
un grand vaisseau d'or tourne
ses pavillons multicolores qui meurent sur les saisons
parlais-je de coeur oui
moi qui suis ange des vers je puis rire
en joie mon imagination emportée par toutes les fêtes
la victoire m'est acquise pour m'être nourri de plus gros vers
il me sera loisible trempé de pluie
moi la peau rongée dans une âme
nous entrerons tous dans le port parce que c'est un bel avantage
dure nuit agite les influx de mensonge
c'est la veille pour moi
tous mes derniers regrets et mes souvenirs se modèrent
et pourquoi la peste de frapper un
me suis-je enfin trompé
allons soeur de la mort
je vois au ciel les haillons pourris
les souvenirs immondes qui m'ont crucifié sans fin
j'exècre ces couples menteurs
j'ai vu les brigands armés de nouvelles chairs
j'ai créé l'enfer des femmes à étreindre
j'aurais pu y mourir
de tendresse
que le plaisir et l'ivresse damnés détalent
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