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Voila mon premier conte, qui n'a aucune prétention. Bonne lecture à tous.
Il était une fois, il y a fort longtemps, une royaume magique perdu dans les terres de la prospérité. La fortune était reine en ce pays et son roi était aimé de tous. Le château dominait la capitale de la belle principauté et chacun ne manquait de rien, le bonheur souriait à tous sans limite.
Mais il vint un jour, un jour où la devineresse du roi crut entendre de sombres songes. Le malheur allait frappé à la porte du royaume et ensevelir toutes les contrées. Le roi était fou de rage, voulant absolument sauver son peuple et il ne savait que faire, face aux puissances divines.
La cour réunie autour du souverain, cherchait des idées pour sauver la patrie perdue et mettre fin à la royale tourmente. Ainsi, un vieil homme se démarqua de la foule de flatteurs. Il raconta un songe ancien, avec une telle ferveur, que l’Antique bâtisse en eut des frissons.
Ce mythe indiquait que seul un prince pouvait sauver le royaume des ténèbres. Il devait se rendre dans la Grande forêt afin de terrasser le sorcier des Ombres et de retirer de ses entrailles l’anneau protecteur du courroux auguste.
Les regards se portèrent alors, sur un jeune homme plein de vie et de grâce. Il s’avança alors au milieu de la salle du trône, s’agenouilla devant le magnifique siège orné de milles gravures et ornements somptueux où le roi se campait et s’adressa au monarque : « Père laissez moi accomplir ce dessein, mon destin, pour servir mon royaume car si les ages ont accru votre auguste sagesse c’est bien aux dépends de votre jeunesse. ».
Le vieux roi aquiesca devant ces paroles pleines d’esprit mais sa peur de perdre son fils unique et la fin de sa dynastie millénaire le hantait. Le bonheur du peuple et la sauvegarde du royaume étaient ses priorités pour le moment et il n’y avait aucune autre solution.
Il partit d’un bon matin, faisant ses adieux au peuple, à son père et à sa fiancée. Le prince, intrépide, traversa de nombreux territoires inconnus à grande allure sur son fier et blanc destrier. Il affronta milles dangers plus improbables et terrifiants les uns des autres : nains du chaos, ogres et monstres légendaires à souhaits. Chaque étape renforçait le prince dans sa juste quête et le temps était son plus grand adversaire.
Après plusieurs longs mois d’épreuves titanesques réussies, il avait afin atteint la forêt magique où le sorcier habitait. Il s’enfonça, seul, à pied, dans ce lieu lugubre armé de son épée Majesté. Le prince, malgré son grand courage, demeurait terrifié par cette forêt noire. Il pensait à sa belle fiancée, à son peuple et à son père qui avaient mis leurs destinées entre ses mains.
De loin, il aperçut alors l’étrange personnage et courut dans sa direction avec frénésie. Le sorcier se retourna vers l’être noble, leurs cœurs se contemplèrent d’égal à égal et leurs âmes s’émeuvent l’une de l’autre. Ils se marièrent, vécurent heureux seuls dans la forêt et adoptèrent de nombreux enfants.
Il était une fois, il y a fort longtemps, une royaume magique perdu dans les terres de la prospérité. La fortune était reine en ce pays et son roi était aimé de tous. Le château dominait la capitale de la belle principauté et chacun ne manquait de rien, le bonheur souriait à tous sans limite.
Mais il vint un jour, un jour où la devineresse du roi crut entendre de sombres songes. Le malheur allait frappé à la porte du royaume et ensevelir toutes les contrées. Le roi était fou de rage, voulant absolument sauver son peuple et il ne savait que faire, face aux puissances divines.
La cour réunie autour du souverain, cherchait des idées pour sauver la patrie perdue et mettre fin à la royale tourmente. Ainsi, un vieil homme se démarqua de la foule de flatteurs. Il raconta un songe ancien, avec une telle ferveur, que l’Antique bâtisse en eut des frissons.
Ce mythe indiquait que seul un prince pouvait sauver le royaume des ténèbres. Il devait se rendre dans la Grande forêt afin de terrasser le sorcier des Ombres et de retirer de ses entrailles l’anneau protecteur du courroux auguste.
Les regards se portèrent alors, sur un jeune homme plein de vie et de grâce. Il s’avança alors au milieu de la salle du trône, s’agenouilla devant le magnifique siège orné de milles gravures et ornements somptueux où le roi se campait et s’adressa au monarque : « Père laissez moi accomplir ce dessein, mon destin, pour servir mon royaume car si les ages ont accru votre auguste sagesse c’est bien aux dépends de votre jeunesse. ».
Le vieux roi aquiesca devant ces paroles pleines d’esprit mais sa peur de perdre son fils unique et la fin de sa dynastie millénaire le hantait. Le bonheur du peuple et la sauvegarde du royaume étaient ses priorités pour le moment et il n’y avait aucune autre solution.
Il partit d’un bon matin, faisant ses adieux au peuple, à son père et à sa fiancée. Le prince, intrépide, traversa de nombreux territoires inconnus à grande allure sur son fier et blanc destrier. Il affronta milles dangers plus improbables et terrifiants les uns des autres : nains du chaos, ogres et monstres légendaires à souhaits. Chaque étape renforçait le prince dans sa juste quête et le temps était son plus grand adversaire.
Après plusieurs longs mois d’épreuves titanesques réussies, il avait afin atteint la forêt magique où le sorcier habitait. Il s’enfonça, seul, à pied, dans ce lieu lugubre armé de son épée Majesté. Le prince, malgré son grand courage, demeurait terrifié par cette forêt noire. Il pensait à sa belle fiancée, à son peuple et à son père qui avaient mis leurs destinées entre ses mains.
De loin, il aperçut alors l’étrange personnage et courut dans sa direction avec frénésie. Le sorcier se retourna vers l’être noble, leurs cœurs se contemplèrent d’égal à égal et leurs âmes s’émeuvent l’une de l’autre. Ils se marièrent, vécurent heureux seuls dans la forêt et adoptèrent de nombreux enfants.
Quelques fautes d'ortho et une de grammaire qui m'a sauté au yeux : à la fin : je pense qu'il faut "s'émurent" et non "s'émeuvent".
A part ça, j'ai trouvé ça un peu... spécial, comment dire, la forme, cette écriture très stricte, très carrée, un peu vieillotte. ça se marie un peu avec ton conte mais tout de même, c'est un peu lourd comme formulation.
Pas trop accrochée sur la forme donc...
Et pour le fond... Comment dire, je pense que comme je n'accorche pas au style ça ne m'aide pas à aimer ce que tu racontes. Mais tout de même, je me demandais comment tu allais pouvoir finir ton texte, au fur et à mesure que la dernière ligne se rapprochait... Je n'imaginais pas aller aussi loin dans l'absurde après ce type d'écrit très classique, ça donne un certain effet, un contraste intéressant et assez drôle. Mais ça fait un peu "cheveu sur la soupe" cette conclusion, même s'il fallait l'imaginée et qu'elle est originale, ça choque quand même un peu trop avec ce qu'il y a avant, le récit d'action, de comportement qui ont tout du conte caricaturalement vieillot...
Bref, désolée mais je n'ai pas trop aimé. Je pense que tu trouveras d'autres personnes pour avoir un avis différent du mien.
A part ça, j'ai trouvé ça un peu... spécial, comment dire, la forme, cette écriture très stricte, très carrée, un peu vieillotte. ça se marie un peu avec ton conte mais tout de même, c'est un peu lourd comme formulation.
Pas trop accrochée sur la forme donc...
Et pour le fond... Comment dire, je pense que comme je n'accorche pas au style ça ne m'aide pas à aimer ce que tu racontes. Mais tout de même, je me demandais comment tu allais pouvoir finir ton texte, au fur et à mesure que la dernière ligne se rapprochait... Je n'imaginais pas aller aussi loin dans l'absurde après ce type d'écrit très classique, ça donne un certain effet, un contraste intéressant et assez drôle. Mais ça fait un peu "cheveu sur la soupe" cette conclusion, même s'il fallait l'imaginée et qu'elle est originale, ça choque quand même un peu trop avec ce qu'il y a avant, le récit d'action, de comportement qui ont tout du conte caricaturalement vieillot...
Bref, désolée mais je n'ai pas trop aimé. Je pense que tu trouveras d'autres personnes pour avoir un avis différent du mien.
Idem que remarque de Kicilou pour l'ortho et "ils s'émeuvent", ça fait mal aux yeux :)
Que dire... C'est très gentil, très simple, raconté dans le ton idéal pour un conte et puis il y a cette fin. Que l'on peut prendre comme un formidable clin d'oeil au second degré, comme de l'humour bien placé. Oui, sûrement que oui, mais pourquoi je n'ai même pas souri? En fait, j'ai trouvé que ça tombait un peu trop vite et trop plat, comme ça. Tu induis un rythme de croisière à ton texte et puis blam, tu nous balances la fin et voilà, ça sonne creux.
Que dire... C'est très gentil, très simple, raconté dans le ton idéal pour un conte et puis il y a cette fin. Que l'on peut prendre comme un formidable clin d'oeil au second degré, comme de l'humour bien placé. Oui, sûrement que oui, mais pourquoi je n'ai même pas souri? En fait, j'ai trouvé que ça tombait un peu trop vite et trop plat, comme ça. Tu induis un rythme de croisière à ton texte et puis blam, tu nous balances la fin et voilà, ça sonne creux.
;-))))))) C'est vrai que ce n'est pas trop bien écrit, mais je pense que c'est plutôt un clin d'oeil de "La journée contre l'homophobie", non?
(Si je me trompe, j'ai méchamment gaffé...)
;-)))))))
(Si je me trompe, j'ai méchamment gaffé...)
;-)))))))
;0)
Sympa oui, peut-être revoir la forme, garder l'idée, revoir l'alentour, et ça ira comme sur des roulettes :0)
Sympa oui, peut-être revoir la forme, garder l'idée, revoir l'alentour, et ça ira comme sur des roulettes :0)
Ca commence à mon avis par une petite maladresse:
J'ai vu que d'autres textes de toi figuraient au catalogue, vais aller voir.
La fortune était reine en ce pays et son roi était aimé de tousmais la suite est bien, très bien même. J'ai lu ça comme un conte pour enfants puisque tu le demandais et j'ai pouffé au dernier paragraphe. Tellement inattendu, l'effet est réussi. Abrupt la fin, c'est vrai, mais je crois qu'il fallait ça pour être sûr de l'effet de surprise.
J'ai vu que d'autres textes de toi figuraient au catalogue, vais aller voir.
euh, étrange
un peu expédié non? un conte est plus détaillé, plus dans l'action et dans la description aussi
le ton faisait moyennageux, c'était limite comique
cependant, je ne sais pas ce que tu visais au juste, si c'est un exercice de style a prendre en derisoire pourquoi pas
un peu expédié non? un conte est plus détaillé, plus dans l'action et dans la description aussi
le ton faisait moyennageux, c'était limite comique
cependant, je ne sais pas ce que tu visais au juste, si c'est un exercice de style a prendre en derisoire pourquoi pas
Merci pour vos commentaires. Je vais essayer d'arranger dans le bon sens. Peut etre que décrire le voyage du prince et ou la légende du sorcier aiderait a faire entrer le lecteur dans l'univers. Je vais tenter de retravailler un peu le style, qui est pas terrible ici lol. Mais bon je ne crois pas que ce soit bien de faire plus de grosses descriptions, car dans les contes il n' y en a pas trop en général.
Merci pour vos commentaires. Je vais essayer d'arranger dans le bon sens. Peut etre que décrire le voyage du prince et ou la légende du sorcier aiderait a faire entrer le lecteur dans l'univers. Je vais tenter de retravailler un peu le style, qui est pas terrible ici lol. Mais bon je ne crois pas que ce soit bien de faire plus de grosses descriptions, car dans les contes il n' y en a pas trop en général.
Tu abordes là quelque chose d'assez difficile.
Les contes, à la base, sont créés oralement. Ils sont "contés" et non écrits. Après être contés, re-contés, et avoir subi mille transformations, il y a des écrivains qui les mettent sur papier: ils font de belles phrases et utilisent des racourcis à la place des descriptions, des adjectifs à la place des explications.
Oui dans un conte, conté par un conteur, il y a de belles longues descriptions. Parce que le conteur est là pour donner des images.
Inventer un conte écrit n'est donc sans doute pas évident...
Me laisse songeur.
Question écriture, de nombreuses maladresses qui heurtent la lecture :
"chacun ne manquait de rien" plutôt personne non?
"de sombres songes" à haute voix c'est dur !
Problème de concordance de temps. : "leurs coeurs se contemplèrent ... l'une de l'autre."
Et donc, me laisse songeur. Je ne sais trop comment considérer cela.
Question écriture, de nombreuses maladresses qui heurtent la lecture :
"chacun ne manquait de rien" plutôt personne non?
"de sombres songes" à haute voix c'est dur !
Problème de concordance de temps. : "leurs coeurs se contemplèrent ... l'une de l'autre."
Et donc, me laisse songeur. Je ne sais trop comment considérer cela.
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