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j'aurais été un chat. J’aurais été tout comme les autres chats, j'aurais été un chat qui se laisse chatouiller, ou un méchant chat qui chasse. Un chat normal quoi. Ni puce ni moins. Avant quand j'éteignais la télé, c'était comme quand je tirais la chasse. Je ne la regarde plus. Ca me donnait la chiasse. Et quelle soit cachée par cacharel, givenchy ou chanel, cha chens pas bon, même pour un chat. Pour un chien non plus d’ailleurs. Mais les hommes sont parfois plus bêtes que des bêtes, et ils ont certainement moins bon odorat. Mais parfois, c’est bien de ne pas avoir d’ odorat. Ils font dodo les rats des villes. Maintenant je me dis que c’est surement bien de dormir confortablement, dans un bon lit douillet, comme un pacha. Moi j’étais trop réveillé, je supportais pas l’odeur, j’y peux rien. Je faisais du bruit, et dans mon dortoir, ils m’ont dit de sortir. A présent même les chats de gouttière sont mieux nourris que moi, je suis fauché, je suis clochard, et finalement je préférais les chanteurs du samedi soir à la télé aux cris des gueushs en manque. L’usine à sommeil machinal produit du marginal…
Bof...
j'aime bien le début, mais là encore désolée, je capte pas la fin
je ne sais pas où tu nous mènes
c'est dommage c'était bien parti
je ne sais pas où tu nous mènes
c'est dommage c'était bien parti
Je suis restée en dehors. Pas retrouvé dans ton texte l'âme de mon chat, que ce soit la vraie ou la symbolique.
CQFD, juste un apparté "hors sujet" (pour la critique) mais pas HS pour le sujet... un copié-collé d'un truc pris sur un blog... et qui m'a bien faire rire !!! ;-DDD
Extraits du journal intime du chien
Jour n° 180
08h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
Jour n° 181 (Voir jour n° 180)
Jour n° 182 (Voir jour n° 181)
Jour n° 183 (Voir jour n° 182)
Extraits du journal intime du chat
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble.
Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm...
Ça ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur
sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing".
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière".
Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant".
Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps...
Extraits du journal intime du chien
Jour n° 180
08h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette, une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette, une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette, la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette, les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette, de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
17h30 : Chouette, papa et maman ! Ce que je préfère !
Jour n° 181 (Voir jour n° 180)
Jour n° 182 (Voir jour n° 181)
Jour n° 183 (Voir jour n° 182)
Extraits du journal intime du chat
Jour n° 152 :
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d'une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu'ils me forcent à manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m'aide à tenir le coup est l'espoir d'une évasion, et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d'un meuble.
Demain, je mangerai peut-être une autre plante d'appartement.
Jour n° 161 :
Aujourd'hui, ma tentative d'assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu'ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j'essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l'espoir d'induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs, je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165 :
J'ai décapité une souris et leur ai apporté le corps, afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable, et pour frapper leurs coeurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes, me disant à quel point j'étais un bon petit chat. Hmmm...
Ça ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168 :
J'ai enfin réalisé jusqu'à quel point allait leur
sadisme. Sans aucune raison, j'ai été choisi pour le supplice de l'eau. Cette fois, de plus, il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée "shampooing".
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171 :
Aujourd'hui s'est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J'ai été placé à l'isolement pendant l'événement. Cependant, j'ai pu entendre le bruit et humer l'odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu'ils appellent "bière".
Plus important, j'ai réussi à obtenir l'information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir "allergisant".
Il va falloir que j'apprenne de quoi il s'agit pour que je puisse l'utiliser à mon avantage.
Jour n° 174 :
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu'heureux de revenir. C'est visiblement un attardé mental.
D'un autre côté, l'oiseau doit être un informateur puisqu'il leur parle constamment. Je suis certain qu'il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu'il restera dans cette pièce de métal, sa sécurité est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n'est qu'une question de temps...
Bof...
Tu t'encourages, c'est fou ! ;-)
J'ai aimé, un peu...
Je pense que tu t'es imposer des contraintes, du moins au début : répéter le son "ch" un maximum de fois?
J'ai eu du mal à tout saisir, à te suivre dans les ménadres de tes phrases. Par contre, je me suis trouvée une interprétation pour la fin, je ne sais pas si c'est la bonne... C'est original et assez intéressant mais je ne suis pas très embalée... Désolée.
Pas emballé non plus... ça fait un peu trop recherche d'originalité à tout prix. Ca ne fait pas mouche à mon avis. Et la dernière phrase fait aussi un peu trop aphorisme forcé, je le vois comme ça.
En revanche j'ai aimé les carnets intimes du chien et du chat...
En revanche j'ai aimé les carnets intimes du chien et du chat...
trop aime le journal du chat!!!
excellent
on pourrait partir la dessus pour le prochain appel a texte
excellent
on pourrait partir la dessus pour le prochain appel a texte
pour les journaux intimes, je ne connais pas son auteur, c'est un ami qui me l'a envoyé par mail en me disant qu'il l'avait trouvé sur un blog ! ;-D
dommage, j'aurais bien aimé savoir qui l'avait écrit...
dommage, j'aurais bien aimé savoir qui l'avait écrit...
Chouette aussi, le journal du chien. Dommage qu'on ne connaisse pas l'auteur de ce blog. Il aurait sa place ici. ;-))
Ce journal intime d'un chien (comme celui du chat) se retrouve un peu partout sur le net, dans les sites spécialisés en blagues et en humour.
Il suffit d'aller sur Google, de taper la première phrase et vous aurez les liens.
Reste maintenant à savoir si il s'agit d'un vrai blog ou d'un texte rempli d'humour monté de toutes pièces pour faire sourire.
Il suffit d'aller sur Google, de taper la première phrase et vous aurez les liens.
Reste maintenant à savoir si il s'agit d'un vrai blog ou d'un texte rempli d'humour monté de toutes pièces pour faire sourire.
L'idée est intéressante. Je ne trouve pas que le texte coule très bien, peut-être un peu forcé pour les asonances et les répétitions. En retravaillant ça peut devenir pas mal du tout.
Bizarre. Difficile à comprendre. Foi de Tistou, difficile à comprendre. A la fois de l'humour et une fin plutôt grave. Ca m'a paru déséquilibré, bancal. Et j'y reviens, difficile à comprendre.
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