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N.kkey 09/05/2005 @ 12:22:53
Bonjour,

voici une petite nouvelle que j'ai ecris pour un concours litteraire. J'aimerai avoir votre avis dessus.
C'est un texte particulier avec une fin très "spéciale"...enfin, c'est à vous de juger.

Un monde réel : Utopia




Monde magique et féerique. Mystique. Une planète du nom d’Utopia située dans un univers étrange semblant en dehors de toute chose. Première lignes d’introduction donnant la donne.
Diverses périodes virent vibrer les Terres sacrées du Dieu Shâ : L’Utopie, monde de philosophes. Aqua, le monde des eaux. S’epoïe, monde des rêves et des songes. Trois périodes. Trois modes de vies et de pensées…des avènements qui marquèrent profondément la planète et le cœur des Hommes. Descriptions chronologiques succinctes…premières gorgées de café.
Monde technologique et cybernétique, divisé en plusieurs pays semblant s’articuler autour des Monts Drak’s : à l’Est, le pays de Dakkon ; dans le prolongement Ouest, les Monts Cyls des terribles Cloners, entrecoupé par le désert de Boré ; au sud, les pays doux et paisibles de Saîan et de Insis. Un monde étrange et très différent de la Terre…une autre planète possédant de la vie ?! Cela semble impossible, pourtant…


Les murs froids de la cité de Cloners, décor sombre et obscur des Terres sacrées d’Utopia. Parcelle machiavélique que l’on retrouve même dans le monde le plus féerique.
Dans les geôles de la cité unique et autarcique, incrustée dans les Monts sédimentaires Cyls, un homme vient de se faire interner : « Cet homme est accusé de vagabondage, vols et séjour illégal dans notre cité. N’ayant aucun papier pour justifier du pays/royaume auquel il appartient et fabulant sur des origines mystiques, il sera interné dans nos geôles psychiatriques. Un médecin viendra cette après midi pour déterminer son état de démence. »

Un médecin du CTRC fut délégué pour étudier le cas de cet homme étrange. Cela était rare – voir inapproprié – que quelqu’un de ce secteur s’intéresse à un cas aussi banal. Pourtant, les Cloners n’était pas du genre à faire les choses par hasard. Cela cachait quelque chose…Un dessein bien mystérieux.
« Monsieur ? »
Il prit un siège en face de lui.
L’homme possédait un regard vide. Apparemment, de nombreuses épreuves l’avaient marqué. « Monsieur ? Quel est votre nom ?…bien…On vous appellera Servant . Quel est votre pays d’origine ? Vous ne savez pas !…je note…Maintenant, racontez-moi la raison pour laquelle vous êtes arrivé à Cloners. Je vous écoute. »


Je suis arrivé au pays de Dakkon, dans l’Est de la planète d’Utopia, il y a de ça un mois. C’est un royaume des plus étranges, compte tenu du magnétisme qui règne là bas, empêchant toutes formes de technologie récente de fonctionner.
« …Un étranger ! Encore un, tu vas me dire, mais celui-là est particulier. »
-« Ils sont tous, particulier ! Et dans notre pays, cela devient de plus en plus courant. »
-« Peut-être, mais celui-là est bizarre. Tant dans sa tenue vestimentaire que dans son comportement. »
-« C’est vrai, tu as raison… »
Le deuxième homme – une personne d’un âge mur – joua du coude au premier :
« Regarde ! Il vient nous voir. »
Servant, difficile de description pour la plupart des habitants, venait à la rencontre des deux hommes attablés dehors :
« Excusez-moi, messieurs. »
-« Oui ? »
-« Je…je voudrais que vous m’aidiez à retrouver mon chemin. Je recherche ma ville, mon pays, désespérément. »
-« On ne peut vous aider, désolé. Par contre, je sais qu’un commerçant part dans le sud de la planète…vers Insis si je ne trompe pas. Vous devriez aller lui demander. Tenez, voici l’endroit où vous pourrez aller le voir. », fit-il en lui tendant une carte.
-« Merci… »
L’individu, suite à ce conseil, alla rejoindre le commerçant.
« Il semblait très nerveux. »
-« Oui, il avait l’air plus bizarre vu de près. »

Après quelque négociation difficile, je réussis à convaincre le commerçant qu’on m’avait indiqué, de me conduire vers des autorités compétentes pour mon cas…particulier.
« Vous savez, moi je suis content de ne pas être seul ! Car, c’est loin Insis d’ici ! Même avec mon speeder. D’ailleurs une belle mécanique ! Il peut s’adapter en fonction du terrain. On va traverser des déserts, mais également des forêts tropicales…cela ne sera pas de tout repos. C’est plutôt à moi de vous remerciez ! De plus, vous pourrez m’aider en cas de panne. »
-« Je vous remercie de votre aide. »
-« Ce n’est rien. Les Insis savent tout ! Ils possèdent une grande connaissance des mystères de notre planète. Ils pourront vous être utiles pour vous ramener chez vous. »
-« On m’avait dit que c’était les Saîans, les plus instruits… »
-« Les Saîans ? Des gens paisibles et très discrets. Mis à part ça, je me demande ce qu’ils peuvent connaître ! Ah ah ! »
Les préparatifs terminés, ils se mirent en route. Le paysage était particulier pour cet étranger venu de loin. De grandes montagnes se succédant pour laisser place aux canyons impressionnants des Monts Cyls. Un désert tant géographique que humain.
« Ici, les Cloners sont les maîtres. Ce sont des gens peu sociables. Ils sont autarciques et méfiants. Peu de gens les aime. »
-« Pourquoi devons-nous passer par là ? »
-« On n’a pas le choix. Les routes sont plus sûres et mieux tracées par cet itinéraire. Vous ne voyagez pas souvent, vous. »
-« …Surtout aussi loin. »
Le speeder, un biplace avec remorque, possédait une forme particulière : surdimensionné par endroit, de forme décimétrique, ne pouvait être comparé. Mais il était confortable et, effectivement, adapté au moindre relief qu’Utopia offrait.
« Les anciennes mers qui coulaient ici, autrefois, ont marqué profondément le décor. Comme vous pouvez le savoir, la bataille de la création qui opposait les Divinités contre le Conteur a tout dévasté. Le paysage souffre encore des terribles guerres sous-marines qui avaient eu lieu, ici. Les Cloners ont su résister à l’avènement de l’Impératrice Lysi S’epoïe qui commande tous les pays de la planète, mais certains pensent qu’ils complotent encore pour obtenir le pouvoir absolu sur les royaumes. Comment ? Les jeunes royaumes ? Allons bon ! Vous savez quand même que chaque pays forme un royaume sous la tutelle de l’Impératrice, même si chacun possède une gestion libre de son économie et de sa politique. Mais la cour des miracles veille au grain. Sans compter Sieñdella. Quoi ?! Vous ne la connaissez pas ! Oulà, vous débarquer vraiment…Vous venez d’où ? Enfin, je vais vous répondre : Sieñdella est une héroïne pour tous les habitants de Dakkon et de Boré. Elle parcourt la planète dans un but obscur, mais bienfaisant. Elle apporte bonheur à tous et sauve le monde…un véritable héros. Personne ne connaît ses intentions, mais la fille au masque de porcelaine sait mener la danse.
Certaines mauvaise langues affirment même que Séalda serait jalouse de tout ce qu’elle apporte. Véridique ! Comme si la gardienne des rêves et de la cour des miracles pouvait être jalouse…elle a assez de boulot comme ça ! Enfin, vous savez ce que c’est : Les petites histoires font vivre les petites gens. »
Un étrange charabia, bien plus obscur que l’histoire du héros au masque de porcelaine…
Tout se déroulait parfaitement, malgré les tornades de sables de plus en plus violentes à l’approche de Boré et de son désert. « Il faut se méfier des trous creusés par les divers animaux du Canyon…cela peut être très dangereux, mais heureusement, ils creusent de façon régulière et avec mon Cogito cela suffit pour les éviter tous…ou presque. »
Une violente secousse fit trembler l’engin, le renversant. « Merde ! », s’en suivit une série de tonneaux terribles, qui les emporta sur plusieurs mètres dans un chaos mécanique.
« Vous…vous allez bien ? Monsieur ? Monsieur ? », le commerçant fut tué sur le coup. Moi, je m’étais arraché une partie de la peau de mon bras gauche, mais fort heureusement, plus une égratignure qu’autre chose.
Qui plus est, l’engin était hors d’usage. Je devais trouver une solution rapide, pour ne pas me faire ensevelir sous les tempêtes de sable. Je du continuer à pied, dans les déserts poussiéreux et venteux. Un long périple qui me conduisit…


Les forêts tropicales. La chaleur enivrante et paradisiaque de la région de Insis/Saîan. Une végétation luxuriante où de nombreux animaux étranges à plumes se côtoient. La technologie était fort usitée à Insis, le pays de la déesse de l’amour et du sacrifice : Angelika Jîi’s. Le pays – ou plutôt l’ethnie - de Saîan, en revanche, était dépourvu de technologie. Préférant utiliser les ressources naturelles abondantes dans leurs régions. Je du la traverser avant de rejoindre Insis.
J’avais eut de la chance, dans mon malheur : Un véhicule était passé dans les grandes étendues de Boré. Mon sauveur accepta aisément de m’aider, contre tous mes objets de valeurs…

« Es’tuï ! Une personne fort étrange vient d’arriver. »
-« Cela vous inquiète t-il à ce point ? », Il s’avança à une fenêtre pour observer l’homme en question, « Effectivement, cette personne semble étrange. Que savez-vous de lui ? »
-« Il est venu avec un commerçant, du pays de Dakkon. Mais, ils ont subi un accident dans le désert de Boré. De plus, le vagabond semble provenir d’un endroit en dehors des jeunes royaumes. », répondit le secrétaire avec précision.
-« Hum…je vais consulter “les yeux de l’impératrice” pour en savoir plus… »
Les habitants de l’ethnie possédaient un mode de vie particulier. Ils semblaient en dehors de toutes choses…en dehors du temps…
« Excusez-moi ?… »
-« Vieil homme… »
-« Pardon ? »
-« Appelez-moi, vieil homme. »
-« Excusez-moi…vieil homme. Je désirais savoir, si… »
-« Vous voulez savoir ? Moi aussi. Vous m’appelez, vieil homme, mais j’ai du vous forcer à m’appeler ainsi. Peut-être devriez-vous chercher en ce sens. Connaître le sens des convenances, semble inné pour chaque personne du monde. Réel ou non, réfléchissez. »
-« Mais… », l’homme coupa court à la conversation, continuant son chemin, sourd à toutes demandes.

Je continua mon périple dans les forêts de Insis. La ville forêt, devrais-je dire. Ce pays est une énorme ville dissimulée dans les arbres, qui s’étend sur plusieurs kilomètres de superficie. Un mode de vie écologique, en harmonie avec la nature…un peu trop…
Des bruissements d’ailes. Des cris d’animaux, de petites et grandes tailles. Des rues piétonnes, où de nombreux commerces côtoient la faune la plus sauvage.
Un groupe – sans doute religieux – se promenait dans les rues “végétales”, quand ils vinrent à la hauteur de Servant. Une femme, aux traits fins et subtils, s’adressa au nom du groupe :
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »
-« On peut vous aider, oui. Nous sommes des fidèles de Jîi’s, et aider les personnes en détresse fait partie de nos fonctions. Vous désirez retrouver votre pays, rien de plus simple ! Venez chez nous, nous aidons à trouver la voie pour toutes les âmes perdues. Vous trouverez, au sein de notre temple, un monde, une communauté qui sera votre demeure. Votre nouvelle demeure. Vous aurez, ainsi, trouvé votre pays que vous rechercher tant… »
-« Je…je me dois de décliner votre offre…je dois y aller. »
-« Comme vous voulez ! Que la déesse Jîi’s vous protége ! »
Le vagabond s’éloigna d’un pas rapide, cherchant de l’aide d’instances plus…compétentes. Mais…
Une grande ville peut sembler un véritable labyrinthe pour toutes personnes débarquant la première fois. Une forêt peut déstabiliser n’importe qui non équipé de matériel adéquat, ou d’une connaissance approfondie de la région. Mais le tout mélangé,…
Attaques d’animaux sauvages. Piqûres d’insectes. Chutes nombreuses et variées, aussi spectaculaires que ridicules. Le tout corsé par de nombreuses rencontres aussi incohérentes, qu’éprouvantes :
« Mon commerce ne possède pas de cartes d’Utopia. Et votre ville, ne me dit vraiment rien. »
Ou encore…
« Nos services sont destinés en priorité aux habitants de Insis. Pour tout ce qui est, étrangers ou touristes, vous devez vous adresser aux divers syndicats. Comment cela fonctionne ? C’est simple, tout est classé en fonction de l’age, le sexe, la catégorie sociale. Selon votre cas, vous devriez vous adresser au bureau qui se trouve à une cinquante de kilomètres d’ici. Pour vous y rendre, vous devez suivre la grande forêt du combat éternel, suivre les grands ponts du sacrifice, en passant près des temples…puis suivre les labyrinthes… », un véritable casse tête.
Résultat : Une cheville cassée et de nombreux bleus. Mais ce n’était rien, comparativement à ce qui m’attendait.

La chaleur douce et apaisante du sud d’Utopia, se transformait en un véritable brasier. Une température éprouvante. Mes blessures me faisaient atrocement mal. Je devais m’appuyer sur une branche branlante arrachée sur un arbre fragile. N’ayant aucun moyen pour en couper une robuste. Mes vêtements étaient déchirés – voir en lambeaux. Je continuais mon périple malgré tout. Je n’avais aucune autre solution.


Une ville, dont les lueurs scintillaient étrangement dans la pénombre de la nuit, apparut : la capitale de Boré, Bordneïre. Une vie permanente semblait faire vibrer celle-ci de toute part, en contraste avec le désert qui l’entourait.
La ville de la fête éternelle ne cessait d’impressionner les nombreux voyageurs qui y affluaient régulièrement.
La nuit était tombée. Les rues s’animaient de diverses fêtes foraines et autres bals. Notre homme se sentait perdu dans cette immensité festive, se laissant guider uniquement par son instinct, faute de mieux. Sans compter, la souffrance de ses blessures – bien plus que physique – mais mentales.

« Eh toi ! », fit un homme dissimulé dans les pénombres d’une rue parallèle.
-« Oui… ? »
-« Que fais-tu dans les bas quartiers de la ville, seul ?
Alors ? Tu ne réponds pas ? Tu es sourd ? Je vais venir t’expliquer… »
Un homme grossier, tant dans son comportement que dans sa tenue vestimentaire, sortit des ténèbres.
« Alors ?! Que fais-tu dans nos quartiers ? Que fais un commerçant ici ? »
-« Qu’ais-je fais de mal ? »
-« De quoi ? Tu te fou de moi, c’est ça ? Tu as un double permis pour travailler le soir et la journée ? Je ne pense que tu as les moyens, vu ta dégaine. »
-« Je ne comprends pas ! Je ne travaille pas à la fête, et… »
-«…Tu avoues en plus ! », Il s’approcha très près de notre ami, « Tu n’as pas de permis pour travailler ici le soir, donc tu es un commerçant, n’est-ce pas ? »
-« Je ne suis pas un commerçant, je viens juste d’arriver à Bordneïre ! », répondit-il d’un ton mi-craintif, mi-agacé.
-« Ah ouais ? Tu veux me faire croire que tu n’es pas de Boré avec des vêtements bizarres comme cela ? Que me caches-tu ? »
-« Rien que vous ne puissez comprendre ! »
-« Quoi ?! Tu oses lever la voix ?! Tu me caches quelque chose ? Un secret, peut-être…ehehe…Saches qu’ici, je régule les travailleurs qui essayent d’arnaquer le système et que… »

Monsieur ? Monsieur Servant ?! …Vous êtes pâle ! Garde ! Garde ! Il est en train de faire une crise de nerf !
Servant essayez de vous calmer ! Voilà…continuer votre récit…

-Je réussis à échapper par miracle à cet énergumène, à travers les diverses attractions foraines. Mais, avec une cheville cassée, mes diverses blessures et le fait que je n’avais pas mangé depuis mon arrivée, me présentait dans un état morbide. Les gens me fuyaient sur mon passage, où au contraire, me chassaient. Je me retrouvais tel un pantin qu’on ballottait de rues en rues, ne sachant où progresser. Avançant au hasard. Quand, je me retrouva face à un homme de passage à Bordneïre…un collectionneur étrange de Cloners…qui…qui m’embarqua comme un simple objet inerte que j’étais.
C’est comme cela que je suis arrivée à Cloners. Mais, fort heureusement, il me restait quelques forces et je m’échappa à la première occasion venue…

-Je comprends…Vous êtes un fugitif, alors que vous êtes un objet légal de collection.

-Un objet de collection ! Mais, je suis un humain !

-Peut-être, mais vous n’êtes pas d’ici. C’est pourquoi, vous obéissez aux lois par défauts…

-Non ! Vous plaisantez ! Je veux sortir d’ici ! Je veux retourner chez moi !! Au secours !
Tandis que le garde maîtrisait le vagabond, une femme de haute stature – tant au sens propre, que figuré – interrogea notre médecin :
« Il semble détenir un secret, mais il n’est plus en état de nous le révéler. »
-« Soit ! Alors, il nous reste plus qu’à nous débarrasser de lui… »


Non ! NON ! LAISSEZ-MOI !


Un bruit sourd résonna dans la pièce, sous le choc provoqué par le lecteur : il avait retourné la copie du manuscrit du concours de nouvelle, choqué. Un malaise le gagnait devant ces sensations hors du commun qu’il avait vécu. Pourtant, un moment intense et intrigant. Il se leva, dans le désir de reprendre ses esprits. Il fit le tour de la pièce, avant de retourner à son bureau où il lut machinalement une adresse inscrite sur une grande enveloppe :
DELIRIUM Le Journal "Concours de Nouvelles"
253/12 rue Pierre Legrand
59800 Lille (France)

Kicilou 09/05/2005 @ 16:19:11
Tu nous fait un mix de toutes tes nouvelles N.Kkey? Je retrouve ici ta nouvelle sur le thème du secret mixée avec les noms de celle sur la science fiction...
Bah, j'ai déjà donné mon avis dans les deux, je ne vais pas recommencer une critique très détaillée...
Juste, je vais te le redire pour la 3 ou 4ième fois, il faut que tu revois ta ponctuation du dialogue. Je t'ai expliqué tout ça sur ton dernier texte. Et là, il y a des passages bons (tu les as refait récemment?) et d'autres toujours faux. Le mélange des deux, ce n'est pas génial.
Et il y a une grosse répétition du verbe aider, je ne sais pas si c'est fait exprès :
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »
-« On peut vous aider, oui. Nous sommes des fidèles de Jîi’s, et aider les personnes en détresse fait partie de nos fonctions. Vous désirez retrouver votre pays, rien de plus simple ! Venez chez nous, nous aidons à trouver la voie pour toutes les âmes perdues.

Et juste avant une répétition de "technologie".

Bon, à part ces détails, je n'ai pas accroché. Peut-être parce que j'ai lu les précédents et que celui-ci y ressemble trop... Mais il ressort tout de même un sentiment général de confusion : trop d'informations, trop de données, d'évênements, tu aurais de quoi faire quelque chose de plus long (tiens, on t'as déjà dit ça pour un précédent texte) avec tout ce qui se passe ici, comme ça se serait moins dence et plus facile à suivre et à comprendre. Là je perds le fil, je patauge un peu.

Paracelse 09/05/2005 @ 16:22:10
je connais mal l'univers SF, même si ton texte me fait penser, tout au début, à "Dune"... alors je préfère laisser la place à d'autres... ;-D

Sinon, je remets le lien sur le concours, déjà mis ailleurs
http://delirium.lejournal.free.fr/prix_et_concours…

N.kkey 09/05/2005 @ 18:30:55
Tu nous fait un mix de toutes tes nouvelles N.Kkey? Je retrouve ici ta nouvelle sur le thème du secret mixée avec les noms de celle sur la science fiction...
Bah, j'ai déjà donné mon avis dans les deux, je ne vais pas recommencer une critique très détaillée...
Juste, je vais te le redire pour la 3 ou 4ième fois, il faut que tu revois ta ponctuation du dialogue. Je t'ai expliqué tout ça sur ton dernier texte. Et là, il y a des passages bons (tu les as refait récemment?) et d'autres toujours faux. Le mélange des deux, ce n'est pas génial.
Et il y a une grosse répétition du verbe aider, je ne sais pas si c'est fait exprès :
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »
-« On peut vous aider, oui. Nous sommes des fidèles de Jîi’s, et aider les personnes en détresse fait partie de nos fonctions. Vous désirez retrouver votre pays, rien de plus simple ! Venez chez nous, nous aidons à trouver la voie pour toutes les âmes perdues.

Et juste avant une répétition de "technologie".

Bon, à part ces détails, je n'ai pas accroché. Peut-être parce que j'ai lu les précédents et que celui-ci y ressemble trop... Mais il ressort tout de même un sentiment général de confusion : trop d'informations, trop de données, d'évênements, tu aurais de quoi faire quelque chose de plus long (tiens, on t'as déjà dit ça pour un précédent texte) avec tout ce qui se passe ici, comme ça se serait moins dence et plus facile à suivre et à comprendre. Là je perds le fil, je patauge un peu.


Beaucoup d'informations? Je ne sais pas...je ne pense pas. EN fait, cela dépend des lecteurs j'ai l'impression. Certains veulent plus de détails, d'autres moins. Je pensais avoir pas mal épuré pourtant.
Je pourrai enlever un ou deux passages non necessaire...sans doute quand le commerçant parle avec notre visiteur. Je devrai retirer certaines descriptions inutiles.
Pour ce qui est de la répétition, je vais corriger cela.
Merci pour vos commentaires...n'hésitez pas à me donner vos avis.

N.kkey 11/05/2005 @ 12:46:06
je suis en train de travailler ma nouvelle, mais j'aimerai savoir si il y a des passages ou des idées à revoir.

Moi, je pensais enlever le passage bref où on parle du héro de Utopia Sieñdella.

Des avis?

N.kkey 13/05/2005 @ 10:12:52
Voici la nouvelle version plus courte.

Un monde réel : Utopia




Monde magique et féerique. Mystique. Une planète du nom d’Utopia située dans un univers étrange semblant en dehors de toute chose. Première lignes d’introduction donnant la donne.
Diverses périodes virent vibrer les Terres sacrées du Dieu Shâ : L’Utopie, monde de philosophes. Aqua, le monde des eaux. S’epoïe, monde des rêves et des songes. Trois périodes. Trois modes de vies et de pensées…des avènements qui marquèrent profondément la planète et le cœur des Hommes. Descriptions chronologiques succinctes…premières gorgées de café.
Monde technologique et cybernétique, divisé en plusieurs pays semblant s’articuler autour des Monts Drak’s : à l’Est, le pays de Dakkon ; dans le prolongement Ouest, les Monts Cyls des terribles Cloners, entrecoupé par le désert de Boré ; au sud, les pays doux et paisibles de Saîan et de Insis. Un monde étrange et très différent de la Terre…une autre planète possédant de la vie ?! Cela semble impossible, pourtant…


Les murs froids de la cité de Cloners, décor sombre et obscur des Terres sacrées d’Utopia. Parcelle machiavélique que l’on retrouve même dans le monde le plus féerique.
Dans les geôles de la cité unique et autarcique, incrustée dans les Monts sédimentaires Cyls, un homme vient de se faire interner : « Cet homme est accusé de vagabondage, vols et séjour illégal dans notre cité. N’ayant aucun papier pour justifier du pays/royaume auquel il appartient et fabulant sur des origines mystiques, il sera interné dans nos geôles psychiatriques. Un médecin viendra cette après midi pour déterminer son état de démence. »

Un médecin du CTRC fut délégué pour étudier le cas de cet homme étrange. Cela était rare – voir inapproprié – que quelqu’un de ce secteur s’intéresse à un cas aussi banal. Pourtant, les Cloners n’était pas du genre à faire les choses par hasard. Cela cachait quelque chose…Un dessein bien mystérieux.
« Monsieur ? »
Il prit un siège en face de lui.
L’homme possédait un regard vide. Apparemment, de nombreuses épreuves l’avaient marqué. « Monsieur ? Quel est votre nom ?…bien…On vous appellera Servant . Quel est votre pays d’origine ? Vous ne savez pas !…je note…Maintenant, racontez-moi la raison pour laquelle vous êtes arrivé à Cloners. Je vous écoute. »


Je suis arrivé au pays de Dakkon, dans l’Est de la planète d’Utopia, il y a de ça un mois. C’est un royaume des plus étranges, compte tenu du magnétisme qui règne là bas, empêchant toutes formes de technologie récente de fonctionner.
« …Un étranger ! Encore un, tu vas me dire, mais celui-là est particulier. »
-« Ils sont tous, particulier ! Et dans notre pays, cela devient de plus en plus courant. »
-« Peut-être, mais celui-là est bizarre. Tant dans sa tenue vestimentaire que dans son comportement. »
-« C’est vrai, tu as raison… »
Le deuxième homme – une personne d’un âge mur – joua du coude au premier :
« Regarde ! Il vient nous voir. »
Servant, difficile de description pour la plupart des habitants, venait à la rencontre des deux hommes attablés dehors :
« Excusez-moi, messieurs. »
-« Oui ? »
-« Je…je voudrais que vous m’aidiez à retrouver mon chemin. Je recherche ma ville, mon pays, désespérément. »
-« On ne peut vous aider, désolé. Par contre, je sais qu’un commerçant part dans le sud de la planète…vers Insis si je ne trompe pas. Vous devriez aller lui demander. Tenez, voici l’endroit où vous pourrez aller le voir. », fit-il en lui tendant une carte.
-« Merci… »
L’individu, suite à ce conseil, alla rejoindre le commerçant.
« Il semblait très nerveux. »
-« Oui, il avait l’air plus bizarre vu de près. »

Après quelque négociation difficile, je réussis à convaincre le commerçant qu’on m’avait indiqué, de me conduire vers des autorités compétentes pour mon cas…particulier.
« Vous savez, moi je suis content de ne pas être seul ! Car, c’est loin Insis d’ici ! Même avec mon speeder. D’ailleurs une belle mécanique ! Il peut s’adapter en fonction du terrain. On va traverser des déserts, mais également des forêts tropicales…cela ne sera pas de tout repos. C’est plutôt à moi de vous remerciez ! De plus, vous pourrez m’aider en cas de panne. »
-« Je vous remercie de votre aide. »
-« Ce n’est rien. Les Insis savent tout ! Ils possèdent une grande connaissance des mystères de notre planète. Ils pourront vous être utiles pour vous ramener chez vous. »
-« On m’avait dit que c’était les Saîans, les plus instruits… »
-« Les Saîans ? Des gens paisibles et très discrets. Mis à part ça, je me demande ce qu’ils peuvent connaître ! Ah ah ! »
Les préparatifs terminés, ils se mirent en route. Le paysage était particulier pour cet étranger venu de loin. De grandes montagnes se succédant pour laisser place aux canyons impressionnants des Monts Cyls. Un désert tant géographique que humain.
« Ici, les Cloners sont les maîtres. Ce sont des gens peu sociables. Ils sont autarciques et méfiants. Peu de gens les aime. »
-« Pourquoi devons-nous passer par là ? »
-« On n’a pas le choix. Les routes sont plus sûres et mieux tracées par cet itinéraire. Vous ne voyagez pas souvent, vous. »
-« …Surtout aussi loin. »
Le speeder, un biplace avec remorque, possédait une forme particulière : surdimensionné par endroit, de forme décimétrique, ne pouvait être comparé. Mais il était confortable et, effectivement, adapté au moindre relief qu’Utopia offrait.
« Les anciennes mers qui coulaient ici, autrefois, ont marqué profondément le décor. Comme vous pouvez le savoir, la bataille de la création qui opposait les Divinités contre le Conteur a tout dévasté. Le paysage souffre encore des terribles guerres sous-marines qui avaient eu lieu, ici. Les Cloners ont su résister à l’avènement de l’Impératrice Lysi S’epoïe qui commande tous les pays de la planète, mais certains pensent qu’ils complotent encore pour obtenir le pouvoir absolu sur les royaumes. Comment ? Les jeunes royaumes ? Allons bon ! Vous savez quand même que chaque pays forme un royaume sous la tutelle de l’Impératrice, même si chacun possède une gestion libre de son économie et de sa politique. Mais la cour des miracles veille au grain. »
Tout se déroulait parfaitement, malgré les tornades de sables de plus en plus violentes à l’approche de Boré et de son désert. « Il faut se méfier des trous creusés par les divers animaux du Canyon…cela peut être très dangereux, mais heureusement, ils creusent de façon régulière et avec mon Cogito cela suffit pour les éviter tous…ou presque. »
Une violente secousse fit trembler l’engin, le renversant. « Merde ! », s’en suivit une série de tonneaux terribles, qui les emporta sur plusieurs mètres dans un chaos mécanique.
« Vous…vous allez bien ? Monsieur ? Monsieur ? », le commerçant fut tué sur le coup. Moi, je m’étais arraché une partie de la peau de mon bras gauche, mais fort heureusement, plus une égratignure qu’autre chose.
Qui plus est, l’engin était hors d’usage. Je devais trouver une solution rapide, pour ne pas me faire ensevelir sous les tempêtes de sable. Je du continuer à pied, dans les déserts poussiéreux et venteux. Un long périple qui me conduisit…


Les forêts tropicales. La chaleur enivrante et paradisiaque de la région de Insis/Saîan. Une végétation luxuriante où de nombreux animaux étranges à plumes se côtoient. La technologie était fort usitée à Insis, le pays de la déesse de l’amour et du sacrifice : Angelika Jîi’s. Le pays – ou plutôt l’ethnie - de Saîan, en revanche, était dépourvu de technologie. Préférant utiliser les ressources naturelles abondantes dans leurs régions. Je du la traverser avant de rejoindre Insis.
J’avais eut de la chance, dans mon malheur : Un véhicule était passé dans les grandes étendues de Boré. Mon sauveur accepta aisément de m’aider, contre tous mes objets de valeurs…
« Es’tuï ! Une personne fort étrange vient d’arriver. »
-« Cela vous inquiète t-il à ce point ? », Il s’avança à une fenêtre pour observer l’homme en question, « Effectivement, cette personne semble étrange. Que savez-vous de lui ? »
-« Il est venu avec un commerçant, du pays de Dakkon. Mais, ils ont subi un accident dans le désert de Boré. De plus, le vagabond semble provenir d’un endroit en dehors des jeunes royaumes. », répondit le secrétaire avec précision.
-« Hum…je vais consulter “les yeux de l’impératrice” pour en savoir plus… »
Les habitants de l’ethnie possédaient un mode de vie particulier. Ils semblaient en dehors de toutes choses…en dehors du temps…
« Excusez-moi ?… »
-« Vieil homme… »
-« Pardon ? »
-« Appelez-moi, vieil homme. »
-« Excusez-moi…vieil homme. Je désirais savoir, si… »
-« Vous voulez savoir ? Moi aussi. Vous m’appelez, vieil homme, mais j’ai du vous forcer à m’appeler ainsi. Peut-être devriez-vous chercher en ce sens. Connaître le sens des convenances, semble inné pour chaque personne du monde. Réel ou non, réfléchissez. »
-« Mais… », l’homme coupa court à la conversation, continuant son chemin, sourd à toutes demandes.

Je continua mon périple dans les forêts de Insis. La ville forêt, devrais-je dire. Ce pays est une énorme ville dissimulée dans les arbres, qui s’étend sur plusieurs kilomètres de superficie. Un mode de vie écologique, en harmonie avec la nature…un peu trop…
Des bruissements d’ailes. Des cris d’animaux, de petites et grandes tailles. Des rues piétonnes, où de nombreux commerces côtoient la faune la plus sauvage.
Un groupe – sans doute religieux – se promenait dans les rues “végétales”, quand ils vinrent à la hauteur de Servant. Une femme, aux traits fins et subtils, s’adressa au nom du groupe :
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »
-« Oui, on peut. Nous sommes des fidèles de Jîi’s, et secourir les personnes en détresse fait partie de nos fonctions. Vous désirez retrouver votre pays, rien de plus simple ! Venez chez nous, nous accompagnons les âmes perdues sur la bonne voie. Vous trouverez, au sein de notre temple, un monde, une communauté qui sera votre demeure. Votre nouvelle demeure. Vous aurez, ainsi, trouvé votre pays que vous rechercher tant… »
-« Je…je me dois de décliner votre offre…je dois y aller. »
-« Comme vous voulez ! Que la déesse Jîi’s vous protége ! »
Le vagabond s’éloigna d’un pas rapide, cherchant de l’aide d’instances plus…compétentes. Mais…
…Une grande ville peut sembler un véritable labyrinthe pour toutes personnes débarquant la première fois. Une forêt peut déstabiliser n’importe qui non équipé de matériel adéquat, ou d’une connaissance approfondie de la région. Mais le tout mélangé,…
Attaques d’animaux sauvages. Piqûres d’insectes. Chutes nombreuses et variées, aussi spectaculaires que ridicules. Le tout corsé par de nombreuses rencontres aussi incohérentes, qu’éprouvantes :
« Mon commerce ne possède pas de cartes d’Utopia. Et votre ville, ne me dit vraiment rien. »
Ou encore…
« Nos services sont destinés en priorité aux habitants de Insis. Pour tout ce qui est, étrangers ou touristes, vous devez vous adresser aux divers syndicats. Comment cela fonctionne ? C’est simple, tout est classé en fonction de l’age, le sexe, la catégorie sociale. Selon votre cas, vous devriez vous adresser au bureau qui se trouve à une cinquante de kilomètres d’ici. Pour vous y rendre, vous devez suivre la grande forêt du combat éternel, suivre les grands ponts du sacrifice, en passant près des temples…puis suivre les labyrinthes… », un véritable casse tête.
Résultat : Une cheville cassée et de nombreux bleus. Mais ce n’était rien, comparativement à ce qui m’attendait.

La chaleur douce et apaisante du sud d’Utopia, se transformait en un véritable brasier. Une température éprouvante. Mes blessures me faisaient atrocement mal. Je devais m’appuyer sur une branche branlante arrachée sur un arbre fragile. N’ayant aucun moyen pour en couper une robuste. Mes vêtements étaient déchirés – voir en lambeaux. Je continuais mon périple malgré tout. Je n’avais aucune autre solution.


Une ville, dont les lueurs scintillaient étrangement dans la pénombre de la nuit, apparut : la capitale de Boré, Bordneïre. Une vie permanente semblait faire vibrer celle-ci de toute part, en contraste avec le désert qui l’entourait.
La ville de la fête éternelle ne cessait d’impressionner les nombreux voyageurs qui y affluaient régulièrement.
La nuit était tombée. Les rues s’animaient de diverses fêtes foraines et autres bals. Notre homme se sentait perdu dans cette immensité festive, se laissant guider uniquement par son instinct, faute de mieux. Sans compter, la souffrance de ses blessures – bien plus que physique – mais mentales.

« Eh toi ! », fit un homme dissimulé dans les pénombres d’une rue parallèle.
-« Oui… ? »
-« Que fais-tu dans les bas quartiers de la ville, seul ?
Alors ? Tu ne réponds pas ? Tu es sourd ? Je vais venir t’expliquer… »
Un homme grossier, tant dans son comportement que dans sa tenue vestimentaire, sortit des ténèbres.
« Alors ?! Que fais-tu dans nos quartiers ? Que fais un commerçant ici ? »
-« Qu’ais-je fais de mal ? »
-« De quoi ? Tu te fou de moi, c’est ça ? Tu as un double permis pour travailler le soir et la journée ? Je ne pense que tu as les moyens, vu ta dégaine. »
-« Je ne comprends pas ! Je ne travaille pas à la fête, et… »
-«…Tu avoues en plus ! », Il s’approcha très près de notre ami, « Tu n’as pas de permis pour travailler ici le soir, donc tu es un commerçant, n’est-ce pas ? »
-« Je ne suis pas un commerçant, je viens juste d’arriver à Bordneïre ! », répondit-il d’un ton mi-craintif, mi-agacé.
-« Ah ouais ? Tu veux me faire croire que tu n’es pas de Boré avec des vêtements bizarres comme cela ? Que me caches-tu ? »
-« Rien que vous ne puissez comprendre ! »
-« Quoi ?! Tu oses lever la voix ?! Tu me caches quelque chose ? Un secret, peut-être…ehehe…Saches qu’ici, je régule les travailleurs qui essayent d’arnaquer le système et que… »

Monsieur ? Monsieur Servant ?! …Vous êtes pâle ! Garde ! Garde ! Il est en train de faire une crise de nerf !
Servant essayez de vous calmer ! Voilà…continuer votre récit…

-Je réussis à échapper par miracle à cet énergumène, à travers les diverses attractions foraines. Mais, avec une cheville cassée, mes diverses blessures et le fait que je n’avais pas mangé depuis mon arrivée, me présentait dans un état morbide. Les gens me fuyaient sur mon passage, où au contraire, me chassaient. Je me retrouvais tel un pantin qu’on ballottait de rues en rues, ne sachant où progresser. Avançant au hasard. Quand, je me retrouva face à un homme de passage à Bordneïre…un collectionneur étrange de Cloners…qui…qui m’embarqua comme un simple objet inerte que j’étais.
C’est comme cela que je suis arrivée à Cloners. Mais, fort heureusement, il me restait quelques forces et je m’échappa à la première occasion venue…

-Je comprends…Vous êtes un fugitif, alors que vous êtes un objet légal de collection.

-Un objet de collection ! Mais, je suis un humain !

-Peut-être, mais vous n’êtes pas d’ici. C’est pourquoi, vous obéissez aux lois par défauts…

-Non ! Vous plaisantez ! Je veux sortir d’ici ! Je veux retourner chez moi !! Au secours !
Tandis que le garde maîtrisait le vagabond, une femme de haute stature – tant au sens propre, que figuré – interrogea notre médecin :
« Il semble détenir un secret, mais il n’est plus en état de nous le révéler. »
-« Soit ! Alors, il nous reste plus qu’à nous débarrasser de lui… »


Non ! NON ! LAISSEZ-MOI !


Un bruit sourd résonna dans la pièce, sous le choc provoqué par le lecteur : il avait retourné la copie du manuscrit du concours de nouvelle, choqué. Un malaise le gagnait devant ces sensations hors du commun qu’il avait vécu. Pourtant, un moment intense et intrigant. Il se leva, dans le désir de reprendre ses esprits. Il fit le tour de la pièce, avant de retourner à son bureau où il lut machinalement une adresse inscrite sur une grande enveloppe :
DELIRIUM Le Journal "Concours de Nouvelles"
253/12 rue Pierre Legrand
59800 Lille (France)

Kicilou 13/05/2005 @ 10:45:43
Je ne sais pas si ça sert à quelque chose que je te donne mon avis, je l'ai déjà fait plusieurs fois... Je n'ai pas vraiment trouvé de différence avec la première version.
Pour les répétitions que je t'avais indiquées, c'est mieux pour "aide" mais il en reste en particulier "j'ai besoin d'aide" mais peut-être que c'est fait expès?
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »

La technologie était fort usitée à Insis, le pays de la déesse de l’amour et du sacrifice : Angelika Jîi’s. Le pays – ou plutôt l’ethnie - de Saîan, en revanche, était dépourvu de technologie.



Je t'ai mis aussi le passage ou était répété "technologie".

Pour le ponctuation du dialogue, j'abandonne! ;-) Dis-moi juste s'il te plait si tu ne la corriges pas parce que tu es sûr qu'elle est correcte. Dans ces cas là, je l'ajouterais à ma liste de ponctuation.
Pour le reste, je pense qu'un autre avis que le mien t'apportera plus, je l'ai lu tellement de fois cette nouvelle, sous différentes formes, que je sature un peu.

En tout cas, bonne chance si c'est une nouvelle pour un concours :-)

N.kkey 13/05/2005 @ 11:44:55
Je ne sais pas si ça sert à quelque chose que je te donne mon avis, je l'ai déjà fait plusieurs fois... Je n'ai pas vraiment trouvé de différence avec la première version.
Pour les répétitions que je t'avais indiquées, c'est mieux pour "aide" mais il en reste en particulier "j'ai besoin d'aide" mais peut-être que c'est fait expès?
« Es* ? Vous semblez ne pas être d’ici ?! Vous avez besoin d’aide ? »
-« Excusez-moi, oui, j’ai besoin d’aide. Je cherche un moyen pour rentrer dans mon pays, mais il semble que peu de personne arrive à m’aider. Seriez-vous ?… »

La technologie était fort usitée à Insis, le pays de la déesse de l’amour et du sacrifice : Angelika Jîi’s. Le pays – ou plutôt l’ethnie - de Saîan, en revanche, était dépourvu de technologie.



Je t'ai mis aussi le passage ou était répété "technologie".

Pour le ponctuation du dialogue, j'abandonne! ;-) Dis-moi juste s'il te plait si tu ne la corriges pas parce que tu es sûr qu'elle est correcte. Dans ces cas là, je l'ajouterais à ma liste de ponctuation.
Pour le reste, je pense qu'un autre avis que le mien t'apportera plus, je l'ai lu tellement de fois cette nouvelle, sous différentes formes, que je sature un peu.

En tout cas, bonne chance si c'est une nouvelle pour un concours :-)


pour la répétion de : "j'ai besoin d'aide", celle-là est fait exprès.
Pour l'autre "technologie" je vais corriger cela.

SInon, pour l'histoire de la ponctuation pour les dialogues, j'ai corrigé pour ma nouvelle "nouvelle". J'ai comprit la leçon, promis!

Tistou 29/05/2005 @ 15:58:55
De beaux passages mais reste globalement hermétique pour moi (S.F.). Trop d'inventions, de noms nouveaux qui, à mon goût, n'amènent rien à l'histoire.
Quelques maladresses au fil du récit mais donc aussi, comme déja dit, de beaux passages.

N.kkey 29/05/2005 @ 16:47:36
De beaux passages mais reste globalement hermétique pour moi (S.F.). Trop d'inventions, de noms nouveaux qui, à mon goût, n'amènent rien à l'histoire.
Quelques maladresses au fil du récit mais donc aussi, comme déja dit, de beaux passages.



merci pour tous ses commentaires. Je ne peux pas trop changé certaines petites choses, mais je peux en améliorer quand meme certains passages...d'ailleurs j'ai supprimé quelques passages pour alleger le texte.

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