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Dans la fulgurance des temps,
Les éclairs ravissent nos sens
D'étoîles qui s'habillent des ans
Dont les heurs habitent les firmaments.
Une vie, un amour sont présents
Lorsque sans en vouloir aux instants
Passés aux côtés de nos amis absents,
Les rêves déroulent leurs délires charmants.
Je connais les songes, je vois les fées,
J'entends le vent de la nuit au son parfait,
Qui se donne et en ce monde se plait
Pour notre plaisir, pauvres hères malfaits.
Du fond de l'espace une lumière nait,
Elle arrive, elle vient tel un bienfait.
C'est la force immense pour nous envoyée
Par les Dieux du ciel que l'on reconnait.
Ils nous disent d'un ton trés fier,
Qu'il sont les maîtres de l'univers
Et sans vouloir nous enlever notre bon air,
Ils vont nous inonder d'éclairs.
FLC.
Les éclairs ravissent nos sens
D'étoîles qui s'habillent des ans
Dont les heurs habitent les firmaments.
Une vie, un amour sont présents
Lorsque sans en vouloir aux instants
Passés aux côtés de nos amis absents,
Les rêves déroulent leurs délires charmants.
Je connais les songes, je vois les fées,
J'entends le vent de la nuit au son parfait,
Qui se donne et en ce monde se plait
Pour notre plaisir, pauvres hères malfaits.
Du fond de l'espace une lumière nait,
Elle arrive, elle vient tel un bienfait.
C'est la force immense pour nous envoyée
Par les Dieux du ciel que l'on reconnait.
Ils nous disent d'un ton trés fier,
Qu'il sont les maîtres de l'univers
Et sans vouloir nous enlever notre bon air,
Ils vont nous inonder d'éclairs.
FLC.
Une idée de la fin du monde,j'aime bien ce poéme.
J'aime beaucoup, plus pour la musicalité des mots que pour le sens, le début est assez abstrait. Mais c'est vraiment comme une mélodie, une mélopée, avec des mots que j'aime... Je me laisse emporter, même sans tout comprendre.
Joli !
Joli !
J'avoue rester relativement impavide. J'ai relu, impavide toujours. Celui là ne m'aura pas parler Félix.
moi j'ai pas trop aimé celui-ci, je n'ai pas été accrochée
il y a des problèmes de rythme parfois qui me dérangent
il y a des problèmes de rythme parfois qui me dérangent
J'avoue rester relativement impavide. J'ai relu, impavide toujours. Celui là ne m'aura pas parler Félix.
Ouïe ! parlé, évidemment !
Moi aussi j'ai plus apprécié la musicalité que le sens du poème. Quelques jolis vers:
Je connais les songes, je vois les fées,
J'entends le vent de la nuit au son parfait,
Le plaisir de lire vos commentaires est aussi grand, pour moi que d'écrire un texte.
Si vous n'étiez pas présents, mon existence serait-elle possible? Et la vôtre, lorsque vous écrivez, s'il n'y avait quiconque pour commenter quoi que ce soit?
Merci, mes amis. FLC.
Si vous n'étiez pas présents, mon existence serait-elle possible? Et la vôtre, lorsque vous écrivez, s'il n'y avait quiconque pour commenter quoi que ce soit?
Merci, mes amis. FLC.
Me semble que ce thème ci se coule un peu trop dans ton moule, Félix, tu as un genre qui t'est propre mais dans ce texte-ci, il il me semble qu'on l'y retrouve trop.
Ca reste un écrit à l'ambiance magique, atmosphérique, doux et évocateur d'images.
Ca reste un écrit à l'ambiance magique, atmosphérique, doux et évocateur d'images.
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