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Ah ! l’ivresse. Le doux plaisir qui suit l’absorptions d’alcool : Tout d’abord une légère euphorie qui vous faisait voir les choses et les gens sous un angle nouveau , puis , les verres se suivant, un étourdissement plus prononcé qui venait pervertir votre préhension de l’espace.
Arrivait ensuite la sortie du « sur-être » celui qui se cache derrière votre subconscient, le Mister Hyde tapi dans la partie animal de votre cerveau.
Et pour poursuivre : le basculement total dans un autre monde ou s’entremêlent toutes les peines, toutes les tristesses accumulées, toutes les rancœurs inévacuées. Un monde ou l’être humain n’avait plus droit de citer.
Une citée perdue ou seul vos démons vous attendent au détour d’un autel sacrificiel.
Avec de la chance les choses se précipitaient à cet instant et le maelström d’alcool vous engloutissait complètement dans les méandres du coma éthylique.
Sans secours vous finissiez ainsi comme un fruit dans une bouteille d’eau de vie. Ame damnée de Bacchus.
Pourquoi alors que j’avais ce choix, ai-je choisi cette simple lame ? Oh ! l’ivresse bien sur, mais tout ce sang, tout ce sang.
Arrivait ensuite la sortie du « sur-être » celui qui se cache derrière votre subconscient, le Mister Hyde tapi dans la partie animal de votre cerveau.
Et pour poursuivre : le basculement total dans un autre monde ou s’entremêlent toutes les peines, toutes les tristesses accumulées, toutes les rancœurs inévacuées. Un monde ou l’être humain n’avait plus droit de citer.
Une citée perdue ou seul vos démons vous attendent au détour d’un autel sacrificiel.
Avec de la chance les choses se précipitaient à cet instant et le maelström d’alcool vous engloutissait complètement dans les méandres du coma éthylique.
Sans secours vous finissiez ainsi comme un fruit dans une bouteille d’eau de vie. Ame damnée de Bacchus.
Pourquoi alors que j’avais ce choix, ai-je choisi cette simple lame ? Oh ! l’ivresse bien sur, mais tout ce sang, tout ce sang.
N'ai jamais connu l'ivresse (trop sage) mais je m'en fais une idée avec ton texte. L'évolution est joliment décrite : à la trape les vomissments et autres expressions bassemnt physique. Tout est de l'esprit et se laisse lire et comprendre. La fin fait froid dans le dos et est en même temps si bien tournée. Elle me conforte dans mon interprétation du texte précédent. Tout en finesse ce texte.
A l'abondance préfère la régularité Spirit. 3 d'un coup, à un moment où l'on vient de beaucoup produire (on sort d'un exercice), tu risques d'être dilué dans le nombre. Et fais toi connaître en allant voir ce que font les autres, et en y mettant tes commentaires, comme tu as commencé à le faire d'ailleurs. Comme pour une course de fond, travailles la distance !
Sur ce texte plus particulièrement, tu parles de quelque chose que je ne connais pas : l'ivresse. Enfin l'ivresse alcoolisée, je ne connais pas. Ne boit pas. Du tout.
Alors je dois être plutôt côté lame ? Mais je ne joue pas du couteau non plus. Ben zut alors !
J'aime bien le décalage que tu introduis dans la chute (2ème texte et 2ème fois).
Sur ce texte plus particulièrement, tu parles de quelque chose que je ne connais pas : l'ivresse. Enfin l'ivresse alcoolisée, je ne connais pas. Ne boit pas. Du tout.
Alors je dois être plutôt côté lame ? Mais je ne joue pas du couteau non plus. Ben zut alors !
J'aime bien le décalage que tu introduis dans la chute (2ème texte et 2ème fois).
Tu devrais lire "Le son de ma voix" de Ron Butlin, je crois que ça te plairait.
Je vais acheter le livre et je dirais ce que j'en pense
Tu devrais lire "Le son de ma voix" de Ron Butlin, je crois que ça te plairait.
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