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Le soleil se lève… doucement, paresseusement comme si personne ne l’attendait. Pourtant, le premier rayon est là, il caresse du bout des doigts le froid de ce matin blanc. Premier matin où les trois sorcières se détachent sur le bleu du ciel. Pourquoi appeler sorcières ces trois pics enneigés ? Parce que c’est ce qu’elles sont : l’été, chaque bruit, chaque cri raconte leur forfaiture. [/tab][/tab]
Un matin d’été, il y a si longtemps que les temps anciens tentent parfois en vain de s’en souvenir, le noble Charvin découvrit qu’à sa gauche, une jeune femme était apparue. Belle comme le jour et la nuit réunis, elle avait profité de la lune et des étoiles complices pour se hisser au pied du seigneur de ses rêves. [/tab][/tab]
– Oh majestueux Mont, vous habitez mes songes depuis ma plus tendre enfance. La vie ici-bas ne m’apportera rien si je dois la passer loin de vous. Marions-nous et je coulerai à vos pieds des jours heureux parmi les torrents et les fleurs. Je prendrai soin de vos versants et à ma mort, votre terre sera le plus doux des linceuls.
Seigneur Charvin se sentit touché et nombreux se demandent encore ce qu’il aurait pu répondre si ses trois voisines de droite, trois hauts pics décharnés, ne l’avaient devancé dans sa réponse.[/tab][/tab]
– Minuscule humaine, ceci est une bien bonne idée, nos versants sont envahis de rocailles et de mauvaises herbes. Ton travail embellirait sensiblement nos robes et rendrait un peu de prestige à nos noms que ce petit Charvin à trop tendance à faire oublier dans la vallée.
– Mesdames, je ne suis pas là pour vous. Depuis mon village, vous ressemblez à trois sorcières avec vos robes noires. Dans quelques années, l’âge vous aura complètement ratatinées et seuls vos chapeaux dépasseront encore. Ce n’est pas à vous que je déclarais mon amour mais au noble et haut Messire Charvin !
– Insolent insecte malpropre ! Comment oses-tu parler ainsi de nos pierres millénaires auxquelles tu dois respect et soumission ! Il ne sera pas dis que nous nous serons laissées injurier par une petite vaurienne ! Puisque tu aimes tant ton Charvin, tu dormiras à ses côtés et tu ne te réveilleras que lorsqu’il sera devenu un petit tas de pierrailles insignifiant masqué par l’ombre de notre hauteur. Il ne te restera plus alors qu’à pleurer sur sa grandeur passée !
Ainsi fut fait et la jeune femme tomba immédiatement dans un profond sommeil, la tête posée toute proche des versants de son adoré. Mais les années passèrent, les siècles et les millénaires. Et la prophétie des sorcières ne se réalisait toujours pas. Messire Charvin, qui avait gravé dans son cœur les moindres mots de la jeune femme, voyait à l’inverse que, comme elle l’avait prédit, les trois sorcières se ratatinaient de plus en plus… Bientôt il ne resta plus que leurs chapeaux pour dépasser encore à droite du haut Mont Charvin. [/tab][/tab]
Et à sa gauche, la jeune femme dort maintenant pour l’éternité, pierre parmi les pierres, montagne parmi les montagnes. Les enfants du village en contrebas l’ont appelée « la Dame allongée ».[/tab][/tab]
Mais l’hiver succède à l’été. Et lorsque la neige s’installe, elle étouffe les accusations des quelques rancuniers. La Dame n’est pas morte, elle dort et rêve à son aimé. L’ambiance n’est plus la même : l’hiver transforme tout. Ces chapeaux noirs et découpés, comme les trois dernières dents de cette bouche sans âge, sont aujourd’hui recouverts du manteau blanc de l’armistice. En ce petit matin de février, elles veillent, auréolées de blanc, sur le sommeil de la Dame allongée. La paix est signée et ce silence ambiant en est le prolongement : il protège de ses bras moelleux, le sommeil de la Dame dans ses draps éclatants. [/tab][/tab]
Combien d’yeux ne seront pas sensible à ce changement, à cette paix qui moutonne entre les deux ennemis d’été. Combien ne sentiront pas ce calme, cette sérénité et tout ce que nos rêves peuvent en interpréter. [/tab][/tab]
Chaque paysage a une histoire et chacun la découvre comme il le souhaite. Mais toute légende trouvée sur le bord de son cœur est appelée à devenir pour soi l’écrin de cette contrée.
Un matin d’été, il y a si longtemps que les temps anciens tentent parfois en vain de s’en souvenir, le noble Charvin découvrit qu’à sa gauche, une jeune femme était apparue. Belle comme le jour et la nuit réunis, elle avait profité de la lune et des étoiles complices pour se hisser au pied du seigneur de ses rêves. [/tab][/tab]
– Oh majestueux Mont, vous habitez mes songes depuis ma plus tendre enfance. La vie ici-bas ne m’apportera rien si je dois la passer loin de vous. Marions-nous et je coulerai à vos pieds des jours heureux parmi les torrents et les fleurs. Je prendrai soin de vos versants et à ma mort, votre terre sera le plus doux des linceuls.
Seigneur Charvin se sentit touché et nombreux se demandent encore ce qu’il aurait pu répondre si ses trois voisines de droite, trois hauts pics décharnés, ne l’avaient devancé dans sa réponse.[/tab][/tab]
– Minuscule humaine, ceci est une bien bonne idée, nos versants sont envahis de rocailles et de mauvaises herbes. Ton travail embellirait sensiblement nos robes et rendrait un peu de prestige à nos noms que ce petit Charvin à trop tendance à faire oublier dans la vallée.
– Mesdames, je ne suis pas là pour vous. Depuis mon village, vous ressemblez à trois sorcières avec vos robes noires. Dans quelques années, l’âge vous aura complètement ratatinées et seuls vos chapeaux dépasseront encore. Ce n’est pas à vous que je déclarais mon amour mais au noble et haut Messire Charvin !
– Insolent insecte malpropre ! Comment oses-tu parler ainsi de nos pierres millénaires auxquelles tu dois respect et soumission ! Il ne sera pas dis que nous nous serons laissées injurier par une petite vaurienne ! Puisque tu aimes tant ton Charvin, tu dormiras à ses côtés et tu ne te réveilleras que lorsqu’il sera devenu un petit tas de pierrailles insignifiant masqué par l’ombre de notre hauteur. Il ne te restera plus alors qu’à pleurer sur sa grandeur passée !
Ainsi fut fait et la jeune femme tomba immédiatement dans un profond sommeil, la tête posée toute proche des versants de son adoré. Mais les années passèrent, les siècles et les millénaires. Et la prophétie des sorcières ne se réalisait toujours pas. Messire Charvin, qui avait gravé dans son cœur les moindres mots de la jeune femme, voyait à l’inverse que, comme elle l’avait prédit, les trois sorcières se ratatinaient de plus en plus… Bientôt il ne resta plus que leurs chapeaux pour dépasser encore à droite du haut Mont Charvin. [/tab][/tab]
Et à sa gauche, la jeune femme dort maintenant pour l’éternité, pierre parmi les pierres, montagne parmi les montagnes. Les enfants du village en contrebas l’ont appelée « la Dame allongée ».[/tab][/tab]
Mais l’hiver succède à l’été. Et lorsque la neige s’installe, elle étouffe les accusations des quelques rancuniers. La Dame n’est pas morte, elle dort et rêve à son aimé. L’ambiance n’est plus la même : l’hiver transforme tout. Ces chapeaux noirs et découpés, comme les trois dernières dents de cette bouche sans âge, sont aujourd’hui recouverts du manteau blanc de l’armistice. En ce petit matin de février, elles veillent, auréolées de blanc, sur le sommeil de la Dame allongée. La paix est signée et ce silence ambiant en est le prolongement : il protège de ses bras moelleux, le sommeil de la Dame dans ses draps éclatants. [/tab][/tab]
Combien d’yeux ne seront pas sensible à ce changement, à cette paix qui moutonne entre les deux ennemis d’été. Combien ne sentiront pas ce calme, cette sérénité et tout ce que nos rêves peuvent en interpréter. [/tab][/tab]
Chaque paysage a une histoire et chacun la découvre comme il le souhaite. Mais toute légende trouvée sur le bord de son cœur est appelée à devenir pour soi l’écrin de cette contrée.
Désolée pour les [ /tab] je reposte sans!
Le soleil se lève… doucement, paresseusement comme si personne ne l’attendait. Pourtant, le premier rayon est là, il caresse du bout des doigts le froid de ce matin blanc. Premier matin où les trois sorcières se détachent sur le bleu du ciel. Pourquoi appeler sorcières ces trois pics enneigés ? Parce que c’est ce qu’elles sont : l’été, chaque bruit, chaque cri raconte leur forfaiture.
Un matin d’été, il y a si longtemps que les temps anciens tentent parfois en vain de s’en souvenir, le noble Charvin découvrit qu’à sa gauche, une jeune femme était apparue. Belle comme le jour et la nuit réunis, elle avait profité de la lune et des étoiles complices pour se hisser au pied du seigneur de ses rêves.
– Oh majestueux Mont, vous habitez mes songes depuis ma plus tendre enfance. La vie ici-bas ne m’apportera rien si je dois la passer loin de vous. Marions-nous et je coulerai à vos pieds des jours heureux parmi les torrents et les fleurs. Je prendrai soin de vos versants et à ma mort, votre terre sera le plus doux des linceuls.
Seigneur Charvin se sentit touché et nombreux se demandent encore ce qu’il aurait pu répondre si ses trois voisines de droite, trois hauts pics décharnés, ne l’avaient devancé dans sa réponse.
– Minuscule humaine, ceci est une bien bonne idée, nos versants sont envahis de rocailles et de mauvaises herbes. Ton travail embellirait sensiblement nos robes et rendrait un peu de prestige à nos noms que ce petit Charvin à trop tendance à faire oublier dans la vallée.
– Mesdames, je ne suis pas là pour vous. Depuis mon village, vous ressemblez à trois sorcières avec vos robes noires. Dans quelques années, l’âge vous aura complètement ratatinées et seuls vos chapeaux dépasseront encore. Ce n’est pas à vous que je déclarais mon amour mais au noble et haut Messire Charvin !
– Insolent insecte malpropre ! Comment oses-tu parler ainsi de nos pierres millénaires auxquelles tu dois respect et soumission ! Il ne sera pas dis que nous nous serons laissées injurier par une petite vaurienne ! Puisque tu aimes tant ton Charvin, tu dormiras à ses côtés et tu ne te réveilleras que lorsqu’il sera devenu un petit tas de pierrailles insignifiant masqué par l’ombre de notre hauteur. Il ne te restera plus alors qu’à pleurer sur sa grandeur passée !
Ainsi fut fait et la jeune femme tomba immédiatement dans un profond sommeil, la tête posée toute proche des versants de son adoré. Mais les années passèrent, les siècles et les millénaires. Et la prophétie des sorcières ne se réalisait toujours pas. Messire Charvin, qui avait gravé dans son cœur les moindres mots de la jeune femme, voyait à l’inverse que, comme elle l’avait prédit, les trois sorcières se ratatinaient de plus en plus… Bientôt il ne resta plus que leurs chapeaux pour dépasser encore à droite du haut Mont Charvin.
Et à sa gauche, la jeune femme dort maintenant pour l’éternité, pierre parmi les pierres, montagne parmi les montagnes. Les enfants du village en contrebas l’ont appelée « la Dame allongée ».
Mais l’hiver succède à l’été. Et lorsque la neige s’installe, elle étouffe les accusations des quelques rancuniers. La Dame n’est pas morte, elle dort et rêve à son aimé. L’ambiance n’est plus la même : l’hiver transforme tout. Ces chapeaux noirs et découpés, comme les trois dernières dents de cette bouche sans âge, sont aujourd’hui recouverts du manteau blanc de l’armistice. En ce petit matin de février, elles veillent, auréolées de blanc, sur le sommeil de la Dame allongée. La paix est signée et ce silence ambiant en est le prolongement : il protège de ses bras moelleux, le sommeil de la Dame dans ses draps éclatants.
Combien d’yeux ne seront pas sensible à ce changement, à cette paix qui moutonne entre les deux ennemis d’été. Combien ne sentiront pas ce calme, cette sérénité et tout ce que nos rêves peuvent en interpréter.
Chaque paysage a une histoire et chacun la découvre comme il le souhaite. Mais toute légende trouvée sur le bord de son cœur est appelée à devenir pour soi l’écrin de cette contrée.
Le soleil se lève… doucement, paresseusement comme si personne ne l’attendait. Pourtant, le premier rayon est là, il caresse du bout des doigts le froid de ce matin blanc. Premier matin où les trois sorcières se détachent sur le bleu du ciel. Pourquoi appeler sorcières ces trois pics enneigés ? Parce que c’est ce qu’elles sont : l’été, chaque bruit, chaque cri raconte leur forfaiture.
Un matin d’été, il y a si longtemps que les temps anciens tentent parfois en vain de s’en souvenir, le noble Charvin découvrit qu’à sa gauche, une jeune femme était apparue. Belle comme le jour et la nuit réunis, elle avait profité de la lune et des étoiles complices pour se hisser au pied du seigneur de ses rêves.
– Oh majestueux Mont, vous habitez mes songes depuis ma plus tendre enfance. La vie ici-bas ne m’apportera rien si je dois la passer loin de vous. Marions-nous et je coulerai à vos pieds des jours heureux parmi les torrents et les fleurs. Je prendrai soin de vos versants et à ma mort, votre terre sera le plus doux des linceuls.
Seigneur Charvin se sentit touché et nombreux se demandent encore ce qu’il aurait pu répondre si ses trois voisines de droite, trois hauts pics décharnés, ne l’avaient devancé dans sa réponse.
– Minuscule humaine, ceci est une bien bonne idée, nos versants sont envahis de rocailles et de mauvaises herbes. Ton travail embellirait sensiblement nos robes et rendrait un peu de prestige à nos noms que ce petit Charvin à trop tendance à faire oublier dans la vallée.
– Mesdames, je ne suis pas là pour vous. Depuis mon village, vous ressemblez à trois sorcières avec vos robes noires. Dans quelques années, l’âge vous aura complètement ratatinées et seuls vos chapeaux dépasseront encore. Ce n’est pas à vous que je déclarais mon amour mais au noble et haut Messire Charvin !
– Insolent insecte malpropre ! Comment oses-tu parler ainsi de nos pierres millénaires auxquelles tu dois respect et soumission ! Il ne sera pas dis que nous nous serons laissées injurier par une petite vaurienne ! Puisque tu aimes tant ton Charvin, tu dormiras à ses côtés et tu ne te réveilleras que lorsqu’il sera devenu un petit tas de pierrailles insignifiant masqué par l’ombre de notre hauteur. Il ne te restera plus alors qu’à pleurer sur sa grandeur passée !
Ainsi fut fait et la jeune femme tomba immédiatement dans un profond sommeil, la tête posée toute proche des versants de son adoré. Mais les années passèrent, les siècles et les millénaires. Et la prophétie des sorcières ne se réalisait toujours pas. Messire Charvin, qui avait gravé dans son cœur les moindres mots de la jeune femme, voyait à l’inverse que, comme elle l’avait prédit, les trois sorcières se ratatinaient de plus en plus… Bientôt il ne resta plus que leurs chapeaux pour dépasser encore à droite du haut Mont Charvin.
Et à sa gauche, la jeune femme dort maintenant pour l’éternité, pierre parmi les pierres, montagne parmi les montagnes. Les enfants du village en contrebas l’ont appelée « la Dame allongée ».
Mais l’hiver succède à l’été. Et lorsque la neige s’installe, elle étouffe les accusations des quelques rancuniers. La Dame n’est pas morte, elle dort et rêve à son aimé. L’ambiance n’est plus la même : l’hiver transforme tout. Ces chapeaux noirs et découpés, comme les trois dernières dents de cette bouche sans âge, sont aujourd’hui recouverts du manteau blanc de l’armistice. En ce petit matin de février, elles veillent, auréolées de blanc, sur le sommeil de la Dame allongée. La paix est signée et ce silence ambiant en est le prolongement : il protège de ses bras moelleux, le sommeil de la Dame dans ses draps éclatants.
Combien d’yeux ne seront pas sensible à ce changement, à cette paix qui moutonne entre les deux ennemis d’été. Combien ne sentiront pas ce calme, cette sérénité et tout ce que nos rêves peuvent en interpréter.
Chaque paysage a une histoire et chacun la découvre comme il le souhaite. Mais toute légende trouvée sur le bord de son cœur est appelée à devenir pour soi l’écrin de cette contrée.
Beau et majestueux ais-je trouvé ce texte.
Tout est-il le fruit de ton imagination ou ces motagnes existent elles et sont elles également entourées d'une légende comme la tienne ?
Tout est-il le fruit de ton imagination ou ces motagnes existent elles et sont elles également entourées d'une légende comme la tienne ?
"motagnes" Houlà le lapsus !
C'est un beau texte Kicilou, symbolique et poétique. Il regorge d'idées et me fait penser à un tas de choses, notamment le Rocher des Trois Vierges dans l'Hérault, qui ressemble beaucoup à celui que tu racontes. Et puis aussi à la légende des amants de Teruel, Diego de Marcilla et Isabel de Segura, enterrés dans la Chapelle des Saints Médecins.
Cependant, je crois que j'aurais aimé que tu approfondisses certains aspects de ton texte, notamment détailler davantage la mauvaise volonté des trois sorcières et puis nous parler un peu plus de Charvin, présent dans le texte sans y faire grand chose. C'est plein de pistes à explorer, ça en vaudrait la peine.
Cependant, je crois que j'aurais aimé que tu approfondisses certains aspects de ton texte, notamment détailler davantage la mauvaise volonté des trois sorcières et puis nous parler un peu plus de Charvin, présent dans le texte sans y faire grand chose. C'est plein de pistes à explorer, ça en vaudrait la peine.
Beau et majestueux ais-je trouvé ce texte.
Tout est-il le fruit de ton imagination ou ces motagnes existent elles et sont elles également entourées d'une légende comme la tienne ?
Cette chaine de montagne existe: Le Charvin prolonge la chaine des Aravis, près de Mégève. C'est une semaine face à ces montagnes, que je voyais enneigées pour la première fois, qui m'a inspiré ce texte. Après, je ne connais pas de légende les concernant et je ne sais pas si les gens du pays ont, comme moi, l'habitude d'appeler les pics qui entoure le Charvin "les trois sorcières" et "la Dame allongée"...
Eh bien Kicilou, quelle belle imagination ! Je parie que la dame endormie t'a adressé un clin d'oeil lorque tu es repartie ! Juste entre vous deux !
Quand je retournerai à Crest Volland, je penserai à toi Kicilou et à ta légende. Je ne visualise pas, pour l'instant, les montagnes dont tu parles.
Légende, ça n'est pas loin de conte. Alors tu sera pardonnée de n'avoir pas conté!
J'ai trouvé ton texte bien écrit mais un peu formel. Un peu plus de chaleur (oui, en ce moment ...!) le rendrait plus ... accrocheur.
Légende, ça n'est pas loin de conte. Alors tu sera pardonnée de n'avoir pas conté!
J'ai trouvé ton texte bien écrit mais un peu formel. Un peu plus de chaleur (oui, en ce moment ...!) le rendrait plus ... accrocheur.
Quand je retournerai à Crest Volland, je penserai à toi Kicilou et à ta légende. Je ne visualise pas, pour l'instant, les montagnes dont tu parles.
Quelqu'un qui connait Crest Voland et qui a la chance de pouvoir y aller!! Si je pouvais, j'y passerais tout mon temps! Mais ce n'est pas en habitant à plus de 700 km que ça va m'arriver! Si tu y vas je pense que tu comprendras quelles sont les montagnes dont je parle...
Oh le beau texte !
On se prendrait bien un billet pour aller voir sur place. A défaut de cela, j'ai trouvé de belles photos du lieu ici:
http://emmanuel.varoquaux.free.fr/galerie.php/…
On se prendrait bien un billet pour aller voir sur place. A défaut de cela, j'ai trouvé de belles photos du lieu ici:
http://emmanuel.varoquaux.free.fr/galerie.php/…
Quelqu'un qui connait Crest Voland et qui a la chance de pouvoir y aller!! Si je pouvais, j'y passerais tout mon temps! Mais ce n'est pas en habitant à plus de 700 km que ça va m'arriver! Si tu y vas je pense que tu comprendras quelles sont les montagnes dont je parle...
très joli texte. moi qui suis de Haute Savoie, je me suis demandé si c'était une vraie légende ou pas !
Je connais bien le mont Charvin, le petit lac à ses pieds, les échelles permettant l'accès au sommet , Thônes, Manigod ...
Et oui, Bolcho, ça vaut la peine de prendre son billet et de tenter quelques ascensions dans les aravis.
Je connais bien le mont Charvin, le petit lac à ses pieds, les échelles permettant l'accès au sommet , Thônes, Manigod ...
pas d'échelles au Mont Charvin. des échelles à la Tournette, autre sommet proche d'Annecy.
j'ai un peu mélangé les deux .... :-)
très joli texte. moi qui suis de Haute Savoie, je me suis demandé si c'était une vraie légende ou pas !
Je connais bien le mont Charvin, le petit lac à ses pieds, les échelles permettant l'accès au sommet , Thônes, Manigod ...
Et oui, Bolcho, ça vaut la peine de prendre son billet et de tenter quelques ascensions dans les aravis.
Oh oui ça vaut la peine, je l'ai escaladé cet été le mont Charvin. Merci pour les photos Bolcho, j'en avais cherché aussi mais je n'en ai pas trouvée sur lesquelles on voit la ligne de crête qui m'a inspiré ce texte.
[quoteOh oui ça vaut la peine, je l'ai escaladé cet été le mont Charvin. Merci pour les photos Bolcho, j'en avais cherché aussi mais je n'en ai pas trouvée sur lesquelles on voit la ligne de crête qui m'a inspiré ce texte.
peut être ici :
http://geol-alp.com/bornes/_lieux_aravis/…
C'est cool, la Haute Savoie en été ! L'année dernière, dans les aravis, j'ai fait quelques randos du côté de la Clusaz : pointe de Tardevant, combe de Paccaly et le trou de la mouche ... ça monte bien mais quel bonheur !
peut être ici :
http://geol-alp.com/bornes/_lieux_aravis/…
C'est cool, la Haute Savoie en été ! L'année dernière, dans les aravis, j'ai fait quelques randos du côté de la Clusaz : pointe de Tardevant, combe de Paccaly et le trou de la mouche ... ça monte bien mais quel bonheur !
http://geol-alp.com/bornes/_photos_aravis_s_0/…
Il faudrait pouvoir le trouver plutôt dans cette orientation là. à gauche du mont Charvin on voit les "Aiguilles du mont" que moi j'appelle les trois sorcières. Mais la Dame allongée ne se reconnait pas vraiment à cause de la montagne derrière qui brouille les arrêtes. J'ai trouvée une photo coorecte sur un autre site mais on ne peut ni faire un lien ni la copier...
Il faudrait pouvoir le trouver plutôt dans cette orientation là. à gauche du mont Charvin on voit les "Aiguilles du mont" que moi j'appelle les trois sorcières. Mais la Dame allongée ne se reconnait pas vraiment à cause de la montagne derrière qui brouille les arrêtes. J'ai trouvée une photo coorecte sur un autre site mais on ne peut ni faire un lien ni la copier...
Bravo Kicilou, un très joli texte. J'ai beaucoup aimé l'histoire, je trouve cela très bien écrit. Très joli, très poétique... J'aime beaucoup.
Et bien ! Ce texte m'avait échappé, heureusement que Selma l'a remonté.
Kicilou, j'ai trouvé ton texte époustouflant, j'adore les légendes, et la tienne est magnifique et superbement écrite.
Si la montagne inspire autant, je crois que je ne veux pas tarder faire un petit tour dans les hauteurs...
Très très joli.
Kicilou, j'ai trouvé ton texte époustouflant, j'adore les légendes, et la tienne est magnifique et superbement écrite.
Si la montagne inspire autant, je crois que je ne veux pas tarder faire un petit tour dans les hauteurs...
Très très joli.
J'ai mangé des mots, excusez-moi "je crois que je ne vais pas tarder à faire" doit être plus facile pour la compréhension ;0)
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