(...Ces oranges aux vives couleurs bondissant dans une ruelle fraîche sous les rayons encore doux du soleil matinal avaient en elle quelque chose de joyeux, de vivant. Il l’aperçut, alors, essayant de stopper la course de ses fruits tentants.) Elle se penchait pour ramasser les oranges fugitives, sa longue chevelure frôlait le pavé poli. Il plongea son regard dans les boucles abondantes. Quelques unes des mèches auburn se jouaient du soleil. Passablement démodée, sa robe, coupée comme une toge, découvrait discrètement de longues jambes blanches, infini délice aux formes parfaites. Il resta sans voix devant l’apparition soudaine d’un visage comme il n’en avait jamais vu encore. Un visage qui incarnait la perfection, la beauté, la bonté, l’abandon, Dieu ou quelque ange perdu au milieu de nuages noirs et doux.
Plus bas, un chien hurlait, à son cou pendait une chaînette au bout de laquelle brillait une montre.
***
Sur la terrasse, Pelagia, concentrée, écoutait le jour s’installer sur la ville. Une branche de pin hachurait les rayons du soleil dessinant sur son front des rides qui n’existaient pas encore, n’existeraient jamais. Les maisons brunes, au loin, évoquaient la douceur de vivre, petites œuvres d’art ; claires au premier plan, elles s’estompaient sous des ombres légères, havre de fraîcheur. Les nuages épars, noirs et gris et blancs tout au-dessus, le lierre, l’eau des fontaines parlaient à son cœur. Elle passa la main dans ses cheveux. Un chien hurlait à la mort. Elle frissonna, se leva. Il était temps d’accomplir son devoir. L’Autre avait pris contact, elle le sentait. Elle se pencha, au-dessus du lierre, doucement, aperçut Andréa dévalant la rue pentue… Elle n’avait jamais vu la femme mais il lui semblait la connaître. Il était temps, le combat commençait. Elle s’agenouilla pour envoyer son message.
" Homme de Tout, mon Maître, Père des Pères,
comme vous l’aviez annoncé
le Bon à Rien est de retour
Il a trouvé votre protégé
sa victime
Je suis prête
J’ai commis l’imprudence
il y a quelques mois
de me présenter à Andréa sous mon vrai nom
Mais le Déchu n’a plus vingt ans
sa mémoire défaille
il n’a pas reconnu en moi
la jeune vierge qui lui avait jadis échappé à Antioche
Troisième rencontre enfin
Comme prévu
La dernière si vous m’en donnez la force
Si je suis fébrile aujourd’hui
Sachez que mon nouveau corps vous est aussi fidèle que mon âme éternelle
Inspirez-moi
Et donnez-moi le courage d’accomplir ma tâche
Mon destin
De rendre votre règne absolu "
Pelagia baissa la tête, garda le silence un instant. Elle entendait le rire clair de la femme. Son cœur s’arrêta. Elle avait l’habitude de ne recevoir aucune réponse, mais là, elle souhaitait ardemment qu’on lui envoie un signe, qu’Il la guide.
***
L’inconnue trébucha sur une orange, Andréa laissa tomber le pain, les calas, s’élança pour la retenir. Elle se fondit dans ses bras. La chaleur de son corps assomma Andréa comme une fièvre d’enfant. Le rire de la divine apparition, son odeur, sa peau s’insinuèrent dans son pauvre cerveau, délicieuse drogue. Il percevait clairement le chant de la fontaine, le vent dans les arbres, Phébus éclairait leur étreinte. Il aurait voulu la prendre dans ses bras et l’emporter loin de tout. Il la releva avec délicatesse, s’écarta doucement, troublé, faillit marcher sur les fleurs étalées sur le sol, se pencha pour les ramasser et les lui offrit. Son cœur désapprouva. Une phrase d’un livre lu quelques jours auparavant lui revint en mémoire. "Plus on est heureux et moins on prête attention à son bonheur". Sur le moment, il s’était exclamé Pas moi, pas moi… et avait continué sa lecture en souriant. Maintenant il doutait, se demandait pourquoi il avait offert à une autre les fleurs destinées à son aimée ? Comment le bonheur d’hier, si fort, pouvait laisser place à un désir, plus puissant encore, désir de plonger dans un avenir incertain, bafouant la pureté d'un passé délicieux ? Frêle esquif emporté par une tempête monstrueuse, il était prêt à s’échouer, à se perdre dans les yeux de glace de l’inconnue dont le rire évoquait le chant des …
Plus bas, un chien hurlait, à son cou pendait une chaînette au bout de laquelle brillait une montre.
***
Sur la terrasse, Pelagia, concentrée, écoutait le jour s’installer sur la ville. Une branche de pin hachurait les rayons du soleil dessinant sur son front des rides qui n’existaient pas encore, n’existeraient jamais. Les maisons brunes, au loin, évoquaient la douceur de vivre, petites œuvres d’art ; claires au premier plan, elles s’estompaient sous des ombres légères, havre de fraîcheur. Les nuages épars, noirs et gris et blancs tout au-dessus, le lierre, l’eau des fontaines parlaient à son cœur. Elle passa la main dans ses cheveux. Un chien hurlait à la mort. Elle frissonna, se leva. Il était temps d’accomplir son devoir. L’Autre avait pris contact, elle le sentait. Elle se pencha, au-dessus du lierre, doucement, aperçut Andréa dévalant la rue pentue… Elle n’avait jamais vu la femme mais il lui semblait la connaître. Il était temps, le combat commençait. Elle s’agenouilla pour envoyer son message.
" Homme de Tout, mon Maître, Père des Pères,
comme vous l’aviez annoncé
le Bon à Rien est de retour
Il a trouvé votre protégé
sa victime
Je suis prête
J’ai commis l’imprudence
il y a quelques mois
de me présenter à Andréa sous mon vrai nom
Mais le Déchu n’a plus vingt ans
sa mémoire défaille
il n’a pas reconnu en moi
la jeune vierge qui lui avait jadis échappé à Antioche
Troisième rencontre enfin
Comme prévu
La dernière si vous m’en donnez la force
Si je suis fébrile aujourd’hui
Sachez que mon nouveau corps vous est aussi fidèle que mon âme éternelle
Inspirez-moi
Et donnez-moi le courage d’accomplir ma tâche
Mon destin
De rendre votre règne absolu "
Pelagia baissa la tête, garda le silence un instant. Elle entendait le rire clair de la femme. Son cœur s’arrêta. Elle avait l’habitude de ne recevoir aucune réponse, mais là, elle souhaitait ardemment qu’on lui envoie un signe, qu’Il la guide.
***
L’inconnue trébucha sur une orange, Andréa laissa tomber le pain, les calas, s’élança pour la retenir. Elle se fondit dans ses bras. La chaleur de son corps assomma Andréa comme une fièvre d’enfant. Le rire de la divine apparition, son odeur, sa peau s’insinuèrent dans son pauvre cerveau, délicieuse drogue. Il percevait clairement le chant de la fontaine, le vent dans les arbres, Phébus éclairait leur étreinte. Il aurait voulu la prendre dans ses bras et l’emporter loin de tout. Il la releva avec délicatesse, s’écarta doucement, troublé, faillit marcher sur les fleurs étalées sur le sol, se pencha pour les ramasser et les lui offrit. Son cœur désapprouva. Une phrase d’un livre lu quelques jours auparavant lui revint en mémoire. "Plus on est heureux et moins on prête attention à son bonheur". Sur le moment, il s’était exclamé Pas moi, pas moi… et avait continué sa lecture en souriant. Maintenant il doutait, se demandait pourquoi il avait offert à une autre les fleurs destinées à son aimée ? Comment le bonheur d’hier, si fort, pouvait laisser place à un désir, plus puissant encore, désir de plonger dans un avenir incertain, bafouant la pureté d'un passé délicieux ? Frêle esquif emporté par une tempête monstrueuse, il était prêt à s’échouer, à se perdre dans les yeux de glace de l’inconnue dont le rire évoquait le chant des …
une petite note éclairante ?
Pélagie (Pelagia) :
. Pélagie (9 juin), martyre à Antioche, actuellement Antakia, en Syrie, en 304 (283), à 15 ans, se jeta du haut de sa maison alors qu'on venait l'arrêter comme chrétienne (ou pour échapper à un magistrat libidineux). Nom issu du grec "pelagos" (pleine mer). Fête le 9 juin.
. Pélagie (8 octobre), née à Antioche vers 430, appelée Marguerite, s'engagea dans une troupe de comédiennes à Antioche, morte près de Jérusalem vers 457. Convertie par un sermon de Nonnus, évêque d'Edesse, ville de Mésopotamie septentrionale, en 453. Elle se retira sur le mont des Oliviers où elle vécut en pénitente jusqu'en 457. Fête le 8 octobre.
Pélagie (Pelagia) :
. Pélagie (9 juin), martyre à Antioche, actuellement Antakia, en Syrie, en 304 (283), à 15 ans, se jeta du haut de sa maison alors qu'on venait l'arrêter comme chrétienne (ou pour échapper à un magistrat libidineux). Nom issu du grec "pelagos" (pleine mer). Fête le 9 juin.
. Pélagie (8 octobre), née à Antioche vers 430, appelée Marguerite, s'engagea dans une troupe de comédiennes à Antioche, morte près de Jérusalem vers 457. Convertie par un sermon de Nonnus, évêque d'Edesse, ville de Mésopotamie septentrionale, en 453. Elle se retira sur le mont des Oliviers où elle vécut en pénitente jusqu'en 457. Fête le 8 octobre.
J'ai du relire pour bien comprendre et faire quelques recherches pour Antioche.
Mais au final : bravo ! Je n'ai pas ressenti de rupture avec les 2 épisodes précédents.
Rome toujours omniprésente, le combat du bien et du mal, l'amour ... Ah, ça me semble vraiment bien parti ce MM3, bourré de référence culturelle !!
ça me plait vraiment ! mais snif, j'ai déjà écrit ma partie !
enfin, vivement le 4ème épisode.
Juste une petite remarque sans intérêt : c'est marrant, je ne l'aurai pas vu auburn, Adalgisa ;-)
Mais au final : bravo ! Je n'ai pas ressenti de rupture avec les 2 épisodes précédents.
Rome toujours omniprésente, le combat du bien et du mal, l'amour ... Ah, ça me semble vraiment bien parti ce MM3, bourré de référence culturelle !!
ça me plait vraiment ! mais snif, j'ai déjà écrit ma partie !
enfin, vivement le 4ème épisode.
Juste une petite remarque sans intérêt : c'est marrant, je ne l'aurai pas vu auburn, Adalgisa ;-)
Merci Charles :-)
bon!
puisqu'on en est aux éclaircissement, la citation est tirée du "mépris" de Moravia, publié en 1954. Petit bonheur de lecture... mais je vous conseille surtout "l'ennui" du même auteur
bon!
puisqu'on en est aux éclaircissement, la citation est tirée du "mépris" de Moravia, publié en 1954. Petit bonheur de lecture... mais je vous conseille surtout "l'ennui" du même auteur
ça me plait vraiment ! mais snif, j'ai déjà écrit ma partie !
enfin, vivement le 4ème épisode.
je ressens la même chose, orphelin, je regrette presque d'avoir posté si tôt...mais je crois qu'il y a plusieurs tours... avant le MM4.
Et puis les variations sur les contes de Perrine sont là pour nous occuper (tu lance un fuseau Yali?)
Juste une petite remarque sans intérêt : c'est marrant, je ne l'aurai pas vu auburn, Adalgisa ;-)
Avec la peinture fraîche, les premières impressions sont parfois trompeuses
Ouf! C'est moi qui commence à avoir peur maintenant! Ca part très très fort et très très haut.
Que dire Killgrieg? Que dire?
Rien. C'est très bien. Vous 3 au démarrage vous avez vraiment fait fort.
Ton tour fini, oui. Mais probablement qu'il va revenir. Au précédent il y avait eu 3 ou 4 tours. Tout dépendra de la manière dont tout cela va vivre.
Merci encore pour l'efficacité, la rapidité et la pierre apportée à l'édifice.
Que dire Killgrieg? Que dire?
Rien. C'est très bien. Vous 3 au démarrage vous avez vraiment fait fort.
Ton tour fini, oui. Mais probablement qu'il va revenir. Au précédent il y avait eu 3 ou 4 tours. Tout dépendra de la manière dont tout cela va vivre.
Merci encore pour l'efficacité, la rapidité et la pierre apportée à l'édifice.
Qu'il existe des hommes volages... Pauvre Andrea :)
Pfiouuu Killgrieg, tu places la barre très haut!
Toujours chez moi cette même impression de fluidité dans le style et puis cette continuité entre les épisodes, pas de cassure, c'est très agréable.
Un MM culturel, c'est pas mal! Il va falloir que je révise mes connaissances.
J'aime bien ton texte Killgrieg et je l'aurais encore plus aimé si la première partie avait été plus étoffée. On perçoit très bien la beauté de cette apparition et l'émoi qu'elle provoque chez Andrea. On le perçoit justement si bien que c'est bon et qu'on en redemande :)
Et toujours cette ambiance mystérieuse que tu as préservée. Cet affrontement jusqu'à présent tacite entre les deux femmes. On sent tout cela qui gronde, prêt à exploser, ça insuffle de la tension au récit.
Bravo et merci Killgrieg.
Pfiouuu Killgrieg, tu places la barre très haut!
Toujours chez moi cette même impression de fluidité dans le style et puis cette continuité entre les épisodes, pas de cassure, c'est très agréable.
Un MM culturel, c'est pas mal! Il va falloir que je révise mes connaissances.
J'aime bien ton texte Killgrieg et je l'aurais encore plus aimé si la première partie avait été plus étoffée. On perçoit très bien la beauté de cette apparition et l'émoi qu'elle provoque chez Andrea. On le perçoit justement si bien que c'est bon et qu'on en redemande :)
Et toujours cette ambiance mystérieuse que tu as préservée. Cet affrontement jusqu'à présent tacite entre les deux femmes. On sent tout cela qui gronde, prêt à exploser, ça insuffle de la tension au récit.
Bravo et merci Killgrieg.
Oh Bordel ?! Un peu oui, que ça ce tient !!!
Suis pas très à l’aise-là, (mais je dois pas être le seul) l’atmosphère est à se point rendue que nettement je la vois qui me décoche un clin d’œil, s’avance et dit :
— Tu montes beau gosse* ?
Et moi de lui répondre la vérité :
— Je sais pas si je saurais faire Madame.
* Je me rassure, un peu.
Suis pas très à l’aise-là, (mais je dois pas être le seul) l’atmosphère est à se point rendue que nettement je la vois qui me décoche un clin d’œil, s’avance et dit :
— Tu montes beau gosse* ?
Et moi de lui répondre la vérité :
— Je sais pas si je saurais faire Madame.
* Je me rassure, un peu.
Killgrieg, ma première impression se confirme:tu es impressionnant! tu es un écrivain, déjà, et ne proteste pas, la graine a déjà germé. L'écriture est magnifique, les descriptions sont toutes en nuances avec un vocabulaire chatié sans grandiloquence. Je ne parlerai pas du fond, ça c'est encore trop difus (confus?), mais alors pour la forme, je suis estomaqué. Maîtrise de la langue et de la technique, style déjà affirmé, tous les ingrédients sont là pour que tu ailles loin. Ne fais pas le modeste et ne proteste pas please! Joli épisode.
— Tu montes beau gosse* ?
Et moi de lui répondre la vérité :
— Je sais pas si je saurais faire Madame.
* Je me rassure, un peu.
:0)))
Vous parlez d'un départ, vous êtes marrant mais il faut réussir à prendre la suite après...
Bon, en tout cas, c'est excellent, toujours beaucoup de style Killgrieg, beaucoup de visuel, et du beau.
De très belles descriptions, surtout au niveau des personnages.
Je suis obsédée par ces ruelles et ces fontaines, j'vous le dit, après le MM, je cours m'acheter un billet d'avion ;0)
Pour les référence culturelle, je vous préviens, je ne vais pas faire avancer le shmilblik (ça s'écrit comme ça, ça ?) :0)))
Bonne idée, l'histoire du chien, des incantations, ça donne un côté un peu...fantastique n'est pas le mot, mais bon vous voyez ce que je veux dire, qui me plait bien.
Donc, très bon épisode encore (bonne continuation avec les deux premiers en plus) tant sur le fond que sur la forme.
C'est vrai qu'il commence fort, le MM, très fort.
Bon courage à Kilis :0)
aaaaaaaaaaaaahhhhhhhh! c'est affreux, depuis ce matin je meurs d'envie de souffler une piste, je sais, c'est pas du jeu! en plus le bébé est entre de bonnes mains, mais... AAaaaahhhh
Kilis t'oublies pas de bien lui talquer les fesses, stp
Kilis t'oublies pas de bien lui talquer les fesses, stp
silence Killgrieg, il ne faut plus rien dire au sujet de la suite! Kilis se débrouillera, t'en fais pas.
je sais, je sais, mais....AAAAAaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
Héhé, faut se contenir, Killgrieg, tu crois pas que j'avais envie de donner une piste aussi, moi? ;o) Pas facile de se brider...
J'aime beaucoup ton épisode, ton style sans accroc, visuel et "senti". Ca avance, les personnages prennent forme, tout en respectant les deux précédents. Bravo, oui!!
J'aime beaucoup ton épisode, ton style sans accroc, visuel et "senti". Ca avance, les personnages prennent forme, tout en respectant les deux précédents. Bravo, oui!!
Héhé, faut se contenir, Killgrieg, tu crois pas que j'avais envie de donner une piste aussi, moi?quote]
je sais, je sais, mais aahhhhh
l'enthousiasme de Killgrieg me plaît bien :)
l'enthousiasme de Killgrieg me plaît bien :)
J'ai dix ans
je sais que c'est pas vrai
mais j'ai dix ans
:-))
Beaucoup d’élégance dans ton écriture Killgrieg, élégance que je ressens aussi par ailleurs, dans tes interventions sur le site.
Dans tes textes, j’apprécie ta façon d’évoquer, de suggérer une ambiance, des images plutôt que de décrire, donnant ainsi l’occasion au lecteur de se faire son propre cinéma, Cinecitta en l’occurrence…
Voilà, la barre est placée haut avec ces 3 premiers épisodes… bon, me reste plus qu’à tenter de l’atteindre… vite un tabouret, une escabelle, un escabeau…
Dans tes textes, j’apprécie ta façon d’évoquer, de suggérer une ambiance, des images plutôt que de décrire, donnant ainsi l’occasion au lecteur de se faire son propre cinéma, Cinecitta en l’occurrence…
Voilà, la barre est placée haut avec ces 3 premiers épisodes… bon, me reste plus qu’à tenter de l’atteindre… vite un tabouret, une escabelle, un escabeau…
Décidément, c'est le grand style qui continue, le style "Grand'Siècle" !
(ha ! ha ! je me réjouis de voir Yali en "Grand'Siècle" ! ;-))
Et pour l'histoire, hem ! hem ! ça se complique ! Le mystère s'épaissit, va falloir s'accrocher !
Faut dire qu'on a déjà des éclaircissements, grâce à Charles, au sujet de Pélagie ! ;-)) ! ;-))
(Charles, tu sais, ça : ;-)) ça veut dire c'est pour rigoler, hein !)
(ha ! ha ! je me réjouis de voir Yali en "Grand'Siècle" ! ;-))
Et pour l'histoire, hem ! hem ! ça se complique ! Le mystère s'épaissit, va falloir s'accrocher !
Faut dire qu'on a déjà des éclaircissements, grâce à Charles, au sujet de Pélagie ! ;-)) ! ;-))
(Charles, tu sais, ça : ;-)) ça veut dire c'est pour rigoler, hein !)
Superbe!! Vraiment très bien écrit, et beau! J'ai adoré.
Le message (prière?) de Pélagia est de toute beauté, et le reste aussi. Je suis impressionnée.
Ce MM3 prend une allure bien esthétique. J'aime bien cela également. Moi je dirais plutôt "esthétique" que "culturel" pour qualifier ce qui arrive à notre MM. C'est amusant comme les MM se suivent, avec pratiquement les mêmes participants, et ne se ressemblent pas.
Grieg, tu voulais une occasion d'écrire dans un style qui te serait inhabituel, tu l'as eue il me semble, et tu en as drôlement bien tiré parti. A mon avis, tu aurais tout intérêt à ne pas trop te cantonner à "ton style" habituel quand je vois ce que tu fais d'autre. Contente de te compter parmi nous pour ce MM3
PS KIlis: Tu n'as pas besoin d'escabeau pour atteindre l'élégance
Le message (prière?) de Pélagia est de toute beauté, et le reste aussi. Je suis impressionnée.
Ce MM3 prend une allure bien esthétique. J'aime bien cela également. Moi je dirais plutôt "esthétique" que "culturel" pour qualifier ce qui arrive à notre MM. C'est amusant comme les MM se suivent, avec pratiquement les mêmes participants, et ne se ressemblent pas.
Grieg, tu voulais une occasion d'écrire dans un style qui te serait inhabituel, tu l'as eue il me semble, et tu en as drôlement bien tiré parti. A mon avis, tu aurais tout intérêt à ne pas trop te cantonner à "ton style" habituel quand je vois ce que tu fais d'autre. Contente de te compter parmi nous pour ce MM3
PS KIlis: Tu n'as pas besoin d'escabeau pour atteindre l'élégance
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