Toujours là, Sib, on va on vient, difficile de quitter nos joyeux sonnets!
Bonne nuit à tous! Faites de beaux rêves :-).
Je ferme la boutique, tout le monde dehors! Et bonne nuit tout le monde (bonne soirée à toi, Fée Carabine!)!!
Bonsoir, Blue, Fée, Benoit ey faites de beaux rêves ;-)
Qui a collé ce y si près du t?
Bonsoir et merci Sibylline !
Comme d'hab, laissons la porte ouverte, pour les retardataires et les fêtarts du samedi, ils sont les bienvenus, on les attend même, question de remonter un peu le niveau !
Hem ! hem ! Ce sera difficile ! ;-) ;-)) !
Allez j'ai les yeux qui papillottent, aux plumes, bonsoir à tous et toutes et à demain.
Comme d'hab, laissons la porte ouverte, pour les retardataires et les fêtarts du samedi, ils sont les bienvenus, on les attend même, question de remonter un peu le niveau !
Hem ! hem ! Ce sera difficile ! ;-) ;-)) !
Allez j'ai les yeux qui papillottent, aux plumes, bonsoir à tous et toutes et à demain.
Je ferme la boutique, tout le monde dehors! Et bonne nuit tout le monde (bonne soirée à toi, Fée Carabine!)!!
Merci Benoit, et bonne soirée à toi aussi !
salut à tous,
je ne peux pas participer ce soir, et suis juste venu vous souhaiter une bonne soirée et de beaux vers.
Tu vois qu'il la dit, Sib!
Oui, je vois, mais je n'avais pas vu et je ne trouve pas où il a posté cela. Un mystère pour moi...
Ca y est, j'ai trouvé. Je devais être en train de taper quand c'est passé. Bon, je peux me coucher tranquille. Bonne nuit
Bonne nuit Sib et merci pour cette bonne soirée.
Moins de 20 minutes chrono. Pas vraiment Baudelairien!
M'en revenant du zoo
Me fiant à mon étoile
J'avais mal à la moelle
Pas branché au réseau
L'air sortant des naseaux
Ne bougeant pas un poil
Affûté tel un squale
Il pointa son museau
Parti en vinaigrette
Ca finit allumette
Dans un boucan d'étain
Où était la sourdine
Barrée en Argentine
Il me mit un patin.
M'en revenant du zoo
Me fiant à mon étoile
J'avais mal à la moelle
Pas branché au réseau
L'air sortant des naseaux
Ne bougeant pas un poil
Affûté tel un squale
Il pointa son museau
Parti en vinaigrette
Ca finit allumette
Dans un boucan d'étain
Où était la sourdine
Barrée en Argentine
Il me mit un patin.
Un joli sonnet, Tistou, simple, épuré, mais j'aime beaucoup le rythme. Et bien, nous n'avons pas chômé, ce soir!
Bonne nuit à tous!
Bonne nuit à tous!
Les sonnets
Kilis
Mais qu’est-ce que je fous dans ce zoo
Où est passée ma bonne étoile
Y vont m’avoir jusqu’à la moelle
J’peux pas appeler y a plus d’réseau
Ca sent les keufs à plein naseaux
Et les sirènes m’hérissent le poil
C’est la peau lisse comme un squale
Faut qu’je fasse gaffe à mon museau
Qui s’le fassent pas en vinaigrette
C’est pas la peine de dire j’regrette
D’se foutre la tête dans l’pot d’étain
Ferme ta gueule mets la sourdine
Joue la tango, zique argentine
Vas-y molo mets les patins
Saint Jean-Baptiste
Nounours était un ours tôt échappé du zoo
Il était jeune et beau, le nez dans les étoiles
Il se sentait heureux, amoureux jusqu'aux moelles
Il ne communiquait ni n'avait de réseau
Il respirait la vie et l'air par les naseaux
Il s'était fait tout beau, s'était lustré le poil
Il ne craignait personne si ce n'était le squale
Il se curait les ongles, se léchait le museau
Mais sa compagne était revêche et vinaigrette
Pas du genre allumeuse, pas du genre allumette
Il avait le cœur tendre et elle un cœur d'étain
Alors, tel l'infidèle il s'enfuit en sourdine
On le revit un jour au bout de l'Argentine
Avec une autre oursette il filait des patins
Sibylline
La grande ourse, la petite ourse, c’est un zoo
Géant que nous font, tout là haut, les étoiles
Je les regarde ainsi en me gelant la moelle
J’admire leur parcours étalé en réseau.
La grande ourse là-bas qui souffle des naseaux
N’a, sur toute sa personne, pas davantage de poil
Que n’en a, tout au fond des océans, le squale
Qui parmi les hauts fonds farfouille du museau
C’est dehors que je déguste ma vinaigrette
A la terrasse où bientôt, une allumette
A enflammé la chandelle du bougeoir d’étain
Une musique douce, tout au fond, en sourdine
Fait entendre de tous sa chanson argentine
Tandis que sur la piste, on glisse comme en patin
Yali
Viens-là N’animal de Zoo
Viens-là ma belle Etoile
Que j’te météorite, que j’te moelle
Que jt’e sonde, mise en réseau
Que j’t’explore au fouille naseaux
Que j’te lisse à contre poil
Que j’te nageoire en squale
Que que j’te dévore à coups de museau
Viens que j’te sauce en vinaigrette
Viens que j’te chauffe allumette
Chauffe allumette et puis t’Etain
Viens qu’on se chauffe, et puis sourdine
Viens te coller sœur Argentine
Baldaquin, câlin, couffin, patin…
Mae West
les Hyènes rient dans le zoo
sous l' éclat d'encre des étoiles
leur cri glaçe-sang jusqu'à moelle
s'étend en un hideux réseau
les Yacks soufflent avec leurs naseaux
blancheurs de brumes sur leur poil
tandis qu' en l'aquarium le squale
songe à déchirer leurs museaux
fragile elle devine, aigrette
perchée sur pattes d' allumette,
sous la lune aux pâleurs d'étain
l'écho que renvoie en sourdine
sur les eaux de glace argentine
le cri crissant comme un patin
Fée carabine
Héra aux yeux de vache s'en allait au zoo
le coeur brisé, la tête dans les étoiles
de ses os fins, la jalousie suçait la moelle
et de ses soupçons se resserrait le réseau.
Et pendant ce temps, Zeus caressait les naseaux
de la trop belle Europe dans le sens du poil
et d'y penser, Héra, féroce comme un squale
de sa rivale voudrait mordre le museau.
C'est que le vin doux tourne à la vinaigrette
quand un mari volage à la moindre alumette
s'enflamme et que ses voeux sont piécettes d'étain.
Mais voici qu'Héra, sa colère en sourdine
exile la pauvre Europe en Argentine
Et à son Zeus chéri roule un fougueux patin!
Blue
Un dodo s’en allait du zoo,
Courbant le dos sous les étoiles,
Transi de froid jusqu’à la moelle
Voulant échapper au réseau
D’une mafia de longs naseaux
Et autres bêtes de tout poil.
Il parait même qu’un vieux squale
Mène les loups par le museau.
Traîtres montés en vinaigrette,
Ou queues brûlées à l’allumette,
Servies dans un grand plat d’étain…
Il vaut mieux la mettre en sourdine
Et filer droit en Argentine,
Où les dodos font du patin.
et :
Derrière moi, y a le zoo
Et au-dessus, y a les étoiles.
La mélancolie dans la moelle.
Je fais plus partie du réseau.
Quand j’hume l’air à pleins naseaux,
La vie m’reprend au quart de poil
Mais je traîne comme un vieux squale,
Baissant la tête et le museau.
Ma vie est comme vinaigrette.
Mon cœur une vieille allumette
Mon corps une armure d’étain.
Les autres me mettent en sourdine,
Pourtant j’vis pas en Argentine.
Oublions : j’enfile mes patins…
Tistou
M'en revenant du zoo
Me fiant à mon étoile
J'avais mal à la moelle
Pas branché au réseau
L'air sortant des naseaux
Ne bougeant pas un poil
Affûté tel un squale
Il pointa son museau
Parti en vinaigrette
Ça finit allumette
Dans un boucan d'étain
Où était la sourdine
Barrée en Argentine
Il me mit un patin.
Kilis
Mais qu’est-ce que je fous dans ce zoo
Où est passée ma bonne étoile
Y vont m’avoir jusqu’à la moelle
J’peux pas appeler y a plus d’réseau
Ca sent les keufs à plein naseaux
Et les sirènes m’hérissent le poil
C’est la peau lisse comme un squale
Faut qu’je fasse gaffe à mon museau
Qui s’le fassent pas en vinaigrette
C’est pas la peine de dire j’regrette
D’se foutre la tête dans l’pot d’étain
Ferme ta gueule mets la sourdine
Joue la tango, zique argentine
Vas-y molo mets les patins
Saint Jean-Baptiste
Nounours était un ours tôt échappé du zoo
Il était jeune et beau, le nez dans les étoiles
Il se sentait heureux, amoureux jusqu'aux moelles
Il ne communiquait ni n'avait de réseau
Il respirait la vie et l'air par les naseaux
Il s'était fait tout beau, s'était lustré le poil
Il ne craignait personne si ce n'était le squale
Il se curait les ongles, se léchait le museau
Mais sa compagne était revêche et vinaigrette
Pas du genre allumeuse, pas du genre allumette
Il avait le cœur tendre et elle un cœur d'étain
Alors, tel l'infidèle il s'enfuit en sourdine
On le revit un jour au bout de l'Argentine
Avec une autre oursette il filait des patins
Sibylline
La grande ourse, la petite ourse, c’est un zoo
Géant que nous font, tout là haut, les étoiles
Je les regarde ainsi en me gelant la moelle
J’admire leur parcours étalé en réseau.
La grande ourse là-bas qui souffle des naseaux
N’a, sur toute sa personne, pas davantage de poil
Que n’en a, tout au fond des océans, le squale
Qui parmi les hauts fonds farfouille du museau
C’est dehors que je déguste ma vinaigrette
A la terrasse où bientôt, une allumette
A enflammé la chandelle du bougeoir d’étain
Une musique douce, tout au fond, en sourdine
Fait entendre de tous sa chanson argentine
Tandis que sur la piste, on glisse comme en patin
Yali
Viens-là N’animal de Zoo
Viens-là ma belle Etoile
Que j’te météorite, que j’te moelle
Que jt’e sonde, mise en réseau
Que j’t’explore au fouille naseaux
Que j’te lisse à contre poil
Que j’te nageoire en squale
Que que j’te dévore à coups de museau
Viens que j’te sauce en vinaigrette
Viens que j’te chauffe allumette
Chauffe allumette et puis t’Etain
Viens qu’on se chauffe, et puis sourdine
Viens te coller sœur Argentine
Baldaquin, câlin, couffin, patin…
Mae West
les Hyènes rient dans le zoo
sous l' éclat d'encre des étoiles
leur cri glaçe-sang jusqu'à moelle
s'étend en un hideux réseau
les Yacks soufflent avec leurs naseaux
blancheurs de brumes sur leur poil
tandis qu' en l'aquarium le squale
songe à déchirer leurs museaux
fragile elle devine, aigrette
perchée sur pattes d' allumette,
sous la lune aux pâleurs d'étain
l'écho que renvoie en sourdine
sur les eaux de glace argentine
le cri crissant comme un patin
Fée carabine
Héra aux yeux de vache s'en allait au zoo
le coeur brisé, la tête dans les étoiles
de ses os fins, la jalousie suçait la moelle
et de ses soupçons se resserrait le réseau.
Et pendant ce temps, Zeus caressait les naseaux
de la trop belle Europe dans le sens du poil
et d'y penser, Héra, féroce comme un squale
de sa rivale voudrait mordre le museau.
C'est que le vin doux tourne à la vinaigrette
quand un mari volage à la moindre alumette
s'enflamme et que ses voeux sont piécettes d'étain.
Mais voici qu'Héra, sa colère en sourdine
exile la pauvre Europe en Argentine
Et à son Zeus chéri roule un fougueux patin!
Blue
Un dodo s’en allait du zoo,
Courbant le dos sous les étoiles,
Transi de froid jusqu’à la moelle
Voulant échapper au réseau
D’une mafia de longs naseaux
Et autres bêtes de tout poil.
Il parait même qu’un vieux squale
Mène les loups par le museau.
Traîtres montés en vinaigrette,
Ou queues brûlées à l’allumette,
Servies dans un grand plat d’étain…
Il vaut mieux la mettre en sourdine
Et filer droit en Argentine,
Où les dodos font du patin.
et :
Derrière moi, y a le zoo
Et au-dessus, y a les étoiles.
La mélancolie dans la moelle.
Je fais plus partie du réseau.
Quand j’hume l’air à pleins naseaux,
La vie m’reprend au quart de poil
Mais je traîne comme un vieux squale,
Baissant la tête et le museau.
Ma vie est comme vinaigrette.
Mon cœur une vieille allumette
Mon corps une armure d’étain.
Les autres me mettent en sourdine,
Pourtant j’vis pas en Argentine.
Oublions : j’enfile mes patins…
Tistou
M'en revenant du zoo
Me fiant à mon étoile
J'avais mal à la moelle
Pas branché au réseau
L'air sortant des naseaux
Ne bougeant pas un poil
Affûté tel un squale
Il pointa son museau
Parti en vinaigrette
Ça finit allumette
Dans un boucan d'étain
Où était la sourdine
Barrée en Argentine
Il me mit un patin.
Sahkti, je pense à toi. Tu nous rejoins quand tu veux. Il n'y a aucune limite de temps. ;-))
Désolée pour le retard. Je ne lis pas vos sonnets avant d'avoir terminé le mien, histoire de ne pas être influencée. Je commente juste après.
Alors voilà, 18 minutes selon l'horloge de mon ordi.
Sigmund Freud aimait passer ses nuits au zoo
Non pas pour dormir à la belle étoile
Mais pour y recueillir un peu de moelle
Destinée à nourrir un obscur réseau
Il aimait flatter les fébriles naseaux
Caresser les bêtes dans le sens du poil
Il se méfiait cependant du vieux squale
Celui-ci ne témoignait pas bon museau
Une salade de moelle en vinaigrette
Chandelles dansant grâce aux allumettes
Festin royal déposé sur plat d'étain
Mélodie enivrante en sourdine
Teintée de la chaleur de l'Argentine
Belle comme une fée perchée sur patins
Alors voilà, 18 minutes selon l'horloge de mon ordi.
Sigmund Freud aimait passer ses nuits au zoo
Non pas pour dormir à la belle étoile
Mais pour y recueillir un peu de moelle
Destinée à nourrir un obscur réseau
Il aimait flatter les fébriles naseaux
Caresser les bêtes dans le sens du poil
Il se méfiait cependant du vieux squale
Celui-ci ne témoignait pas bon museau
Une salade de moelle en vinaigrette
Chandelles dansant grâce aux allumettes
Festin royal déposé sur plat d'étain
Mélodie enivrante en sourdine
Teintée de la chaleur de l'Argentine
Belle comme une fée perchée sur patins
Et merci pour l'invitation Sib, ça me fait plaisir.
Bravo Sahkti. Tu le verras en lisant les autres, tu as eu une idée tout à fait originale. Tu l'as également fort bien défendue. Mes amitiés à M. Freud.
Alors mes commentaires sur vos sonnets:
KILIS:
Hé hé! Bien rythmé et joliment endiablé dis donc. Du vrai rap poétique, très chantant. je retrouve ton talent poétique, mais dans un autre style cette fois, plus vif, plus musical. En le relisant, j'avais envie de claquer des doigts en le fredonnant.
SJB:
Fameux! J'aime beaucoup ton texte, c'est plein de vie, de bonne humeur et de morale pas morale. Quelques passages m'ont bien plu: "amoureux jusqu'aux moelles" et "revêche et vinaigrette". Toute une histoire qu'une femme vinaigrette!
SIBYLLINE:
C'est un beau parallèle que tu dresses là entre l'espace et le monde animal. Ce sont d'ailleurs ces deux premiers paragraphes que je préfère dans le texte, je les trouve davantage poétique, même si la transition de fin est très réussie, les mots glissent bien (c'est le cas de le dire!)
YALI:
Un autre texte bien rythmé, dans lequel je ne retrouve pas la musicalité de celui de Kilis, mais la même vivacité. Des mots qui sonnent bien, s'enchaînent sans heurts.
"Viens que j'te sauce en vinaigrette", hmmm, un régal!
Tout tout petit bémol pour la dernière phrase cependant, j'aurais aimé une "vraie" phrase et pas une succession de mots.
MAE WEST:
Je lis ce texte comme deux parties distinctes, pas vraiment séparées mais pas non plus liées. La première partie (deux premières strophes) me plaît plus que la seconde, il y a un rythme plus emporté et davantage de sens ou de symboles qui se dessinent dans ma tête. C'est en tout cas un bel alignement de mots, sans heurts, avec une histoire derrière tout ça.
FEE:
Petite merveille Fée, j'aime beaucoup! Du style, de la poésie, de la force, un récit qui se tient, pas de coupures bravo. L'occasion de constater qu'avec des mots identiques, on peut raconter quelque chose de tout à fait différent, c'est ça aussi le plaisir des sonnets.
BLUEWITCH:
Le premier m'a fait sourire, malgré son côté un peu pathétique. C'est tendre et touchant, j'ai eu de suite envie de protéger ce petit dodo : )
Le second texte me touche aussi, mais pas de la même manière. Son propos est plus grave, plus profond, c'est une autre forme de la souffrance humaine que tu traduis bien.
Tes deux sonnets me plaisent, même si le premier remporte mes faveurs. J'admire aussi ta rapidité pour écrire deux sonnets de cette qualité en si peu de temps!
TISTOU:
A part les trois lignes de la fin que j'aime un peu moins, le reste du texte me plaît à cause de sa simplicité. Une histoire racontée sans chichi, qui mélange rythme des mots et sens. Peut-être pas à mes yeux le meilleur sous ta plume Tistou, mais bien agréable tout de même!
KILIS:
Hé hé! Bien rythmé et joliment endiablé dis donc. Du vrai rap poétique, très chantant. je retrouve ton talent poétique, mais dans un autre style cette fois, plus vif, plus musical. En le relisant, j'avais envie de claquer des doigts en le fredonnant.
SJB:
Fameux! J'aime beaucoup ton texte, c'est plein de vie, de bonne humeur et de morale pas morale. Quelques passages m'ont bien plu: "amoureux jusqu'aux moelles" et "revêche et vinaigrette". Toute une histoire qu'une femme vinaigrette!
SIBYLLINE:
C'est un beau parallèle que tu dresses là entre l'espace et le monde animal. Ce sont d'ailleurs ces deux premiers paragraphes que je préfère dans le texte, je les trouve davantage poétique, même si la transition de fin est très réussie, les mots glissent bien (c'est le cas de le dire!)
YALI:
Un autre texte bien rythmé, dans lequel je ne retrouve pas la musicalité de celui de Kilis, mais la même vivacité. Des mots qui sonnent bien, s'enchaînent sans heurts.
"Viens que j'te sauce en vinaigrette", hmmm, un régal!
Tout tout petit bémol pour la dernière phrase cependant, j'aurais aimé une "vraie" phrase et pas une succession de mots.
MAE WEST:
Je lis ce texte comme deux parties distinctes, pas vraiment séparées mais pas non plus liées. La première partie (deux premières strophes) me plaît plus que la seconde, il y a un rythme plus emporté et davantage de sens ou de symboles qui se dessinent dans ma tête. C'est en tout cas un bel alignement de mots, sans heurts, avec une histoire derrière tout ça.
FEE:
Petite merveille Fée, j'aime beaucoup! Du style, de la poésie, de la force, un récit qui se tient, pas de coupures bravo. L'occasion de constater qu'avec des mots identiques, on peut raconter quelque chose de tout à fait différent, c'est ça aussi le plaisir des sonnets.
BLUEWITCH:
Le premier m'a fait sourire, malgré son côté un peu pathétique. C'est tendre et touchant, j'ai eu de suite envie de protéger ce petit dodo : )
Le second texte me touche aussi, mais pas de la même manière. Son propos est plus grave, plus profond, c'est une autre forme de la souffrance humaine que tu traduis bien.
Tes deux sonnets me plaisent, même si le premier remporte mes faveurs. J'admire aussi ta rapidité pour écrire deux sonnets de cette qualité en si peu de temps!
TISTOU:
A part les trois lignes de la fin que j'aime un peu moins, le reste du texte me plaît à cause de sa simplicité. Une histoire racontée sans chichi, qui mélange rythme des mots et sens. Peut-être pas à mes yeux le meilleur sous ta plume Tistou, mais bien agréable tout de même!
Le rêve de Freud, faut être patient pour le comprendre.
Pardon, trop tentant.
Très réussi Sahkti, avec ce je ne sais quoi d'inaccessible qui donne du punch.
Pardon, trop tentant.
Très réussi Sahkti, avec ce je ne sais quoi d'inaccessible qui donne du punch.
Merci pour tes commentaires, Sahkti, c'est un des moments les plus agréables des sonnets. On dirait la distribution des prix ! ;-)
Quant à toi, on a rien perdu pour t'attendre ! Tu as fait appel à un de tes bons amis, le docteur Freud, pas moins ! ;-))
Très instructif d'apprendre qu'il caressait les animaux dans le sens du poil.
Et puis tu t'invites à un souper au chandelles, festin royal sur plat d'étain, hé, hé, très instructif aussi, tout ça ! Attention, Freud va nous faire des révélations ! ;-))
Quant à toi, on a rien perdu pour t'attendre ! Tu as fait appel à un de tes bons amis, le docteur Freud, pas moins ! ;-))
Très instructif d'apprendre qu'il caressait les animaux dans le sens du poil.
Et puis tu t'invites à un souper au chandelles, festin royal sur plat d'étain, hé, hé, très instructif aussi, tout ça ! Attention, Freud va nous faire des révélations ! ;-))
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre