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La vie n’est que poussière,
Le moindre coup de vent,
Si insignifiant soit-il
Peut le balayer
Cette mégère si insolente et si abjecte
Est impatiente d’accomplir sa fangeuse ignominie
La mort , si hypocrite
Est toujours ravie de ravir
des vies sournoisement
Sans état d’âme,
Ne s’intéressant qu à faire ses perfides crimes
Sans souci pour la douleur inéluctable des proches
Lâchement sur ses victimes
Sans avoir au préalable averti
La mort,
Qui n’a ni d’amis,
Ni d’alliés
Ni parents
Ni partisan
Si ce n’est Lucifer.
Silencieusement, coupe le mince fil
Qui nous relie à ce monde
Sans tenir compte nullement
Du désarroi de nous, êtres vivants.
Et comme pour nous narguer,
Ce sinistre et infâme mégère
Mystérieusement disparait
Echappant ainsi à la justice
Après avoir commis ses méfaits.
Que de personnes
Qui en ont après toi ?
Que de cris de désespoirs qui se répercutent
Jusqu’au néant
L’univers retentit des sanglots ,
Témoignage de notre infortune
Et encore, notre calvaire n’a pas encore
Sonnée son glas.
Pourquoi
Rien que pour ton bon plaisir
Tant de ruines ?
Tant de peines ?
Tant de gémissements ?
Tant de souffrances ?
Qu’avons nous fait pour mériter
Tant de haine ?
Tant de punition ?
Dis-moi, vilaine
Si tu ne t’es pas assez délecté de nous causer tant de morosités ?
Si tu n’as pas assez d’entendre nos litanies
Le moindre coup de vent,
Si insignifiant soit-il
Peut le balayer
Cette mégère si insolente et si abjecte
Est impatiente d’accomplir sa fangeuse ignominie
La mort , si hypocrite
Est toujours ravie de ravir
des vies sournoisement
Sans état d’âme,
Ne s’intéressant qu à faire ses perfides crimes
Sans souci pour la douleur inéluctable des proches
Lâchement sur ses victimes
Sans avoir au préalable averti
La mort,
Qui n’a ni d’amis,
Ni d’alliés
Ni parents
Ni partisan
Si ce n’est Lucifer.
Silencieusement, coupe le mince fil
Qui nous relie à ce monde
Sans tenir compte nullement
Du désarroi de nous, êtres vivants.
Et comme pour nous narguer,
Ce sinistre et infâme mégère
Mystérieusement disparait
Echappant ainsi à la justice
Après avoir commis ses méfaits.
Que de personnes
Qui en ont après toi ?
Que de cris de désespoirs qui se répercutent
Jusqu’au néant
L’univers retentit des sanglots ,
Témoignage de notre infortune
Et encore, notre calvaire n’a pas encore
Sonnée son glas.
Pourquoi
Rien que pour ton bon plaisir
Tant de ruines ?
Tant de peines ?
Tant de gémissements ?
Tant de souffrances ?
Qu’avons nous fait pour mériter
Tant de haine ?
Tant de punition ?
Dis-moi, vilaine
Si tu ne t’es pas assez délecté de nous causer tant de morosités ?
Si tu n’as pas assez d’entendre nos litanies
je suis sans voix, c'est beau et puissant.
Je n'ai pas accroché. Pas à cause du style, qui est assez plaisant, mais à cause du fond, auquel je n'adhère pas totalement.
La mort et la vie, c'est... comment dire... une bataille permanente chez moi, mon souci quotidien, ce pour quoi je me bats tout le temps (pour faire court, je suis malade, ça te permet de situer mon combat). Alors bien sûr que la vie est dure, que la mort est moche, que c'est hypocrite, cruel et injuste. Je devrais être la première à le hurler et à le dire, je le pense d'ailleurs vis-à-vis de ma maladie au niveau de l'injustice. Mais il y a un je ne sais quoi qui m'empêche d'acquiescer à ce que tu énonces (de manière bien formulée, je le répète): peut-être simplement la prise de conscience que la vie, c'est souvent dur et compliqué mais que c'est aussi, en même temps, vachement bien. Et puis que la mort, si elle devient acte créateur ou acte de libération, c'est moins horrible qu'il n'y paraît.
Voilà, ce n'est pas vraiment une critique ce que je te raconte, mais je voulais t'expliquer pourquoi je n'aime pas tellement ce texte.
La mort et la vie, c'est... comment dire... une bataille permanente chez moi, mon souci quotidien, ce pour quoi je me bats tout le temps (pour faire court, je suis malade, ça te permet de situer mon combat). Alors bien sûr que la vie est dure, que la mort est moche, que c'est hypocrite, cruel et injuste. Je devrais être la première à le hurler et à le dire, je le pense d'ailleurs vis-à-vis de ma maladie au niveau de l'injustice. Mais il y a un je ne sais quoi qui m'empêche d'acquiescer à ce que tu énonces (de manière bien formulée, je le répète): peut-être simplement la prise de conscience que la vie, c'est souvent dur et compliqué mais que c'est aussi, en même temps, vachement bien. Et puis que la mort, si elle devient acte créateur ou acte de libération, c'est moins horrible qu'il n'y paraît.
Voilà, ce n'est pas vraiment une critique ce que je te raconte, mais je voulais t'expliquer pourquoi je n'aime pas tellement ce texte.
Comme Sahkti, presque, je me pencherai davantage sur le fond que la forme. La mort?
Tant de choses à en dire. Et si c'était la vie qui était une injustice? A dire comme ça, ça peut paraître con, mais ...?
Sur la forme, pas trop accroché. C'est un peu heurté et il y a quelques fautes qui m'ont fait flasher.
Tant de choses à en dire. Et si c'était la vie qui était une injustice? A dire comme ça, ça peut paraître con, mais ...?
Sur la forme, pas trop accroché. C'est un peu heurté et il y a quelques fautes qui m'ont fait flasher.
Désolé, mais je ne suis pas assez "littéraire" pour apprécier (au sens propre du terme) ce genre de texte. Soyons franc.
Néanmoins, je trouve que c'est rigoureusement bien écrit, bien pensé, poétique, et que cela doit sûrement plaire à ceux qui aiment ce genre...
Néanmoins, je trouve que c'est rigoureusement bien écrit, bien pensé, poétique, et que cela doit sûrement plaire à ceux qui aiment ce genre...
Moi j'aime aussi bien le fond que la forme. C'est tres beau et rythmé.
Je n'ai pas accroché. Pas à cause du style, qui est assez plaisant, mais à cause du fond, auquel je n'adhère pas totalement.
La mort et la vie, c'est... comment dire... une bataille permanente chez moi, mon souci quotidien, ce pour quoi je me bats tout le temps (pour faire court, je suis malade, ça te permet de situer mon combat). Alors bien sûr que la vie est dure, que la mort est moche, que c'est hypocrite, cruel et injuste. Je devrais être la première à le hurler et à le dire, je le pense d'ailleurs vis-à-vis de ma maladie au niveau de l'injustice. Mais il y a un je ne sais quoi qui m'empêche d'acquiescer à ce que tu énonces (de manière bien formulée, je le répète): peut-être simplement la prise de conscience que la vie, c'est souvent dur et compliqué mais que c'est aussi, en même temps, vachement bien. Et puis que la mort, si elle devient acte créateur ou acte de libération, c'est moins horrible qu'il n'y paraît.
Voilà, ce n'est pas vraiment une critique ce que je te raconte, mais je voulais t'expliquer pourquoi je n'aime pas tellement ce texte.
Je comprends ce que tu veux dire. Tu as parfaitement raison. Cependant, j'ai écrit ce qui me venait à l'esprit juste aprés la mort de ma copine et de mon chien. ce texte me permettait de sortir toute la rage et le desespoir que je ressentais sur le moment. Ce qui fait que j'ai pas voulu y toucher aprés.
La mort et la vie, c'est... comment dire... une bataille permanente chez moi, mon souci quotidien, ce pour quoi je me bats tout le temps (pour faire court, je suis malade, ça te permet de situer mon combat). on, c'est moins horrible qu'il n'y paraît.
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Moi aussi je suis tres malade et je suis entrain de lutter de toutes mes forces pour rester en vie car quoi qu'il en soit la mort est dure. je ne pense même pas a moi mais à mes parents et proches car ce sera penible. J'adore ton poeme pepito surtout quand tu parles de la douleur ineluctable des proches car cela montre une autre facette qui est à mon avis plus importante : apres la mort, ce sont les autres qui demeurent et qui ressentent la douleur.
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