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L’ascenseur se lança dans sa sarabande maintenant habituelle. Chacun avait les yeux fixés sur lui. La tension était extrême. Tout leur avenir allait dépendre du contrôle avéré ou non du sulfate d’argent.
Quand enfin il s’immobilisa, Nicéphore eut juste le temps de lancer son haut de forme à un Benoît adulte et totalement nu qui sut aussitôt où le placer.( Les hommes ont de ces réflexes.) Les dames, n’eurent pas l’occasion de s’évanouir et nul ne sut jamais si elles le regrettèrent ou non. Car cette ambiguïté secrète des sentiments est le privilège des dames.
Il y eut donc un «Ohhh !» commun admiratif et chacun l’attribua à ce qui lui semblait le mériter, comme par exemple, la bonne réussite de cette nouvelle expérience de manœuvre de l’ascenseur. Benoît sortit et les hommes lui passèrent leurs vestes et de quoi se couvrir suffisamment. Esther le conduisit chez elle, où elle avait conservé les vêtements qui s’étaient précédemment trouvés abandonnés sur le sol de l’ascenseur. C’est ainsi que ne tarda pas à revenir devant eux, un Benoît totalement semblable à celui qu’ils avaient connu peu de temps auparavant.
- Alors ? fit Esther, qu’avez-vous ressenti pendant ce voyage dans le temps ?
- Voyage dans le temps ?
- Oui, quand vous avez rajeuni ou pendant que vous étiez bébé ?
Benoît la regardait éberlué, se demandant visiblement lequel d’entre eux deux avait perdu la raison.
- Mais laissez-le, voyons, intervint Lucette, retrouvant un peu de ces pulsions de protection maternelles qui lui avaient fait soigner le Benoît bébé, vous voyez bien qu’il ne se souvient de rien de tout cela.
- De quoi vous souvenez-vous, au juste ? interrogea Nicéphore
- Ben… J’étais dans l’ascenseur…
- Oui ?
- Habillé …
- Il faut vous arracher les mots un par un !
- Puis… j’étais dans l’ascenseur…
- Oui
- Tout nu.
- Bon, ben vraiment, on aura un minimum de renseignements ! cracha Esther quelque peu aigrie.
- S’il ne se souvient de rien, il ne va pas inventer tout de même ! re-protégea Lucette.
- Bon, pas de tensions, s’il vous plaît intervint Nicéphore. C’est inutile, nous n’avons rien à y gagner. On peut conclure, je pense, que le sulfate d’argent permet bien de retrouver son âge réel et, puisque ni Benoît ni moi ne conservons de souvenir de ce qui s’est passé, que ce retour à la réalité biologique efface toute trace du petit voyage dans le temps qui a été accompli.
- Oui, ça a l’air d’être ça approuva Euphrosyne. Qui tentait de se raccrocher aux évènements mais qui avait un peu de mal à se remettre du choc sentimental que venait d’être pour elle le très rapide changement d’attitude d’Augustave à son égard. Avoir renoncé à toute vie sentimentale après la disparition d’un amant adoré et découvrir à 96 ans qu’il faut à celui-ci moins d’un quart d’heure pour renoncer à vous… les autres ne semblaient absolument pas s’en rendre compte, mais c’est vivre un moment un peu difficile tout de même. On fait de ces erreurs dans la vie…
- Alors que faisons nous ? lança Augustave qui était loin de bien comprendre ce qui se passait mais qui sentait tout de même parfaitement qu’on ne pouvait pas demeurer ainsi éternellement sur ce palier, à regarder cet ascenseur.
- D’abord les bébés !
Sélim subit le même sort que Benoît, ce qui lui permit de les rejoindre bientôt tous. Comme Benoît également, il restait silencieux. Un peu de temps était sans doute nécessaire à une reprise de contact avec la réalité et les deux derniers concernés ne semblaient pas très soucieux de se mêler du déroulement des opérations, d’autant qu’il n’y avait rien dans la situation qui put les aider à retrouver rapidement un sentiment de « chose connue ». Un pas derrière tout le monde, Augustave et Amélie, les yeux dans le bleu, se tenaient par la main, prêts, on le devinait, à tourner les talons et à aller se jeter dans ce nouveau monde. Mais Nicéphore s’était remis de la surprise causée par leur déclaration et se souvenait également que les Prauvice-fils étaient parmi ses meilleurs amis. Aussi, quittant l’ascenseur des yeux, se tourna-t-il lentement vers eux pour leur déclarer:
- Comme je le disais il y a un moment, nous sommes ici dans une situation de voyage dans le temps et il semblerait que certains d’entre vous aient un peu négligé ce fait. Cela signifie que nous nous trouvons très rapidement confrontés aux nœuds insolubles qui ont toujours fait échouer les voyages dans le temps. Chère Amélie, je suis un peu surpris de voir avec quelle rapidité vous renoncez à vos enfants, ces deux adorables jumeaux que vous avez élevés en bonne mère pendant des années, mais ce n’est pas ma surprise qui pose problème, c’est le nœud dans le temps que vous tentez de créer. Je vous signale que, si vous partez à 30 ans avec Augustave (au fait, avez-vous remarqué qu’il a 56 ans ?), si vous partez donc avec Augustave, notre Prauvis à nous ne naît pas. S’il ne naît pas, l’ascenseur temporel n’est pas inventé. Si, l’ascenseur temporel n’est pas inventé, ni Augustave ni vous n’êtes ici, en face de moi, en ce moment.
Un silence de mort accueillit ces propos. Il n’y avait pas que pour les deux tourtereaux que ce rappel à la réalité scientifique des choses sonnait comme un coup de tonnerre.
- Mais… mais…bêla Euphrosine, ils y sont pourtant bien, en face de vous. Et les jumeaux ne sont pas nés.
- C’est que le réajustement ne se fait pas en un instant. La non-existence de deux êtres pendant des années entraîne tant de changements, jusque dans les plus petites choses, que la réalité met un certain temps à se corriger. Cependant, ce ne doit pas être trop long non plus, sinon, on laisserait le temps à de nouvelles modifications de se produire. C’est pourquoi, pour ma part, je m’attends à voir cet ascenseur disparaître d’un instant à l’autre.
- Disparaître !!! s’écrièrent-ils tous
- Rien de plus normal, voyons. Je vous rappelle qu’il se trouve ne plus avoir été inventé.
Un silence de plomb salua cette déclaration. Chacun réfléchissait (au mieux de ses moyens) aux conséquences qu’aurait pour lui cette disparition.
Une voix s’éleva alors.
- Elle est où, la dame qui était avec vous, dans mon café, tout à l’heure - Ou, peut-être pas tout à l’heure- ? demandait Sélim.
- A Ostende, lança Esther. Puis, devant les regards surpris des autres… Je viens de l’apprendre par Charlotte, au téléphone, il y a un instant.
- Bon, j’y vais. fit Sélim.
Et il sortit
Quand enfin il s’immobilisa, Nicéphore eut juste le temps de lancer son haut de forme à un Benoît adulte et totalement nu qui sut aussitôt où le placer.( Les hommes ont de ces réflexes.) Les dames, n’eurent pas l’occasion de s’évanouir et nul ne sut jamais si elles le regrettèrent ou non. Car cette ambiguïté secrète des sentiments est le privilège des dames.
Il y eut donc un «Ohhh !» commun admiratif et chacun l’attribua à ce qui lui semblait le mériter, comme par exemple, la bonne réussite de cette nouvelle expérience de manœuvre de l’ascenseur. Benoît sortit et les hommes lui passèrent leurs vestes et de quoi se couvrir suffisamment. Esther le conduisit chez elle, où elle avait conservé les vêtements qui s’étaient précédemment trouvés abandonnés sur le sol de l’ascenseur. C’est ainsi que ne tarda pas à revenir devant eux, un Benoît totalement semblable à celui qu’ils avaient connu peu de temps auparavant.
- Alors ? fit Esther, qu’avez-vous ressenti pendant ce voyage dans le temps ?
- Voyage dans le temps ?
- Oui, quand vous avez rajeuni ou pendant que vous étiez bébé ?
Benoît la regardait éberlué, se demandant visiblement lequel d’entre eux deux avait perdu la raison.
- Mais laissez-le, voyons, intervint Lucette, retrouvant un peu de ces pulsions de protection maternelles qui lui avaient fait soigner le Benoît bébé, vous voyez bien qu’il ne se souvient de rien de tout cela.
- De quoi vous souvenez-vous, au juste ? interrogea Nicéphore
- Ben… J’étais dans l’ascenseur…
- Oui ?
- Habillé …
- Il faut vous arracher les mots un par un !
- Puis… j’étais dans l’ascenseur…
- Oui
- Tout nu.
- Bon, ben vraiment, on aura un minimum de renseignements ! cracha Esther quelque peu aigrie.
- S’il ne se souvient de rien, il ne va pas inventer tout de même ! re-protégea Lucette.
- Bon, pas de tensions, s’il vous plaît intervint Nicéphore. C’est inutile, nous n’avons rien à y gagner. On peut conclure, je pense, que le sulfate d’argent permet bien de retrouver son âge réel et, puisque ni Benoît ni moi ne conservons de souvenir de ce qui s’est passé, que ce retour à la réalité biologique efface toute trace du petit voyage dans le temps qui a été accompli.
- Oui, ça a l’air d’être ça approuva Euphrosyne. Qui tentait de se raccrocher aux évènements mais qui avait un peu de mal à se remettre du choc sentimental que venait d’être pour elle le très rapide changement d’attitude d’Augustave à son égard. Avoir renoncé à toute vie sentimentale après la disparition d’un amant adoré et découvrir à 96 ans qu’il faut à celui-ci moins d’un quart d’heure pour renoncer à vous… les autres ne semblaient absolument pas s’en rendre compte, mais c’est vivre un moment un peu difficile tout de même. On fait de ces erreurs dans la vie…
- Alors que faisons nous ? lança Augustave qui était loin de bien comprendre ce qui se passait mais qui sentait tout de même parfaitement qu’on ne pouvait pas demeurer ainsi éternellement sur ce palier, à regarder cet ascenseur.
- D’abord les bébés !
Sélim subit le même sort que Benoît, ce qui lui permit de les rejoindre bientôt tous. Comme Benoît également, il restait silencieux. Un peu de temps était sans doute nécessaire à une reprise de contact avec la réalité et les deux derniers concernés ne semblaient pas très soucieux de se mêler du déroulement des opérations, d’autant qu’il n’y avait rien dans la situation qui put les aider à retrouver rapidement un sentiment de « chose connue ». Un pas derrière tout le monde, Augustave et Amélie, les yeux dans le bleu, se tenaient par la main, prêts, on le devinait, à tourner les talons et à aller se jeter dans ce nouveau monde. Mais Nicéphore s’était remis de la surprise causée par leur déclaration et se souvenait également que les Prauvice-fils étaient parmi ses meilleurs amis. Aussi, quittant l’ascenseur des yeux, se tourna-t-il lentement vers eux pour leur déclarer:
- Comme je le disais il y a un moment, nous sommes ici dans une situation de voyage dans le temps et il semblerait que certains d’entre vous aient un peu négligé ce fait. Cela signifie que nous nous trouvons très rapidement confrontés aux nœuds insolubles qui ont toujours fait échouer les voyages dans le temps. Chère Amélie, je suis un peu surpris de voir avec quelle rapidité vous renoncez à vos enfants, ces deux adorables jumeaux que vous avez élevés en bonne mère pendant des années, mais ce n’est pas ma surprise qui pose problème, c’est le nœud dans le temps que vous tentez de créer. Je vous signale que, si vous partez à 30 ans avec Augustave (au fait, avez-vous remarqué qu’il a 56 ans ?), si vous partez donc avec Augustave, notre Prauvis à nous ne naît pas. S’il ne naît pas, l’ascenseur temporel n’est pas inventé. Si, l’ascenseur temporel n’est pas inventé, ni Augustave ni vous n’êtes ici, en face de moi, en ce moment.
Un silence de mort accueillit ces propos. Il n’y avait pas que pour les deux tourtereaux que ce rappel à la réalité scientifique des choses sonnait comme un coup de tonnerre.
- Mais… mais…bêla Euphrosine, ils y sont pourtant bien, en face de vous. Et les jumeaux ne sont pas nés.
- C’est que le réajustement ne se fait pas en un instant. La non-existence de deux êtres pendant des années entraîne tant de changements, jusque dans les plus petites choses, que la réalité met un certain temps à se corriger. Cependant, ce ne doit pas être trop long non plus, sinon, on laisserait le temps à de nouvelles modifications de se produire. C’est pourquoi, pour ma part, je m’attends à voir cet ascenseur disparaître d’un instant à l’autre.
- Disparaître !!! s’écrièrent-ils tous
- Rien de plus normal, voyons. Je vous rappelle qu’il se trouve ne plus avoir été inventé.
Un silence de plomb salua cette déclaration. Chacun réfléchissait (au mieux de ses moyens) aux conséquences qu’aurait pour lui cette disparition.
Une voix s’éleva alors.
- Elle est où, la dame qui était avec vous, dans mon café, tout à l’heure - Ou, peut-être pas tout à l’heure- ? demandait Sélim.
- A Ostende, lança Esther. Puis, devant les regards surpris des autres… Je viens de l’apprendre par Charlotte, au téléphone, il y a un instant.
- Bon, j’y vais. fit Sélim.
Et il sortit
Ah Sibylline, c'est tout bon. Et tu transmets le témoin dans de bonnes conditions.
Les hommes ont de ces réflexes! Oui, encore faut-il avoir un Haut de forme à portée de main. Pas donné à tout le monde!
Nicéphore, en retrouvant âge réel et apparence, retrouve aussi du plomb dans la tête. Effet secondaire du sulfate d'argent? une communication à l'Académie des Sciences s'impose. Il y en a quelques uns qui vont devoir en prendre!
Quant à Selim, il me parait correctement givré.
Et Esther, elle va retrouver son âge aussi? Et ... et ...
Très bon épisode Sibylline.
Les hommes ont de ces réflexes! Oui, encore faut-il avoir un Haut de forme à portée de main. Pas donné à tout le monde!
Nicéphore, en retrouvant âge réel et apparence, retrouve aussi du plomb dans la tête. Effet secondaire du sulfate d'argent? une communication à l'Académie des Sciences s'impose. Il y en a quelques uns qui vont devoir en prendre!
Quant à Selim, il me parait correctement givré.
Et Esther, elle va retrouver son âge aussi? Et ... et ...
Très bon épisode Sibylline.
Ce qui n’est pas donné à tout le monde mon cher Tistou, c’est d’être contraint de dissimuler sa virilité dans un haut-de-forme plutôt que dans un chapeau melon ;-)
Ça colle à merveille Sib, la boucle se boucle… Et Selim qui se jette sur la toute d’Ostende…
Sahkti, c’est une plage qui t’est ouverte !
Ça colle à merveille Sib, la boucle se boucle… Et Selim qui se jette sur la toute d’Ostende…
Sahkti, c’est une plage qui t’est ouverte !
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Et Esther, elle va retrouver son âge aussi? Et ... et ...
Très bon épisode Sibylline.
Chacun réfléchissait (au mieux de ses moyens) aux conséquences qu’aurait pour lui cette disparition.
:-) Tu n'as pas relevé d'erreur de casting au moins? J'ai vérifié autant que j'ai pu, mais on n'est pas à l'abri...
J'aime. C'est direct, limpide et plein d'humour.
Un sens de l'organisation au-dessus de tous soupçons.
Et, Sib, Ta logique jusqu'au-boutiste m'a bien fait rire.
"S’il ne naît pas, l’ascenseur temporel n’est pas inventé. Si, l’ascenseur temporel n’est pas inventé, ni Augustave ni vous n’êtes ici, en face de moi, en ce moment."
Un sens de l'organisation au-dessus de tous soupçons.
Et, Sib, Ta logique jusqu'au-boutiste m'a bien fait rire.
"S’il ne naît pas, l’ascenseur temporel n’est pas inventé. Si, l’ascenseur temporel n’est pas inventé, ni Augustave ni vous n’êtes ici, en face de moi, en ce moment."
Ca alors, Sibylline, tu as fait fort ! avec ton Benoît qui excite l'ambiguïté secrète des "sentiments" des dames ! ;-)
C'est vrai qu'un haut de forme bien porté, ça en impose ! ;-))
J'ai constaté que Augustave, lui aussi, était loin de comprendre tout ce qu'il se passait ; mais je vais suivre le conseil de Tistou, un peu de sulfate d'argent et tout va s'arranger !
Et ça n'empêche qu'on se marre bien !
C'est vrai qu'un haut de forme bien porté, ça en impose ! ;-))
J'ai constaté que Augustave, lui aussi, était loin de comprendre tout ce qu'il se passait ; mais je vais suivre le conseil de Tistou, un peu de sulfate d'argent et tout va s'arranger !
Et ça n'empêche qu'on se marre bien !
Il est sympa et rigolo cet épisode.
Je constate l'idée d'ascenseur magique, lancée par Erika, a tenu quasiment toute l'histoire. On lui rend hommage en quelque sorte.
Je constate l'idée d'ascenseur magique, lancée par Erika, a tenu quasiment toute l'histoire. On lui rend hommage en quelque sorte.
J'ADORE!!!!! ça c'est un épisode comme je les aime, mélange d'humour, d'action tout en redonnant à tout ça un cadre que tu as rendu le plus logique possible (et avec tout ce qu'on avait inventé, fallait le faire!). J'aime comme les personnages se raccrochent soudain à une réalité scientifique qu'on avait complètement occultée! Le retour de Benoit est un régale et le départ de Sélim, c'est très bien trouvé, ça me décevait un peu que Lu7 rennonce comme ça...
Cet épisode est un régal!! Une petite merveille de bout en bout! On se rapproche d'une conclusion qui semble être tout sauf bâclée! BRAVO!!!!!!
Cet épisode est un régal!! Une petite merveille de bout en bout! On se rapproche d'une conclusion qui semble être tout sauf bâclée! BRAVO!!!!!!
Il est sympa et rigolo cet épisode.
Je constate l'idée d'ascenseur magique, lancée par Erika, a tenu quasiment toute l'histoire. On lui rend hommage en quelque sorte.
Pourquoi dis-tu cela? Je croyais que c'était Kilis qui avait trouvé l'histoire de l'ascenseur à vayager dans le temps? Non, Erika n'a pas eu une telle influence sur l'histoire, je crois.
voyager, c'est mieux
Bel épisode Sib! La rigueur nécessaire (mais pas trop) est présente, ça fait du bien pour remettre un peu tout en ordre avant de conclure. Beaucoup d'idées, une ambiance bien ressentie, j'aime beaucoup.
Notamment la phrase avec Euphrosyne subissant le choc, un régal!
Bon, ben, c'est à moi... pfiouu :)
Notamment la phrase avec Euphrosyne subissant le choc, un régal!
Bon, ben, c'est à moi... pfiouu :)
Bon j'arrive après tout le monde, désolée... :0(
C'est un excellent épisode, je suis vraiment admirative, tu dois avoir un de ces sens de l'organisation, Sib !
C'est plein d'humour, petit coup de coeur pour "les hommes ont de ces réflèxes des fois " ;0)
C'est vraiment un bon épisode, il progresse vraiment bien, et cette histoire de conséquences sur la réalité, ça a de quoi vous faire réfléchir pendant une bonne semaine !!!
Merci Sib.
C'est un excellent épisode, je suis vraiment admirative, tu dois avoir un de ces sens de l'organisation, Sib !
C'est plein d'humour, petit coup de coeur pour "les hommes ont de ces réflèxes des fois " ;0)
C'est vraiment un bon épisode, il progresse vraiment bien, et cette histoire de conséquences sur la réalité, ça a de quoi vous faire réfléchir pendant une bonne semaine !!!
Merci Sib.
Beaucoup d’humour, Sib, beaucoup de raison et de finesse, dans ton épisode. Tout s’enchaîne très bien, tu remets le cadre autour du tableau de la rue Sous L’Eau et avec beaucoup d’habileté. Vraiment : bravo !!!
Allez, hop ! Je passe au 32 et à cette fin qui nous tient tous en haleine (enfin, a tenu, vous avez tous une longueur d’avance !)…
Allez, hop ! Je passe au 32 et à cette fin qui nous tient tous en haleine (enfin, a tenu, vous avez tous une longueur d’avance !)…
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