On roule.
Le ronron du moteur, comme celui d’un gros chat angora, avec de longs poils passant par tous les tons de orange tels les flammes du bon feu de cheminée devant lequel il sommeille, bien au chaud dans une corbeille de velours rouge, moelleuse, douillette… Et la pluie qui bat contre les carreaux, cherchant à entrer dans ce salon à l’ambiance ouatée, molletonnée, où trône le sapin de Noël paré de milles éclats d’étoile et décoré de bougies, au pied duquel de gros chaussons fourrés attendent de recevoir les cadeaux choisis avec amour pour faire briller les yeux d’un enfant… Je sens l’odeur de Noël, j’entends la pluie, le ronronnement du chat, je sens la chaleur du feu sur mon visage… Tout est là, même les yeux brillants de l’enfant … dans lesquels se reflète le défilé des sapins du bord de la route. Léo Ferret entonne le deuxième couplet de « Petit Papa Noël » tandis que l’aérateur me souffle, sur les joues un vent brûlant au parfum de résine.
Dans la DS, la nuit est tombée et le CD tourne en boucle. La pluie agite, au dessus de nos têtes, les branches des conifères et les pneus glissent sur l’asphalte dans un bruissement de gouttelettes. Les derniers accords résonnent dans l’habitacle surchauffé… Nostalgie…
On roule toujours.
– Mademoiselle Métisme, puis-je savoir où est-ce que vous ranger vos casseroles ?
– Troisième placard à gauche du frigo, étagère du bas.
Le cinquième étage de la rue sous l’eau n’avait jamais été aussi bruyant (même aux plus chaudes heures de la nuit) que ce soir là. Des hurlements divers et variés se superposaient dans une cacophonie indescriptible.
– Très chère Lucette, pourriez-vous laisser ces casseroles et venir m’aider ? Ces deux petits hommes sont un tantinet trop agités pour moi et je crains de les lâcher.
– Mon cher Auguste, si vous n’aviez pas disparu dans cet ascenseur vous auriez eu tout le loisir de vous habituer à porter un bébé ! Et à l’heure qu’il est je serais grand-mère ! Alors aillez l’obligeance de ne pas m’interrompre. Allez donc demander main-forte à Miss Métisme, elle est infirmière tout de même.
– Mademoiselle…
– Ah, vous ! Vous tombez à pique ! Filez ces mouflets à la femme enceinte et venez m’aidez ! Il faut descendre ce carton du haut de l’armoire : il doit contenir de vieux biberons si mes souvenirs sont bons.
– Dieu du ciel ! s’écria madame Prauvice en recevant sur ces genoux les deux braillards, je ne me doutais pas que deux enfants pouvaient faire tant de bruit et pousser de tels cris. Je pense que leur éducation laisse singulièrement à désirer ! Sont-ce ceux de cette femme de cette débauchée, à la robe si courte ?
– Je ne sais Madame, j’arrive moi-même de l’ascenseur.
– Mettez leur un chiffon sous les fesses si vous ne voulez pas devoir m’emprunter une robe de « débauchée » ! persifla Esther.
La porte d’entrée s’ouvrit à la volée sur Euphrosyne, chargée de paquets volumineux.
– Vous en faites un tintamarre ! Même moi je vous entends de la rue ! Je rapporte le lait en poudre et voici aussi quelques couches.
– Quelques ? Il y en a pour tout un régiment de bébés, ma très chère sœur ! C’est bien ce que je disais ! Tu n’as pas le sens de la mesure, j’aurais du y aller moi-même !
– Avec ton arthrose il t’aurait fallu deux fois plus de temps que moi !
– Préparez donc les biberons au lieu de vous crêper le chignon ! s’interposa Esther en tendant aux sœurs Noël deux vieux ustensiles en verre pourvus d’une tétine de caoutchouc.
En deux temps trois mouvements, Esther avait équipé les deux bambins de Pampers garanties anti-fuite (satisfait ou remboursé), accessoire qui plongea madame Prauvice dans un abîme de perplexité.
Un quart d’heure plus tard, les deux petits tétaient gloutonnement, bien calés sur les genoux de Auguste et Lucette pendant que les trois autres femmes, sirotaient un thé en écoutant le silence de toutes leurs oreilles.
Le ronron du moteur, comme celui d’un gros chat angora, avec de longs poils passant par tous les tons de orange tels les flammes du bon feu de cheminée devant lequel il sommeille, bien au chaud dans une corbeille de velours rouge, moelleuse, douillette… Et la pluie qui bat contre les carreaux, cherchant à entrer dans ce salon à l’ambiance ouatée, molletonnée, où trône le sapin de Noël paré de milles éclats d’étoile et décoré de bougies, au pied duquel de gros chaussons fourrés attendent de recevoir les cadeaux choisis avec amour pour faire briller les yeux d’un enfant… Je sens l’odeur de Noël, j’entends la pluie, le ronronnement du chat, je sens la chaleur du feu sur mon visage… Tout est là, même les yeux brillants de l’enfant … dans lesquels se reflète le défilé des sapins du bord de la route. Léo Ferret entonne le deuxième couplet de « Petit Papa Noël » tandis que l’aérateur me souffle, sur les joues un vent brûlant au parfum de résine.
Dans la DS, la nuit est tombée et le CD tourne en boucle. La pluie agite, au dessus de nos têtes, les branches des conifères et les pneus glissent sur l’asphalte dans un bruissement de gouttelettes. Les derniers accords résonnent dans l’habitacle surchauffé… Nostalgie…
On roule toujours.
– Mademoiselle Métisme, puis-je savoir où est-ce que vous ranger vos casseroles ?
– Troisième placard à gauche du frigo, étagère du bas.
Le cinquième étage de la rue sous l’eau n’avait jamais été aussi bruyant (même aux plus chaudes heures de la nuit) que ce soir là. Des hurlements divers et variés se superposaient dans une cacophonie indescriptible.
– Très chère Lucette, pourriez-vous laisser ces casseroles et venir m’aider ? Ces deux petits hommes sont un tantinet trop agités pour moi et je crains de les lâcher.
– Mon cher Auguste, si vous n’aviez pas disparu dans cet ascenseur vous auriez eu tout le loisir de vous habituer à porter un bébé ! Et à l’heure qu’il est je serais grand-mère ! Alors aillez l’obligeance de ne pas m’interrompre. Allez donc demander main-forte à Miss Métisme, elle est infirmière tout de même.
– Mademoiselle…
– Ah, vous ! Vous tombez à pique ! Filez ces mouflets à la femme enceinte et venez m’aidez ! Il faut descendre ce carton du haut de l’armoire : il doit contenir de vieux biberons si mes souvenirs sont bons.
– Dieu du ciel ! s’écria madame Prauvice en recevant sur ces genoux les deux braillards, je ne me doutais pas que deux enfants pouvaient faire tant de bruit et pousser de tels cris. Je pense que leur éducation laisse singulièrement à désirer ! Sont-ce ceux de cette femme de cette débauchée, à la robe si courte ?
– Je ne sais Madame, j’arrive moi-même de l’ascenseur.
– Mettez leur un chiffon sous les fesses si vous ne voulez pas devoir m’emprunter une robe de « débauchée » ! persifla Esther.
La porte d’entrée s’ouvrit à la volée sur Euphrosyne, chargée de paquets volumineux.
– Vous en faites un tintamarre ! Même moi je vous entends de la rue ! Je rapporte le lait en poudre et voici aussi quelques couches.
– Quelques ? Il y en a pour tout un régiment de bébés, ma très chère sœur ! C’est bien ce que je disais ! Tu n’as pas le sens de la mesure, j’aurais du y aller moi-même !
– Avec ton arthrose il t’aurait fallu deux fois plus de temps que moi !
– Préparez donc les biberons au lieu de vous crêper le chignon ! s’interposa Esther en tendant aux sœurs Noël deux vieux ustensiles en verre pourvus d’une tétine de caoutchouc.
En deux temps trois mouvements, Esther avait équipé les deux bambins de Pampers garanties anti-fuite (satisfait ou remboursé), accessoire qui plongea madame Prauvice dans un abîme de perplexité.
Un quart d’heure plus tard, les deux petits tétaient gloutonnement, bien calés sur les genoux de Auguste et Lucette pendant que les trois autres femmes, sirotaient un thé en écoutant le silence de toutes leurs oreilles.
ça fait 15 minutes que je m'essaye à la mise en page... J'ai pas du regardé au bon endroit car quand je prévisualise, ça ne marche pas... Bref, j'abandonne! Il n'y aura pas encore de tabulation dans cet épisode. (si c'est pas , c'est quoi la quote?)
J'ai rien dit! [ tab ] (sans espace) ça marche on dirait! Je saurais pour la prochaine fois!!
Un épisode qui commence tout en douceur, feutré, chaud et un peu mélancolique. Regretterait-elle une époque calme et moelleuse, notre Lu7?? J'ai aimé ce paragraphe qui respire, qui repose.
Pour la seconde partie, hormis le fait qu'Augustave fut, il me semble, le soupirant (!!) d'Euphrosyne et non de Lucette, on trouve un rythme de croisière, petit rassemblement des protagonistes (mais on n'a toujours pas trouvé de solution au problème bébéphonique).
Enfin, avec tout ça, elle veut quoi, notre Lu7? Un Sélim vrai de vrai ou repartir dans ses rêves?
Pour la seconde partie, hormis le fait qu'Augustave fut, il me semble, le soupirant (!!) d'Euphrosyne et non de Lucette, on trouve un rythme de croisière, petit rassemblement des protagonistes (mais on n'a toujours pas trouvé de solution au problème bébéphonique).
Enfin, avec tout ça, elle veut quoi, notre Lu7? Un Sélim vrai de vrai ou repartir dans ses rêves?
hormis le fait qu'Augustave fut, il me semble, le soupirant (!!) d'Euphrosyne et non de Lucette
heu non, enfin, c'est peut-être pas clair mais jusqu'à ce qu'elle entre avec les courses, Euphrosyne n'est pas présente et Augustave parle avec Lucette qui lui reproche d'être parti avant de lui faire un enfant...
Ben là, moi je m'y perds un peu dans l'espace et dans le temps...
- C'était l'été et puis voilà que c'est Noël.
- Lu7 et Charlotte avaient mis le cap sur Ostende... ou Lu7 a-t-elle rêvé tout ça?
- Et, rue Sous-l'eau, l'action se passe-t-elle au cinquième étage chez Esther ou au premier chez les soeurs Noël?
- C'était l'été et puis voilà que c'est Noël.
- Lu7 et Charlotte avaient mis le cap sur Ostende... ou Lu7 a-t-elle rêvé tout ça?
- Et, rue Sous-l'eau, l'action se passe-t-elle au cinquième étage chez Esther ou au premier chez les soeurs Noël?
hormis le fait qu'Augustave fut, il me semble, le soupirant (!!) d'Euphrosyne et non de Lucette
heu non, enfin, c'est peut-être pas clair mais jusqu'à ce qu'elle entre avec les courses, Euphrosyne n'est pas présente et Augustave parle avec Lucette qui lui reproche d'être parti avant de lui faire un enfant...
Oui, mais dans l'épisode de l'apparition de Gustave (épisode 25), c'est à Euphrosyne qu'il s'adresse ("Ma mésange en sucre") et non à Lucette. Donc, ou ça veut dire tu ajoutes une relation avec Lucette en plus d'Euphrosyne (le coquin) ou que tu as confondu...
Oui, mais dans l'épisode de l'apparition de Gustave (épisode 25), c'est à Euphrosyne qu'il s'adresse ("Ma mésange en sucre") et non à Lucette. Donc, ou ça veut dire tu ajoutes une relation avec Lucette en plus d'Euphrosyne (le coquin) ou que tu as confondu...
Oups! tu as raison! J'ai confondu ! Je coyrais que c'était avec Lucette!
Pour Kilis qui ne comprend pas tout, c'est vrai, c'est pas très clair: je récapitule:
- nous sommes bien en été mais Lu7 rêve de Noël, bercéee par le CD de Léo Ferret chantant "Petit Papa Noël",
- Tout le monde s'est réuni au 5ième, chez Esther.
Rien ne me choque dans ton épisode Kicilou, je vais essayer de me montrer à la hauteur et de "cohérer" un minimum. (autant vouloir contenir un Marsupilami dans un petit paquet!)
Je rassure Kilis ; LU7 et Charlotte roulent toujours, et c'est l'effervescence version Alka Seltzer puissance 10 au 9 de la Rue Sous l'Eau.
(Pour Sahkti, je tiens à la rassurer, le Marsu c'était une blague, à moins de démonter la queue ça ne pourrait jamais tenir, c'est évident)
Merci de ta nouvelle contribution Kicilou.
Je rassure Kilis ; LU7 et Charlotte roulent toujours, et c'est l'effervescence version Alka Seltzer puissance 10 au 9 de la Rue Sous l'Eau.
(Pour Sahkti, je tiens à la rassurer, le Marsu c'était une blague, à moins de démonter la queue ça ne pourrait jamais tenir, c'est évident)
Merci de ta nouvelle contribution Kicilou.
le CD de Léo Ferret
Dis voir Kicilou, juste une question. C'est fait exprès FERRET, c'est pour faire bondir YALI, ou parce que tu ne sais pas que c'est FERRE?
Dis voir Kicilou, juste une question. C'est fait exprès FERRET, c'est pour faire bondir YALI, ou parce que tu ne sais pas que c'est FERRE?
Bon, première chose, Blue a rectifié pour Euphrosyne et Gustave, tant mieux :)
Ensuite, je partage un peu l'avis de Kilis, il y a une impression de confusion qui se dégage de tout cela et puis aussi quelques petites incohérences, rien de très gênant, mais ça saccade un peu le texte et c'est touffu, peut-être un peu trop, ça demande une certaine concentration.
Sinon, j'aime bien l'idée de deux parties bien distinctes question ambiance, les road-movie calmos vers Ostende et l'effervescence bien retranscrite au 5e chez Esther qui, pour une infirmière, semble avoir oublié les règles élémentaires en matière d'hygiène biberonnale :)
PS: Tistou, un marsu dans une boîte, peu importe la taille de la boîte et avec ou sans queue à ressort, je te le dis, c'est mission impossible! :) C'est des bêtes sauvages les marsu, dus pedd à revendre, ça en est même fatiguant par moments...
Ensuite, je partage un peu l'avis de Kilis, il y a une impression de confusion qui se dégage de tout cela et puis aussi quelques petites incohérences, rien de très gênant, mais ça saccade un peu le texte et c'est touffu, peut-être un peu trop, ça demande une certaine concentration.
Sinon, j'aime bien l'idée de deux parties bien distinctes question ambiance, les road-movie calmos vers Ostende et l'effervescence bien retranscrite au 5e chez Esther qui, pour une infirmière, semble avoir oublié les règles élémentaires en matière d'hygiène biberonnale :)
PS: Tistou, un marsu dans une boîte, peu importe la taille de la boîte et avec ou sans queue à ressort, je te le dis, c'est mission impossible! :) C'est des bêtes sauvages les marsu, dus pedd à revendre, ça en est même fatiguant par moments...
"dus pedd à revendre"
vlà du français tiens..
Du speed!
vlà du français tiens..
Du speed!
le CD de Léo Ferret
Dis voir Kicilou, juste une question. C'est fait exprès FERRET, c'est pour faire bondir YALI, ou parce que tu ne sais pas que c'est FERRE?
C'est pour faire bondir Yali! ... ...
En vrai, c'est parce que je n'ai pas pris le temps de vérifier comment s'écrivait FERRE(c'est pas ma génération!). Mea culpa!
le CD de Léo Ferret
Dis voir Kicilou, juste une question. C'est fait exprès FERRET, c'est pour faire bondir YALI, ou parce que tu ne sais pas que c'est FERRE?
C'est pour faire bondir Yali! ... ...
En vrai, c'est parce que je n'ai pas pris le temps de vérifier comment s'écrivait FERRE(c'est pas ma génération!). Mea culpa!
Ca, c'est rien, mais Ferré chantant "Petit papa Noël"!!!!!!!!!! C'est-y possible que tu confondes avec Tino Rossi? Je retourne lire la suite.
Tistou avait raison l'autre jour: maintenant, cela devient plus touffu et il faut prendre des notes si on veut éviter de s'enliser dans une histoire qui n'aura plus de sens. Je me demande comment on pourrait corriger l'erreur de la fiancée d'Augustave, parce que, mis comme ça, au bout des autres épisodes.... cela n'a pas de sens. Il va falloir être drôlement attentif si on veut que notre roman feuilleton se tienne.
Je suis aussi un peu comme Kilis et je me demandais où l'action se passait, mais tu l'as précisé.
Sinon, j'ai adoré la chute "pendant que les trois autres femmes, sirotaient un thé en écoutant le silence de toutes leurs oreilles.
" Très explicite et qui évoque une jolie scène qu'on a tous connue.
Je suis aussi un peu comme Kilis et je me demandais où l'action se passait, mais tu l'as précisé.
Sinon, j'ai adoré la chute "pendant que les trois autres femmes, sirotaient un thé en écoutant le silence de toutes leurs oreilles.
" Très explicite et qui évoque une jolie scène qu'on a tous connue.
J'ai bien aimé ton texte Kicilou, c'est bien écrit, très agréable à lire, par contre c'est vrai que tout est de plus en plus compliqué à chaque épisode (ça a du bon d'être seulement spéctatrice ;0))
L'histoire continue, l'ambiance que tu as installé me plait bien, un peu feutrée au début, puis c'est la bousculade, le brouhaha rue-sous-l'eau, c'est bien fait, bien pensé.
Merci Kicilou.
L'histoire continue, l'ambiance que tu as installé me plait bien, un peu feutrée au début, puis c'est la bousculade, le brouhaha rue-sous-l'eau, c'est bien fait, bien pensé.
Merci Kicilou.
Ben, vous savez, quand un polar est vraiment bon, on ne comprend jamais tout, loin s'en faut !
Parfois, les moins de 15 ans comprennent tout, mais le lecteur moyen est dépassé, c'est tout à fait normal !
Pas de complexe ! ;-))
Parfois, les moins de 15 ans comprennent tout, mais le lecteur moyen est dépassé, c'est tout à fait normal !
Pas de complexe ! ;-))
SJB, tu confonds avec la poésie. Dans un polar, normalement, tu dois tout comprendre. Et bonsoir, à propos.
Alors ça : Léo Ferré chantant « Petit papa Noël », moi, ça me laisse baba. Quand au vieil anarchiste, lui, doit se retourner dans sa tombe… Je l’entends gueuler d’ici « Ni père Noël, ni Dieu, ni Maître ! »
Me suis un poil perdu également, mais, pas simple de faire évoluer autant de personnages dans un tableau, non, pas simple du tout.
J’aime bien ton rythme Kicilou.
Me suis un poil perdu également, mais, pas simple de faire évoluer autant de personnages dans un tableau, non, pas simple du tout.
J’aime bien ton rythme Kicilou.
J'ai trouvé l'épisode bien sympa. J'ai bien ressenti tout le tumulte qu'il y avait autour des deux bébés, et je sais de quoi je parle. :-)
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre