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Voila le debut d'une histoire qui se pourrait bien etre assez longue:
La traque de cette nuit est plus ardue que prévu: j’ai mis trop de temps pour placer les pièges, elle est arrivée avant que je ne m’en aille, m’a vu et a pris la fuite. Cela fait maintenant plus d’une heure que je lui cours après, elle est incroyablement vive, elle passe son temps à sauter des toits dans les ruelles et des ruelles sur les toits, ses mouvements sont impossibles à anticiper, je crois qu’elle n’a nulle part ou se réfugier, elle se contente de fuir, et cette chaleur estivale est à peine supportable. Je ne suis vraiment pas au mieux de ma forme, rien n’est gagné pour ce soir.
Après prêt de trois heures d’une poursuite effrénée, je l’ai finalement perdue. Le soleil a fini d’achever cette petite course. Les gens commencent à sortir de chez eux, leur journée débute et ils ne se doutent pas de ce qui s’est passé cette nuit. Certains auront sûrement entendu quelques cris de bêtes sauvages, mais ils se seront convaincus qu’il s’agissait d’un chien et se seront rendormis. Cette chaleur est vraiment insoutenable, même au petit matin, et mon énorme imperméable ainsi que ce chapeau n’aident pas -si je n’en n’avais pas autant besoin, je les aurai tout simplement jeté -, ajoutés à la fatigue d’avoir couru toute la nuit et à la faim qui me tenaille le ventre… il faut que je me repose. Cette rue en cul-de-sac fera l’affaire, juste quelques mètres suffiront, pas besoin d’aller jusqu’au bout, d’autant que j’y aperçoit une connaissance… mais qui voilà ? Si ce n’est pas ma petite chatte bondissante de cette nuit, encore toute haletante de notre course ? Tu as de la chance que je ne te trouve que maintenant, disons que je convienne d’une trêve, il faut que je dorme moi aussi.
A mon réveil, je la retrouve blottie contre moi, endormie, tranquille, et belle même. A la voir comme ça, qui pourrait croire qu’elle est ce qu’elle est, et qu’avec son air si innocent, du haut de ses dix-sept ans peut-être, elle puisse être un monstre assoiffé de sang. Mais je ne m’explique pas son geste, les jeunes sont bestiaux, instinctifs, elle a dû sentir qu’elle et moi étions pareils. Sa tête contre mon épaule, et son bras me serrant au ventre, son souffle calme, ses longs cheveux noirs et ondulés que ma main caresse malgré moi… elle me rappelle… si nos chemins se recroisent, je ne t’épargnerai pas, sois-en sûre. Je la couvre d’un drap pour la protéger de la lumière et je la laisse là, endormie.
La traque de cette nuit est plus ardue que prévu: j’ai mis trop de temps pour placer les pièges, elle est arrivée avant que je ne m’en aille, m’a vu et a pris la fuite. Cela fait maintenant plus d’une heure que je lui cours après, elle est incroyablement vive, elle passe son temps à sauter des toits dans les ruelles et des ruelles sur les toits, ses mouvements sont impossibles à anticiper, je crois qu’elle n’a nulle part ou se réfugier, elle se contente de fuir, et cette chaleur estivale est à peine supportable. Je ne suis vraiment pas au mieux de ma forme, rien n’est gagné pour ce soir.
Après prêt de trois heures d’une poursuite effrénée, je l’ai finalement perdue. Le soleil a fini d’achever cette petite course. Les gens commencent à sortir de chez eux, leur journée débute et ils ne se doutent pas de ce qui s’est passé cette nuit. Certains auront sûrement entendu quelques cris de bêtes sauvages, mais ils se seront convaincus qu’il s’agissait d’un chien et se seront rendormis. Cette chaleur est vraiment insoutenable, même au petit matin, et mon énorme imperméable ainsi que ce chapeau n’aident pas -si je n’en n’avais pas autant besoin, je les aurai tout simplement jeté -, ajoutés à la fatigue d’avoir couru toute la nuit et à la faim qui me tenaille le ventre… il faut que je me repose. Cette rue en cul-de-sac fera l’affaire, juste quelques mètres suffiront, pas besoin d’aller jusqu’au bout, d’autant que j’y aperçoit une connaissance… mais qui voilà ? Si ce n’est pas ma petite chatte bondissante de cette nuit, encore toute haletante de notre course ? Tu as de la chance que je ne te trouve que maintenant, disons que je convienne d’une trêve, il faut que je dorme moi aussi.
A mon réveil, je la retrouve blottie contre moi, endormie, tranquille, et belle même. A la voir comme ça, qui pourrait croire qu’elle est ce qu’elle est, et qu’avec son air si innocent, du haut de ses dix-sept ans peut-être, elle puisse être un monstre assoiffé de sang. Mais je ne m’explique pas son geste, les jeunes sont bestiaux, instinctifs, elle a dû sentir qu’elle et moi étions pareils. Sa tête contre mon épaule, et son bras me serrant au ventre, son souffle calme, ses longs cheveux noirs et ondulés que ma main caresse malgré moi… elle me rappelle… si nos chemins se recroisent, je ne t’épargnerai pas, sois-en sûre. Je la couvre d’un drap pour la protéger de la lumière et je la laisse là, endormie.
Bon bien... je comprends pas grand chose. Son gibier est un chat qui se transforme en ???. Le chasseur est un homme qui saute de toit en toit (spiderman ?). Il fait chaud mais il garde un impérméable, pourquoi ?
Il trouve son gibier mais fait une trève alors que c'est un monstre assoiffé de sang... Je suppose qu'il n'a pas perdu de membre de sa famille ou des proches car sinon il n'aurait pas de scrupule. Est-ce un chasseur de prime ?
Beaucoup de questions et pas assez vite de réponse même partielle : on a du mal à rentrer dans l'histoire...
Il trouve son gibier mais fait une trève alors que c'est un monstre assoiffé de sang... Je suppose qu'il n'a pas perdu de membre de sa famille ou des proches car sinon il n'aurait pas de scrupule. Est-ce un chasseur de prime ?
Beaucoup de questions et pas assez vite de réponse même partielle : on a du mal à rentrer dans l'histoire...
C'est assez fluide, peut-être un peu trop rapide, on aimerait plus de détails mais ça viendra par la suite et on perdra peut-être cette fluidité.
Petite taquinerie... Au début, j'ai pensé à Inspecteur Gagdet poursuivant Catwoman sur les toits :)))
Trève de plaisanterie, j'ai apprécié ce récit mais je n'ai pas été emballée, il manque de force, de réflexions intérieures un peu torturées. Il y a de l'action, mais juste un peu, ça reste bien gentil. En fait, je crois que ça manque un peu d'âme, noire ou blanche, mais une âme bien vivante.
Sinon, Benoit a raison, c'est fluide et ça se lit facilement.
Trève de plaisanterie, j'ai apprécié ce récit mais je n'ai pas été emballée, il manque de force, de réflexions intérieures un peu torturées. Il y a de l'action, mais juste un peu, ça reste bien gentil. En fait, je crois que ça manque un peu d'âme, noire ou blanche, mais une âme bien vivante.
Sinon, Benoit a raison, c'est fluide et ça se lit facilement.
JoelSam=>
euh... non, son gibier est une fille comparable à une chatte par son attitude "bondissante".
ben, presque, tu connais le personnage de Morbius? il vient de Spiderman, :-).
parce qu'il lui est essentiel, c'est lui qui le dit.
oui, il est très très fatigué, il a couru toute la nuit, il meurt de chaud et de faim, et elle est acculée et sauvage, donc encore dangereuse.
Ben, juste sa femme, mais tu souleves un point interessant... sinon, il n'a pas vraiment de scrupules, en effet.
Non, il fait ca pour lui.
C'est le debut, c'est normal,on va pas donner tous les elements tout de suite, rooooh, aucun sens scenaristique ces jeunes, ;-) .
Benoit=> Si tu veux dire une refonte de ce passage avec plus de details, n'espere pas trop, je le retravaillerais pour qu'il soit un peu plus simple à comprendre, mais je suis allergique aux descriptions à rallonge depuis que j'ai lu "La bete humaine" en classe de 1ere, et j'aime que ca aille vite, gouts personnels, :-),je fais ca pour les autres mais aussi un peu pour moi.
Sahkti=>
- Reponse à la petite taquinerie...oui... certes... j'ai pas de repartie sur ce coup là, tu as de la chance. Je crois que je vais changer le terme "impermeable" pour un "manteau" tout bete, :-).
- la suite ne devrait pas tarder, j'espere que vous y trouverez ce qu'il semble manquer pour l'instant, parce que je ne suis pas sûr de comprendre ton reproche, je ne comprends pas grand chose en ce moment, c'est tres perturbant...
Son gibier est un chat qui se transforme en ???.
euh... non, son gibier est une fille comparable à une chatte par son attitude "bondissante".
Le chasseur est un homme qui saute de toit en toit (spiderman ?).
ben, presque, tu connais le personnage de Morbius? il vient de Spiderman, :-).
Il fait chaud mais il garde un impérméable, pourquoi ?
parce qu'il lui est essentiel, c'est lui qui le dit.
Il trouve son gibier mais fait une trève alors que c'est un monstre assoiffé de sang
...
oui, il est très très fatigué, il a couru toute la nuit, il meurt de chaud et de faim, et elle est acculée et sauvage, donc encore dangereuse.
Je suppose qu'il n'a pas perdu de membre de sa famille ou des proches car sinon il n'aurait pas de scrupule.
Ben, juste sa femme, mais tu souleves un point interessant... sinon, il n'a pas vraiment de scrupules, en effet.
Est-ce un chasseur de prime ?
Non, il fait ca pour lui.
Beaucoup de questions et pas assez vite de réponse même partielle : on a du mal à rentrer dans l'histoire...
C'est le debut, c'est normal,on va pas donner tous les elements tout de suite, rooooh, aucun sens scenaristique ces jeunes, ;-) .
Benoit=> Si tu veux dire une refonte de ce passage avec plus de details, n'espere pas trop, je le retravaillerais pour qu'il soit un peu plus simple à comprendre, mais je suis allergique aux descriptions à rallonge depuis que j'ai lu "La bete humaine" en classe de 1ere, et j'aime que ca aille vite, gouts personnels, :-),je fais ca pour les autres mais aussi un peu pour moi.
Sahkti=>
- Reponse à la petite taquinerie...oui... certes... j'ai pas de repartie sur ce coup là, tu as de la chance. Je crois que je vais changer le terme "impermeable" pour un "manteau" tout bete, :-).
- la suite ne devrait pas tarder, j'espere que vous y trouverez ce qu'il semble manquer pour l'instant, parce que je ne suis pas sûr de comprendre ton reproche, je ne comprends pas grand chose en ce moment, c'est tres perturbant...
Il n'y a aucun reproche de ma part Lomeroth.
Vois-tu, quand on propose le début d'une histoire, c'est un peu frustrant. C'est l'intro, ça part en douceur, histoire de poser un décor ou de présenter des personnages. Ce qui crée chez moi cette impression de rester sur ma faim parce que je lis ça comme une nouvelle et pas comme un premier chapitre. Il y a d'office un manque qui s'installe et c'est ce qui me fait regretter le manque d'action, de force ou de vivacité. Eléments qui seront très certainement présents dans la suite mais que je ne vois pas encore...
Vois-tu, quand on propose le début d'une histoire, c'est un peu frustrant. C'est l'intro, ça part en douceur, histoire de poser un décor ou de présenter des personnages. Ce qui crée chez moi cette impression de rester sur ma faim parce que je lis ça comme une nouvelle et pas comme un premier chapitre. Il y a d'office un manque qui s'installe et c'est ce qui me fait regretter le manque d'action, de force ou de vivacité. Eléments qui seront très certainement présents dans la suite mais que je ne vois pas encore...
D'accord, je me depeche de pondre la suite, comme je vois que tu es en manque, :-).
tu as tout compris :)
Il ne devait pas l'aimer sa femme....
Mais ce n'est que mon avis ;D
Mais ce n'est que mon avis ;D
pourquoi il ne devait pas l'aimer, Joelsam?
Suite à ceci :
Q :Je suppose qu'il n'a pas perdu de membre de sa famille ou des proches car sinon il n'aurait pas de scrupule.
R :Ben, juste sa femme, mais tu souleves un point interessant... sinon, il n'a pas vraiment de scrupules, en effet.
Q :Je suppose qu'il n'a pas perdu de membre de sa famille ou des proches car sinon il n'aurait pas de scrupule.
R :Ben, juste sa femme, mais tu souleves un point interessant... sinon, il n'a pas vraiment de scrupules, en effet.
je ne comprends pas bien le rapport entre avoir des scrupules et avoir perdu un membre de sa famille.
il chasse la personne qui a tué un membre de ça famille et quand il la trouve il s'endore ... s'il tenait a sa femme il ne va pas s'endormir mais la tuer !
c'est peut-être plus complexe. Il semblerait qu'il existe une alchimie entre lui et cette jeune femme qu'il appelle sa petite chatte. Ils semblent être du même sang ou, à défaut, sortis du même moule. On sent qu'il se passe un truc entre eux, pas forcément sentimental, mais fusionnel.
C'est peut-être ce qui explique que sa femme passe au second plan, il est déjà dépassé par ce qui se trame en lui.
C'est peut-être ce qui explique que sa femme passe au second plan, il est déjà dépassé par ce qui se trame en lui.
il chasse la personne qui a tué un membre de ça famille et quand il la trouve il s'endore ... s'il tenait a sa femme il ne va pas s'endormir mais la tuer !
Ce n'est pas la jeune fille qui a tué sa femme, et je serais tenté de tout expliquer mais ca serait un gros spoil sur l'histoire, ce qui est dommage parce que vous posez de bonnes questions.
Au fait, je pense pouvoir le dire sans gacher l'histoire, la jeune fille est une vampire, pour faire original, :-).
Je pensais aussi à une louve-garoue. Pas loin...
Et hop, la suite :
Ayant repris quelques forces, je retourne au lieu de l’embuscade de cette nuit pour récupérer mes pièges, ils ont sautés pour la plupart, seuls, ou alors quelques enfants auront joué avec, en tout cas, celui qui a osé me vendre ça ne s’en sortira pas comme ça.
Je retourne à la boutique et lui mets sous le nez sa marchandise de seconde main, et lui de me dire que son matériel fonctionne, tout sourire dehors. Et j’ai beau expliquer qu’à cause de lui un animal dangereux est lâché en ville, rien ne semble lui enlever son grotesque masque de politesse… sauf lorsque je l’attrape par le col et que moi, je me mets à sourire, lui montrant mes atouts. Le gentil vendeur se confonds alors en excuses diverses et me promet de changer ce qu’il m’a vendu ou de me le rembourser, mais ce n’est plus ce qui m’intéresse, ce genre de personne vendrait père et mère s’il pouvait en tirer un bon pécule, le genre de rats que je me plais à faire disparaître. De plus, j’ai faim, et je n’ai plus l’intention de le laisser vivre après cet entretien.
Il est midi passé et la chaleur est toujours aussi intense… mauvais… il est temps de se mettre en route pour ce soir, un ancien me fera du bien après l’échec de la nuit dernière… vraiment mauvais… cette auberge devrait faire l’affaire, il s’en dégage quelque chose de familier…ce marchand était vraiment mauvais, je sens que je vais rendre tout ce sang si ça continue, j’ai l’impression d’avoir des morceaux coincés entre les dents.
Je rentre dans l’auberge et je jette un coup d’œil rapide avant de m’asseoir ; environ la moitié de ceux qui sont ici sont des humains, quant aux autres, comme le tenancier du bar, je peux sentir qu’ils sont différents. Une fille de l’établissement se joint à moi pour me tenir compagnie pendant que je bois ma bouteille ; elle n’a pas l’air très maligne mais elle a la langue bien pendue, et les informations viennent presque d’elles-mêmes : Il y a bien un ancien dans cette taverne, un dénommé Arthurus, et sa cohorte compte une dizaine de sujets, ce qui veut dire qu’ils sont à peu près tous présents. Je bois calmement ma bouteille tout le long de notre conversation, et dès qu’elle voit que l’alcool commence à me monter à la tête, ma compagne me tire par la manche pour m’entraîner dans une chambre.
Ayant repris quelques forces, je retourne au lieu de l’embuscade de cette nuit pour récupérer mes pièges, ils ont sautés pour la plupart, seuls, ou alors quelques enfants auront joué avec, en tout cas, celui qui a osé me vendre ça ne s’en sortira pas comme ça.
Je retourne à la boutique et lui mets sous le nez sa marchandise de seconde main, et lui de me dire que son matériel fonctionne, tout sourire dehors. Et j’ai beau expliquer qu’à cause de lui un animal dangereux est lâché en ville, rien ne semble lui enlever son grotesque masque de politesse… sauf lorsque je l’attrape par le col et que moi, je me mets à sourire, lui montrant mes atouts. Le gentil vendeur se confonds alors en excuses diverses et me promet de changer ce qu’il m’a vendu ou de me le rembourser, mais ce n’est plus ce qui m’intéresse, ce genre de personne vendrait père et mère s’il pouvait en tirer un bon pécule, le genre de rats que je me plais à faire disparaître. De plus, j’ai faim, et je n’ai plus l’intention de le laisser vivre après cet entretien.
Il est midi passé et la chaleur est toujours aussi intense… mauvais… il est temps de se mettre en route pour ce soir, un ancien me fera du bien après l’échec de la nuit dernière… vraiment mauvais… cette auberge devrait faire l’affaire, il s’en dégage quelque chose de familier…ce marchand était vraiment mauvais, je sens que je vais rendre tout ce sang si ça continue, j’ai l’impression d’avoir des morceaux coincés entre les dents.
Je rentre dans l’auberge et je jette un coup d’œil rapide avant de m’asseoir ; environ la moitié de ceux qui sont ici sont des humains, quant aux autres, comme le tenancier du bar, je peux sentir qu’ils sont différents. Une fille de l’établissement se joint à moi pour me tenir compagnie pendant que je bois ma bouteille ; elle n’a pas l’air très maligne mais elle a la langue bien pendue, et les informations viennent presque d’elles-mêmes : Il y a bien un ancien dans cette taverne, un dénommé Arthurus, et sa cohorte compte une dizaine de sujets, ce qui veut dire qu’ils sont à peu près tous présents. Je bois calmement ma bouteille tout le long de notre conversation, et dès qu’elle voit que l’alcool commence à me monter à la tête, ma compagne me tire par la manche pour m’entraîner dans une chambre.
Ce serait pas mal, Lomeroth, si tu arrivais à abandonner ce ton trop narratif pour faire un peu "vivre" ton récit, lui donner du tonus, un aspect dynamique qui lui manque un peu.
L'histoire est pas mal, même si elle mérite davantage de développement et de détails, mais le ton est trop "fade", j'aimerais bien si tout cela était davantage secoué.
Voilà pour le style.
En ce qui concerne le contenu, je ressens une impression de confusion par moments, comme si tu passais trop vite d'une étape à une autre. C'est peut-être lié au manque de développement, je l'ignore, mais ça brise un peu le plaisir de la lecture et de la visualisation du récit. L'ambiance de la taverne, ça vaudrait la peine d'être exploité. Tout comme l'appétit sanguinaire du narrateur.
L'histoire est pas mal, même si elle mérite davantage de développement et de détails, mais le ton est trop "fade", j'aimerais bien si tout cela était davantage secoué.
Voilà pour le style.
En ce qui concerne le contenu, je ressens une impression de confusion par moments, comme si tu passais trop vite d'une étape à une autre. C'est peut-être lié au manque de développement, je l'ignore, mais ça brise un peu le plaisir de la lecture et de la visualisation du récit. L'ambiance de la taverne, ça vaudrait la peine d'être exploité. Tout comme l'appétit sanguinaire du narrateur.
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