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Une tension perceptible envahissait peu à peu chacun des habitants présents devant le maudit ascenseur. Euphrosyne et Lucette détaillaient Prauvice des pieds à la tête en murmurant quelques remarques désobligeantes à propos de son air ahuri. Esther tremblait. La présence de Sways à ses côtés la rendait nerveuse, elle réalisait à quel point elle s'était donnée facilement à lui et s'en voulait d'avoir fait payer cette légèreté à Charlotte en la délaissant, par mesquine vengeance. Tout allait changer, elle se le promettait, elle déménagerait, terminé les ascenseurs maléfiques, les voisines radoteuses et les hommes séducteurs par profession. Charlotte et elle s'installeraient dans un petit appartement près du parc, elles pourraient s'y promener ensemble chaque soir, la vie deviendrait plus douce… Esther fut brutalement tirée de ses pensées par les hurlements des deux marmots qui se rappelaient au bon souvenir des locataires. Soupir simultané de Lucette et de Esther. Qu'est-ce qu'on allait en faire de ces deux-là? Charlotte se proposa pour aller les rassasier et les endormir, chacun accepta avec soulagement. Ces deux petites boules de chair cristallisaient la nervosité de tout le monde et il s'en serait fallu de peu pour que l'un des deux bébés termine sa vie en bas des escaliers, par un mouvement de rage ou de dépit. Autant rester prudents, Charlotte avait révélé une présence d'esprit insoupçonnée, à elle la direction de l'opération marmots.
Sways profita du départ de sa fille pour s'éclipser.
Prauvice s'affairait, il marmonnait des formules incompréhensibles et parlait en regardant à sa droite, à un être invisible qui devait être Numéro Deux. Lucette et Euphrosyne gloussaient, ce pauvre type devait être fou, on n'était pas tirés d'affaire!
Un accès de fatigue s'empara de Lucette, elle s'installa au pied des escaliers, le regard vide et la moue consternée. En quelques heures, sa vie avait été bouleversée, plus rien n'allait alors que tout s'annonçait pourtant si bien. Nouveau travail, nouvel appartement, nouveau Mac… nouvelle vie quoi. Mais tu parles d'une vie! Un enfer, une maison de fous! Ce n'était pas possible, Lucette devait faire un cauchemar, elle allait se réveiller, son esprit se brouillait, sa tête tournait… elle ferma les yeux. Un choc la sortit de sa torpeur, sa joue gauche était bouillante et lui faisait mal. Comme si elle avait pris une claque. Mais c'est qu'elle venait vraiment d'être giflée! Et par Esther en plus!
"Dites donc vous, ça va pas la tête?" hurla Lucette au bord de la crise de nerfs. C'en était trop, elle allait tous les planter là et tant pis pour Selim!
"Vous aviez perdu connaissance, je vous ai réveillée" lui répondit Esther en lui jetant des regards mauvais.
Lucette frissonna. Elle sentait bien que cette Esther ne l'aimait pas beaucoup, elle devait lui en vouloir parce qu'elle avait transformé Nicéphore en cendres. Il fallait faire gaffe, une infirmière a forcément chez elle un tas de médicaments et potions en tous genres, un empoisonnement est si vite arrivé.
"Tu délires ma pauvre fille" pensa Lucette, "C'est toi qui deviens folle, pas cet immeuble!"
"Vous ne seriez pas enceinte?" demande l'autre Lucette avec un grand sourire, "Il arrive souvent de perdre connaissance quand on est enceinte. Pas vrai, Madame Métisme?"
Lucette et Esther se regardèrent, partagées entre l'envie de fondre en larmes ou d'éclater de rire.
C'est alors que Prauvice poussa un cri de joie!
"Voilà, ça y est, j'ai déposé un résidu de chewing-gum dans une solution de sulfate d'argent, il ne reste plus qu'à attendre quelques minutes et nous aurons de nouvelles cellules!"
Euphrosyne fronça le sourcil, qu'est-ce que c'était encore que ça? Sa sœur lui avait paru bien agitée ce matin, mais apparemment tout le monde était dans le même état, ce n'était pourtant pas le printemps.
Prauvice agitait son flacon dans tous les sens, sautillant à gauche et à droite, souriant béatement. "Tu vas revenir, tu vas revenir…."
"Qui doit revenir?" demanda discrètement Lucette 1 à Lucette 2?
"Son frère. Il était parti en voyage d'agrément…"
Les minutes passèrent, Prauvice ne tenait plus en place. Il fit reculer tout le monde et déposa la précieuse fiole dans l'ascenseur. Il appuya sur le bouton, la bête se mit à rugir, puis à hoqueter, avant de s'élever vers les étages supérieurs. C'était parti pour un tour de manège. Les dames de l'immeuble ne le quittaient pas des yeux tandis que Prauvice expliquait aux sœurs Noël comment il avait pratiqué pour rendre forme humaine à son frère disparu. Autant dire tout de suite qu'elles n'y comprenaient rien. Ce qui les intéressait, c'était de savoir ce qui allait encore arriver à cause de cette machine enragée.
Un bruit effroyable se répandait dans la cage d'escaliers, l'ascenseur montait et descendait de plus en plus vite. Lucette sentait venir la catastrophe, elle se voyait déjà avec une armée de clones à nourrir et à bercer, la perspective était insupportable, elle se retourna vers Esther avec l'intention de lui réclamer une gifle, quand l'ascenseur s'arrêta au rez-de-chaussée.
Silence. Stupeur. Surprise. Euphrosyne se mit à hurler.
"Gustave! Gustave? C'est toi mon Gustave?"
"Euphrosyne, ma mésange en sucre!?" s'exclama l'homme coincé dans l'ascenseur, beau spécimen de l'espèce masculine au demeurant, doté de cette élégance qui n'existe plus chez les hommes d'aujourd'hui, à l'exception peut-être de feu Nicéphore. Paix à son âme.
"Mon Gustave! J'ai cru que tu m'avais abandonnée, oubliée! Tu étais parti acheter le journal, tu n'es jamais revenu. Quarante ans à t'attendre…"
"Je ne me souviens plus de rien, ma perdrix. J'ai pris l'ascenseur, il y a eu un drôle de bruit, je suis resté bloqué dedans et puis plus rien, le trou noir. Et te voilà! Mais mais… tu as tellement changé!?"
Abattu, au bord de la désintégration mentale, Prauvice contemplait le désastre. Un amant inconnu qui avait dû, lui aussi, passer son temps à coller des chewing-gums dans l'ascenseur. Son amante délaissée devenue âgée aujourd'hui. Deux bébés sur les bras. Et son frère disparu.
Il entra dans l'ascenseur, en extirpa la malheureux Gustave déconfit, poussa sur le bouton en chuchotant "Adieu monde cruel"…
Sways profita du départ de sa fille pour s'éclipser.
Prauvice s'affairait, il marmonnait des formules incompréhensibles et parlait en regardant à sa droite, à un être invisible qui devait être Numéro Deux. Lucette et Euphrosyne gloussaient, ce pauvre type devait être fou, on n'était pas tirés d'affaire!
Un accès de fatigue s'empara de Lucette, elle s'installa au pied des escaliers, le regard vide et la moue consternée. En quelques heures, sa vie avait été bouleversée, plus rien n'allait alors que tout s'annonçait pourtant si bien. Nouveau travail, nouvel appartement, nouveau Mac… nouvelle vie quoi. Mais tu parles d'une vie! Un enfer, une maison de fous! Ce n'était pas possible, Lucette devait faire un cauchemar, elle allait se réveiller, son esprit se brouillait, sa tête tournait… elle ferma les yeux. Un choc la sortit de sa torpeur, sa joue gauche était bouillante et lui faisait mal. Comme si elle avait pris une claque. Mais c'est qu'elle venait vraiment d'être giflée! Et par Esther en plus!
"Dites donc vous, ça va pas la tête?" hurla Lucette au bord de la crise de nerfs. C'en était trop, elle allait tous les planter là et tant pis pour Selim!
"Vous aviez perdu connaissance, je vous ai réveillée" lui répondit Esther en lui jetant des regards mauvais.
Lucette frissonna. Elle sentait bien que cette Esther ne l'aimait pas beaucoup, elle devait lui en vouloir parce qu'elle avait transformé Nicéphore en cendres. Il fallait faire gaffe, une infirmière a forcément chez elle un tas de médicaments et potions en tous genres, un empoisonnement est si vite arrivé.
"Tu délires ma pauvre fille" pensa Lucette, "C'est toi qui deviens folle, pas cet immeuble!"
"Vous ne seriez pas enceinte?" demande l'autre Lucette avec un grand sourire, "Il arrive souvent de perdre connaissance quand on est enceinte. Pas vrai, Madame Métisme?"
Lucette et Esther se regardèrent, partagées entre l'envie de fondre en larmes ou d'éclater de rire.
C'est alors que Prauvice poussa un cri de joie!
"Voilà, ça y est, j'ai déposé un résidu de chewing-gum dans une solution de sulfate d'argent, il ne reste plus qu'à attendre quelques minutes et nous aurons de nouvelles cellules!"
Euphrosyne fronça le sourcil, qu'est-ce que c'était encore que ça? Sa sœur lui avait paru bien agitée ce matin, mais apparemment tout le monde était dans le même état, ce n'était pourtant pas le printemps.
Prauvice agitait son flacon dans tous les sens, sautillant à gauche et à droite, souriant béatement. "Tu vas revenir, tu vas revenir…."
"Qui doit revenir?" demanda discrètement Lucette 1 à Lucette 2?
"Son frère. Il était parti en voyage d'agrément…"
Les minutes passèrent, Prauvice ne tenait plus en place. Il fit reculer tout le monde et déposa la précieuse fiole dans l'ascenseur. Il appuya sur le bouton, la bête se mit à rugir, puis à hoqueter, avant de s'élever vers les étages supérieurs. C'était parti pour un tour de manège. Les dames de l'immeuble ne le quittaient pas des yeux tandis que Prauvice expliquait aux sœurs Noël comment il avait pratiqué pour rendre forme humaine à son frère disparu. Autant dire tout de suite qu'elles n'y comprenaient rien. Ce qui les intéressait, c'était de savoir ce qui allait encore arriver à cause de cette machine enragée.
Un bruit effroyable se répandait dans la cage d'escaliers, l'ascenseur montait et descendait de plus en plus vite. Lucette sentait venir la catastrophe, elle se voyait déjà avec une armée de clones à nourrir et à bercer, la perspective était insupportable, elle se retourna vers Esther avec l'intention de lui réclamer une gifle, quand l'ascenseur s'arrêta au rez-de-chaussée.
Silence. Stupeur. Surprise. Euphrosyne se mit à hurler.
"Gustave! Gustave? C'est toi mon Gustave?"
"Euphrosyne, ma mésange en sucre!?" s'exclama l'homme coincé dans l'ascenseur, beau spécimen de l'espèce masculine au demeurant, doté de cette élégance qui n'existe plus chez les hommes d'aujourd'hui, à l'exception peut-être de feu Nicéphore. Paix à son âme.
"Mon Gustave! J'ai cru que tu m'avais abandonnée, oubliée! Tu étais parti acheter le journal, tu n'es jamais revenu. Quarante ans à t'attendre…"
"Je ne me souviens plus de rien, ma perdrix. J'ai pris l'ascenseur, il y a eu un drôle de bruit, je suis resté bloqué dedans et puis plus rien, le trou noir. Et te voilà! Mais mais… tu as tellement changé!?"
Abattu, au bord de la désintégration mentale, Prauvice contemplait le désastre. Un amant inconnu qui avait dû, lui aussi, passer son temps à coller des chewing-gums dans l'ascenseur. Son amante délaissée devenue âgée aujourd'hui. Deux bébés sur les bras. Et son frère disparu.
Il entra dans l'ascenseur, en extirpa la malheureux Gustave déconfit, poussa sur le bouton en chuchotant "Adieu monde cruel"…
Bravo Sahkti ! C'est vraiment un roman-feuilleton : on voudrait déjà avoir l'épisode suivant !! Vous allez pas tuer Prauvice quand même ?? Bof, on récupérera bien au moins un des deux..
Bon, eh bien, ça roule tout ça !! Bien écrit, et beaucoup d'humour.. une utilisation inhabituelle des noms d'oiseaux (contraire à l'usage qu'en fait généralement le capitaine Haddock).. le collage des shouigommes un peu partout dénoncé sans avoir l'air d'y toucher..
Certains éléments se resserrent, s'ordonnent, mais par contre, c'est nouveau la Lu7-2 ?? Toujours suite à un passage agité dans le saladier quantique ??
Une dernière chose, un truc qui m'étonne : ça marche aussi avec le sulfate d'argent ??
Bon, eh bien, ça roule tout ça !! Bien écrit, et beaucoup d'humour.. une utilisation inhabituelle des noms d'oiseaux (contraire à l'usage qu'en fait généralement le capitaine Haddock).. le collage des shouigommes un peu partout dénoncé sans avoir l'air d'y toucher..
Certains éléments se resserrent, s'ordonnent, mais par contre, c'est nouveau la Lu7-2 ?? Toujours suite à un passage agité dans le saladier quantique ??
Une dernière chose, un truc qui m'étonne : ça marche aussi avec le sulfate d'argent ??
Mais bien sûr que ça marche avec le sulfate d'argent, t'as pas appris ça à l'école Provis ?!?
Vraiment un très bon épisode Sahkti, ça se lit tout seul, c'est bien écrit, j'aime bien l'histoire, et puis la claque, et aussi l'hésitation entre les pleurs ou l'éclat de rire, j'ai l'impression de les voir, au bas des marches...
Alors, ce que j'aimerais bien savoir c'est où le pilote est parti?
La suite au prochain épisode ;0)
Vraiment un très bon épisode Sahkti, ça se lit tout seul, c'est bien écrit, j'aime bien l'histoire, et puis la claque, et aussi l'hésitation entre les pleurs ou l'éclat de rire, j'ai l'impression de les voir, au bas des marches...
Alors, ce que j'aimerais bien savoir c'est où le pilote est parti?
La suite au prochain épisode ;0)
Mais bien sûr que ça marche avec le sulfate d'argent, t'as pas appris ça à l'école Provis ?!?Bin non, je devais regarder les petits oiseaux par la fenêtre à ce moment-là, alors ..
Tu savais, toi, qu'il y avait une 2ème Lu7 ?? C'est quoi, cette gémellité généralisée ? Y a un virus dans le panier à salade macaronique ?? (:-)
Si y collait pas leurs vieux shouigoms partout aussi .. c'est pas sain !!
Oui, je connaissais la deuxième Lucette, c'est pour ça qu'il y'a eu un problème avec le mac, au départ, si je me souviens bien?
oui, il y a Lucette Millemains, la nouvelle habitante de l'immeuble, Provis, une petite jeunette.
Puis Lucette Noël, qui a fait croire qu'elle s'appellait Milmain pour réceptionner l'ordi au début de l'histoire, une vieille dame au premier étage.
Puis Lucette Noël, qui a fait croire qu'elle s'appellait Milmain pour réceptionner l'ordi au début de l'histoire, une vieille dame au premier étage.
Décidément les choses se précipitent avec toi, Sakhti ! C'est vrai qu'on l'avait oublié cette Lucette N° 2 . Rien n'est simple dans cette histoire et, comme dirait Sempé, tout se complique ! Alors, bonne chance au suivant !
Vite, la suite. ;-)
Vite, la suite. ;-)
En effet, beaucoup d'action, beaucoup de changements. Pauvre Prauvice, si c'est pas un malheur tout ça! Enfin, me demande ce que le suivant va en faire... Pas encore un mort, hein! ;o)
Sinon, je n'ai pas accroché au passage de la giffle, ni aux conjectures de Lucette l'ancienne... Sensation tout à fait personnelle mais il me semble comme un cheveu dans la bien bonne soupe de ton texte!
Parcontre, le Gustave, excellent! Un amour impossible? Un amour interdit? Un amour retrouvé? Que va devenir cet amour, on se le demande... A moins que certains ne fassent encore un voyage!
Merci Sahkti, décidémment, ce MM2 en fait des heureux!
Sinon, je n'ai pas accroché au passage de la giffle, ni aux conjectures de Lucette l'ancienne... Sensation tout à fait personnelle mais il me semble comme un cheveu dans la bien bonne soupe de ton texte!
Parcontre, le Gustave, excellent! Un amour impossible? Un amour interdit? Un amour retrouvé? Que va devenir cet amour, on se le demande... A moins que certains ne fassent encore un voyage!
Merci Sahkti, décidémment, ce MM2 en fait des heureux!
Je n'ai pas accroché aux deux premiers paragraphes, les bonnes résolutions d'Esther - un peu de mal à y croire, une fille qui mène une double vie de danseuse de cabaret et d'infirmière et qui soudain se résoudrait à une vie calme et rangée, hum... - quant à la giffle et à l'évanuissement de Lucette.... Bref, je ne vois pas trop ce que ce long passage descriptif et un peu poussif apporte.
MAIS,
à partir de "C'est alors que Prauvice poussa un cri de joie", C'est tout bon, tout bon.
Ca a de la force, de l'originalité, du rythme.
Dites, est-ce que c'est déjà mon tour???????
MAIS,
à partir de "C'est alors que Prauvice poussa un cri de joie", C'est tout bon, tout bon.
Ca a de la force, de l'originalité, du rythme.
Dites, est-ce que c'est déjà mon tour???????
Merci pour ce nouvel épisode.
Je regrette un peu que les deux vieilles soient devenues méchantes. Quand cela est-il arrivé ? La Lucette qui offrait le thé à Benoît n’était pas méchante il me semble, donc , après, mais quand ? Je ne les voyais pas comme ça. Dommage. Mais après tout, chacun fait comme il veut.
Pour le reste Lu7 a tout de même bien des raisons d’avoir un coup de blues. Esther est un peu sur les nerfs. Faut comprendre, elles ont toutes les deux perdu leur grand amour. Ca mine.
Par contre, la dénomination Lucette 1 et Lucette2 ne marche pas trop bien, je trouve. Laquelle est laquelle ? On s’y retrouvait assez bien par contre avec le graphisme Lu7, qui est celui de la nouvelle arrivée depuis le tout premier épisode.
Un personnage supplémentaire ! Encore du boulot ! Je n’avais pas compris tout de suite quel âge il avait à son apparition ici. Le temps de me poser la question et j'étais 2§ plus loin où m'attendait la réponse. En tout cas, ils ont eu du mérite de se reconnaître ! (aussi bien l’un que l’autre) Preuve sans doute d’un amour plus fort que le temps.
:-)
Je regrette un peu que les deux vieilles soient devenues méchantes. Quand cela est-il arrivé ? La Lucette qui offrait le thé à Benoît n’était pas méchante il me semble, donc , après, mais quand ? Je ne les voyais pas comme ça. Dommage. Mais après tout, chacun fait comme il veut.
Pour le reste Lu7 a tout de même bien des raisons d’avoir un coup de blues. Esther est un peu sur les nerfs. Faut comprendre, elles ont toutes les deux perdu leur grand amour. Ca mine.
Par contre, la dénomination Lucette 1 et Lucette2 ne marche pas trop bien, je trouve. Laquelle est laquelle ? On s’y retrouvait assez bien par contre avec le graphisme Lu7, qui est celui de la nouvelle arrivée depuis le tout premier épisode.
Un personnage supplémentaire ! Encore du boulot ! Je n’avais pas compris tout de suite quel âge il avait à son apparition ici. Le temps de me poser la question et j'étais 2§ plus loin où m'attendait la réponse. En tout cas, ils ont eu du mérite de se reconnaître ! (aussi bien l’un que l’autre) Preuve sans doute d’un amour plus fort que le temps.
:-)
Se faire passer pour quelqu'un d'autre pour obtenir un ordi, coller des chewing-gums par malice dans l'ascenseur + quelques autres détails lus ci et là dans les précédents épisodes m'ont confirmé cette idée de deux vieilles femmes pas méchantes mais un brin chipies.
J'aime un peu moins cet épisode que tes précédents. Mais j'aime bien le passage avec charlotte qui prend en charge les petits. Et le retour de Gustave, fallait l'imaginer! (même si maintenant, ça va être dur d'expliquer pourquoi il est revenu...) Mais ça nous fait un nouveau personnage, ça faisait longtemps !! On commençait à trop connaître tout le monde ! ;-)
J'ai moi aussi un peu de mal avec les soeurs Noël mais là ce n'est pas ta faute: j'avais créé Lucette en la pensant gentille, style super-Mamie (c'était un personnage qui me tenait à coeur) (je ne me rappelais plus qu'elles s'appelaient déjà Noël quand je les ai appelées Milmin) alors forcément, il a fallu rattraper la bourde et du coup, au fûr et à mesure, elles deviennent de moins en moins sympathiques...
J'ai moi aussi un peu de mal avec les soeurs Noël mais là ce n'est pas ta faute: j'avais créé Lucette en la pensant gentille, style super-Mamie (c'était un personnage qui me tenait à coeur) (je ne me rappelais plus qu'elles s'appelaient déjà Noël quand je les ai appelées Milmin) alors forcément, il a fallu rattraper la bourde et du coup, au fûr et à mesure, elles deviennent de moins en moins sympathiques...
Un brin chipie version plus, les petites vieilles… Quasi délinquance 3éme âge oui ;-) Le fantôme ne sera pas resté longtemps en l'état Sahkti, déthéré vite fait bien fait le Gustave, ton goût de l’ordre ?
C’est une histoire qui roule : « Chaud devant ! »
C’est une histoire qui roule : « Chaud devant ! »
Bah oui... Benoit disparu, mon préféré, me fallait bien inventer un nouveau héros dans le récit :)
C'est toujours aussi loufoque ! ET voilà encore un personnage de plus.
Et voila-t-y pas que je ne m'étais pas exprimé sur ce noble épisode. Noble? Bel épisode en tous cas. Et ça commence à souffler de plus en plus en chaud. Malheur à ceux qui ne prennent pas de notes!
Donc en fait l'épisode suivant a déja été écrit par Kilis et ... tu sais quoi Sahkti? J'ai le trac!
Donc en fait l'épisode suivant a déja été écrit par Kilis et ... tu sais quoi Sahkti? J'ai le trac!
J'ai bien rigolé, moi, pendant ce texte! Pour ma part, j'ai beaucoup même si je pensais que l'ascenseur était détruit... Et ils sont bien en bas?? Pourquoi les marmots sont menacés de s'écraser en bas des escaliers, comme s'ils étaient en hauteur??
Enfin, c'est très bien!
Enfin, c'est très bien!
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